Age du Troisieme Arcon: Les Aventures d'Ulden, l'Agent du Bandit: Age du Troisieme Arcon, #1

Par S. C. Coleman

Le traité de Molina a été rompu et les ombres s'allongent sur le Grand Continent. Dans ce prochain épisode, après les Empires de verre, l'Âge du Troisième Arcon verra la montée d'un nouveau général, un général de généraux, pour diriger une coalition de forces contre les ennemis de Molina. Le continent devient de plus en plus dangereux, alors que quatre champions partent en mission. Le premier de ces champions est Ulden, envoyé dans un pays étranger à la recherche d'un célèbre chasseur. Lors d'une mission particulière, Ulden sera mis au défi d'une manière qu'il n'aurait jamais pu imaginer. Il rencontrera des sites étranges et des compagnons étrangers, alors qu'il se fraye un chemin à travers un pays étranger. Avec de nombreux périls, de nombreux chemins capricieux se présenteront ; menaçant de l'éloigner de son objectif. Chargé de trouver un chasseur spécial, dans les marécages profonds et sombres des terres du sud, Ulden doit se frayer un chemin à travers les eaux couvertes de brume et éviter tous les dangers qui s'y cachent. Ne portant que ce qu'il peut porter et arborant une épée épaisse, Ulden ne parle pas la langue, ni ne comprend les coutumes. Il doit compter sur la gentillesse des habitants, parfois traîtres.

• Langue: Français
• Éditeur: S. C. Coleman
• Date de sortie: 20 avr. 2022
• ISBN: 9781393468714

Aperçu du livre

Sommaire:

Le traité de Molina a été rompu et les ombres s'allongent sur le Grand Continent. Dans ce prochain épisode, après les Empires de verre, l'Âge du Troisième Arcon verra la montée d'un nouveau général, un général de généraux, pour diriger une coalition de forces contre les ennemis de Molina. Le continent devient de plus en plus dangereux, alors que quatre champions partent en mission. Le premier de ces champions est Ulden, envoyé dans un pays étranger à la recherche d'un célèbre chasseur. Lors d'une mission particulière, Ulden sera mis au défi d'une manière qu'il n'aurait jamais pu imaginer. Il rencontrera des sites étranges et des compagnons étrangers, alors qu'il se fraye un chemin à travers un pays étranger. Avec de nombreux périls, de nombreux chemins capricieux se présenteront ; menaçant de l'éloigner de son objectif. Chargé de trouver un chasseur spécial, dans les marécages profonds et sombres des terres du sud, Ulden doit se frayer un chemin à travers les eaux couvertes de brume et éviter tous les dangers qui s'y cachent. Ne portant que ce qu'il peut porter et arborant une épée épaisse, Ulden ne parle pas la langue, ni ne comprend les coutumes. Il doit compter sur la gentillesse des habitants, parfois traîtres.

