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La polka des imbéciles: Une certaine flatulence du monde
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Livre électronique285 pages3 heures

La polka des imbéciles: Une certaine flatulence du monde

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À propos de ce livre électronique

Le présent ouvrage est une exploration de l’histoire à travers les récits. Un véritable condensé qui milite en faveur d'une coexistence harmonieuse avec ses règles, malgré ceux qui feignent d'ignorer la réalité. Vous y découvrirez le thème de la femme dans la société, abordé pour mettre en lumière le rôle important de nos compagnes, tout en rectifiant les préjugés du passé.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Après avoir longtemps assisté impuissant aux erreurs manifestes des dirigeants de ce monde, Auguste Parisse a décidé de passer à l’action en écrivant "La Polka des imbéciles", car, selon lui, ces hommes de la politique ont le plus souvent agi en suivant une vision courte et des intérêts égoïstes.
LangueFrançais
Date de sortie3 janv. 2024
ISBN9791042206147
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    Aperçu du livre

    La polka des imbéciles - Auguste Parisse

    À propos… avec l’auteur

    Entre farces et espoirs…

    Sans fiction ni masque, un concentré de politique !

    Spectateur attentif de notre société d’après seconde guerre mondiale, toute ma vie s’est concentrée au service du bien commun, celui qui régit notre développement durable. D’abord en entreprise du BTP, ce sera ensuite en collectivité que ma carrière active atteindra son apogée. Diplômé d’expertise en constructions, puis Directeur de services techniques dans une collectivité, j’ai ensuite été attaché comme Commissaire-Enquêteur près du tribunal administratif pour les questions liées au code de l’environnement. Ce sont ces dernières fonctions qui m’ont permis de toucher du doigt les attelages souvent hétéroclites entre les politiques publiques et les élus locaux, parfois dépassés au regard des tâches qui leur sont impliquées par nature.

    Notre objectif, à mes amis et moi, ce serait de redresser une barre largement faussée par les coups de chaud répétitifs lancés avec démesure, depuis 1945. Pour cela, nous avons imaginé ces grands coups de pied dans les fourmilières « sociétaux-politiques » afin d’en expurger toutes les négativités ambiantes, porteuses de plus en plus de déceptions industrielles, individuelles et a fortiori collectives, que la crise Covid nous a permis de mettre au grand jour. Gouverner c’est prévoir, dit-on, mais quand vient le moment du concret et de sa mise en place, tout se complique. Nos cerveaux sont mis à rude épreuve, nos connaissances et nos facultés adaptatives aussi, ce qui me permet de dire que la faculté à diriger ne s’invente jamais. Les femmes et hommes politiques sont toujours intervenus avec un point de retard sur les besoins citoyens, quitte à rétropédaler et s’engager par la suite sur une route différente. À titre d’illustration, parodiant le « Tour de France » de mon cœur, à Sainte Marie de Campan, on prend la route du Tourmalet et non pas celle du Galibier, au risque de galvauder toute la campagne de France sans endosser la fameuse « toison d’or » chère à notre ami Henri Desgranges.

    Les changements de cap ne seraient que l’apanage des faibles, cela ne peut être contesté et je fais partie de ceux qui pensent ainsi. Pourquoi vouloir se transfigurer en personnages de fiction ? Pourquoi chercher à racler les fonds marins déjà hyper rabotés ? Pourquoi jouer les « Tintin – objectif lune » ? Pourquoi nier les évidences, alors que financièrement nous sommes devenus des « exsangues chroniques » au point de mettre nos acquis sociaux sur un « Radeau de la Méduse » en mode 21e siècle ? Cette lourde question, je me la suis posée comme vous, des centaines de fois, et je suis arrivé sur cette citation de Charles Bukowski, que vous pouvez consulter en début de page. Il s’agit d’un constat et je crois, plus que jamais, que nous devrons phosphorer longuement sur celui-ci.

