L'Art de Mourir

Par VIOLETTE JEAN

 

Au sujet de : L'ART DE MOURIR,

 

Nous savons tous que notre mort est inéluctable. Mais parfois, l'échéance nous est donnée, et cette terrible information, il se trouve qu'elle nous offre un choix : comment l'on va mourir. C'est le cas de Sophie, une septuagénaire qui a choisi de vivre ses derniers jours en réalisant un de ses rêves. Celui de s'évader de son ancienne vie, et de s'installer dans une Île du Pacifique. Ses courts écrits n'existent que dans le but de laisser un peu d'elle-même, à travers quelques-uns de ses dessins qu'elle partage avec les lecteurs. Ses 18 planches colorées, travaillées amoureusement, célèbrent la Vie, la Beauté du monde vert, et la Création de la vie, et surtout, la Féminité.

• Langue: Français
• Éditeur: CHRISTINE MYERS
• Date de sortie: 4 juin 2021
• ISBN: 9798201529697

VIOLETTE JEAN

ABOUT THE AUTHOR: I am at the early stage of a writing career. Forever I have been an avid reader, and over the years, stories of my own, have popped into my head. Humbly, but with determination, I have resolved to transfer them on paper. Born in France, I have been from a very young age, fascinated by the English language. Years later, having lived in the USA, I have taken upon myself to write my stories in English, although I also write in French, when I feel the story benefits from it. It has been a challenge, but I have enjoyed every minute of it. At this point, I would be grateful to have the opinion of readers everywhere. As for what genre my writing is? I don't really know, since my stories can differ widely, but all have in common, usually, a specific time period, and death. But, this is why, I really need you, readers, to guide me in this endeavor, and I think we have some interest in common, a really good story.

Aperçu du livre

Les personnages et les événements de ce livre sont fictifs. Toute similitude avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, est une coïncidence et n'est pas une représentation factuelle de l'auteur.

Chapitre 1.

L’ÎLE, Hope Island, par sa position géographique fût à certaines époques de son histoire, Anglo-saxonne ou Latine. Pour le présent qui nous intéresse, la voici à nouveau latine. Elle a cependant gardé son nom anglo-saxon — les indigènes ayant catégoriquement refusé d'en changer le nom une nouvelle fois, et de toute façon, entre eux, il l'appelle dans leur langue : Rugooa Tokoa — Mais laissons cela de côté pour le moment, car à cette période de son destin, cela n'a aucune importance dans notre histoire.

JE SUIS NÉE, IL Y A bien longtemps, 70 ans, précisément, et mes géniteurs m'ont prénommé Sophie. Vous vous demandez alors, quel rapport entre Hope Island et Sophie ? Franchement, pas grand-chose, si ce n'est que pour un temps indéterminé, nos destins s'entrecroisent. Durant la cinquième année de mon repli de l'univers des travailleurs, et dans un moment de grande lucidité, ma foi imposée par la réalité physique de notre espèce, j'ai décidé et choisi par la suite, d'imposer ma présence dans cette petite île Australe. Vivant auparavant dans un de ces énormes continents, qui s’étend du nord au sud de l’équateur, j'ai subi un coup de cœur pour une modeste parcelle de terre appartenant à l'archipel, Flores-Mille. Hope Island est loin d'avoir la notoriété d'autres îles mille fois plus belles, larges et attirantes. Justement, c'est cet aspect