Je récapitule : se donner la permission, c’est arrêter d’attendre que tout vienne de la part des autres et c’est accepter pleinement de prendre nos responsabilités.
On n’a pas besoin de se flageller en se disant qu’on ne sert à rien puisqu’on arrive meme pas à faire çi ou ça.
On a juste besoin de changer de prisme.
Se rendre compte de notre puissance et du fait de ne pas avoir besoin, surtout pas avoir besoin , qu’on nous mette des opportunités sous le nez.

On a besoin de les créer
On a besoin de se faire suffisamment confiance pour que les autres, à leur tout, puisse nous faire confiance
On a besoin de se connaitre pour savoir ce qu’on a profondément envie de créer
Je ne dis pas que c’est facile, loin de là, mais qu’est ce que c’est puissant quand on y arrive!

Personne ne nous donnera la permission de faire ce qu’on veut, et c’est tant mieux car nous vivons pour nous avant de vivre pour les autres

Personne ne te donnera la permission
Absolument personne
Tu as en main toutes les permissions dont tu as besoin
Tu n’s plus un enfant de 5 ans qui attend la permission de ses parents pour s’acheter un bonbon
Tu es une personne puissante qui a des idées et des projets à développer et qui n’a besoin d’aucune validation ni permission par ses proches ou par ses pairs.
Si tu as du mal à te donner la permission d’agir, la permission de développer ton business, la permission de créer ce que tu as envie… demande toi quel intérêt tu éprouves à rester dans cette position de victime. En quoi cela te nourrit il de ne pas faire ce que tu as envie de faire? En quoi cela te fait il grandir de t’en empêcher, de te restreindre, de penser et vivre petit quand tu as en toi tout ce qu’il faut pur penser et vivre grand!

Tu peux faire cet exercice : sur une feuille, trace un trait au milieu, dans la colonne de gauche tu écris des moments où tu as laissé ton pouvoir, ta permission ou tes décisions dans les mains des autres, et dans la colonne de droite tu écris ce que tu aurais pû mettre en place et ce qui à ce moment là t’en empêchait. Et pardonne toi.
Par exemple : à telle époque je n’avais pas assez de clients dans la colonne de gauche, puis à droite : je peux revoir ma stratégie d’acquisition de clients, est ce que je prends vraiment plaisir à developper mon business, qu’est ce qui m’empêche de contacter plus de clients potentiels, quelles sont les manières de démarcher qui me correspondent.
C’est un exercice inconfortable et à la fois extrêmement puissant et libérateur.
On s’accepte tel qu’on est et on se pardonne d’avoir mis en place des mécanismes à un moment donné qui ne nous conviennent plus en ce moment.
Ce qui est passé est fini, ce qui arrivera n’existe pas encore.
Tu as le permission de faire tout ce que tu veux, tout ce qui est bon pour toi sans être mauvais pour les autres, alors écoute toi!

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