Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Au Péril de la France: Guidance intuitive pour l'Appareil de l'État 2012-2017
Au Péril de la France: Guidance intuitive pour l'Appareil de l'État 2012-2017
Au Péril de la France: Guidance intuitive pour l'Appareil de l'État 2012-2017
Livre électronique164 pages1 heure

Au Péril de la France: Guidance intuitive pour l'Appareil de l'État 2012-2017

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Dans cet ouvrage, c’est un peu l’histoire d’un nouveau langage qui sera mise en scène. Ce qui comprend la révélation de toute la documentation, à destination de l’appareil de l’état élaborée depuis le 15 décembre 2012.
Ce qui a pour intérêt capital de mettre en relation les attentats si meurtriers des années cruciales 2015-2016-2017 avec le protocole de terminaison de la Ve République qui lui est en route epuis le 26 juin 2016 seulement et que rien ne pourra arrêter. Le nom de code de ce langage est « Nouvelle Synthèse ».
LangueFrançais
Date de sortie7 juin 2017
ISBN9782312052243
Au Péril de la France: Guidance intuitive pour l'Appareil de l'État 2012-2017

Auteurs associés

Lié à Au Péril de la France

Livres électroniques liés

Corps, esprit et âme pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Au Péril de la France

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Au Péril de la France - Mwana Tsengué

    978-2-312-05224-3

    Avant-propos

    Dans cet ouvrage, c’est un peu l’histoire d’un nouveau langage qui sera mise en scène. Ce qui comprend la révélation de toute la documentation, à destination de l’appareil de l’état élaborée depuis le 15 décembre 2012. Ce qui a pour intérêt capital de mettre en relation les attentats si meurtriers des années cruciales 2015-2016-2017 avec le protocole de terminaison de la Ve République qui lui est en route depuis le 26 juin 2016 seulement et que rien ne pourra arrêter. Le nom de code de ce langage est « Nouvelle Synthèse » (NS). Il s’est constitué progressivement au cours des dix dernières années. C’est seulement depuis les deux dernières qu’il est enfin devenu parfaitement clair que c’était cela-même qui était accompli, non sans les douleurs propres à l’enfantement.

    Je me suis mis à forger la NS parce que je me devais de rendre compte d’expériences rencontrées au cours d’un cheminement des plus intraduisibles dans le langage ordinaire. Utiliser un langage ne signifie pas que l’on a réussi à percer à jour la nature intrinsèque des expériences. C’est juste que cela s’avère fécond en termes de prédiction et de manipulation.

    L’émergence du langage naturel aura permis l’éclosion de l’intersubjectivité humaine par le biais de la transmission culturelle, renforcée par l’apparition plus récente de l’écriture qui marque le début de l’histoire. Le langage mathématique a rendu possible bien d’autres choses telles que l’exploration du monde physique et la création de la technique. Encore plus près de nous, les langages informatiques sont au coeur du monde moderne. L’internet en est la plus belle illustration. Quoi de surprenant alors que la mise au point d’un nouveau langage avec d’autres modalités rende possibles des réalisations utiles qui n’auraient autrement aucune chance de voir le jour ?

    Dans L’Ascension, une nouvelle Science, livre paru le 9 janvier 2009, j’avais déjà établi le cahier des charges d’une praxis rendue nécessaire par la crise planétaire qui laisse toutes les méthodologies plus conventionnelles impuissantes. Il m’aura fallu encore presque 4 ans afin de mettre la main sur un protocole d’intuition que j’appelle « consultation ». A force de travailler avec cette dernière, à l’interface entre les ressentis et le langage, ce corpus NS est progressivement apparu jusqu’à me permettre, à partir de la mi-2014, d’accéder au tableau de contrôle de l’évolution de notre pays la France.

    Ce qui est fort intéressant pour le mathématicien que je suis, est le fait que peu à peu la NS a pris la forme d’une « épistémologie élargie » intégrant des paramètres numériques dont la signification semble très profonde. Ce travail implique aussi six langues qui sont le Latin, le Grec, l’Allemand, le Russe, l’Italien ainsi que l’Arabe. Ce qui est central dans la NS c’est le processus de validation qui se fait à travers le temps. Ce n’est pas le cas, lorsque par exemple, on s’investit dans un travail mathématique : un examen de la preuve permet de savoir immédiatement si c’est valide ou pas. Dans le cas de la NS, le principe qui est utilisé est celui du « cercle herméneutique » (Cf. chapitre final), sans arrêt remis à jour et dont le « verrouillage » ne peut se produire que sur la durée sans qu’il puisse être considéré comme étant définitif. C’est la raison pour laquelle il est question « d’épistémologie élargie ».

    Dans les mathématiques les plus profondes, tous les coups d’intuition sont permis. Ce qui compte est le processus de validation. C’est pareil dans ce travail, à un degré plus grand encore. Sachant que les procédures de validation sont aussi plus complexes et imprévues.

    Toute la gouvernance visionnaire dont nous avons besoin afin de faire face à la crise planétaire résulte de la mise en œuvre de cette épistémologie élargie, tout comme les réformes religieuses qui seules sont à même de stabiliser la situation géo-stratégique de l’Europe Occidentale. Et un peu plus loin dans le temps, il ne fait guère de doute que des perspectives révolutionnaires de la physique, dérivent aussi de cet effort de grande envergure qui n’a vraiment plus rien de conventionnel.

