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Saurhihllans - Tome 1: L’amour plus fort que tout
Saurhihllans - Tome 1: L’amour plus fort que tout
Saurhihllans - Tome 1: L’amour plus fort que tout
Livre électronique253 pages3 heures

Saurhihllans - Tome 1: L’amour plus fort que tout

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À propos de ce livre électronique

L’histoire des reptiliens, tout comme celle des humains, est enveloppée de mystères. L’auteure plonge dans le passé des reptiliens de Gaïa et leur interaction avec les humains à une période de paix entre les espèces ; ceci avant que l’arrivée des Annunaki, des reptiliens d’Alpha Draconis et d’Orion ne vienne tout bouleverser.

À PROPOS DE L'AUTRICE

Nicoleta Light Soul entretient une connexion profonde avec les mondes de l’invisible et aide les autres à redécouvrir leur essence à travers des soins énergétiques et le développement personnel. Elle partage également sa sagesse spirituelle à travers des livres.
LangueFrançais
Date de sortie5 mars 2024
ISBN9791042217846
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    Aperçu du livre

    Saurhihllans - Tome 1 - Nicoleta Light Soul

    Préface

    J’ai mis longtemps à me décider comment j’allais faire part de mes connaissances et de mes mémoires à tous ceux qui seront ou qui sont intéressés par ces récits et tout ce qui touche au domaine spirituel et extraterrestre, ainsi qu’intra-terrestre. Depuis mon éveil et le moment où j’ai eu accès à toutes ces mémoires, je savais que j’allais devoir raconter mon histoire au monde et lui expliquer le parcours évolutif ou involutif des êtres reptiliens sur Gaïa. J’ai vécu de nombreux moments où j’ai été traitée de folle, de droguée (oui, oui), où on m’a tourné le dos parce que je parlais avec amour d’une espèce que la plupart des humains considèrent comme dangereuse et néfaste. Ils n’ont pas tort, en tout cas pour certains de ces reptiliens. Cependant, le problème est que l’histoire de l’humanité et de ces êtres est complètement fausse et marquée par de nombreux faux récits. L’humanité elle-même a été, depuis des millénaires, emprisonnée dans de fausses croyances et dans des peurs pour que les élites et les êtres involutifs puissent la contrôler et la manipuler à leur guise. Pendant de longs siècles, on a joué avec le mental humain pour faire passer tous les êtres reptiliens pour des involutifs, pour des individus sans âme et sans émotions.

    Il est temps aujourd’hui pour l’humanité de comprendre et d’apprendre la vérité sur ces êtres. Comme partout, il n’y a pas que du bon ou du mauvais, il n’y a pas que du noir ou du blanc. Le mal et le bien, l’ombre et la lumière sont complémentaires. D’ailleurs, d’un point de vue métaphysique, ces deux concepts n’existent même pas. La séparation et la division sont des croyances et des conditionnements auxquels on a été programmés d’y croire. Ce sont des systèmes de valeurs erronés d’après lesquels on nous a appris à agir et réagir.

    À travers cet ouvrage, et ceux qui vont suivre, je vous invite à retracer une histoire des premiers « hommes » qui ont habité cette planète. Des peuples qui vivaient en complète harmonie et dont la tranquillité a été perturbée par des êtres involutifs assoiffés de pouvoir et de contrôle. Des involutifs qui eux même sont manipulés depuis des éons par d’autres esprits encore plus perturbés et perdus dans la recherche de qui ils sont véritablement.

    Vous allez découvrir un peuple de reptiliens pacifique, qui habitent ces terres depuis bien longtemps, des reptiliens dont l’espèce est appelée « sauriens ». Ce sont des êtres dont les ancêtres sont les dinosaures, leurs cousins comme ils aiment les appeler. Il y a parmi les sauriens plusieurs races qui habitent maintenant dans les profondeurs de Gaïa. Dans cet ouvrage on va s’attarder sur une seule de ces races, celle qui a été, qui est et qui restera pour toujours dans mon cœur : ma famille, mon origine.

    Le titre du livre Saurhihllans m’a été transmis par mon peuple, car il a un certain encodage et signification dans leur langage. Les « h » généralement signifient une forme d’élévation spirituelle pour certains peuples exogènes ou intra-terrestres.

