Crois seulement !: La voix de Jean, l'apôtre du Christ

Par Pascal Teyssédou

Depuis plusieurs années, l’auteur est le porte-parole de Jean, l’apôtre bien-aimé du Christ.
Jean s’adresse à l’Homme égaré de ce siècle. Il lui parle de lui-même, de ses manquements à l’ordre, de son irrespect des lois universelles et sacrées, et des conséquences inévitables qui en découlent.
Il le met en garde quant à ses agissements et, par le rappel de la doctrine des évangiles, en alternant allocutions, poèmes et prières, il le réinitie à la sagesse qu’il a perdue et l’exhorte, dans le même temps, et sans plus tarder, à un retournement vers le Dieu Unique. Il l’invite au « sacrifice » de sa part d’humanité, afin que soit libéré l’Amour qui viendra sauver le monde.
Dans cet ouvrage, l’auteur a réuni les messages reçus jusqu’à ce jour, dont certains viendront éclairer les esprits tourmentés par la situation mondiale actuelle.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Thérapeute en Médecine Chinoise et porte-parole de Jean l’évangéliste, Pascal Teyssédou, né en 1962, est passionné par les Traditions orientales, Chrétienne et Taoïste. Il vit à Saint-Girons, en Ariège, aux pieds des montagnes Pyrénéennes.

• Langue: Français
• Éditeur: Le Lys Bleu Éditions
• Date de sortie: 11 sept. 2020
• ISBN: 9791037712042

Aperçu du livre

Crois seulement !

La voix de Jean, l’apôtre du Christ

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© Lys Bleu Éditions – Pascal Teyssédou

ISBN : 979-10-377-1204-2

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Il y a quelques d’années, la voix de Jean, l’apôtre bien aimé du Christ, s’est fait entendre à mon âme engourdie, comme l’est assurément celle de chaque Homme, avant que l’esprit de Dieu ne décide, par la grâce accordée, de l’éclairer des vérités demeurées, jusqu’alors, volontairement cachées.

Pourtant, rien ne laisser présager une telle aventure. À moins que, comme j’ai pu le confier ultérieurement, « l’espérance inconsciente d’une telle rencontre fût suffisante pour qu’elle advienne, et que celle-ci s’impose alors de manière inévitable ».

Jean m’enseigne et me demande de transmettre à mon tour ce qu’il me donne. Car, selon lui, en ces temps d’agitation qui malmènent le monde et les Hommes, il est urgent de réveiller les consciences et de les éveiller à la Vérité.

Jean appelle l’Homme à la Lumière, à l’Amour, à la Vérité, à la Vie. Car au fils des siècles, l’Homme s’est empêtré dans les mailles du filet d’un énorme mensonge qu’il a lui-même tissé avec foi et obstination, refoulant toujours davantage le Dieu Créateur en ses contrées mystérieuses rendues volontairement inaccessibles. Et du fait de cette négation de Dieu, et par le rejet de l’Amour, l’Homme est devenu son propre ennemi. Et voilà qu’aujourd’hui, se détruisant lui-même, il est sur le point de disparaître !

Alors, parce qu’Il garde toujours pour lui un Amour immense, Dieu appelle l’Homme. Il lui fait entendre Ses voix. Alors, à son tour, Jean m’interpelle.

Pourquoi moi ? Je n’en sais rien. Mais est-il besoin de savoir ?

Et serait-ce un péché impardonnable de se laisser tenter par quelques nobles vérités, qui veulent nous rappeler à nos manquements et nous conter les splendeurs de la grâce ?

Jean nous exhorte à la repentance, au pardon et au respect de la loi du Ciel. Car tout sera pardonné à celui qui revient à la Vérité par des œuvres de justice et de charité. Et seul celui-là sera sauvé.

Et à tous ceux qui trouveraient le verbe de Jean un peu trop acerbe, je dirais qu’il faut à l’Amour une lame tranchante bien affûtée pour percer la carapace de nos cœurs durcis par la haine et le mensonge.

Les paroles de Jean sont un feu ardent dans la glace du monde et de nos consciences, et il convient de l’accueillir, enfin, et sans crainte. Car en venant éclairer nos profondes et insoutenables ténèbres, il vient nous réveiller à l’Amour que nous ne cessons d’assassiner.

À cet Amour qui, pourtant, à Lui seul, sauvera le monde !

Crois seulement !

Les communications avec Jean ont commencé avec le premier message ci-dessous, associé à l’injonction de transmettre tout ce qui allait m’être donné.

« Elle est rompue la poche des eaux.

La Terre est prête à enfanter.

L’enfant doit maintenant naître au Feu.

Seul celui qui est Feu lui-même

Ne sera ni brûlé, ni consumé ! »

« L’enfant-humanité commence à ressentir les premiers signes d’asphyxie.

