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Les 7 piliers de la Succès de Cadre Supérieur Comment devenir un leader, enthousiasmer vos collaborateurs et mener votre équipe au succès
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Livre électronique169 pages2 heures

Les 7 piliers de la Succès de Cadre Supérieur Comment devenir un leader, enthousiasmer vos collaborateurs et mener votre équipe au succès

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À propos de ce livre électronique

Le pouvoir - un mot que nous connaissons tous et qui nous permet d'imaginer ce qui se cache derrière ce terme. Le pouvoir - une grande partie de l'humanité le souhaite, mais tout le monde ne sait pas comment l'obtenir. Le pouvoir - il a sept piliers importants et peut avoir des effets positifs, mais aussi négatifs pour ceux qui ont le pouvoir et ceux qui n'en ont pas. Je souhaite vous transmettre des connaissances sur le pouvoir que vous ne trouverez nulle part ailleurs de manière aussi détaillée. Je vous montrerai également pourquoi presque personne ne sait vraiment gérer le pouvoir. Si vous souhaitez acquérir le pouvoir, vous ne pouvez pas passer à côté des sept piliers.

Grâce à ce livre, vous apprendrez ce qu'est le vrai pouvoir et ce qu'il signifie. Vous apprendrez que vous avez en vous un très grand potentiel pour exploiter pleinement le pouvoir. Grâce à des modèles théoriques si uniques qu'on pourrait les qualifier d'armes secrètes, vous apprendrez à vous évaluer et à évaluer votre environnement avec succès. En outre, ce livre peut vous aider à réfléchir sur vous-même à l'aide de nombreux exemples et exercices. Pour que vous puissiez en profiter pleinement dans la sphère privée comme dans la sphère professionnelle, vous découvrirez les alternatives d'action qui s'offrent à vous.

Les sept piliers ne sont jamais considérés individuellement, car ils forment un système qui s'appuie les uns sur les autres, se complète et se conditionne mutuellement. Il est donc important que vous vous laissiez guider par la structure du livre lorsque vous le lisez.

LangueFrançais
ÉditeurThomas Reus
Date de sortie22 janv. 2024
ISBN9798223297970
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    Aperçu du livre

    Les 7 piliers de la Succès de Cadre Supérieur Comment devenir un leader, enthousiasmer vos collaborateurs et mener votre équipe au succès - Thomas Reus

    Préface

    Le pouvoir - un mot que nous connaissons tous et qui nous permet d'imaginer ce qui se cache derrière ce terme. Le pouvoir - une grande partie de l'humanité le souhaite, mais tout le monde ne sait pas comment l'obtenir. Le pouvoir - il a sept piliers importants et peut avoir des effets positifs, mais aussi négatifs pour ceux qui ont le pouvoir et ceux qui n'en ont pas. Je souhaite vous transmettre des connaissances sur le pouvoir que vous ne trouverez nulle part ailleurs de manière aussi détaillée. Je vous montrerai également pourquoi presque personne ne sait vraiment gérer le pouvoir. Si vous souhaitez acquérir le pouvoir, vous ne pouvez pas passer à côté des sept piliers :

    1.  Stabilité → Les personnes qui veulent gagner sont toujours confrontées à une concurrence qu'il faut gérer ;

    2.  Passion → pour pouvoir réaliser des performances, il faut avoir envie de réaliser des performances ;

    3.  Maîtrise de soi → le métier ne devrait pas être seulement un métier, mais une vocation, car cela apporte du plaisir ;

    4.  Chers → Les gens sont une raison de se réjouir, ce qui signifie que vous devez vouloir créer quelque chose avec eux ;

    5.  Communication → quelqu'un qui veut avoir quelque chose à dire doit également être capable d'écouter les autres personnes ;

    6.  Savoir → celui qui veut réaliser quelque chose doit aussi savoir comment ;

    7.  Éthique → si l'on veut être au sommet, il faut s'imposer face aux autres qui tentent de manipuler.

    Comme vous le voyez, il n'est pas toujours facile d'obtenir le pouvoir et encore moins de le gérer. N'hésitez plus et commencez à acquérir les connaissances nécessaires sur le pouvoir. Je vous le garantis : vous vous rapprocherez ainsi considérablement de votre objectif !

    Vous pourrez le faire en lisant ce livre :

    Grâce à ce livre, vous apprendrez ce qu'est le vrai pouvoir et ce qu'il signifie. Vous apprendrez que vous avez en vous un très grand potentiel pour exploiter pleinement le pouvoir. Grâce à des modèles théoriques si uniques qu'ils pourraient être considérés comme des armes secrètes, vous apprendrez à vous évaluer vous-même et à évaluer votre environnement avec succès. En outre, ce livre peut vous aider à réfléchir sur vous-même à l'aide de nombreux exemples et exercices. Pour que vous puissiez en profiter pleinement dans la sphère privée comme dans la sphère professionnelle, vous découvrirez les alternatives d'action qui s'offrent à vous.