    Certes, en 70 ans, le monde a bougé, les attentes de 1945 ne sont plus celles rencontrées en 2022. Toute notre société est à rebâtir, une nouvelle fois. Non seulement, nous devons l’adapter sur les essentiels oubliés, volontairement ou non, sur le plan écologique bien entendu, mais aussi dans le cadre de l’organisation sociétale dans son entièreté. Même les contre-pouvoirs ne jouent plus le rôle que nous leur avions accordé ; ils ont, bien souvent, tenté de s’approprier des fonctions régaliennes alors que cela est naturellement du domaine de l’État. En fait, une démocratie moins élitiste est à inventer ; celle qui lui succédera devra abandonner tous les subjectifs de la coïncidence.

    Le risque aurait dû nous alerter, car en 70 ans, les « brasiers » n’ont pas manqué et se sont même développés dans une proportion outrancière. D’abord il y eut la chute inexorable de la IVe République qui avait installé, dès 1945, de fausses composantes politiques, souvent mal bâties ou hétéroclites ; ensuite, en 1958, après moult gouvernements incapables de juguler leurs propres politiques intérieures, internationales et l’organisation sociétale de cette nation fonctionnant à vau-l’eau, sans cadre précis et au surplus, incapable de gérer une Guerre d’Algérie qui nous a tous fracturé dans nos quotidiens personnels.

    Ensuite, le retour au pouvoir du Général de Gaulle, en 1958, consécutivement à des fouillis politiciens qui se sont confondus en « faillite » de pouvoir comme jamais notre pays n’avait rencontré auparavant. Un pays sans directive et sans vrai pouvoir est un pays paria, qui n’existe pas, mais qui est dirigé par des « mollusques » de fonds marins invisibles. Les vieux démons sont ressortis des « gangs des tractions avant » de l’après-guerre. La signature des Accords d’Évian en 1962 a provoqué des relents macabres chez certains Français se croyant au-dessus de tous les citoyens. L’OAS est née du pétainisme des années de guerre, et a provoqué une immense et très lourde chute dans notre société qui, pourtant, semblait se redonner de l’air et de la vigueur depuis le début de la Vème République.

    Patatras, tout était à refaire… au moins en partie. La suite est de moins en moins limpide. Les batailles stériles des partis ont souvent préconisé des « révolutions permanentes » où Robespierre semble être encore parmi nous et qui ont, avec le recul historique, provoqué d’immenses fractures où se croisent encore des émulations tragiques nous interdisant un « vivre ensemble durable ». Les chocs pétroliers des années 1970 ont poursuivi notre déclin. À compter de cette période, peu reluisante, tout a dérivé, les énergies (déjà) basées sur la « goutte d’or du pétrole », les salaires, les prix de revient très élevés et des gouvernants incapables de juguler toutes ces inflations succulentes qui ont abouti au départ de pans entiers de notre industrie de base vers des cieux non plus cléments, mais pour le coup, moins coûteux pour les industriels. Le cercle non vertueux de l’économie politique n’a eu de cesse de s’agrandir, des budgets négatifs à tous les niveaux, à commencer par l’État, déjà mauvais patron, devenu très mauvais gestionnaire et nous avons obtenu la Légion d’Horreur de l’économie. C’est cette vérité que nous feignons d’entrevoir ! Pourtant, a contrario de certaines castes, l’Europe, souvent accusée de tous les maux « bidon », et par de là la monnaie unique euro, nous a permis de traverser les cyclones que sans cela nous serions devenus des simples portions aux yeux de ce monde en folie.

    Depuis une bonne vingtaine d’années, la politique est dans le box des accusés. Oui, pourquoi pas ? Mais cela suffit-il à satisfaire notre cortex encombré de malveillances ? Je ne le crois pas. Cependant, ce à quoi je suis favorable, ce serait à proposer une forme nouvelle de partenariat avec les citoyens qui pourrait aider à un nouveau Code de bonne conduite des institutions. Pour cela, avant d’entrer dans la Maison commune, un certain nombre de préceptes doivent rester en dehors du paillasson d’entrée, lequel n’a jamais vu l’aspirateur depuis des décennies.

