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L’épouse recluse: La série Mariage Secret, #2
L’épouse recluse: La série Mariage Secret, #2
L’épouse recluse: La série Mariage Secret, #2
Livre électronique273 pages3 heuresLa série Mariage Secret

L’épouse recluse: La série Mariage Secret, #2

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À propos de ce livre électronique

Mon histoire est interdite.

Une histoire sombre et tourmentée.

Mon avenir tout tracé.

 

Je sais que ma place n'est pas dans ce monde décadent... son monde.

À présent, l'argent, le pouvoir et les sombres secrets m'entourent.

Je me soumets à tout cela pour être sa parfaite épouse obéissante.

Ils épient mes moindres faits et gestes, me surveillent et me jugent.

C'est la même prison, mais avec des gardes différents.

Pourtant, je n'ai d'yeux que pour lui.

Son regard, ses caresses, l'emprise qu'il exerce sur moi.

Je suis son épouse, recluse à jamais, même si tous essaient de m'enlever à lui.

LangueFrançais
ÉditeurAlta Hensley
Date de sortie15 déc. 2021
ISBN9798201740955
L’épouse recluse: La série Mariage Secret, #2
Auteur

Alta Hensley

Alta Hensley is a New York Times bestselling author of dark romance where the villain always gets the happily ever after. Twisted, clever, and occasionally unhinged, her books deliver morally gray anti-heroes, sharp-tongued heroines, and happily ever afters that taste even sweeter after a little ruin. With a signature blend of grit, wit, and heat, Alta’s stories prove one thing: villains deserve love too. Alta lives on the foggy coast of Oregon with her husband, two daughters, and a pair of dogs who think they’re in charge. When she’s not writing redemption for the irredeemable, she’s walking the coastline or sipping craft beer in eccentric little bars that feel like they belong in her books.

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    Aperçu du livre

    L’épouse recluse - Alta Hensley

    L’Épouse recluse

    L’ÉPOUSE RECLUSE

    MARIAGE SECRET, TOME 2

    ALTA HENSLEY

    TABLE DES MATIÈRES

    Sans titre

    Prologue

    Chapitre Un

    Chapitre Deux

    Chapitre Trois

    Chapitre Quatre

    Chapitre Cinq

    Chapitre Six

    Sans titre

    Sans titre

    Chapitre Neuf

    Chapitre Dix

    Chapitre Onze

    Chapitre Douze

    Chapitre Treize

    Chapitre Quatorze

    Chapitre Quinze

    Chapitre Seize

    Chapitre Dix-Sept

    Chapitre Dix-Huit

    Chapitre Dix-Neuf

    Chapitre Vingt

    Chapitre Vingt et un

    Chapitre Vingt-deux

    Chapitre Vingt-trois

    Fin

    À propos de l’auteur

    Du même auteur

    SANS TITRE

    L’Épouse recluse

    Mariage secret, tome 2


    Alta Hensley

    PROLOGUE

    Christopher


    Des flammes dans le ciel, de la fumée dans nos yeux, et les lumières aveuglantes — nous ne sommes plus seuls.

    Je croyais avoir déjà vu la peur, mais rien n’est comparable à ce que je peux apercevoir dans les yeux d’Ember à présent. Elle est piégée dans une terreur de laquelle je ne peux l’extirper, malgré mes efforts.

    — Tout va bien, crié-je par-dessus les sirènes des camions de pompier et les voitures de police. Ça va aller. En répétant ces mots, je ne suis pas vraiment sûr de ce qu’ils signifient. Les secours sont là.

    Je lui tiens la main tout en faisant signe aux véhicules arrivant en pleine vitesse avec l’autre.

    Tout devient flou après cela. Tellement de questions, tellement de gens, tant d’yeux curieux nous observant.

    Nous sortons des cendres, et pourtant nous sentons toujours la main du diable nous gardant sous son emprise.

    Je m’attends encore à voir Richard s’avancer à travers le paysage enfumé, pour nous enchaîner une nouvelle fois, mais là, pour toujours.

    Je veux un pistolet pour me défendre, mais je sais qu’aucun policier ne m’en donnerait un.

    J’aimerais courir avec les pompiers jusqu’à la maison principale en feu afin de voir le corps de ce monstre, alias Richard, crépiter jusqu’à devenir poussière. Je voudrais le voir de mes propres yeux rendre son dernier souffle, mais je suis bien conscient que ce n’est pas possible.

    Pour l’instant, je dois me contenter du fait que nous sommes sains et saufs.

    Sains et saufs… mais pas nécessairement en sécurité.

    Ça veut dire quoi, être en sécurité ?