    Les sept piliers ne sont jamais considérés individuellement, car ils forment un système qui s'appuie les uns sur les autres, se complète et se conditionne mutuellement. Il est donc important que vous vous laissiez guider par la structure du livre lorsque vous le lisez.

    Chapitre 1 : Généralités

    Pouvoir - un mot, , que beaucoup de gens imaginent probablement comme suit : Quelqu'un est plus puissant, plus fort, plus intelligent que les autres et est donc le chef ou le décideur. Mais est-ce vraiment le cas ? Pour le savoir, examinons d'abord le terme.

    Définition : quand on parle de pouvoir, il s'agit de la capacité d'une personne à agir sur les autres de manière à ce qu'ils se soumettent et se comportent selon les désirs de celui qui détient le pouvoir. D'une certaine manière, nous retrouvons le pouvoir dans toutes les formes de notre vie en société. Le pouvoir crée des structures sociales de différentes manières, qui ont un potentiel d'influence personnelle, sociale, sociétale et structurelle. Mais il existe aussi des formes extrêmes de pouvoir. En ce sens, le pouvoir peut également être considéré comme une capacité à s'imposer. Dans ce cas, les objectifs sont définis de manière unilatérale, ce qui a pour conséquence que les revendications des personnes impliquées ne sont pas prises en compte. En bref, le pouvoir d'imposer oblige ceux qui n'ont pas de pouvoir à se soumettre à ceux qui en ont.

    La menace de sanctions est utilisée par celui qui détient le pouvoir pour obtenir que les autres se soumettent à lui. On peut également dire qu'ils sont forcés de suivre ce que le détenteur du pouvoir impose. Le détenteur du pouvoir ne fait pas de compromis ou n'entre pas en conflit avec ses semblables si ceux-ci présentent des intérêts contradictoires ou incompatibles - il n'en a pas besoin. Le pouvoir et l'influence doivent être clairement distingués ici, même si les transitions entre les deux sont floues. Les deux sont des champs sémantiques décrits comme suit : avoir du pouvoir sur quelqu'un ou quelque chose et pouvoir de faire. Si l'on considère le terme de pouvoir comme un concept social des sciences sociales, l'étendue de sa signification est plutôt controversée.

    Les rapports de force qui sont modérés décrivent une relation d'échange qui est multipartite. Une partie prend toujours la position de départ, tandis que l'autre prend la position de négociation. Cependant, cela est accepté par les deux parties. Cela peut s'expliquer par les possibilités d'influence disponibles. Il s'agit par exemple de : Récompense, connaissance supérieure ou favoritisme. L'autre partie ne s'oppose pas au pouvoir exercé, elle le tolère et s'y conforme.

    Voilà ce qu'il reste à dire sur le pouvoir :

    La capacité d'action physique et psychologique d'une personne, voire d'un groupe entier de personnes, est définie par l'étendue du pouvoir. L'utilité du pouvoir, dans un sens positif mais aussi négatif, dépend de la manière dont il s'exerce.

    Si le pouvoir a un effet négatif et que la personne qui détient le pouvoir l'utilise délibérément alors que certaines conditions sont réunies pour faire autrement, on parle d'abus de pouvoir.

    Il est toujours nécessaire d'examiner de près le pouvoir d'action et ses conditions, car même si la contrainte ou la violence sont utilisées, cela ne signifie pas qu'elles ont toujours un effet négatif.

    Dans une société démocratique, la manière dont l'utilisation de la violence physique est réglementée est toujours déléguée par l'État. C'est donc à lui qu'il revient d'identifier les fonctions nécessaires à la société. Le pouvoir, qui existe dans les systèmes démocratiques, est toujours régi par une constitution et de nombreuses lois.

    L'étymologie (science de l'origine et de l'histoire des mots et de leurs significations)

    Si l'on considère l'origine et la signification du mot pouvoir, on peut le rattacher à deux racines indo-européennes qui se ressemblent : mag- (former, façonner, pétrir, presser). Ce sens indique qu'un outil est/a été utilisé ou, deuxièmement, magh- (faire - être capable, pouvoir, pouvoir). On trouve ici une référence au lien avec le domaine social en ce qui concerne la disposition des autres et de soi-même. De même, on reconnaît ici l'orientation vers l'avenir.

    Si l'on observe l'usage actuel du langage, on peut constater qu'il y a toujours une réification et une personnalisation. C'est la raison pour laquelle, dans notre société, le pouvoir doit être considéré, ne serait-ce que par principe, comme une notion relationnelle, c'est-à-dire une notion qui va de pair avec une relation à quelque chose.