    Après une paire d’années Covid, nous semblons nous éveiller de nos somnolences répétitives durables. En cette année 2022, nous avons eu cette élection présidentielle, dont les thèmes qui auraient dû nous rapprocher, n’ont eu de cesse de nous séparer de notre voisine et de notre voisin, mais aussi, plus grave encore, des réalités du terrain économique. Si on inverse cette maxime, tout part en sucette.  Le résultat final est que nous avons obtenu une nouvelle Assemblée où règnent plus les sacs de billes dans une cour de récréation que dans un salon où des femmes et des hommes bien posés pourraient échafauder des gouvernances idéales pour chacune des composantes de la société dérivante. Pourtant, la guerre en Ukraine aurait dû nous interpeller, car celle-ci est désormais à nos portes, avec quelque 6000 têtes nucléaires dans la besace du chasseur poutinien. Avec un arsenal pareil, il est en mesure de remettre cette « Polka » au goût du jour entre l’Atlantique et l’Oural.

    Sommes-nous des humains, dotés de cerveaux équilibrés ou des créatures « humanoïdes » incapables de comprendre ce qui se joue à nos portes, et surtout pourquoi cette sonate macabre se présente dans nos foyers tranquilles ? Nos cortex sont imprégnés d’un systématisme plutôt délirant et la totalité de nos corps deviennent des proies faciles où hélas, nos propres intérêts personnels seront dépassés. Si le combat pour la planète se justifie pleinement, nous ne devrons jamais écarter de notre esprit qu’il existe des « Jedi » destructeurs qu’il convient d’éradiquer au plus tôt, dès leur apparition. C’est la loi pandémique qui s’appliquera désormais.

    Je crois pouvoir affirmer que le français, s’il aime la danse, n’apprécie pas pour autant de se voir classé au rang des imbéciles. Ce qui est juste et justifié !

    Bonne lecture à vous !

    C’est l’humanité qui a perdu l’homme. Dire que cet idiot-là aurait pu être le plus heureux des animaux s’il avait su se tenir tranquille. Mais non… il a inventé la civilisation.

    Alphonse Allais

    Pourquoi la Polka ?

    Le thème de ce live pourrait s’identifier à une danse. La Polka, ayant son origine en Europe centrale, est une danse très active, très physique, à quatre pas dont le dernier est un pas sauté. Dans cette danse, le côté furtif n’existe pas, tout est ouvert, c’est une invitation à la réflexion qui permet de choisir ses partenaires et de les transcender vers la joie et le bonheur. Dans ce livre, vous retrouverez toutes les assimilations humaines de la Polka, exception faite de celle dérivée au profit d’imbéciles qui n’ont rien compris et qui, a fortiori, n’auraient pas leur place ici.

    Avertissement

    Ce livre est écrit par un non-initié en termes politiques usités dans les couloirs ministériels. Son contenu est volontairement rédigé en formulations « soft » afin que le plus grand nombre puisse le lire et le comprendre facilement. Autre point majeur concernant cet ouvrage qui vous est proposé ; il a été pensé et écrit par des citoyens « normaux » qui en ont assez de voir leurs institutions bafouées et remise en question permanente dès qu’une turbulence de petit temps s’annonce à l’horizon. Le changement de génération ne saurait être une explication plausible, au contraire, il devrait inciter à des améliorations notoires de nos conditions de vie courante. Si cet esprit d’écrivain solidaire bat ses ailes au-dessus de nos têtes, il n’en reste pas moins que ce livre est à la fois un anti-dogme et un anti-lobby lesquels, en commun et au fil du temps, nous jouent les amniotes intouchables.