    Les noms des personnages sont purement fictifs, néanmoins liés à la personnalité de chacun d’entre eux et par rapport aux événements passés. Le nom du personnage principal a été choisi pour sa simplicité et sa légèreté. Quant au nom du personnage masculin, Michaelio, il a été choisi pour faire le lien avec celui qu’il est aujourd’hui, un mâle incarné dans la même espèce et qui est lié à moi par un lien d’âme et que j’appelle « mon frère ».

    Je vous demande de faire preuve de discernement quant aux récits présentés. Ce ne sont que des mémoires et des expériences que j’ai vécues dans une vie antérieure et que j’ai choisies d’écrire sous la forme d’une fiction pour que cela soit plus simple pour tout un chacun de comprendre les choses. Je vous les partage aujourd’hui uniquement pour faire la lumière sur certains aspects, comme je l’ai déjà dit plus haut. Je ne vous demande pas de me croire ni de me suivre dans ma perspective des choses. Je vous demande uniquement de prendre ce qui raisonne avec votre être.

    Si parmi les lecteurs il y a des sceptiques ou des cartésiens, prenez cet ouvrage et les prochains pour des fictions et non pas comme des réalités. Au final, on a tous nos propres croyances et expériences à vivre et je n’oblige personne à changer son point de vue sous un quelconque prétexte.

    Je tiens, également, à préciser que j’ai écrit tout ce livre intuitivement, reliée à mon âme, mes mémoires et mon peuple.

    En vous souhaitant, à tous, une agréable lecture.

    Chapitre 1

    C’était un beau jour ensoleillé. La journée avait commencé avec une légère brise qui caressait doucement le visage. Les arbres hauts, âgés de quelques centaines d’années maintenant, dansaient sous le vent léger, l’herbe d’un vert prononcé, preuve de l’amour inconditionnel déployé depuis le Soleil Central, bougeait gentiment sur les collines environnantes et chatouillait doucement et agréablement les pieds de ceux qui se promenaient. Les oiseaux, petits et grands, volaient très haut dans le ciel. Certains chantaient avec joie et gaieté dans les arbustes le long de la route. Le chemin était parsemé de jolies fleurs avec des odeurs enivrantes. Elles étaient de toutes les couleurs et de variétés différentes : rouges, jaunes, violettes, bleues. Au bout du chemin on pouvait distinguer les hautes tours d’une cité. On voyait clairement les fenêtres ovales ouvertes pour laisser entrer l’air frais. Plus on s’approchait, plus on voyait les pierres des constructions, montées avec minutie, taillées parfaitement, pour la muraille et les hautes bâtisses. Tout était construit en forme circulaire et en spirale.

    Au milieu de la cité se trouvait la bâtisse la plus importante, le Temple des Anciens. Bâti avec des pierres identiques à celles des autres habitations, elle finissait par une tour, en granit blanc, avec une pointe en forme de pyramide. Elle avait été taillée dans un cristal translucide avec des reflets bleus. Sa fonction était de déployer les énergies solaires tout autour, dans la cité. Chaque bâtisse recevait l’énergie nécessaire pour le bon fonctionnement des technologies utilisées pour la vie quotidienne. La grande tour était accompagnée de deux autres, plus petites, chacune sur un côté. Les trois tours étaient posées sur trois dômes qui composaient le toit du bâtiment. Sur chaque côté de la construction, il y avait trois fenêtres ogives. Tous les contours des ouvertures et les modèles floraux sur la façade étaient constitués d’or. De chaque côté des tours, une ouverture avec une petite voûte laissait entrer la lumière.

    Dans les rues, les habitants étaient occupés à leurs activités journalières. Leur peau était vert foncé, avec de petites écailles. Ils avaient des yeux jaunes et très lumineux. Ils portaient une crête qui commençait derrière leur tête et continuait jusque dans le bas du dos et se terminait avec une proéminence vert très foncé (à la limite du noir) là où était, auparavant, leur queue (dont ils n’avaient plus besoin maintenant due à leur évolution physique). Leurs mains se finissaient par des ongles longs, pointus et noirs. Sur leur visage un sourire accueillant accompagnait chacune de leurs interactions avec les autres. Ils rayonnaient la lumière et l’amour se dégageait de chacune de leurs cellules. Un peuple qu’on aurait qualifié aujourd’hui de pacifique et en harmonie avec leur environnement. Des reptiliens qu’on appelait les Saurhihllans.

