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Les Français ont droit au bonheur - Tome 1
Les Français ont droit au bonheur - Tome 1
Les Français ont droit au bonheur - Tome 1
Livre électronique460 pages3 heures

Les Français ont droit au bonheur - Tome 1

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À propos de ce livre électronique

L’objectif de ces différents ouvrages est de susciter la réflexion, d’encourager les lecteurs à prendre position, à approuver ou désapprouver en étant informés. Depuis trop longtemps, de nombreux élus, au lieu d’agir en tant que représentants des citoyens, prennent des décisions unilatérales, axées principalement sur leurs propres carrières, sans considération pour l’honneur et la gloire.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Après avoir constaté que les analyses étaient abondantes mais les solutions sérieuses absentes de la part des élus, Michel Menneson a ressenti le besoin de proposer une base de discussion pour parvenir à débloquer la situation.
LangueFrançais
Date de sortie19 janv. 2024
ISBN9791042204587
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    Aperçu du livre

    Les Français ont droit au bonheur - Tome 1 - Michel Menneson

    Introduction

    Tout d’abord, il faut savoir tenir compte de certaines réalités que tous les présidents ont oubliées depuis longtemps. La liste est longue et on ne peut résumer cela en quelques lignes. Toutefois, on peut dire qu’aucune remise en question de l’organisation du pays n’a été opérée : on ajoute des lois aux lois ce qui fait que tout est devenu illisible, on empile des administrations plus coûteuses qu’efficaces, on gère de manière déficitaire, on accepte que n’importe qui s’installe n’importe comment et n’importe où. Bref depuis des années, la France navigue sur la tête. Face à cela, les analystes, tous emprunts de bonnes intentions, disent la même chose sans proposer quoi que ce soit d’innovant et en accord avec notre histoire pour fonder l’avenir. Quant aux élus, plus intéressés à la conservation de sièges qu’à l’intérêt général, ils ne font rien ou n’importe quoi.

    On pourra toujours dire que c’est la faute à l’héritage, mais alors pourquoi l’acceptent-ils ? Bien sûr la place est confortable et suivre les ordres est bien plus facile ; pas à réfléchir, le chef a dit donc on obéit. On peut se demander à quoi servent tous ces députés si souvent absents sans raison et aussi ce cumul de mandats qui ne permet plus à qui que ce soit de travailler correctement. Évidemment on peut comprendre qu’il soit confortable de s’installer dans la durée sur un siège et de palabrer sans proposer quoi que ce soit de sérieux. Il faut dire que le système électoral instauré en France ne permet pas d’être proche des électeurs, donc deux partis s’alternent en ne changeant que des virgules à des codes devenus illisibles et inapplicables.

    Au niveau économique c’est encore pire, depuis 40 ans des pans entiers de notre tissu industriel ont disparu au profit de pays lointains sans que personne ne s’en inquiète. Vaguement, de manière empirique, on crée de véritables usines à gaz, style CICE ou autres pactes, plus inutiles les uns que les autres. Il faut dire qu’en France, depuis la république, on s’amuse au jeu du « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ». Le comble dans tout cela est de constater que les Français ne votent plus et qu’on leur dit de ne pas voter. La France est devenue au fur et à mesure un pays si petit que même le Luxembourg est plus entendu. On veut intervenir militairement, mais on réduit le budget de la défense d’année en année, et le président actuel est l’aboutissement de la déliquescence du pays, un mouton au pays des loups.

    Le ou la futur (e) président (e) devra proposer une alternative claire dans tous les domaines politiques, administratifs, fiscaux, juridiques, sociaux et militaires. En cela cette notice a pour but d’ouvrir les yeux aux candidats des attentes des Français. On ne peut, ni ne veut, voter pour un gus flou qui ne permet pas d’avoir confiance en l’avenir. La France est un grand et beau pays, il n’est plus admissible de le voir défiguré par des politiciens professionnels n’ayant aucune ambition que personnelle, sans aucune écoute des citoyens.

