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Problèmes: Problèmes, #1
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Livre électronique282 pages3 heures

Problèmes: Problèmes, #1

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À propos de ce livre électronique

Quoi qu'il arrive, les problèmes reviennent toujours.   

 
Troy est un home simple. Il aime trois choses plus que tout au monde : son travail, sa moto et sa mère. Mais, lorsque Sadie Powers, une magnifique jeune femme, se met à venir au gymnase qu'il possède, il pense qu'il a peut-être trouvé le numéro quatre sur cette liste.   

 
Jusqu'à ce qu'une force sombre tapis dans l’ombre ne menace de les séparer tous les deux. 

LangueFrançais
ÉditeurBadPress
Date de sortie10 août 2023
ISBN9781667461090
Problèmes: Problèmes, #1
Auteur

Lexy Timms

"Love should be something that lasts forever, not is lost forever."  Visit USA TODAY BESTSELLING AUTHOR, LEXY TIMMS https://www.facebook.com/SavingForever *Please feel free to connect with me and share your comments. I love connecting with my readers.* Sign up for news and updates and freebies - I like spoiling my readers! http://eepurl.com/9i0vD website: www.lexytimms.com Dealing in Antique Jewelry and hanging out with her awesome hubby and three kids, Lexy Timms loves writing in her free time.  MANAGING THE BOSSES is a bestselling 10-part series dipping into the lives of Alex Reid and Jamie Connors. Can a secretary really fall for her billionaire boss?

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    Aperçu du livre

    Problèmes - Lexy Timms

    Problèmes

    Lexy Timms

    ––––––––

    Traduit par oriane steiner 

    Problèmes

    Écrit Par Lexy Timms

    Copyright © 2023 Lexy Timms

    Tous droits réservés

    Distribué par Babelcube, Inc.

    www.babelcube.com

    Traduit par oriane steiner

    Dessin de couverture © 2023 Book Cover by Design

    Babelcube Books et Babelcube sont des marques déposées de Babelcube Inc.

    Problèmes

    Un penchant pour les ennuis

    ––––––––

    Problèmes.  

    Un penchant pour les ennuis.  

    ––––––––

    Saga Se pencher vers les ennuis.

    Tome 1 - Problèmes

    Tome 2 – Discorde

    Tome 3 - Ténacité

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    ––––––––

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    Résumé de Problèmes.

    Quoi qu'il arrive, les problèmes reviennent toujours.  

    Troy est un home simple. Il aime trois choses plus que tout au monde : son travail, sa moto et sa mère. Mais, lorsque Sadie Powers, une magnifique jeune femme, se met à venir au gymnase qu'il possède, il pense qu'il a peut-être trouvé le numéro quatre sur cette liste.  

    Jusqu'à ce qu'une force sombre tapis dans l’ombre ne menace de les séparer tous les deux.

    Sommaire

    Un penchant pour les ennuis

    Retrouver Lexy Timms :

    Résumé de Problèmes.

    Chapitre 1 Sadie

    Chapitre 2 Troy

    Chapitre 3 Sadie

    Chapitre 4 Troy

    Chapitre 5 Sadie

    Chapitre 6 Troy

    Chapitre 7  Sadie

    Chapitre 8 Troy

    Chapitre 9 Sadie

    Chapitre 10 Troy

    Chapitre 11 Sadie

    Chapitre 12 Troy

    Chapitre 14 Troy

    Chapitre 15 Sadie

    Chapitre 16 Troy

    Chapitre 17 Sadie

    Chapitre 18 Troy

    Chapitre 19 Sadie

    Chapitre 20 Troy

    Chapitre 21 Sadie

    Chapitre 22 Troy

    Chapitre 23 Sadie

    Chapitre 24 Troy

    Chapitre 25 sadie

    Chapitre 26 Troy

    Chapitre 27 Sadie

    Discorde 

    La Saga Se pencher vers les ennuis

    Retrouver Lexy Timms

    Lecture Gratuite ?

    Plus par Lexy Timms  

    Chapitre 1 Sadie

    — Qu'as-tu dit ? 

    Le grondement de sa voix fit monter des frissons le long de mon échine. Et, pas le bon genre de frissons. Quand je regardais dans les yeux d'un homme qui avait vraiment besoin d'être mon ex, je me sentis paralysée. Gelée sur place. La colère dans ses yeux marron foncé. La manière dont ses lèvres me grognaient pratiquement dessus. Je sus qu'il n'aimait pas ce que j'avais à lui dire. Le quitter, et tout ça. 