    CHAPITRE UN

    Christopher


    — Je ne sais pas combien de fois je vais devoir encore répondre à ces mêmes questions, dis-je en me penchant en arrière sur la chaise en métal, la sentant s’enfoncer dans mon dos douloureux. Je dois voir Ember, insisté-je.

    — Quelques autres questions, me dit le détective Jackson. Elle est toujours interrogée aussi, alors si vous pouviez juste être patient, nous…

    — J’ai été suffisamment patient, je vous ai confié tout ce que je sais, et je vous ai également dit qu’Ember doit être terrifiée à l’heure qu’il est. Elle n’est pas habituée aux gens, et je dois être à ses côtés. Cela fait des heures, et je suis éreinté. J’ignore ce que je peux faire de plus. Je vous ai tout dit sur ce psychopathe, sur le fait que j’étais enchaîné à un mur et forcé d’épouser sa fille. Je vous ai donné chaque détail possible et imaginable. Qu’attendez-vous de plus de moi ?

    Le détective Jackson regarde ses notes comme s’il n’écoutait pas un mot de ce que j’ai énoncé et me demande :

    — Alors, cette femme, Ember… vous avez affirmé qu’elle prétend avoir été là depuis son enfance ?

    — Oui, dis-je en soupirant lourdement, elle est tout autant victime que moi.

    Je me lève, mes mains sur la table, et fixe le détective dans les yeux.

    — Dois-je faire appel à mon avocat ? Parce que c’est vraiment l’impression que ça donne.

    Le détective Jackson se penche en arrière et croise les bras.

    Pensez-vous en avoir besoin ?

    — À vous de me le dire, dis-je en jetant un œil au miroir sans tain dans la pièce, essayant de voir qui se trouve de l’autre côté. Malheureusement, je n’y vois que mon reflet.

    Vêtu d’habits qu’ils donnent aux prisonniers, avec les chaussures qui vont avec, j’ai l’air d’un étranger. Mes cheveux sont longs et pendent autour de mon visage. J’ai l’air d’avoir perdu du poids alors que je perdais des mois de ma vie. Je suppose que je devrais être reconnaissant pour les vêtements secs qu’ils nous ont donnés à Ember et moi lorsque nous sommes arrivés, mais ils ne font que me rappeler mon enfer dans cette prison.

    — Encore quelques interrogations, poursuit Jackson.

    — À moins que vous n’envisagiez de nous accuser Ember et moi de quelque chose, nous partons. Merci de me mener à elle. Maintenant.

    — Je comprends votre frustration, dit-il, mais les fédéraux viennent d’arriver et sont en train de questionner Ember.

    — J’ai besoin de la voir, je dois être avec elle. Comme je vous l’ai dit, à moins que vous ne nous arrêtiez, j’exige d’être mené à elle immédiatement.

    Ember ne m’a pas dit un mot depuis le sauvetage. Elle a répondu à toutes les questions posées par les médecins alors qu’ils soignaient toutes nos blessures causées par les chaînes. Et bien qu’elle ait été polie et libre de ses réponses, il m’a semblé que chaque syllabe qui sortait de sa bouche lui faisait mal. Je savais qu’elle n’avait parlé à aucune autre âme mise à part son père, moi et Épouvantail. J’étais conscient qu’elle devait être effrayée, et que d’être sans moi devait empirer encore la situation.

    Je déteste l’interrogatoire de la police, alors je ne peux qu’imaginer la façon dont elle doit le gérer.

    — On va conclure un accord, dit le détective alors qu’il se joint à moi en se levant. Je vais vous amener à elle, mais seulement si vous pouvez rester un peu plus longtemps pour permettre aux fédéraux d’obtenir ce qu’ils veulent.

    Je sais que je n’ai aucune obligation d’accepter ce deal puisque nous ne sommes pas en état d’arrestation, mais je veux mettre fin à ce cauchemar.

    Je hoche la tête et le suis hors de la pièce dans le couloir vers une autre salle d’interrogatoire.

    Lorsque j’entre, je vois Ember si petite et frêle sur une chaise qui semble presque l’engloutir. Ses yeux écarquillés se sont liés aux miens, et sa lèvre inférieure tremble dès qu’elle me voit.

    Je me précipite à l’endroit où elle se tient assise et m’agenouille à ses pieds.

    — Hey, dis-je avec douceur, je suis là maintenant. Je ne te quitterai plus jamais.

    Je lui prends la main, qui est gelée par l’air ambiant de la pièce stérile.

    — Est-ce que ça va ?

    Elle hoche la tête.

    — Ils ne cessent de me poser des questions sur Papa Rich et Épouvantail, et…

    — Je sais, le coupé-je en me levant et m’asseyant sur la chaise à côté d’elle. C’est presque fini.

    Je regarde directement dans les yeux des hommes qui sont assis en face de nous.