Son temps de gestation et d’expérimentation au sein de la matrice actuelle, qu’il a exemptée de sa dimension verticale, touche à son terme.

L’enfant sort timidement la tête et pressent déjà l’ambiance du Nouveau Monde qui l’attend, matrice du Verseau, mais qu’il craint de ne pouvoir assumer, car il sait déjà qu’il va lui réclamer une profondeur qu’il a jusqu’alors occultée.

Cependant, l’enfant est « retardé », car sa mère-patrie n’a su le nourrir convenablement du lait providentiel afin d’assurer sa croissance harmonieuse et ainsi le préparer à sa venue dans ce Nouveau Monde. Il est prématuré car la mère non respectueuse de la vie n’a su garder ses eaux. Elle ne peut, non plus, garder l’enfant davantage. La Vie appelle au devenir.

L’ère du Verseau fait entrer l’humanité dans une nouvelle dimension, au sein de laquelle va être libérée une énergie prête à un usage bien déterminé : la création du Nouvel Homme, fils de l’Homme actuel, avec des idéaux spirituels auxquels rien ne pourra résister.

La révolution sera spirituelle.

Ce Nouvel Homme, détenant le pouvoir de la semence Christ, vient semer. Cette semence germera au moment opportun pour donner le nouveau plant-homme.

Le porteur d’eau du Verseau porte sur son épaule l’enveloppe mystique de la semence, et l’eau est maintenant versée.

L’aube d’un Nouveau Monde se lève !

À chacun d’en recueillir les énergies propices et indispensables à son œuvre, et de couper le cordon ombilical qui le relie encore à l’ancienne matrice.

Scission, distinction, mais promesse d’union future au sein d’un monde neuf baigné de cette Lumière tant réclamée, Lumière divine du Royaume céleste annoncé par le Christ. »

« Et quand bien même il ne resterait rien de toi ni du monde

Le Feu Sacré brûlerait toujours

Ce Feu est en toi

Deviens-Le ! »

« La spontanéité du printemps a sa propre discipline. Elle lui permet de manifester toute sa magnificence.

L’éclosion du bouton de rose a aussi sa propre discipline. La spontanéité de son élan assure la plénitude du mouvement indispensable à l’ouverture totale de la rose. Ainsi, peut-elle manifester totalement et en abondance son intégrité.

La spontanéité de l’être suit aussi sa propre discipline, afin que vous puissiez témoigner de votre singularité. Laissez émerger du plus profond de vous ce qui demande à s’exprimer et qui, de lui-même, respecte « les dix paroles ».

Ne soumettez jamais ce qui est naturellement libre.

La vie est libre de toute entrave. Et vous l’êtes aussi.

Vous avez à témoigner de votre vérité, de cette vibration singulière et précieuse indispensable à la structuration et à la cohésion de l’ensemble.

Ne perdez pas de temps !

Vous êtes les créateurs de votre monde, heureux ou malheureux, divin ou misérable, cela dépend de vous. Vous avez le pouvoir de tout changer à chaque instant.

Vous disposez de l’immense au sein même de l’immense, car vous êtes l’immense !

La spontanéité de l’être est la garante de votre liberté.

Elle manifeste l’ultime à chaque souffle et vous permet d’appréhender à chaque instant le divin qui est en vous. »

« L’élan de vie détermine la qualité des processus biochimiques nécessaires à l’entretien de l’état de santé. Cet élan est soutenu par la joie de vivre, par la capacité qu’a un individu de s’accepter tel qu’il est et d’accepter les conditions de vie dans lesquelles il se trouve.

La propension de l’être à agir dans le monde pour exercer ses capacités physiques et mentales est donnée par ses impulsions personnelles qui vont exercer la tension indispensable entre les choix disponibles et les évènements potentiels.

Ces impulsions créatrices proviennent de la source de connaissance, du Soi, qui détient toutes les possibilités à la disposition de l’être.

Elles représentent le potentiel d’accomplissement de l’être, son espérance, qu’il devra mettre en œuvre selon les normes et les lois ontologiques inscrites au sein même du noyau de l’être, afin d’assurer l’accomplissement de son œuvre.

Elles vont être alors ramenées à la conscience afin de réaliser le choix le mieux adapté à ses aspirations et à celles du monde.

Ces impulsions arrivent dans votre intérêt personnel mais également dans l’intérêt collectif.

Elles ont comme orientation individuelle et collective, l’accomplissement vertueux du potentiel de vie et l’expression, toujours plus grande, du bien de la Création.

Ainsi le monde a-t-il besoin de votre expression personnelle afin que puissent être assurés et entretenus son équilibre et sa cohésion. Mais un seul obstacle à cet élan créateur va inévitablement dévier sa trajectoire, la cible sera alors manquée et le désordre assuré.