    Leur vie était simple, mais ne se limitait pas seulement à produire leur propre nourriture, à chanter et à danser en communion avec leur cœur et toutes les âmes qui les entouraient. Leur mission, telle qu’ils la qualifiaient, était de trouver l’équilibre entre toute chose et de faire attention à ce que chaque individu fasse preuve de discernement pour respecter le Tout qui l’entoure.

    Ceci dit, ils n’avaient pas forcément besoin d’un dirigeant. Toutes leurs décisions étaient prises d’un commun accord, après la réunion d’un Haut Conseil. Ce conseil était composé de douze membres qui faisaient partie des plus anciens parmi le peuple. La fonction de ce Haut Conseil était de réfléchir à des solutions, des actions, tout en respectant le bon vouloir de chaque habitant, pour ensuite les proposer à la population lors d’un rassemblement où chacun donnait son avis ou apportait des modifications pour que la mise en place de la nouvelle « règle » se déroule sans encombre.

    Dans ce tumulte joyeux de la vie quotidienne, dans la tour d’une des citadelles, Saunhia regardait par la fenêtre de sa chambre. C’était une saurhihllenne dont la beauté de l’âme l’avait emmenée dans le cœur des habitants qui l’estimaient énormément. Elle n’avait pas plus de 3000 années terrestres, beaucoup moins que le reste des membres du Haut Conseil qui, eux, avaient entre 4000 - 5000 années terrestres. Une belle femelle mesurant 1,80 m de haut et à l’allure élancée. Sa douceur se voyait à travers ses gestes et on pouvait distinguer son amour pour les autres à travers ses yeux et son regard étoilé. Son peuple était, pour elle, une raison de vivre.

    La chambre n’était pas plus grande qu’un studio. Elle était équipée de toutes les technologies lui permettant de pouvoir répondre à tous ses besoins primordiaux. L’ameublement était bien simple : un lit, une table et deux chaises. Une petite pièce faisait office de cuisine. Quant à la décoration, les murs étaient ornés de photos qui illustraient différents moments de sa vie, ainsi que des individus qui ont fait ou qui faisaient encore partie de sa vie et de son monde. Il n’y avait qu’une seule fenêtre, mais assez grande pour laisser pénétrer la lumière et illuminer toute la pièce. De cette fenêtre on voyait les collines d’en face et le bas de la cité. Le positionnement du bâtiment était assez haut par rapport aux autres constructions. Elle avait donc une bonne vue sur le collectif.

    Tout lui semblait si incroyable, d’une telle beauté, qu’elle-même ne put se l’expliquer ou lui donner une définition. Tous ces gens-là, dehors, qui étaient heureux et occupés à leurs activités, plongés complètement dans leurs tâches, les oiseaux qui volaient dans les hauteurs de Gaïa, les arbres dansants sous le rythme de la brise, toutes ces choses nourrissaient la plus petite parcelle de son âme. Elle était heureuse, son cœur chantait la joie.

    Son attention sur la beauté du monde environnant fut interrompue par quelqu’un qui frappa à la porte.

    — Entre s’il te plaît. C’est ouvert, dit-elle avec un large sourire sur son visage.

    Les visites lui faisaient le plus grand plaisir. Elle adorait accueillir les gens dans son cocon, les écouter, les soutenir, leur donner tout ce qu’elle avait de plus précieux dans son cœur : son amour et son temps.

    — Bonjour ma très chère amie. Comment vas-tu aujourd’hui ? demanda Elhesia, sa meilleure amie.

    Elles se connaissaient depuis qu’elles étaient toutes petites. Elhesia était bien plus petite en taille que Saunhia, elle mesurait seulement 1,65 m, mince, mais bien tonique. Elle avait gardé un visage beaucoup plus rond que les autres, ce qui faisait d’elle une reptilienne très mignonne. Ce n’est pas pour rien qu’on pouvait à peine s’empêcher de lui caresser le visage ou de la prendre dans ses bras.

