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Colocs coquins: six histoires intimes entre colocataires
Colocs coquins: six histoires intimes entre colocataires
Colocs coquins: six histoires intimes entre colocataires
Livre électronique60 pages47 minutes

Colocs coquins: six histoires intimes entre colocataires

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À propos de ce livre électronique

Plongez dans l'univers enjoué de « Colocs coquins », une anthologie captivante de six récits sensuels mettant en scène des colocations empreintes de séduction. Laissez-vous séduire par ces histoires irrésistibles où les frontières de l'amitié et du désir s'estompent, révélant des passions inattendues.

 

À travers ces pages, découvrez des colocations où les étincelles fusent et les liens se transforment en délices érotiques. Chaque récit vous transporte dans un univers où la complicité devient compagne des jeux de séduction, et où les désirs cachés prennent vie avec une intensité exquise.

 

« Colocs Coquins » vous entraîne dans un tourbillon de sensualité. Plongez dans ces histoires passionnées, où l'exploration des désirs révèle des liaisons enflammées et des émotions en ébullition.

LangueFrançais
Date de sortie11 août 2023
ISBN9798223085010
Colocs coquins: six histoires intimes entre colocataires
Auteur

Giselle Renarde

Giselle Renarde is a queer Canadian, avid volunteer, and contributor to more than 100 short story anthologies, including Best Women's Erotica, Best Lesbian Erotica, Best Bondage Erotica, and Best Lesbian Romance. Ms Renarde has written dozens of juicy books, including Anonymous, Ondine, and Nanny State. Her book The Red Satin Collection won Best Transgender Romance in the 2012 Rainbow Awards. Giselle lives across from a park with two bilingual cats who sleep on her head.

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    Aperçu du livre

    Colocs coquins - Giselle Renarde

    Colocs coquins

    Six histoires intimes entre colocataires

    Giselle Renarde

    La petite culotte de ma colocataire

    MOI, J’AI GRANDI DANS une ville si petite que tout le monde achetait leurs sous-vêtements à la station-service. Et la station-service ne stockait pas exactement la pointe de la mode. La seule option pour les femmes était des culottes en coton avec des élastiques si épais qu'elles étaient visibles à travers ton jeans.

    Au moins les hommes avaient le choix des slips ou caleçons.

    Quand j'ai déménagé en ville, le monde s'est ouvert pour moi. Il y avait des boutiques pour tout: le thé, les bougies, du chocolat, la lingerie. Ces jolis petits magasins m'ont fait peur. Ils étaient tellement chics et chers. 

    Je ne m'attendais pas à ce que les loyers soient aussi élevés en ville. Je n'avais pas d'argent pour quoi que ce soit de luxe.

    Ma colocataire Trissa vivait une vie très différente.  En juger par les appels d’agences de recouvrement, elle accumulait une dette plutôt grave par cartes de crédit.

    Trissa était une employée d’entrée de gamme, tout comme moi, mais elle dépensait de l'argent comme la reine de Saba. 

    Elle dépensait son argent pour les chocolats, les bougies ... et surtout la lingerie séduisante.

    Et comment ai-je pu savoir quel genre de sous-vêtements Trissa achetait ?

    Est-ce que je me faufilais dans sa chambre quand elle sortait ?

    Non ! Bien sûr que non.

    Eh ben, pas d'habitude.

    Mais un dimanche après-midi, quand Trissa était sortie de l'appartement et il n'y avait rien à la télé, je me suis retrouvée dans sa chambre.

    Là où j'ai grandi, toutes les filles se ressemblaient. Nous étions de petites tailles, mais dodues comme des poupées. Tout le monde avait l'air à peu près pareil.

    Trissa n'était pas potelée. Elle était grande comme un arbre.  Ses cheveux étaient bouclés, pas lisses. Elle était une rouquine passionnée. C'est peut-être pourquoi j'étais si fascinée par elle.

    Et fascinée par sa culotte.

    Elle n'était pas exactement une maniaque de la propreté. Ses vêtements étaient éparpillés partout, alors j’ai pris une petite culotte du sol. 

    Un slip en dentelle rouge.

    Je n'avais jamais rien vu d'aussi sexy.

    Renversant la culotte de Trissa, j’ai regardé le gousset de coton. Ça n'avait pas l'air sale, mais ça n'avait pas l'air propre.

    Je l'ai soulevé à mon nez et j’ai inspiré profondément.

    L'odeur de la chatte de ma colocataire a rempli mes poumons. Je ne pouvais pas croire à quel point elle sentait sensass.

    Je ne sais pas ce qui m'a poussé à me déshabiller, mais j'ai enlevé mon pyjama. Nue dans la chambre de ma colocataire, je me suis regardée dans le grand miroir.

    Non, je ne voulais pas voir mon corps moche.

    J'ai glissé la culotte de Trissa de plus en plus haut le long de mes cuisses et ... voyons ... c'était bien mieux.

    Cette petite culotte était serrée comme l'enfer, pas créé pour des hanches aussi larges que les miennes. Mais je me fichais que ses sous-vêtements coupaient la circulation dans mes cuisses. L'idée que la chatte de Trissa avait été évasée contre le même tissu qui me serrait maintenant me donnait un frémissement brûlant.

    Un assortiment de soutiens-gorge était accroché sur la poignée de la porte de Trissa.  J’ai trouvé celui qui correspondait à la culotte, et j'ai mis mes seins nus à l'intérieur des bonnets. Mes seins explosaient de la fine dentelle, créant le plus magnifique décolleté que j'ai jamais vu.

    Quand je me regardais dans le miroir, j'étais sexy comme un mannequin. La lingerie de Trissa faisait toute la différence.

    J'ai tracé mes doigts le long des bords du soutien-gorge de Trissa, et la chair de poule s'est répandue à travers mes bras. Quand j'ai poussé mes seins ensemble, mes genoux m’ont presque lâché. J'ai dû regarder par la fenêtre, à travers le

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