    Mais, je devais m'en aller. 

    — Je te l'ai dit, Luke. Je ne peux plus continuer. C'est terminé.

    Je détestai la manière dont ma voix flancha à la fin de cette phrase.

    —  Tu n'en sembles pas trop sûre. As-tu encore parlé à Uma ? 

    Je ricanai.

    —  Je parle toujours à Uma. C'est ma colocataire.

    Il fit un pas vers moi.

    — Tu sais ce que je veux dire. Ne t'avise pas de déformer mes mots. Tu sais à quel point je ne supporte pas ça. 

    — Nous sommes toxiques. Ça ne fonctionne pas. Ça fait un moment que ça ne fonctionne pas. 

    — Eh bien, si tu avais fait un effort au lieu de... 

    — Ça n'a rien à voir avec notre vie sexuelle.

    — Ç'a tout à voir avec notre vie sexuelle ! 

    Le beuglement de sa voix fit retentir son souffle dans mes oreilles. Frappant mon visage, et ça me rappela le dernier incident. Celui qui laissa des marques sur mon bras. Je les sentis froissés ma mémoire. Comment Luke s'était énervé contre moi parce que j'étais en retard au dîner. Comment il m'avait agrippée. Plaquée contre le mur. 

    La colère était devenue plus fréquente. Et, je ne pouvais supporter ça plus longtemps. 

    — Luke, s'il te plaît écoute. 

    Il pencha sa tête sur le côté.

    — Pendant des mois, tu ne m'as pas écouté. Pourquoi devrais-je t'écouter, putain ? 

    Je raillai.

    —  Je voulais dire, écouter mes mots. Pas « obéis à tous mes ordres ». 

    —  Eh bien, si tu n'avais pas une telle réputation de tout foutre en l'air, je n'aurais pas à te dire quoi faire !

    —  Dans ce cas, si tu es aussi malheureux, pourquoi m'affronter sur ça ?! C'est fini nous deux, Luke. Je viendrai chercher mes affaires plus tard. Mais c'est fini. 

    Je tournai les talons et pris la porte. Mais, une forte poigne se posa autour de mon poignet. Quelque chose me tira en arrière. Il me tira en arrière. Et, alors que mon corps tombait sur le sien, je me débattais pour m'éloigner de lui. 

    —  Luke, arrête ça. 

    Il enroula son bras libre autour de ma taille.

    —  Pas avant que l'on ait parlé. 

    Il me fusilla du regard. 

    —  Lâche... Lâche-moi ! 

    —  Arrête de te battre contre moi, Sadie. Je suis fatigué que tu me contredises tout le putain de temps. 

    —  Laisse-moi partir ! m'écriais-je.

    J'enfonçai mon talon dans son orteil et il siffla de douleur. Je le repoussai et me redirigeai vers le porche. Mais, c'était comme s'il ne comprenait pas le message. Des larmes de peur me montaient aux yeux. Ses mains m'agrippèrent le haut des bras, ravivant les ecchymoses qui venaient tout juste de guérir. 

    —  Luke, tu me fais mal, gémis-je. 

    Et, alors qu'il me retournait, sa voix retentit lourdement dans mes oreilles. 

    —  Peut-être que tu écouteras si tu as mal. Parce que bon sang, après avoir supporté toutes tes conneries, je mérite que tu m'écoutes. 

    Il me plaqua contre sa porte d'entrée et je me débattis aussi fort que je le pus. Des larmes coulèrent le long de mes joues, et je ressentais de la colère de montrer de la faiblesse à cet homme. Il me fusilla du regard. Il s'était transformé en une créature que je ne reconnaissais pas. Un homme qu'il n'était pas au début de notre relation. 

    —  Arrête de te débattre et écoute-moi ! d'exclama-t-il à travers ses lèvres pincées. 

    —  Non ! criai-je. 

    J'enfonçai mon talon dans son pied une nouvelle fois et ses mains s'affaiblirent contre ma peau. Je m'éloignai de lui et tournai les talons, me précipitant vers ma voiture. Les larmes brouillaient ma vision. Je fourrai la main dans mon sac à main et déverrouillai ma voiture. J'ouvrai ma portière et me retournai, j'observai Luke trébucher de son porche. Alors, je plongeai dans ma voiture et m'enfermai à l'intérieur juste au moment où un poing s'était abattu contre la vitre. 