    — Tout va très bien pour moi. J’étais justement en train de regarder la vie dehors. Et toi ? Qu’est-ce qui t’amène par ici ?

    — Oh rien de bien important. Je tenais à t’informer que ton père voudrait que tu sois dans le Grand Hall pour accueillir les petits humains qui vont arriver dans pas longtemps, dit Elhesia.

    — Je vois. Tu peux lui dire que je serai là en temps et en heure. Ils ont tout ce qu’il leur faut pour ces êtres ? répondit Saunhia sur un ton très sérieux, mais avec une petite étincelle de malice dans les yeux.

    À vrai dire, elle adorait les humains. Ils lui semblaient tellement fragiles et en même temps tellement puissants. Elle ne savait pas pourquoi elle ressentait cette puissance chez eux. Elle savait simplement qu’elle était là. Ça l’intriguait et ça l’incitait, aussi, à se rapprocher d’eux. Et voici une opportunité que son père lui offrait pour ce rapprochement tant attendu.

    — Oui, oui. Ils ont tout prévu : plantes médicinales, des peaux d’animaux et quelques outils qui leur seront utiles, on pense, pour leur travail dans les champs qu’ils cultivent.

    — Top ! Tout est au point ! s’exclama avec une joie immense Saunhia.

    — Oui. Manque plus que toi, répondit Elhesia en faisant un clin d’œil à son interlocutrice.

    ***

    Une heure plus tard, Saunhia était en compagnie de son père dans le Grand Hall, attendant les trois humains qui allaient se présenter à eux. Le Grand Hall se trouvait dans le bâtiment qui abritait le Haut Conseil lors de leurs réunions, bâtisse qui se trouvait en haut d’une colline. C’était une construction faite, plus ou moins, d’après le modèle du Grand Temple. Des piliers, à droite et à gauche, de la grande salle soutenaient la bâtisse. Son plafond était très haut, avec une belle voûte ornée d’étoiles, parmi lesquelles on pouvait clairement distinguer les Sept Sœurs. La salle était construite en long et décorée avec de jolis dessins galactiques et des glyphes d’un langage que seul le cœur peut connaître. De ces fenêtres on pouvait voir toute la vallée avec le village des humains plus bas. Au fond de la pièce se trouvait un escalier qui menait au premier étage, le bâtiment se composant uniquement du rez-de-chaussée et du premier étage. Au milieu de la salle se trouva une grande table ovale ou les membres du Haut Conseil se réunissaient lors de leurs séances. La salle n’avait pas de fenêtres, seulement de grandes ouvertures arrondies qui laissaient place à une vue d’ensemble sur la cité.

    — Alors, les humains ? Ils arrivent quand ? demanda Saunhia.

    — Patience ma fille. Tu es trop impatiente, je trouve. Quelque chose que tu ne m’as pas dit ? Ou raconté ? répondit son père, tout en la regardant comme on regarde un enfant qui vient de faire une bêtise.

    C’était un mâle d’un certain âge, au regard perçant, qui n’avait pas désiré rejoindre le Haut Conseil, mais bien le département qui s’occupe de mettre en place les changements au sein du collectif et la diplomatie avec les autres peuples. Il répondait au nom de Claréng. C’était un reptilien qui n’aimait pas quand il y avait des choses cachées, des non-dits. C’est la raison pour laquelle il était souvent mis en avant lors des rencontres ou des conseils diplomatiques. Il faut dire qu’il savait se faire une place dans l’estime des autres grâce à son respect pour la parole juste et l’expression de ce qu’il pensait. C’est aussi grâce à ça qu’il était un bon guide pour tous les nouveaux reptiliens. L’apprentissage du langage et de la parole juste était une des règles d’or dans leur communauté, à côté du savoir « donner-recevoir ».

    — Non mon cher père. J’ai juste trop hâte de les rencontrer. Tu t’imagines ? C’est bien la première fois que je les rencontre. La première fois que je leur parlerai directement. J’ai trop envie de les connaître mieux, dit Saunhia.

    — Pourquoi ? demanda Claréng perplexe.

    — Il y a un petit quelque chose qui m’intrigue chez eux. Je veux en savoir davantage sur ces êtres, découvrir ce qu’ils cachent au fond d’eux, répondit Saunhia.