    Mon propos sera donc d’éclairer les candidats sur ce qu’il serait bon de mettre en place, ainsi qu’un timing réaliste qui permette le plus rapidement possible aux Français de vivre heureux dans un pays enfin libéré de certaines contraintes.

    Priorité à faire voter par référendum, immédiatement après l’élection présidentielle.

    Faire approuver par référendum le projet de révision de la constitution. Pour ce faire, le président de la République nommera un Premier ministre, qui lui soumettra un gouvernement restreint chargé d’organiser le référendum et d’expédier les affaires courantes. Ce référendum devra avoir lieu dans le mois qui suit la promulgation de l’élection du président de la République.

    Suite à l’approbation de la révision constitutionnelle. Le président de la République convoquera les électeurs le même jour aux élections de l’Assemblée nationale et du Sénat. Cette convocation devra avoir lieu dans les trois mois qui suivent la promulgation de la révision constitutionnelle.

    3 mois après la promulgation de la révision constitutionnelle élection du nouveau Parlement

    Nouvelle Assemblée nationale

    Nouveau sénat

    Nouveau gouvernement

    Suppression des régions et transfert vers les départements qui pourront s’unir à d’autres selon les points qu’ils estimeront utiles.

    Par souci de ne pas mettre les élus dans une situation délicate, ceux dont le mandat est encore à courir percevront une indemnité de fin de mandat dans le cas où ils ne seraient pas élus à une autre fonction élective. Cette indemnité sera basée sur ce qu’aurait perçu, comme rémunération hors frais forfaitaires, l’élu sur la période. L’élu pourra demander soit le versement sous forme de rente mensuelle soit sous forme de capital (s’il crée ou reprend une entreprise sur le territoire national). Dans le cas où l’élu aura perçu un capital, il ne pourra se présenter à aucune élection locale ou nationale pendant une durée de 10 ans.

    Conseils départementaux

    Scrutin universel à la proportionnelle de liste

    Conseils municipaux

    Les communautés de communes existantes devront appeler les électeurs des communes associées pour décider de leur fusion ou de leur séparation ainsi que du choix de la commune devenant le siège définitif de cette nouvelle commune élargie. Si d’autres communes n’étant pas encore associées signifient leur souhait de s’associer, il sera possible de demander le rattachement soit à une autre commune soit à une communauté de communes déjà existante. La ratification de la fusion ne pourra être validée que par voie référendaire.

    Modernisation de la constitution

    Si en 1958 la constitution mise en place permit à la France de se redresser, il s’avère qu’au fil du temps elle ne correspond plus du tout à un système démocratique. En conséquence il faut revenir aux fondamentaux et rendre le pouvoir au peuple. Quand 50 % des électeurs ne se déplacent plus, on est en droit de se poser la question suivante : les Français ont-ils confiance dans la politique ? Pourtant la politique est souvent le centre de discussion des Français donc ils s’intéressent à la politique, mais n’ont plus du tout confiance dans leurs élus. Pourquoi ? Sans doute, le fait d’être obligé de se déplacer deux fois pour une seule élection ou encore le fait d’alliances qui ne leur plaisent pas ou encore le fait du non-respect de leur vote enfin toutes ses affaires sordides qui touchent les partis habituellement au pouvoir. Il est donc bien des raisons à la désaffection des Français.

    ON PEUT, COMME LES RÉPUBLICAINS ET LE PS, NE PAS

    EN TENIR COMPTE. MAIS COMBIEN DE TEMPS ENCORE

    LES FRANÇAIS VONT-ILS SUPPORTER D’ÊTRE

    MÉPRISÉS ?

    Il n’est pas nécessaire de faire une 6° république, il faut simplement revenir aux bases, et toiletter un peu pour que cela redevienne compréhensible et adapté au monde dans lequel nous vivons. Ne serait-ce que pour respecter la constitution, il faudra aussi faire un référendum sur le fait de rester ou non dans l’UE, et dans une monnaie qui ne nous permet plus de nous adapter.