Chapitre un

La Loge Lanterne

Parmi les sons sans fin des grenouilles et des oiseaux, le gargouillement de l'eau qui coule lentement, qui racontait des courants paresseux envahissant les mares stagnantes, et les rots occasionnels des gaz des marais, le grincement d'un seul bateau serait inaudible. C'était le marais qui ne dort jamais et le domaine du peuple Ikky-Huki. Dans la région méridionale du grand continent, ce marais pouvait être trouvé, mais voyager à travers le vaste paysage et traverser ses eaux savoureuses était une tâche périlleuse. Cela a fourni la plus grande défense pour ceux qui y vivaient, qui étaient les seuls à pratiquer encore les anciennes traditions du continent. Du moins, c'est comme ça qu'ils l'ont vu. En raison d'une épaisse canopée de végétation, le marais a à peine vu la lumière du soleil. En fait, cette zone ressemblait à un manoir vert, avec des murs vivants sans fin. Outre les vignes, des rochers déchiquetés briseraient la surface aqueuse stagnante du sol de la forêt, avec un seul radeau. C'était une méthode de voyage courante pour l'Ikky-Huki, mais ce radeau particulier avait un autre type de voyageur à bord. Alors que les visiteurs du marais étaient rares, il y en avait quelques-uns qui visitaient occasionnellement l'Ikky-Huki. Ce bateau ne transportait pas un tel voyageur, car cet homme mystérieux n'avait jamais voyagé aussi loin au sud. Il s'est assis à l'avant du bateau-radeau et a gardé un chiffon sur son nez, tandis que ses compagnons ont laissé leur visage exposé aux éléments. Tandis que le bateau avançait paresseusement, en grinçant légèrement, les quatre lanternes à ses coins dansaient avec lui. Il s'agissait de lanternes en verre importées du royaume Hohen au nord, et très appréciées par les Ikky-Huki ; qui ont ajouté leurs propres décorations et ornements aux lanternes. Pendant ce temps, le radeau, en forme de diamant, était illuminée par ces lanternes dépareillées, avec une myriade de dessins gravés sur leurs surfaces de verre. En effet, les Ikky-Huki étaient réputés pour la gravure sur verre, notamment sur les lanternes Hohen, mais le visiteur n'était pas venu pour cette curiosité. Il était à la recherche d'un prix plus illusoire. Un chasseur particulier, célèbre dans tout le continent, résidait dans ces marais. Certains pensaient que le chasseur était davantage un mythe; un conte simple pour effrayer les enfants. Pourtant, mythe ou pas, ce nouveau voyageur était déterminé et désespéré. Apparemment, ce chasseur pourrait suivre un type particulier de proie. En fait, la légende du chasseur était déguisée dans une autre légende locale. Comme les nombreuses couches d'un oignon, il n'y avait aucune certitude que le chasseur ait même existé. Ce voyageur espérait simplement que les gens du marais viendraient avec des informations. La recherche de l'individu illusoire et ce paysage mystérieux et inconnu tourmentaient l'esprit des voyageurs. Il était à peine capable de dormir, la plupart des nuits, et se réveillait toujours avec le poids de l'inquiétude traînant sur son âme.

Ikk-kaka-hik. Des deux compagnons qui escortaient l'inconnu, le plus âgé et le guide du bateau, appelèrent dans l'obscurité brumeuse devant eux. Lentement, en réponse, quelques lanternes commencèrent à apparaître au loin. Ces lumières dansaient moins que celles du bateau, mais se déplaçaient toujours avec les courants paresseux. De plus, il était clair pour le voyageur que ces lumières appartenaient à un quai. Après quelques secondes, deux longues rangées de lumières étaient visibles, et le quai est devenu visible après quelques secondes de plus. C'était un quai très branlant, avec des parties déjà pourries. Cependant, il était étonnamment grand, pour la façon dont il avait été bien caché. En fait, ce quai était flanqué de rangées de grands arbres marécageux et d'un labyrinthe de racines délicates juste sous la surface. Pour aggraver les choses, les racines avaient de longues épines de cinq pouces qui pouvaient facilement perforer le radeau en diamant. Cependant, heureusement, le vieil homme était un navigateur très habile, et il mena facilement le radeau jusqu'au quai. Alors que le voyageur et ses compagnons portaient de lourds manteaux, le docker ne portait presque rien. Il avait un simple tissu enroulé autour de ses déchets et couvrant ses parties sensibles en dessous, avec un châle coloré drapé sur ses épaules. Le préposé était très maigre, avec les deux cages thoraciques visibles, et sa peau pendait comme un squelette comme des chiffons pourris. Il avait quelques cheveux, mais la plupart avaient quitté son corps depuis un moment. En fait, le docker semblait presque mort, et son corps tremblait comme une brindille fragile ; bien qu'il y ait très peu de vent. Le préposé au quai n'a formé aucun mot sur ses lèvres, mais s'est simplement mis au travail pour attacher le radeau en diamant au quai. En attendant de voir comment ses compagnons naviguaient sur le quai, le voyageur resta à l'intérieur du radeau. Alors, le premier à exister était le jeune homme et fils du navigateur du radeau. Il a sauté, habilement, du radeau et sur le quai. Cependant, il était trop impatient et glissa sur les planches visqueuses du quai. En tombant durement sur le quai, le jeune homme a fait se briser un morceau de bois pourri et le faire tomber dans l'eau marécageuse en contrebas. L'éclaboussure qui a suivi a arrosé tout le groupe d'eau puante. En grommelant, le navigateur du radeau est sorti après son fils. Sauf que le père n'a pas trébuché, glissant facilement sur le quai. Ensuite, le père et le fils boitillent le long du quai lisse et dans l'obscurité. Le voyageur a supposé qu'ils allaient vers une destination, qui, espérons-le, avait de