    — Ah bon ? Je n’ai rien remarqué pour ma part. Peux-tu m’expliquer plus ? demanda son père avec une certaine curiosité.

    — Je ressens chez eux quelque chose de bien plus puissant qu’ils ne le font savoir et paraître. Quelque chose, un peu comme chez nous, cette étincelle qui vient de notre Créateur lui-même. Je ne comprends pas pourquoi ils la cachent. Et c’est là que je pense qu’ils pourront nous apprendre des choses, dit Saunhia.

    — Tu ne penses pas que ça serait plutôt à nous de leur apprendre des choses, s’ils la cachent ? répondit Claréng.

    — Hmmm… Non. S’ils la cachent, c’est qu’ils ont vécu des choses qu’on ne peut pas comprendre. Ils pourront du coup nous expliquer leur vécu, ainsi nous comprendrons la cause et, avec elle, les effets. Je pense que ça peut vraiment nous aider à évoluer davantage. Tout comme eux, bien sûr. Puisqu’on pourra, en effet, les aider à remonter et se montrer de nouveau sous leur vraie forme spirituelle, expliqua sa fille.

    — Donc, tu dis qu’ils ont baissé en vibrations à cause de quelque chose ?

    — C’est exact. D’ailleurs, je suis sûre qu’ils pourront remonter de nouveau. Puis, pourquoi ils sont si distants avec nous ? demanda Saunhia.

    — Tu les trouves distants toi ?

    — Oui.

    Son père la regarda un peu perplexe, mais n’eut pas le temps de trop réfléchir sur la question, on venait leur annoncer l’arrivée des trois humains.

    ***

    Saunhia et son père se trouvaient accompagnés de deux autres membres du Conseil Diplomatique et ils avaient en face d’eux les humains. Des gens simples, habillés avec des habits légers, leur permettant de supporter la chaleur de dehors. D’après leur posture, ils n’étaient pas très à l’aise devant les reptiliens souriants.

    — Peut-on savoir pourquoi on nous a appelés ici ? demanda un des humains. Un homme de 1,75 m de haut, brun, aux yeux verts, prénommé Lucian.

    — On a quelques petites choses à vous offrir. On pense que ça vous servira dans votre quotidien, répondit Claréng.

    Les trois hommes se regardèrent perplexes.

    — Et pourquoi voulez-vous nous donner ces choses ? demanda Lucian.

    — Bah oui, on n’a rien demandé nous. Vous cachez quoi derrière ce geste ? dit le deuxième humain, un homme d’une quarantaine d’années, aux cheveux blonds et yeux bleus, dont le nom était Peter.

    — Qu’est-ce que vous voulez en retour ? Vous attendez quoi de nous ? dit le troisième, un homme du même âge que le deuxième, mais aux cheveux gris et yeux marrons, qui, lui, s’appelait Valence.

    Les reptiliens ne comprenaient pas. Leur geste n’avait rien de méchant. Il venait de leur cœur, juste donner sans rien attendre en retour pour le plaisir de voir les autres avancer sur leur route. Ils regardèrent les humains incrédules, puis, Saunhia reprit la parole, après un moment de silence.

    — Mes chers amis, on n’attend rien de vous. On vous voit depuis un moment et on a pu observer que vous avez du mal avec vos actions quotidiennes. On pensait juste vous donner un coup de main pour que ça soit plus facile pour vous, pour avancer dans la vie. Pourquoi êtes-vous si distants et méfiants ?

    — On n’aime pas quand on nous propose des choses comme ça. La plupart du temps ça cache toujours quelque chose de pas sain, dit Lucian.

    — Ah… Pourtant on a toujours fait comme ça. C’est notre fonctionnement. Et personne n’attend rien en retour des autres. Pourquoi vous dites ça ? répondit Saunhia.

    — Ça n’a pas d’importance. Je pense qu’il ne faudrait pas faire confiance à tout le monde. Certains êtres dans cet univers ne sont pas ce qu’ils disent être. Je dis ça, vous faites comme vous voulez, répliqua l’homme.

    — Je ne comprends pas. Pourtant on est en contact avec beaucoup de monde de l’espace. Et

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