    Un pays n’est rien s’il n’a ni frontières, ni monnaie, ni industrie, ni indépendance. En cela, si le marché commun était une bonne idée, ce qu’est devenue l’UE ne fonctionne pas et ne pourra fonctionner en l’état. L’UK s’apprête à quitter l’UE, et a gardé sa monnaie. La France doit retrouver sa place, et dans ce cadre ce n’est plus qu’un sous département sans voix et sans avenir. Le comble de tout fut de restaurer les duchés au lieu d’améliorer les départements. Un Premier ministre totalement ignorant de notre histoire veut encore faire pire, assembler des duchés qui ne se sont jamais entendus.

    La France n’a aucune envie d’être tronçonnée par des apprentis sorciers, et elle mérite le respect, ce dont aucun socialiste n’a été capable depuis le début du 20° siècle. Il est donc temps pour les Français de se lever et d’affirmer : « Nous voulons vivre libres chez nous ». À force de se décharger de tout sur l’UE, les politiciens ont perdu toute légitimité et toute utilité. À quoi cela sert-il de voter pour des députés qui ne peuvent rien faire ? À quoi cela sert-il d’avoir un gouvernement qui n’a plus la main sur rien ? En cela le futur président doit être clair et rendre aux Français la maîtrise de leur destin. Contrairement aux prévisions des prophètes de mauvais augure, il n’y a aucun risque à redevenir indépendant, bien au contraire.

    Certains annoncent l’apocalypse en cas d’indépendance, comme si, avant 2002, la France n’existait pas, ne commerçait pas, et était absente de la scène internationale. C’est tout l’inverse qui s’est produit. En remettant des douanes, nous éviterons bien des problèmes et recréerons des emplois qui manquent au pays. Occupons-nous de tous les Français au lieu de donner des leçons aux autres. La France peut et doit redevenir libre, sans cela ce sera de pis en pis.

    IL SERA ÉGALEMENT INSCRIT DANS LA CONSTITUTION QU’AUCUN EXÉCUTIF NE POURRA PRÉSENTER UN BUDGET PRÉVISIONNEL DÉFICITAIRE.

    Réforme judiciaire

    Comme notre système judiciaire ne permet plus aux juges de faire correctement leur travail, il semble indispensable de revenir à la base, et de mettre en place un nouveau Code civil et une nouvelle organisation. Mettre plus d’un an entre le dépôt d’un dossier d’instruction et le jugement réputé définitif du siège n’est pas sérieux, tout doit aller beaucoup plus vite.

    Un nouveau Code civil devra être voté et promulgué dans les six mois qui suivent l’élection des deux chambres. Dans la suite il faudra réformer en profondeur tous les codes pour qu’ils deviennent applicables. Bien sûr certains trouveront cela inutile, plus soucieux de leur intérêt particulier que de l’intérêt général, mais nous ne pouvons plus tergiverser. Ces codes seront donc inscrits dans la constitution pour ne plus être modifiables selon le bon vouloir de quelques-uns.

    Il va de soi que la fonction de juge d’instruction, sans doute la plus inhumaine qui soit, sera supprimée. Ainsi le procureur instruira à charge et l’avocat à décharge ce n’est que comme cela que nous pourrons avoir une justice digne de ce nom.

    En ce qui concerne les tribunaux de commerce, le jugement devra être rendu dans les 3 mois suivant le dépôt de dossier, et ce quel que soit le cas. Il n’est pas admissible que certaines liquidations judiciaires mettent des années. Soit une affaire est viable, soit elle ne l’est pas. Afin de ne pas pénaliser les créanciers dans le cas de faillites non frauduleuses, le mandataire sera le seul recours après le jugement de clôture. Ainsi la totalité des recouvrements sera diligentée par la justice et les personnes physiques ne seront plus mises en danger par les lenteurs de procédures.