    Avant d’imaginer un sauvetage périlleux, il nous faut penser, imaginer et mettre en phase tout ce qui pourrait entraver ces changements souhaitables. Abandonnons toutes les formes de réflexions anciennes et dépassées pour la plupart, mais qui nous ont amenés dans ce couloir étroit d’une coercition cancéreuse. Dans cet ouvrage, j’évoque le « Radeau de la Méduse », ce tableau de Géricault représente tout ce dont nous devons éviter, le naufrage. En toute fin de ce livre, j’évoque aussi le grand Christophe Colomb, découvreur de terres lointaines. Alors, prenons cet exemple pour guider notre avenir. Ce sera ainsi que nous entrerons dans la zone d’évitage, bien connue des marins hauturiers.

    Auguste Parisse

    Écrivain engagé et solidaire

    Poignée de main contour

    Partie I

    Matière à réflexions

    I

    Un coup de gueule à la logique limpide

    Le sursaut démocratique

    Précédant cette tenue du Conseil National de la Refondation que tous les partis boudent ou presque, dont nous ne savons pas ce qu’il adviendra dans le futur, je reprendrai une expression que nous avons bien connue par le passé, « il est urgent d’attendre ». Voilà ce qui m’offusque le plus… dans cette société de la déviance, à bout de souffle, qui joue avec nos nerfs et notre avenir en nous rabâchant depuis des décennies des expressions sinon loufoques, mais combien inappropriées, histoire de nous faire patienter ou pire, nous faire avaler ces pilules amères que la classe politique de tous bords a eu le chic pour nous faire découvrir au fond d’un tas de foin bien dense et fumeux en abondance, cinquante ans durant.

    Ce livre, accessible à tous, est là pour démontrer que l’on se trompe complètement d’orientation à la fois sur le plan politique et économique. Depuis la fin « truquée » de la Seconde Guerre mondiale, en 1945, nous n’avons pas vécu, mais survécu. Moi enfant, issu de cette génération que l’on baptisa, à tort, de « baby boomer », n’en peux plus de voir combien tout a été dévié dans nos vies, à cause de ces fourmilières qui ne furent que des « couvains artificiels » destructeurs de toute logique sociétale.

    Une frange de la société, biberonnée aux sons des torrents viciés par ce bolchevisme même pas disparu, et qui tente encore de nous démontrer combien ce système inique était le meilleur pour la collectivité mondiale. Serions-nous devenus des miséreux épileptiques transcendés par de faux médecins, forcément incapables du moindre diagnostic, sauf le leur, et curieusement transmis par une génétique incompréhensible, issue d’un bois de chauffe allumé hors nos murs, sur des coteaux si peu mirifiques et souvent gelés. La pandémie Covid est l’exemple concret de cette « nouvelle peste », mais ne croyez surtout pas que nos travers négatifs seraient à mettre au fond des valises si peu diplomatiques. Si ces travers existent bien, nous le savons tous, il nous restera à découvrir la formule et inventer la « potion magique » d’oncle Panoramix. Bref, je m’amuse, mais je sais aussi que ces potions magiques, ou d’influences, sont devenues les reines du temps indomptable et que des centaines de partis politiques ont essayé de sortir de leurs fours mal chauffés. Le résultat est là, parti du dixième degré il y a quelques années, il est là, dans nos têtes, nos écrans de TV et de mobiles, au degré numéro un, juste avant la catapulte qui nous propulsera au fond du ravin de la vallée de la Mort. Oh, je vois déjà les récriminations moqueuses, mais je dois dire par avance que depuis plus de 30 ans, je me suis forgé un esprit péremptoire que rien ne modifiera, a fortiori les brames lugubres des cerfs en appel à leurs femelles, l’automne venu.

    Depuis mon adolescence, je n’entends que des interdits et des obligations. Nous savons ce qu’il en advient aujourd’hui, et si, par ces temps qui brament, nous tentions de réfléchir aux ordres du temps passé, sans nous laisser aller dans une valse à trois mille temps, plus nerveuse certes, mais combien nécessaire. Ce nouveau tempo permettra sans doute, comme un liquide sous centrifugeuse, de déceler les véritables outils qui permettront à la jeunesse de se battre avec équité contre tous les malins « politicards » arrivistes au possible.