    — N’est-ce pas ? Vous avez tout ce qu’il vous faut ?

    L’homme fixe le détective Jackson, qui lui demande de le rejoindre à l’extérieur. Pendant que les deux hommes sortent, je me place devant Ember de façon à lui faire face.

    — Nous allons bientôt quitter cet endroit. Je vous le promets, lui dis-je en lui prenant les deux mains dans les miennes.

    — Et après ? Où irons-nous ? me demande-t-elle, logiquement.

    La seule maison qu’elle a connue vient de brûler.

    — J’ai appelé ma mère, après lui avoir presque causé un arrêt cardiaque du fait d’entendre son fils mort au téléphone, j’ai pu m’arranger.

    Ember secoue la tête.

    — Je ne comprends pas. Vous vous êtes arrangé ?

    — Ma mère est à Palm Springs avec certains de ses amis pour des vacances. En entendant que nous étions en vie… ici… elle nous a affrété un jet privé afin que nous puissions rejoindre New York aussi vite que possible. Elle est en route pour nous récupérer.

    — New York ?

    — C’est là où je vis, vous vous souvenez ? C’est où nous vivrons tous les deux désormais, lui dis-je en sachant que ça fait beaucoup à encaisser.

    Ses mains tremblent dans les miennes, et tout ce que je peux faire est de la serrer fort dans mes bras, de l’emmener le plus loin possible du Nevada et d’Hallelujah Junction, et de ne plus jamais parler de Papa Rich et de cet enfer. Mais alors que les détectives entrent dans la pièce à nouveau, je sais que je ne peux pas lui offrir tout cela immédiatement.

    — Si cela ne vous dérange pas, nous aurions encore quelques questions, annonce le détective Jackson. Voici, l’agent fédéral Martinez.

    — Allez-y, dis-je, prenant la décision de répondre à toutes les questions possibles afin d’éviter qu’elles ne soient posées à Ember. Je sens au plus profond de mes tripes que la pauvre fille a atteint le maximum de ce qu’elle peut supporter.

    — Alors, il semblerait qu’il y ait des choses que vous auriez dit qui ne s’accordent pas. Vous avez dit que vous avez vu Papa Rich se précipiter en courant dans la maison en feu ? demande l’agent Martinez.

    — En effet. Je pense que nous vous avons tous les deux dit cela de nombreuses fois déjà.

    — Aucun corps n’a été découvert dans la maison. En réalité, rien n'a été trouvé dans aucune des structures de la propriété, nous annonce Martinez.

    Je sens la main d’Ember s’échapper de la mienne. Cette nouvelle coup-de-poing m’empêche presque d’avaler ma salive, je ne veux pas y croire.

    — Nous l’avons vu entrer, la maison était engloutie par les flammes.

    — Vous dites aussi que vous avez continué à courir et que vous n’avez jamais regardé en arrière. Aucun de vous ne sait s’il a quitté la maison ou non, n’est-ce pas ?

    — Papa Rich est vivant ? interrompt la voix tremblante d’Ember. Une unique larme coule sur son visage, et j’ignore si c’est de soulagement ou de peur.

    Martinez et Jackson observent tous les deux Ember.

    — Vous avez dit que vous ignoriez où son ami Épouvantail vit. Êtes-vous sûre n’avoir jamais visité ou entendu de détails qui pourraient nous aider à retrouver ce type ?

    Ember secoue la tête.

    — Il venait toujours à nous, ou alors Papa Rich allait le voir sans moi. Je sais qu’il vit dans les collines quelque part, et ce n’est pas vraiment à côté. Ça prend une journée entière pour faire l’aller-retour de sa maison à Hallejuhah Junction.

    — L’un ou l’autre d’entre vous a-t-il vu Épouvantail pendant l’incendie ?

    — Non. Êtes-vous en train de nous dire que vous pensez que Richard est toujours en vie ? Peut-être en train de se cacher avec Épouvantail ?

    — Nous explorons toutes les possibilités en ce moment. Tout ce que nous savons, c’est qu’il n’y a aucun signe montrant que Richard est mort dans l’incendie comme vous le stipulez tous les deux.

    Ember halète et me regarde avec une terreur renouvelée dans les yeux.

    — Il va nous retrouver. Il va nous punir. Il ne laissera jamais tomber.

    Je passe la main sur le côté de sa tête, caressant ses mèches blondes douces.

    — Shhh, tenté-je de l’apaiser, il ne pourra pas nous trouver. Et s’il est vivant — si — alors ces hommes, juste là, le trouveront et l’enfermeront pour toujours.

    Je poursuis mes caresses dans ses cheveux, en essayant de chasser son anxiété.

    — Nous sommes en sécurité désormais. Je vous le promets. Nous sommes sains et saufs.