    En ancien haut-allemand, en ancien slave et en gothique, le mot pouvoir signifie capacité, aptitude, fortune. Il est apparenté au mot faire. Il nous indique donc la potentialité. Le mot latin potentia (puissance) vient du mot posse. Ce dernier peut être traduit par pouvoir.

    En général, nous associons toujours le mot pouvoir au champ lexical de la domination. Les mots suivants le suggèrent : détenteur du pouvoir, prise du pouvoir, changement de pouvoir ou appareil de pouvoir. Mais ils nous montrent aussi que les détenteurs du pouvoir peuvent aussi manquer de légitimité politique.

    Conclusion : le mot pouvoir désigne quelque chose de factuel. L'autorité et la domination reposent sur des bases institutionnelles légitimes.

    Chapitre 2 : L'histoire de la notion de pouvoir

    L'exercice politique ou légitime du pouvoir n'est qu'une des manifestations du pouvoir. Pourtant, il est au centre de la théorisation et de la pensée.

    Le premier à avoir émergé est la sophistique grecque (un groupe d'hommes de la Grèce antique qui possédaient des connaissances particulières dans le domaine théorique ou pratique). Ils avaient une vision philosophique du problème du pouvoir.

    Le Dialogue de Melier (célèbre épisode de la Guerre du Péloponnèse) de Thucydide (historien grec) traite de la question du pouvoir interne du droit.

    Les émissaires de l'île de Mélos invoquent l'utilité du juste. Les Athéniens, en revanche, défendent la position de puissance pure d'une grande puissance. En conséquence, il ne peut y avoir de droits qu'en cas d'égalité des forces. L'exercice du pouvoir est donc fondé sur la nature de l'homme. Considérons la confrontation de Platon avec la position sophistique : ici, ceux qui semblent être puissants semblent plutôt impuissants. Leurs actions ne sont pas guidées par ce qui semble être le mieux. En d'autres termes, ils ne feraient pas ce qu'ils voudraient s'ils le savaient mieux.

    Aristote s'est également penché sur le problème du pouvoir. Il s'agissait pour lui de théoriser la domination et la servitude qui y est associée. La domination d'hommes libres sur des hommes également libres est la domination politique, par opposition au despotisme (forme de domination avec un souverain ou un chef) : Dans ce cas, les gouvernants et les gouvernés se succèdent.

    En latin, on distingue deux formes de pouvoir :

    1) le pouvoir officiel (potestas = terme au contenu d'abord indéterminé pour toute possibilité effective de contrôle ou de décision) et

    2) réputation (auctoritas = notion de valeur romaine, jouait un rôle important dans la politique de la République romaine).

    Augustin s'y réfère précisément. Il part du principe qu'il n'est pas possible à un homme de dominer les autres hommes, mais de dominer leur manque de raison.

    Thomas d'Aquin (dominicain italien, l'un des philosophes les plus influents, le plus important théologien catholique) limite cet exercice du pouvoir à des formes raisonnables de domination sur les hommes libres.

    Selon Guillaume d'Auvergne (philosophe et théologien scolastique), la pontentia n'est qu'une forme de potestas. Elle n'est efficace que si les subordonnés font preuve d'obéissance.

    Guillaume d'Ockham (célèbre philosophe, théologien et écrivain politique médiéval) se concentre sur le pouvoir d'appropriation des hommes sur la nature sans maître. Dans ce cas, les hommes dominent ensemble la nature. Il estime également que la propriété est une source de pouvoir importante en matière de politique. En outre, elles constituent également une base matérielle pour le pouvoir de coercition politique. Celui-ci est indépendant du pouvoir divin, mais nécessite l'accord des dominés.

    Que tout homme soit soumis à l'autorité qui a autorité sur lui. Car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu ; mais là où il y a autorité, elle est décrétée par Dieu. - Roemer 13, Bible de Luther 1545

    Marsile de Padoue s'aventure encore plus loin en ce qui concerne l'exercice du pouvoir spirituel. Il affirme que celui-ci est justement une contradiction en soi. Pour maintenir la paix, il serait essentiel qu'il n'y ait qu'un seul pouvoir. Et c'est précisément ce pouvoir qui devrait être doté d'un pouvoir de coercition. Bien sûr, à ses yeux, le pouvoir découle de Dieu, mais pour l'imposer réellement, il devrait y avoir des instruments de coercition. C'est dans une monarchie élective que l'on trouve le plus facilement de tels moyens.

    Machiavel a compris que le pouvoir, en ce qui concerne ses effets, est un fait pratique et non une légitimation comme l'autorité. Celle-ci ne peut être optimisée que par la technologie.

    Jean Bodin estime que les souverains doivent être renforcés par l'acquisition de la légitimité. Mais cela ne veut pas dire qu'un souverain doit être lié par des lois pour pouvoir agir.

    La théorie de

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