    —  Ouvre cette portière ! 

    Je secouai la tête.

    —  Non, je ne le ferai pas.

    —  Sadie Marie, si tu n'ouvres pas cette fou... 

    —  Touche-moi encore, ou hurle-moi dessus, et j'appelle la police. Est-ce  que tu m'entends ? 

    Les narines de Luke se dilatèrent, mais il arrêta de hurler. 

    — Bien. C'est fini. Il n'y a plus de « nous ». Tu peux garder mes affaires.  Brûle-les, pour ce que j'en ai à faire. Je ne reviendrai jamais dans cette maison. Et, si je te vois chez moi — si tu te montres — j'appellerai la police. Je parlerai de tout ça à Uma aussi. Comme ça elle saura qu'elle doit appeler si elle te voit. Retiens bien mes mots, Luke, je ferai jeter ton cul en prison si ça veut dire t'échapper. 

    Je démarrai la voiture et quittai l'allée du garage en trombe. Et, la manière dont il sautillait sur son pied me disait que j'avais roulé sur cette saleté. Bien. Putain de bâtard. Il n'avait aucun os dans son corps que je ne voulais pas percuter avec mes pneus. Je dérapai sur la route, plaçant mes pneus sur la droite. Et, tandis que j'accélérai dans la direction de mon chez-moi, mon cœur cognait dans ma poitrine. Le sang circula vers mes oreilles. La panique s'installa dans mes veines tandis que la douleur sur mes bras revenait au premier plan. 

    — Putain de merde, soufflai-je.

    Je déglutis difficilement. Je serrai le volant à en avoir les phalanges blanches tout en jetant un œil dans le rétroviseur. Je vis la maison de Luke disparaitre dans le paysage. Je vis la silhouette de son corps se tenir au milieu de la route. J'imaginai l'expression sur son visage. Agacé. Frustré. Déçu. 

    Mortel

    — Au moins, tu es partie, murmurai-je à moi-même. 

    Les ecchymoses sur mes bras étaient tout ce dont j'avais besoin. Je ne voulais pas rester avec une personne comme Luke. Enfin plutôt, une personne comme celle que Luke était devenu. Il n'avait pas toujours été comme ça. Il était gentil. Romantique. Attentionné. Aimant. Cependant, ces derniers mois ont été une tornade. Et, après qu'il a laissé ces bleus sur ma peau, je m’étais dit que c'était fini. Je m'étais dit que je devais essayer de trouver un moyen d'y mettre fin. 

    Grâce au ciel, j'avais réussi. 

    Je n'avais pas l'intention de m'éterniser et de laisser un homme me tuer. Ou me battre pour que je me soumette. Ou encore me convaincre que je n'étais pas assez bien pour quelqu'un d'autre. J'avais un peu plus de bon sens que ça. Pas beaucoup, mais assez pour savoir quand partir. Ma mère avait été dans l'une de ces relations. Bien avant mon père. Avant qu'elle ne rencontre mon papa. Ça lui avait pris si longtemps pour guérir. Et, même à ce jour, elle en avait encore des cauchemars. Encore à ce jour, j'étais capable de me souvenir de la première fois où j'avais surpris ma mère pleurée à trois heures du matin à la table de la cuisine. Avec mon père qui lui frottait le dos et qui murmurait à propos de « rêve » et de « pas réel ».

    Maintenant, il doit accepter que ce soit terminer.

    Alors que je roulai à travers la ville, toutes sortes de souvenirs bombardèrent mon esprit. Détroit avait toujours été mon chez-moi. J'avais grandi en périphérie d'une ville pittoresque appelée Warren, environ trente minutes en dehors du centre de Detroit. Mais, après avoir fini l'université, je m'étais rapproché de la ville. Je m'étais rapprochée du centre tandis que mes parents s'en éloignèrent. En premier, dans une petite ville nommée Washington. Puis en dehors de l'État. Ils ont vendu leur maison, vendu toutes leurs voitures sauf une, et acheté un chalet dans le haut du Wisconsin. 

    Là où ils appréciaient leur neige, et vivaient de la pêche et de la chasse, et profitaient de leurs jours de retraite. 

