Une Proposition Irrésistible

Par Maddie Castel

Une jeune serveuse innocente prête à tout pour s'en sortir va obtenir une proposition des plus excitantes de la part d'un homme d'affaires mystérieux et séduisant. Une nuit avec un homme pour vingt mille euros... Pourra-t-elle résister?

Elle n'aurait jamais pensé vendre sa virginité à quelqu'un... jusqu'à aujourd'hui.

(Un duo excitant vous attend dans cette histoire réservée à un public averti! Scènes très chaudes à lire pour un moment d'érotisme! 18 ans ou plus!)

• Langue: Français
• Éditeur: RomansBrûlants
• Date de sortie: 15 févr. 2024
• ISBN: 9798224581412

Aperçu du livre

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UNE PROPOSITION IRRÉSISTIBLE

J’avais désespérément besoin d’un travail et d’un bon. Un qui serait bien payé et qui ne m’obligerait pas à faire des choses horribles. J’avais l’habitude de travailler et de faire des tâches ingrates mais cette fois, je voulais viser plus haut. 

J’ai grandi dans un foyer difficile, pourrait-on dire. Mon père était parti depuis que j’étais toute petite et ma mère était toxicomane. Drogues, alcool, tout y passait. À un moment donné elle en était accro, mais de nos jours, elle s’en tenait principalement aux médicaments sur ordonnance, qu’elle obtenait grâce à moi. 

Et oui, vous m’avez bien entendu. Elle utilisait sa propre fille pour nourrir sa dépendance. Cela a commencé quand j’avais environ treize ans et que j’avais besoin d’une intervention chirurgicale pour soigner une blessure que j’avais subie en jouant au volley-ball. Ils m’ont donné des trucs assez costauds pour la récupération, mais je n’ai pas tout pris. 

Au lieu de cela, ma mère sortait des pilules tous les soirs du récipient, et quand il n’y en avait plus, elle a trouvé une excuse et a appelé le médecin pour obtenir plus de pilules à mon nom. Cela a duré environ un an, le médecin a continué à me prescrire des anti-douleurs. Je n’en ai jamais vu un seul après un mois de convalescence après mon opération. Et tant mieux, cela voulait dire que je n’avais pas mal. Mais le fait que ma mère m’utilisait pour se procurer de la drogue m’ennuyait. 

Les années qui ont suivi étaient remplies de visites chez le médecin, presque tous les mois, jamais le même docteur, avec moi étant soudoyée ou forcée par ma mère à inventer des douleurs, des maux et des problèmes au hasard. J’avais