    Je regarde les hommes, irrité qu’ils ne fassent qu’empirer les craintes d’Ember.

    — S’il n’est pas mort, trouvez ce fils de pute. Vous perdez du temps tous les deux à nous poser les mêmes questions encore et encore.

    Le détective Jackson baisse les yeux vers ses notes et son carnet.

    — Ember, nous avons aussi examiné le rapport que vous avez donné sur la façon dont Papa Rich vous a trouvé et vous a amené à Hallelujah Junction. L’histoire d’avoir été ramassée dans une ville proche et secourue de votre mère. Nous sommes retournés sur place et avons cherché s’il y avait des rapports d’enlèvement à cette époque-là, ce qui n’était pas le cas. Mais il existe un dossier sur une jeune fille que les services de protection de l’enfance ont rencontrée dans la région et qui a été portée disparue soudainement sans que la mère ne les informe ni même ne donne sa nouvelle adresse après son déménagement. L’enfant s’appelait Amber Jennings. Amber… pas Ember.

    Il réfléchit un moment.

    — Nous pensons qu’Amber Jennings c’est vous. Il y a une photo là-dedans. On dirait une version de vous en plus jeune, dit-il en poussant un dossier vers nous.

    Ember ouvre le dossier et regarde une photo qui est sans aucun doute d’elle lorsqu’elle avait cinq ans. On peut voir un air de ressemblance dans le regard. Ces grands yeux, bleus, hantés.

    — Amber ? s’interroge-t-elle plus elle-même que n’importe qui d’autre. Non, mon nom est Ember.

    — Est-ce que c’est vous ?

    Elle hoche la tête.

    — Mais je m'appelle Ember. Pas Amber.

    — Peut-être maintenant… mais autrefois c’était Amber Jennings.

    Les larmes remplissent ses yeux.

    — Qu’en est-il de ma mère ? Va-t-elle savoir où je me trouve maintenant ? Papa Rich m’a dit qu’elle me tuerait si jamais elle découvrait où j’étais.

    J’arrive et je ferme le dossier, parce que c’en est trop pour elle.

    — Ce n’est pas grave. Vous êtes Ember désormais, et vous êtes en sécurité. Le passé est passé. Votre mère ne peut plus vous faire de mal. Plus personne ne peut vous faire de mal.

    — Nous avons rassemblé des informations sur elle, et je suis navré de dire — ou peut-être dans votre cas, heureux de vous informer — qu’elle est décédée il y a treize ans.

    — Treize ? Ember répète tel un perroquet, et sans même avoir à entendre les mots, je sais ce qu’elle pense. Elle est en sécurité depuis treize ans de toutes les histoires d’horreur que Papa Rich lui a racontées à propos de sa mère venant lui faire du mal si jamais elle découvrait où elle était. Elle aurait pu quitter les murs de l’école de Hallelujah Junction si elle avait su que la femme n’existait plus.

    — Nous avons également rassemblé tous les rapports de personnes disparues qui ont visité Hallujah Junction avec la conviction que leur mort est due aux fosses à acide et à l’ancien moulin, explique l’agent Martinez. Nous avons trouvé un rapport concernant un couple dont vous avez été témoin de la chute dans la fosse à acide.

    Il fait glisser les photos en notre direction.

    — Est-ce que ce sont les gens que vous avez rencontrés ?

    Je regarde vers les photos, et hoche la tête, tout en frottant le dos d’Ember. On dirait qu’elle tient le coup. Peut-être est-ce le cas. Je ne peux m’empêcher de croire que l’on marche sur une corde raide, très raide, et que l’on pourrait s’écraser d’une minute à l’autre.

    — Nous ne savions pas qu’ils étaient allés à Hallelujah Junction, affirme le détective Jackson.

    — Ils essayaient de nous aider, murmure Ember.

    — Quant aux autres, poursuit le détective, Ember, avez-vous aidé votre père à tuer ces gens ?

    Je me lève et tape du poing sur la table.

    — Cela suffit ! À moins que vous n’ayez l’un ou l’autre l’intention de nous accuser de quoi que ce soit, nous partons. Nous sommes ici de notre propre chef, depuis assez longtemps. Ma femme et moi n’avons plus rien à vous dire sans la présence d’un avocat.

    Ember m’attrape le bras et me fait signe de me calmer.

    — Ça va aller, Christopher. Je vais répondre.

    Elle regarde le détective et l’agent fédéral.

    — Tout ce que je sais, c’est que je ne l’ai pas arrêté.

    — Vous ne pouviez pas l’arrêter, j’explose.

    — Et je devrai vivre avec cela et avec leur mort pour le reste de la ma vie, ajoute-t-elle.

    — L’homme était

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