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Tout est bien qui finit bien: Nouvelles
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Tout est bien qui finit bien: Nouvelles
Livre électronique72 pages1 heure

Tout est bien qui finit bien: Nouvelles

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À propos de ce livre électronique

"Tout est bien qui finit bien" est un roman de Jean Robert Donwoung Teinkela. Composé de 04 nouvelles et 107 pages, ce roman est un récit à la première et la deuxième personne. A travers "tout est bien qui finit bien", l'auteur traite différents thèmes sur la réalité et la fiction. Jean Robert Donwoung Teinkela (Robert's Dit Excellence) a voulu sensibiliser les lecteurs au sujet des problèmes quotidiens et des leçons à en tirer, ceci en laissant le narrateur nous faire vivre certains obstacles de notre vie quotidienne et les différentes voies pour s'en sortir, en tant que personnage principal. Jean Robert Donwoung Teinkela est resté très positif afin que tous les lecteurs ne baissent jamais les bras lorsqu'ils sont en face d'une situation difficile, car il y a toujours une voie de sortie, d'où " tout est bien qui finit bien "
LangueFrançais
Éditeurepubli
Date de sortie11 sept. 2017
ISBN9783745019278
Tout est bien qui finit bien: Nouvelles

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    Aperçu du livre

    Tout est bien qui finit bien - Jean Robert Donwoung Teinkela

    Tout est bien qui finit bien

    Titel Seite

    Introduction

    «Tout est bien qui finit bien» est un roman de Jean Robert Donwoung Teinkela. Composé de 04 nouvelles et 107 pages, ce roman est un récit à la première et la deuxième personne. A travers «tout est bien qui finit bien», l'auteur traite différents thèmes sur la réalité et la fiction. Jean Robert Donwoung Teinkela (Robert's Dit Excellence) a voulu sensibiliser les lecteurs au sujet des problèmes quotidiens et des leçons à en tirer, ceci en laissant le narrateur nous faire vivre certains obstacles de notre vie quotidienne et les différentes voies pour s'en sortir, en tant que personnage principal. Jean Robert Donwoung Teinkela est resté très positif afin que tous les lecteurs ne baissent jamais les bras lorsqu'ils sont en face d'une situation difficile, car il y a toujours une voie de sortie, d’où « tout est bien qui finit bien »

    UN JEUNE CAMEROUNAIS PARLE DE L’ALLEMAGNE

    Je rêvais comme tous les jeunes Africains d'aller poursuivre mes études supérieures en Europe. Très soucieux de ma réussite, mes parents ont demandé conseil au sujet de la meilleure terre d'accueil pour une bonne formation supérieure, et l'Allemagne leur a été conseillée.

    Après le baccalauréat, j'ai constitué un dossier complet pour la demande d'un visa étudiant, et par la grâce de Dieu, la réponse a été positive.

    Quand je suis arrivé en Allemagne, j'ai été accueilli par un ami avec qui je devais partager la même chambre pour quelques mois, en attendant que je trouve ma propre chambre.

    En Allemagne, trouver une chambre dès son arrivée n'est pas chose aisée.

    Le «logement étudiant» chez un particulier est plus cher qu'un «logement étudiant» offert par les universités. Le manque d'offres et la méfiance de certains propriétaires vis à vis des jeunes étudiants étrangers et plus particulièrement Africains, rendent la recherche de logement étudiant parfois longue. C'est un peu moins compliqué pour le «logement étudiant» offert par les universités, mais il faut parfois attendre 06 mois voire plus pour obtenir une chambre, car la demande, dit-on, est plus élevée que l'offre.

    Il ne suffit pas seulement d'avoir un logement pour commencer les études à l'université, car tous les étrangers qui n'ont pas l'Allemand comme langue maternelle, doivent d'abord réussir leur examen de cours de langue.

    La préparation de cet examen se fait dans les centres linguistiques. Cette préparation dure selon le niveau de chaque étudiant, et l'examen en question s'appelle DSH (Deutsche Sprachprüfung für den Hochschulzugang), mais on a aussi la possibilité de composer plutôt le Test DaF.

    DSH

    Le DSH est un sésame. Certains étrangers qui veulent poursuivre leurs études supérieures en Allemagne se voient obligés de voyager de villes en villes à la recherche de cet examen.

    Il est organisé par chaque université, son contenu diffère d'une université à une autre, mais il suit par contre un même cadre qui est le même partout en Allemagne. Pour réussir au DSH, une bonne préparation dans une école de langue en Allemagne est indispensable. La réussite à cet examen vous assure, après inscription à l'université, le droit à un séjour d'une durée d'un à deux années renouvelables. En cas d'échec, une seconde chance vous est accordée; si elle est encore ratée, vous risquez d'être rapatrié si vous avez déjà fait plus d'un an en Allemagne. Certains étrangers de l'Afrique francophone se trouvent parfois obligés d'abandonner le rêve allemand pour aller poursuivre leurs études en France ou en Belgique, afin d'éviter cette étape cruciale qu'est l'examen de langue. Les autres se voient en train de dépenser toute leur caution d'une valeur estimée à plus de 7500 Euro, parce qu'ils voyagent de villes en villes pour composer dans différents centres afin d'augmenter leurs chances de réussite. Il est nécessaire pour tout nouvel arrivant de chercher à prendre contact avec les anciens déjà sur place, capables de lui donner des conseils très utiles pour réussir à préparer et à obtenir l'examen de langue.

    Une fois cette étape préliminaire obligatoire passée, la vie estudiantine difficile, mais pas insurmontable, vous est ouverte.

    L'obtention du DSH ne permet pas à tous les bacheliers d'Afrique l'accès direct à une université allemande, car le baccalauréat de certains pays africains n'y est pas reconnu, et une remise à niveau est recommandée d'où son appellation «Studienkolleg». Cette remise à niveau dure un an.

    Le Système Supérieur en Allemagne

    Le système des études supérieures en Allemagne se distingue essentiellement du système supérieur Camerounais. En Allemagne, les études s'organisent sur une année académique divisée en deux semestres: Le semestre d'hiver qui commence en octobre et finit en février, et le semestre d'été qui commence en avril et finit en juillet. L'inscription dans les universités allemandes est valable pour un semestre renouvelable. En plus de possibles droits de scolarité, les étudiants doivent payer une cotisation semestrielle au moment de leur inscription ou leur réinscription. Dans certaines régions, le paiement de la cotisation semestrielle donne droit à un ticket semestriel qui permet aux étudiants d'utiliser gratuitement les transports publics dans toute la région. Cette cotisation varie selon les universités.

    Les établissements d'enseignement supérieur peuvent être classés en deux catégories à savoir: Les universités et les Fachhochschulen (comme des instituts universitaires de technologie UIT). Les études à l'université nécessitent de la part de l'étudiant une liberté dans le choix de ses matières et l'organisation de ses études.

    La particularité des études à l'université est avant tout théorique et tournée vers la recherche. Parmi les disciplines qu'on y enseigne, on peut citer:

    La médecine, le droit, les lettres, les sciences humaines, les sciences sociales, les sciences de la vie, les sciences économiques, la formation des enseignants et certaines disciplines d’ingénieure.

    La Fachhochschule est une particularité allemande très populaire. Sa particularité est constituée entre autres par sa forte orientation pratique, son enseignement dispensé à des petits groupes d'étudiants ainsi que les formations tournées vers le monde professionnel.

    Avant que le système Bachelor-Master ne soit adopté, la durée des études dans une Fachhochschule était moins longue.

    Il fallait 08 semestres à un étudiant

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