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Clymène: Comédie
Clymène: Comédie
Clymène: Comédie
Livre électronique49 pages20 minutes

Clymène: Comédie

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À propos de ce livre électronique

Extrait : "Apollon se plaignait aux neuf Sœurs, l'autre jour, De ne voir presque plus de bons vers sur l'amour; Le siècle, disait-il, a gâté cette affaire : Lui nous parler d'amour ! Il ne la sait pas faire. Ce qu'on n'a point au cœur, l'a-t-on dans ses écrits ? J'ai beau communiquer de l'ardeur aux esprits ; Les belles n'ayant pas disposé la matière, Amour et vers, tout est fort à la cavalière."

À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN :

Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants :

• Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin.
• Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.
LangueFrançais
ÉditeurLigaran
Date de sortie17 nov. 2015
ISBN9782335097443
Clymène: Comédie

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    Aperçu du livre

    Clymène - Ligaran

    EAN : 9782335097443

    ©Ligaran 2015

    Notice

    Cette comédie fut composée sans doute de 1658 à 1661, puisque le poète met au début ces vers dans la bouche d’Apollon :

    Comme le remarque Walckenaer, Servien et Foucquet étaient tous deux surintendants : Servien mourut le 17 février 1659, et, Foucquet étant resté seul surintendant, cette pièce où ce mot se trouve au pluriel doit être antérieure à cette époque.

    Elle parut aux pages 140-191 des Contes et nouvelles en vers, 1671, in-12, troisième partie, à la suite du conte intitulé « le Petit Chien qui secoue de l’argent et des pierreries », puis fut réimprimée dans l’édition des Œuvres diverses de 1729, tome II, p 169-210.

    Voltaire, dans la lettre écrite, sous le nom de M. de la Visclède, à M. le Secrétaire perpétuel de l’Académie de Pau (tome XLVIII, p 266), se montre très sévère pour cette aimable fantaisie qui rappelle les dialogues d’amour de nos anciens trouvères. Geoffroy, dans son Cours de littérature dramatique (tome II, p 185), répète après lui qu’il n’y a rien de plus insipide : « Je m’étonne que dans l’édition des Œuvres diverses de la Fontaine donnée par Maucroix (lisez : d’Olivet), et dans toutes celles que j’ai vues, on ait inséré des pauvretés telles que la comédie de Clymène, les opéras de Daphné, d’Astrée, de Galatée, qui sont tout ce qu’il y a de plus insipide au monde. » Boissonade (Critique littéraire sous le premier empire, tome II, p 263) exprime un avis tout contraire : « Je suis de ceux qui aiment à ne rien perdre, pour qui tout ce qu’ont écrit les hommes célèbres est précieux et digne d’être conservé. Leurs chefs-d’œuvre instruisent et plaisent ; on peut aussi s’instruire

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