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Il est une fois O
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Livre électronique83 pages1 heure

Il est une fois O

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À propos de ce livre électronique

Vous avez lu "Un autre regard sur la bipolarité" et n'êtes pas certain de me croire lorsque je dis être un bouddha, ce livre est son pendant, mon testament en tant que tel, le bout du délire diront certains, un karma d'éternité pour ce récit diront d'autres.

A vous de voir et de vous faire une opinion.

Laissez-vous tenter par ce livre qui deviendra j'en suis certain, un livre culte.

Téléchargez-le maintenant, faites donc cette offrande au bouddha...

LangueFrançais
Date de sortie26 sept. 2014
ISBN9781311712943
Il est une fois O
Auteur

Bengano

Voyageur Poète, j’ai publié six livres dont un que j’ai fait traduire en Anglais pour attaquer le marché anglophone ;)J’ai habité Paris, Londres et Montréal et je suis même allé ailleurs...J’ai l’impression d’écrire depuis toujours et de toujours écrire. Je crois que l’on naît écrivain, ou que cela vient d’une façon de se construire enfant, une façon différente de regarder le monde. Après on devient écrivain ou on le devient pas, suivant l’écho que trouve notre oeuvre, mais on meurt écrivain, je mourrai écrivain. Ma vie est un roman alors je publie ma vie et d’autres fictions, j’essaie d’en faire une oeuvre d’art.Premier roman Voyage(s) écrit à Londres à l’age de 27 ans, deuxième roman Passage, écrit à Montréal à 32 ans.Je m’intéresse beaucoup à l’auto publication, je pense que nous sommes au début d’une ère nouvelle pour le livre et les auteurs, j’espère y trouver ma place.

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    Il est une fois O - Bengano

    Il est une fois O

    Bengano

    Copyright © 2012

    Publié sur Smashwords

    ISBN 9781311712943

    Tous droits réservés. Aucune partie de ce contenu ne peut être reproduite, distribuée ou transmise par aucun support, incluant photocopie, enregistrement ou toute autre méthode électronique, sans autorisation préalable de l’éditeur, excepté dans le cas de brèves citations et autres usages non-commerciaux autorisés par la loi sur le copyright.

    Kali-Juga, ou âge de Kali : Age de querelle et d’hypocrisie, dernier d’un cycle de quatre, il dure 432 000 ans (celui où nous vivons a commencé il y a 5000 ans), il est essentiellement caractérisé par la disparition progressive des principes de la religion et l’unique souci de confort matériel.

    Je crois que j’avais atteint l’état de bouddha par moi-même, que Krishna me l’a signifié mais que je n’ai pu le rester. C’est comme si Krishna n’avait pu me sauver dans ce Kali Juga.

    Il me semble que l’existence de Krishna est la meilleure chance pour ce monde. Mais va-t-il décider de l’annihiler ou de le sauver… ? Quel est s’il existe ce qu’il considère l’ordre des choses ? Un vingt et unième siècle dominé par Krishna serait la plus belle des choses. A-t-il ce pouvoir ? J’ai cru être un avatara et je l’ai dit mais personne ou presque ne m’a cru. C’était en 2005 que tout cela est arrivé. Puis mon cerveau a réintégré le coté obscur, là où il n’y a rien. Là où je suis aussi certain de la non-existence de Dieu que je l’étais de son existence.

    Maria t’en souvient-il toi qui était à Londres cette année-là et qui m’a croisé alors que je chantais le Maha Mantra sur Leicester Square ? Toi et ta sœur m’ont entendu et vous m’avez suivi. Je me souviens aussi de deux italiennes rencontrées près du mandala de l'Imperial War Museum. Je vous expliquais, vous deux italiennes, que parfois j’étais bouddha et que parfois Krishna venait en moi. Entonne 1 art O je m’appelais ou Ben, c’est selon, Ben Gano. J’avais atterri chez les sœurs de Mère Teresa après que ma carte bancaire fut avalée par une machine. J’avais pris une chambre d’hôtel à Elephant and Castle, c’est là que j’ai eu ma première phase si particulière. Un état de méditation intense, de connexion avec quelque chose, où je récitais des noms et semblais monter des étages devant en éther face à moi. J’enregistrais le tout avec mon dictaphone mp3.