    Je soupirai en arrivant à mon bâtiment. Je détestai cet endroit. Mais, c'était de beaux appartements. Trois chambres, deux salles de bains. Juste en dessous des cent quarante mètres carrés. Entre Uma et moi, on louait ce genre d'espace pour ce que la plupart des personnes louaient par mois pour la moitié de ce genre d'espace. C'était une super affaire, et Uma et moi nous entendions fantastiquement bien, et ce n'était pas très loin de mon bureau. 

    Au Métro Times de Détroit. 

    Je dépassai le complexe d'appartement et continuai à rouler. J'ignorai pourquoi. Je savais que je devais rentrer à la maison et me reposer. Mais, je débordai toujours d'énergie. J’étais nerveuse, excitée et effrayée. J'inspirai profondément en prenant à droite au feu, arrivant sur la route derrière mon appartement. Mes yeux regardaient aux alentours tandis que je cherchais quelque part où entrer. De la glace, ou peut-être un bar pittoresque. Un endroit où je pourrai me détendre. 

    Je m'arrêtai au feu rouge et regardai autour de moi. Il n'y avait pas grand-chose, ce qui était ironique. Détroit n'était rien de moins que blindé de magasin. Et, d'endroits où vivre. Et, des refuges de toutes sortes. J'allumai mon clignotant droit et me préparai à tourner. Prête à faire le tour du bâtiment et rentrer à la maison. J'avais de la glace dans le congélateur. Et, si Uma n'avait pas terminé cette bouteille de vin, j'aurais quelque chose à boire avec. Mais, alors que je tournais à l'angle, quelque chose était en vue.

    Un bâtiment que je n'avais pas vu avant. 

    —  Qu'est-ce que... ? 

    Le panneau neuf clignotait avec des lumières néons. Le panneau orange et jaune attira mon regard pendant que je ralentissais. Les voitures klaxonnèrent et me dépassèrent rapidement, me faisant des doigts comme à l'accoutumée. Tout le monde dans cette ville était toujours si pressé. C'était bien différent de Warren, lorsque j'étais petite. 

    Béatitude Physique

    Étrange nom pour une salle de gym, mais le panneau me fit tourner. Je me garai dans le parking et sortis de ma voiture, me dirigeant vers la porte d'entrée. Mon ancienne salle de gym près de mon travail avait fermé. Ce qui m'avait laissée sans abonnement depuis quelques mois maintenant. Je n'avais pas eu le temps de chercher un nouvel endroit. Surtout quand la plupart des endroits étaient en dehors de mon budget. Mais, puisque cette salle était juste devant ma porte arrière, je pouvais mettre un petit peu plus dans un abonnement mensuel. 

    Cours du soir de Kickboxing, 60 Euros par soir. Gratuit avec abonnement mensuel. 

    —  Kickboxing, murmurai-je. 

    Je regardai le panneau rose et lus les petites inscriptions. En tout cas, le peu d'inscriptions qu'il y avait. Je devais m'inscrire pour un abonnement mensuel qui m'engageait pour une année entière à quarante balles par mois. Mes sourcils se haussèrent.  C'était une sacrée bonne offre pour une salle à Détroit. Était-elle infestée de punaises de lits ? Est-ce que l'abonnement incluait gratuitement la grippe chaque année ? Est-ce que les boissons protéinées qu'ils vendaient dans leur bar à jus contenaient des compléments moisis ? 

    Ça ne coûte rien d'y jeter un œil. 

    J'ouvrai la porte et entrai à l'intérieur. L'odeur du désinfectant et de pied en sueur atteignit mes narines. Mais, chaque salle sentait comme ça. Des hommes et des femmes de toutes morphologies, de tout âge et de toutes ethnies passaient à côté de moi. Soufflant, poussant et souriant après leurs entraînements. Je regardai à travers les vitres des fenêtres derrière le comptoir principal. Je vis des personnes plonger de plateformes dans l'eau claire comme de l'eau de roche de la piscine. J'entendis des enfants glousser pendant qu'une femme forte marchait, les laissant dans une chasse au trésor dans la salle de gym. 

    —  La garderie est incluse gratuitement avec une inscription mensuelle. 

    Je me retournai au son de la voix de cette femme. 

    — Quoi ? demandai-je 

    — La garderie. Si vous avez des enfants. Ça va avec l'inscription si vous choisissez le second tarif. 

    Je clignai des yeux.

    — Je n'ai pas d'enfants. 

    — Eh bien, dans ce cas, il y a encore bien d'autres choses que vous pouvez utiliser avec notre second palier. 

    — Je suis désolée, deuxième quoi ? 