    Dans l’ordre des priorités, la suppression de la fonction de juge d’instruction sera à effet immédiat. L’instruction à charge sera confiée au procureur et l’avocat pourra commettre une enquête à décharge.

    Enfin il n’y aura plus de tribunaux administratifs qui sont une négation des droits des citoyens d’être justement défendus. Il ne sera plus loisible non plus aux forces de l’ordre d’infliger des peines qu’elles soient pécuniaires ou autres.

    Pour retrouver une justice saine, il convient de mettre en place de nouveaux codes et en premier lieu le Code civil qui est la base de tout. Pour sécuriser les personnes physiques, un délai raisonnable sera instauré pour que la justice ne soit plus injuste et inefficace.

    Départementalisation de l’enseignement

    L’école publique ne fonctionne plus depuis des années pour bien des raisons. La première sans doute est le fait d’une gestion empirique qui ne permet pas la réactivité nécessaire : en l’absence d’un enseignant, il faut toute une batterie administrative pour qu’enfin un remplaçant arrive le jour où le titulaire revient et encore ce n’est pas le pire. Pour ne pas brimer un enfant, on accepte que des enseignants soient poignardés sans qu’aucune sanction ne soit prise envers les criminels. Afin aussi de ne pas voir trop de délinquants, on transforme certains collèges en garderies. Le désordre s’est installé, mais les syndicats d’enseignants sont grandement responsables.

    Comme pour beaucoup d’autres choses, ce qui était adapté hier ne l’est plus aujourd’hui. Si le principe de la gratuité (sic il y en a qui payent quelque part) peut être considéré comme étant acquis, il n’emporte nullement la gestion par l’état des établissements et du personnel. Donc il serait judicieux de mettre en place le chèque éducation et de transformer les établissements scolaires en SA ou SAS ou SARL ou SCOP ou SEM Cela permet une gestion plus efficace et plus rapide.

    Les cartes scolaires sont tout aussi ridicules c’est le rôle des parents de savoir ce qui est le plus pratique et le plus adapté pas à un ministre qui n’y connaît rien. Ainsi l’école la plus proche du domicile n’est pas fatalement la plus pratique ni celle qui correspond le mieux à la situation de l’enfant eut égard à son environnement tant familial que sociologique.

    En l’occurrence, il semble aussi logique qu’un établissement ne soit pas tenu de recevoir des enfants violents. Chacun son rôle, un enfant violent n’a rien à faire dans un établissement scolaire classique. Je me souviens d’un temps pas si loin où le respect des maîtres était la règle et où les sanctions étaient justes. Loin de moi l’idée de revenir en arrière, mais au contraire de faire en sorte que chaque personne garde sa place et son rang. Un enseignant n’est pas là pour être le copain, mais pour instruire et un élève pour apprendre non pour faire le pitre.

    Il ne faut pas oublier que l’instruction a pour but de faire d’un enfant un adulte responsable. En cela il est nécessaire de s’assurer régulièrement de l’acquisition des connaissances requises, on ne doit plus laisser un élève passer dans la classe supérieure s’il n’a pas le niveau. Il semble donc judicieux de restaurer le certificat d’études pour le passage en collèges et le brevet des collèges pour pouvoir entrer au Lycée ou en formation professionnelle.

    En ce qui concerne les enseignants, ils ne seront plus fonctionnaires, mais salariés du secteur privé, et pourront donc négocier leurs rémunérations et postuler où bon leur semble. Aucun établissement ne pourra demander plus que le chèque éducation, mais pourra facturer des prestations particulières facultatives qui ne sauraient en aucun cas être obligatoires. Tout établissement sera tenu de préparer la formation des élèves en vue de l’obtention du diplôme d’état dont le cahier des charges sera clairement établi par le ministre de la Culture.

    En résumé le ministre de la Culture sera en charge des diplômes et les établissements de l’organisation interne pour préparer les élèves.

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