L’interview

Par Dave Kerlson

L'interview" est un roman captivant qui explore la dynamique complexe entre Jacob Whitmore, héritier de l'empire Whitmore et Creighton, et Leila, une femme intrépide qui défie ses attentes. Jacob, aux prises avec les insécurités et les désirs hérités de son père, est immédiatement attiré par Leila, mais sa détermination à la soumettre et à la contrôler menace de faire dérailler leur connexion naissante. L'histoire suit leur relation tumultueuse, alors qu'ils naviguent entre désir et pouvoir, explorant les luttes intérieures de Jacob et sa lutte pour équilibrer son désir de stabilité et son mode de vie tumultueux. Le titre "L'interview" capture le conflit intérieur de Jacob et la tension entre son désir d'amour et sa colère envers son père.

• Langue: Français
• Éditeur: Malica
• Date de sortie: 14 juin 2024
• ISBN: 9798227915733

Aperçu du livre

L'interview est un roman captivant qui explore la dynamique complexe entre Jacob Whitmore, héritier de l'empire Whitmore et Creighton, et Leila, une femme intrépide qui défie ses attentes. Jacob, aux prises avec les insécurités et les désirs hérités de son père, est immédiatement attiré par Leila, mais sa détermination à la soumettre et à la contrôler menace de faire dérailler leur connexion naissante. L'histoire suit leur relation tumultueuse, alors qu'ils naviguent entre désir et pouvoir, explorant les luttes intérieures de Jacob et sa lutte pour équilibrer son désir de stabilité et son mode de vie tumultueux. Le titre L'interview" capture le conflit intérieur de Jacob et la tension entre son désir d'amour et sa colère envers son père.

Chapitre 1

Je déteste mon père.

Je me déplaçai dans le fauteuil en cuir, un air renfrogné prêt à partir quand il se souvint enfin que j'existais.

L'air renfrogné se durcit lorsque la blonde aux longues jambes laissa échapper un rire aromatisé au bubble-gum.

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Mon père a répondu avec son propre rire, un de ses rires pleins de ventre que je n'avais jamais entendus à la maison. C'était le son d'un bonheur total et sans vergogne... et j'avais seize ans, pas six – je n'ai pas manqué le courant de désir sous-jacent dans ce son.

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Mais juste au cas où il ne serait pas évident qu'il flirtait avec une nana, il attrapa le dossier dans ses griffes et passa le bout de ses doigts sur ses jointures. Ses joues étaient ainsi assorties à sa jupe crayon rouge.

Mon air renfrogné fut oublié, une pensée nauséabonde me traversa la tête. À l'étranger, à des milliers de kilomètres de ma mère, mon père était à la hauteur, Playboy milliardaire de l'année. Après que tante Al en ait eu assez de ses conneries, il a organisé des soirées remplies de femmes légèrement vêtues et de musique à couper le souffle qui ferait frapper les flics, mais ce n'était qu'une question de temps avant qu'ils ne rient et ne plaisantent avec le seul et unique Carlton Whitmore.

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Mais comme si un interrupteur avait été actionné, arraché à un rêve fou et renvoyé dans une réalité ennuyeuse, nous montions à bord du jet et mon père s'assurait que je comprenne que ce qui s'était passé en Europe restait en Europe. À la maison, il était calme et renfermé, loin de la vie trépidante de la fête, le mec lisse qui faisait que toutes les femmes le regardaient avec un regard qui me rendait jaloux.

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Rien de tout ce charme n’existait à la maison. Et même au bureau, il semblait détaché envers les autres femmes. Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui, il semblait inconfortablement sur le point d'attraper le cul d'une blonde alors que j'étais assis à vingt mètres de moi.

Allait-il divorcer de maman ? Était-il enfin prêt à admettre qu'ils se rendaient mutuellement malheureux ?

Lorsque le blond se pencha pour lui murmurer quelque chose à l'oreille, je serrai les poings et me raclai la gorge assez fort pour que tout l'étage puisse l'entendre.

Elle recula et me lança un sourire charmant et plat. Votre père est un patron incroyable.

Je n'ai pas rendu le sourire. Je parie qu'il l'est.

Cela a retenu toute son attention. Il se tenait à chaque centimètre de sa silhouette de 6 pieds 3 pouces et renvoya la blonde sans dire un mot. On pourrait penser qu'une alarme s'est déclenchée avec la façon dont ses talons aiguilles l'ont réservé depuis la pièce.

Quand nous étions seuls, mon père s'éclaircit la gorge, arrachant un sourire de ses fesses. Elle est quelque chose, hein?

Je lui ai juste rendu le regard noir. Je suis sûr qu'elle et maman s'entendraient très bien.

Cela effaça le sourire de son visage. Pendant un bref instant, le mur de fer de l’indifférence avait disparu. Le regard que j'ai vu n'était pas de la colère ou un sortilège de conneries qu'il lançait aux femmes comme un singe jetant des excréments. C'était une démission.

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Je connaissais bien ce