    Le lendemain dans l’ascenseur je croisais une mère et son fils Quentin. Ils venaient de France pour une retraite bouddhiste et Quentin semblait prêt à me croiser. Ce moment eu quelque chose de magique, mais quand je suis finalement allé au temple bouddhiste afin d’y retirer un peu d’argent qu’ils m’avaient envoyé à leur retour en France, je fus très déçu. J’attendis le moment d’y aller, j’attendis de sentir qu’il était le moment d’y aller. J’entrais souvent en méditation à cette époque. Lorsque je m’y rendis je me souviens avoir trouvé sur le chemin une petite bouteille d’eau de Volvic. L’eau même que je buvais au robinet des ma naissance. Je suis né au pied de ce volcan ; cette fois-ci, pourrait-on dire. Arrivé au temple je le trouvais fermé, ce qui me déçut. Je sonnais et l’on m’ouvrit. Ils venaient d’avoir une panne d’électricité et nous restâmes dans le noir. Je demandais Lobsang Champé comme on me l’avait dit, il devait être au courant. Il me parut juste suffisant et en tout état de cause non prêt à la rencontre. Je lui laissai l’argent.

    C’est chez les sœurs que je rencontrais mon frère ai-je envie de dire, un type qui lui aussi avait fréquenté le temple. Alex il s’appelait. Un homme qui perdait souvent la tête, déchirant alors tous les dessins qu’il faisait, toutes ses traces.

    Je me souviens d’un autre homme, un Portugais, qui décida de m’appeler Sala. Le soir il faisait des mandalas sur des feuilles à dessins, sans même savoir ce qu’était un mandala.

    La mère principale m’avait accepté pour quelques jours, la pension était face au musée, le musée était gratuit, le récit des autres guerres. Je me souviens avoir croisé des adolescents et de leur avoir dit que j’étais Nemopode. Toi qui me lis sache-le. Avatar Bengano Nemopode Bouddha O. I am O vert so.

    Je traînais beaucoup dans les bibliothèques, bibliothèques dont j’avais encore la carte car j’avais vécu à Londres quelques années auparavant. Mon numéro de sécurité sociale était lui aussi encore valide. Je dormais dans les parcs. Souvent le Burguess Park. Les chiens des promeneurs venaient me renifler le matin, me sentaient sous ma couverture que j’avais posée sur moi au cœur de la lune ou de la voie lactée. Oui je dormais là. Et vous, où dormiez-vous ?

    Parfois des cages d’escaliers, chauffées, repérées.

    Des synchronicités, des hasards me conduisaient ça et là en diverses aventures. J’étais O, très O, bouddha O. Et le bouddha a naturellement été conduit devant Krishna à Soho Street. Je ne sais plus comment j’avais atterri là. J’y allais souvent, très souvent. Pour eux j’étais O, that was my name. Kishor asked me first time if I was OK to be his Krishna spiritual brother. Hare Krishna my friend, chant with me my victory mantra :

    Jaya Sri Krsna

    Caitanya Si Ad

    Vert Am

    O Eternam ♫

    Kishor is a bhakta.

    Kishor est un bhakta, une sorte de prêtre dévoué à Krishna, un part de la Conscience de Krishna.

    Moi je chantais devant les caméras publiques.

    Is Big Brother God ?

    What is God ?

    Who is God ?

    Where is God ?

    Archita visitait le temple et avait 23 ans, un jour de lecture de la Bhagavad Gita, elle me remarqua et me parla. Elle semblait à la fois être mon élève mais aussi en tout point mon professeur sur sa connaissance de sa religion. Archita était marié, son mari, indien lui aussi était en Australie. Nous communiquions par Internet et elle conservait mes enregistrements sonores, car je gardais des enregistrements sonores, de ce que je vivais je gardais la trace. Je ne sais trop comment j’atterris à Depford mais j’y restais aussi un moment, d’abord dans un squat puis sur un bateau. Ah oui il y eu aussi The Marching Band, fanfare surréaliste chez qui je restais un petit moment. The Marching Band était une fanfare qui jouait en marchant dans les rues les plus improbables de Londres. Nous étions près de Greenwich et j’y allais souvent, rentrais là-bas en méditation. J’avais alors l’impression de suspendre le temps. Comment expliquer ce qui m’arrivait

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