    Dans la documentation à destination de l’appareil de l’état, j’appuie avec insistance sur un point précis : la nécessité de me donner au plus vite, car le temps presse, tous les moyens de poursuivre ce travail afin de le mener à l’étape suivante. Je souhaite à présent m’adresser directement aux français et je les mets en garde de la manière la plus solennelle qui soit : si cela n’est pas le cas rapidement alors je ne réponds plus de rien.

    L’un des principes de base de la NS est l’élaboration de documents qui servent de « pièces à conviction ». Ce livre n’en sera qu’une de plus, mais à très grande échelle cette fois-ci.

    Il n’y a pas encore de mot adapté pour décrire ce que je fais. Cela viendra sans doute en son temps. Sorcier, druide, meneur de jeu, ou encore professeur… ? Toutes ces facettes ont leur importance selon les situations. C’est expliqué en détail dans le document-clé du 20 juin 2016. Tout se passe comme si, des « scénaristes » se trouvant en dehors de la conscience humaine, pilotaient la destinée. Dans cette optique, il n’est pas faux de dire que j’ai décidé d’être à leur service. Et dans ce cas, soyez-en sûrs, j’irai jusqu’au bout.

    L’émergence

    On ne se réveille jamais un beau matin avec un nouveau concept sorti tout droit de nulle part et livré clé en main. Le mécanisme de la découverte ou de la création ne fonctionne pas de cette manière. Tout comme un archéologue ne tombera jamais par hasard sur les restes d’une vieille cité perdue, en tout cas pas sans pouvoir expliquer pourquoi il s’était aventuré là au premier chef. Pour trouver et mettre au jour quoi que ce soit de pertinent, il faut avoir ce regard qui cherche quelque-chose de précis et surtout savoir pourquoi il en est ainsi. Il ne peut en être autrement pour la NS !

    L’ASCENSION, UNE NOUVELLE SCIENCE

    Dans l’Ascension, une nouvelle Science j’explique comment j’ai peu à peu réalisé qu’il y avait des cases manquantes dans la vision occidentale, se voulant bien sûr si « rationnelle ». Ce que j’ai voulu accomplir en écrivant le précédent livre est de proposer une formulation claire du problème – en apparence inextricable – dans lequel se retrouve l’humanité dont la trajectoire est déterminée précisément par cette vision occidentale et cela depuis fort longtemps. Je ne pourrai jamais enlever de mon esprit la conviction intime que toute forme sérieuse de pensée commence forcément par la formulation d’une question ou d’un problème. J’en suis désolé ! Sinon, on ne sait pas de quoi on parle et surtout, escroquerie suprême, on raconte n’importe quoi en le présentant comme une solution ! C’est comme pratiquer le saut en hauteur sans qu’aucune barre n’ait été au préalable placée au bon endroit !

    Ce livre présentait une faiblesse commerciale : finir perdu dans un no-man’s land trop complexe pour être habité. Trop difficile et sophistiqué pour captiver les « spiritualistes à l’eau de rose ». Trop révolutionnaire et surtout étranger aux paradigmes du temps pour être adopté séance-tenante par les quelques-uns qui se targuent de posséder une cervelle en état de marche et qui aiment à s’en servir au profit de la « matrice » reconnue. Peut importe ! La route a été poursuivie en solitaire aussi exorbitant que le prix ait pu en être. Et croyez-moi, ce fut le cas.

    Avertissement au lecteur

    Selon les bonnes pratiques en cours de nos jours dans l’intersubjectivité, il est de bon ton de se déclarer libre de toute adhésion à des dogmes ou à des groupes de croyance afin de préserver sa réputation post-moderne. Sans oublier de préciser ensuite à quel point tout ce qu’on va dire se fera sous la bénédiction de la pensée scientifique la plus irréfutable (ce qui en général est une parfaite fumisterie). Sans voir aussi à quel point ces deux affirmations peuvent se révéler contradictoires. Pour ma part, je voudrais être très clair : j’avance pas à pas partout où il me semble nécessaire d’aller, en adoptant des points de vue (ce que j’appelle une heuristique) et en n’hésitant pas à les modifier ou les faire évoluer si besoin. Je m’adresse à un lecteur intelligent prêt à juger sur pièce et non pas en fonction de préjugés discutables. Ce qui est certain c’est que rien ne n’offusque davantage que la pseudo-science : singer cette dernière afin de faire avaler les plus grosses pilules. Il faut avoir cette force d’esprit permettant de constater que le champ d’application de la Science est limité et par conséquent avoir bien en tête où se situent les frontières. Savoir exactement quand on est scientifique, et quand on ne peut plus le demeurer, serait une assurance par exemple contre l’utilisation abusive de la « sauce quantique » destinée à enfoncer le clou et à faire taire les contradicteurs. Tout ceci ne constitue qu’un bref rappel des ornières habituelles, comme expliquées en long, en large et en travers dans l’Ascension, une nouvelle Science. Le titre de l’ouvrage est quelque-peu un abus (assumé) de langage. Ma position rejoint celle du physicien Werner Heisenberg mise au point dans son manuscrit philosophique de 1942 : élargir le spectre de ce qu’on nomme la réalité aux événements de conscience. Ce qui n’a rien à voir avec « matérialiser » la conscience afin de lui donner une apparence d’objet d’étude pour une science (quantique) ! Si le lecteur est d’aventure imperméable à cette subtile mais essentielle différence, alors qu’il arrête immédiatement cette exploration de la NS, pour se cantonner, soit à la pseudo-science, soit au matérialisme étroit !

    Domaines d’injonctions

    Pour faire plus simple, il y a trois espaces phénoménologiques :

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1