    ATTENDEZ-VOUS à savoir… que l’intrigue du « nid de coucou » n’a plus de secret. Passons alors du rêve à la réalité. C’est le sens de cet ouvrage soumis à votre lecture assidue.

    II

    Un peu d’histoire… On peut tout se dire

    Le bien contre le mal, le bon ou le mauvais ; Caïn tua Abel pour d’obscures raisons de jalousie et d’influence. La genèse biblique, encore elle, n’a eu de cesse de nous polluer nos cerveaux vierges, c’est ainsi que nous sommes devenus individuellement des outils entre les mains de cette frange humaine moralement douteuse, mais prégnante, qui fera tout pour réduire à néant les autres ou leurs idées. Ce sont ces situations qui se perpétuent depuis ce crime entre deux frères qui, selon ce livre, orientera le monde vers une bipolarisation infecte et infectieuse. Il faut que nos sociétés modernes rencontrent les pandémies ou les crimes de sang odieux pour que nous ressentions cette fausse solidarité qui, une fois la crise passée, telle une marmotte en hiver, retournera dans ses lieux privilégiés, l’indifférence.

    Dans ces moments d’incompréhension générale, issus de nos éducations cafouilleuses, mal conduites, sans autorité ni confiance, où la vie de chacun de nos concitoyens ne vaut pas plus que le prix d’un hachoir acheté au marché noir par un crétin hébété. Une réflexion individuelle profonde s’impose quant aux changements de cap devenus urgemment indispensables pour atteindre notre disparate Graal, le VIVRE ENSEMBLE.

    En lisant cet ouvrage, vous comprendrez aisément que nous devrons, au risque de tous disparaître, que les préceptes religieux, d’où qu’ils viennent, ne peuvent plus jamais être entendus ou repris par notre République laïque, une et indivisible, exception faite dans les sphères réservées à cet effet. Cela s’adresse pour l’essentiel aux religions monothéistes sans distinction aucune ainsi qu’à leurs ramifications chez les chrétiens, les juifs, les musulmans ou les bouddhistes. À cela, nous devrons y adjoindre la totalité des associations inscrites dans leurs galaxies respectives qui, toutes fonctionnent dans un épais brouillard, au nom d’intérêts factuels très bien identifiés par les services de l’État, mais que le puissant droit péremptoire laxiste contourne aisément.

    La République française est créée depuis 230 ans, il ne saurait être question de remettre en cause l’ensemble de ces acquis majeurs, notamment ceux de l’école, aux 19° et 20° siècles. Ce sera la seule manière d’éviter de faire durer cet état d’esprit déformé du crime de Caïn sur son frère Abel d’autant que rien ne prouve que ce fait ait réellement existé, mais que l’on nous ressert avantageusement comme pour nous désigner coupables de situations que nous n’aurions jamais voulues ni inventées.

    Il nous faut résister à toutes les tentations contraires à l’institution de notre VIVRE ENSEMBLE indispensable, mais basé à partir du seul et unique principe qui vaille, la laïcité. Notre pays s’engage peu à peu vers une certaine « libanisation ». C’est un combat noble, très utile, car, ce sera strictement dans ce seul état d’esprit que nous y parviendrons. Il ne serait ni concevable ni acceptable qu’une frange de notre société puisse s’emparer des commandes d’un État qui ne sera jamais le sien. En ce cas, cela s’appellerait la « Dictature ». En ces temps devenus difficiles, il est bon de rappeler que la République laïque n’a pas vocation à interdire de penser ou de pratiquer sa religion, mais en aucun cas, une religion n’a autorité sur le droit, encore moins sur l’État… Une religion n’est que le constat permanent d’une situation philosophique personnelle, à un instant donné.

    Pourtant, il nous faut capter les influences néfastes, non seulement pour défendre ouvertement ce que représente la République laïque, mais aussi néfastes à la condition humaine proprement dite. En ce sens, luttons contre toutes les influences religieuses, d’où qu’elles viennent. Notre droit moderne peut-il prétendre à accepter tous ces préceptes des « hommes des cavernes », habillés simplement avec des « peaux de bêtes »,

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