    Elle sourit. 

    —  Nos abonnements. Ils sont arrangés en programme. Le premier palier coûte trente euros par mois, et il comprend un accès à la piscine, à nos vestiaires, saunas, et aux salles de sport. 

    —  Vous avez des saunas ici ? 

    —  Oui, on en a. Notre deuxième palier coûte quarante euros par mois et inclus beaucoup de nos cours journaliers et hebdomadaires, un accès à ce que comprend le palier un, en plus de deux boissons gratuites par mois de notre bar à jus. 

    —  Et la garderie.

    Elle hocha la tête. 

    — Ainsi que la garderie, pour ceux qui en ont besoin. 

    — Avez-vous un troisième palier ? 

    Elle sourit encore plus fort.

    —  Oh, oui, nous avons ça. Cela coûte cent euros par mois, mais il comprend tout ce qu'il y a dans les paliers un et deux, plus d'autres avantages. Toutes les leçons, accès à toutes les commodités. Un accès vingt-quatre heures sur vingt-quatre sept jours sur sept à deux de nos salles de gym avec un code spécial que nous personnalisons pour chaque membre, et deux boissons gratuites provenant du bar à jus par semaine. 

    —  Waouh. C'est une excellente offre. 

    —  Ça l'est. Devrais-je vous inscrire ? Ou souhaiteriez-vous une visite guidée ? 

    Je montrai le panneau. 

    —  Les leçons de kickboxing. 

    Elle acquiesça. 

    —  Oui. Soixante dollars la leçon, à moins de vous inscrire à un abonnement d'un an de notre deuxième palier, facturer mensuellement.

    —  Puis-je échanger la garderie avec quelque chose d'autre ? 

    —  Malheureusement, nos tarifs ne sont pas personnalisables de cette manière. Mais, nous travaillons sur ces options. Elles sont censées sortir en été l'année prochaine. Et, si vous êtes déjà membre, je peux vous dire que vous aurez une réduction sur le prix à payer pour personnaliser votre propre plan. 

    Je souris. 

    —  Vous gagnez une commission sur cette vente, n'est-ce pas ? 

    Elle secoua la tête. 

    —  Non, m'dame. J'ai tout simplement une passion pour cet endroit. J'aime à penser que nous révolutionnons ce qu'une salle de sport peut donner à sa communauté. 

    J'acquiesçai. 

    —  Ça me semble plutôt juste. C'est bien d'être passionnée de quelque chose. 

    Et, j'étais passionnée de pouvoir me défendre contre Luke. Si jamais il réapparaissait.

    —  Comment puis-je aider par ici ? Sans vouloir vous vexer, vous avez l'air positivement dépassé. 

    Je tournai la tête et regardai une femme plus âgée qui se dirigeait vers nous. Elle avait des cheveux noir de jais avec des mèches blanches naturelles. Les pattes d'oie autour de ses yeux accentuaient leurs couleurs bleues glaciales. Elle portait une veste en cuir, de toutes les choses. Et, le jean qu'elle portait était moulant autour de ses jambes tonifiées. Bon sang, elle semblait sensationnelle. Je pouvais seulement prier pour avoir l'air à moitié aussi bien qu'elle quand j'aurais son âge.

    —  Mademoiselle Nichols, c'est... ? 

    Je tendis la main. 

    —  Sadie. Sadie Marie Powers.

    La femme plus âgée me serra la main. 

    —  Bien, Sadie Marie Powers bienvenue à ma salle de gym. 

    —  Attendez, quoi ? 

    Elle sourit, relâchant ma main.

    — Ouip. Je possède cet endroit. Avec mon fils, bien entendu. Je m'occupe de la gestion. Engager les gens et ce genre de chose. Et, lui, il s'occupe de la promotion. Il enseigne quelques cours. Et, il organise les événements estivaux. Les choses dans ce genre-là. 

    —  Il serait votre instructeur de kickboxing, intervint la femme pétillante.

    —  Ah, intéressée par ce cours ? Demande Mlle Nichols. 

    —  Je ne fais que regarder. Je n'ai pas encore pris de décision. 

    —  Bien, que dites-vous de ça. Vous prenez la leçon de ce soir, sans frais. Regardez si ça vous plaît. Ça commence dans trente minutes, et vous pouvez visiter les vestiaires de cette manière. Et, les saunas après ça. Je vous promets, le sauna humide vous convaincra. 

    —  Je secouai la tête. 

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