Cependant, on vous a tellement inculqué qu’il fallait vous méfier de vos impulsions imprévisibles et dénuées de raison, que vous réprimez trop souvent vos élans sincères.

Vous vous privez ainsi d’élans de vérité constructifs et salvateurs, et vous en privez également le monde.

À quoi serviraient donc tous ces élans créateurs, tant dans leur diversité que dans leur subtilité, si le monde était réellement tel qu’on vous l’a enseigné : un univers chaotique, accidentel, privé de conscience et voué à disparaître ?

Comment expliqueriez-vous alors la présence de votre environnement mental, si votre conscience n’était pas malléable et ne possédait pas les capacités d’expansion ?

Il est grand temps que vous repreniez conscience de votre vérité et que vous appreniez à utiliser pleinement ce que vous êtes. Toute une éducation est à refaire ! »

« Alors vinrent ceux qui émanent du Père.

Et dans cette perfection, ils voulurent connaître le Père, Lui, l’inconnaissable et l’innommable.

De cette erreur, un trouble s’installa, délivrant confusion et angoisse.

La vérité fut voilée et le mensonge prit place comme alternative à la vérité.

Alors un monde d’illusions fut créé par leurs pensées déviantes.

Et de cette erreur naquit l’oubli.

Ce monde leur parut réel et ils firent de cette illusion la vérité.

Ils se soumirent à ses lois, devinrent esclaves et la mort entra en eux.

Vint alors le Christ pour les sortir du sommeil de l’illusion.

De la lumière du Père, Il éclaira leurs ténèbres et leur montra le chemin de l’unique Vérité.

Mais tous ne crurent pas.

À l’oubli et l’ignorance, ils ajoutèrent l’orgueil et le mépris puis sombrèrent davantage.

Le Maître est toujours là. Il attend l’élève. Mais l’élève se prend pour le Maître.

Sans le Maître, la lutte est perdue d’avance.

Mais il n’y a pas de lutte. Seul l’élève croit qu’il doit lutter.

Le Maître ne lutte jamais. Il observe, prévoit, accueille et transforme.

L’Amour du Père le lui permet.

Alors, souviens-toi ! »

« En cette nouvelle matrice du Verseau propice à de plus amples expériences de la conscience, lumière sera faite sur votre mensonge.

Vous allez ainsi éprouver de plus en plus intensément la nécessité d’une prise de conscience d’une réalité autre, présente au sein de ce même monde qui vous tourmente. Un nouveau regard sur la vie va progressivement s’imposer à vous.

Viendra ensuite l’ère du Capricorne dont le point vénal, au solstice d’hiver, marquera la rencontre avec la Lumière incréée pour un devenir encore plus grand, qu’il ne vous appartient pas de connaître encore, car vous n’êtes pas, pour le moment, en mesure de concevoir de telles choses. »

« Dans cette quête d’absolu, en chemin vers l’invisible éternité, après être tombés et vous être relevés de nombreuses fois, après vous être souvent trompés, après de trop nombreux faux espoirs, vous ne gagnerez rien d’autre que la rencontre avec cette partie de vous-même qui ne meurt jamais.

Alors, à cet instant, vous serez émerveillés comme jamais vous ne l’avez été. »

« Toi, messager, qui entends ma voix et reçois mes paroles annonce à l’Homme endormi qu’il court à sa perte, et dis-lui d’écouter ce que j’ai à lui dire.

Annonce, car je ne veux descendre.

Écris ou prête-moi ta voix, mais n’aie crainte, car ces paroles sont miennes.

Je suis la parole tranchante.

Je suis le verbe qui guérit.

La lance qui sonde les cœurs.

Le contrepoids sur la balance.

Petit homme, où est ta foi ? Où est ton œuvre ?

Dépose-les sur la balance et pèse-les.

Hélas, tu ne fais pas le poids !

Tu es comme l’arbre qui se moque de l’hiver, négligeant son repli vers la source, puis éclate alors, sèche ensuite et agonise.

Petit homme, connais-tu ton bois mort ?

Tu es comme le torrent qui dévale les montagnes, impatient de rejoindre le fleuve et qui, se coupant de sa source mère, finit par tarir.

Petit homme, connais-tu tes eaux mortes ?

Tu es comme le roi sur son trône, qui amasse les richesses et puis s’en va, laissant tout, sans avoir connu le véritable amour.

Petit homme, connais-tu ton trésor ?

Tu t’égares et te perds dans les méandres de ton inconscience.

Le mensonge et l’oubli sont les chevaux qui te conduisent vers l’insondable gouffre au fond duquel la mort t’attend.

Mais peut-être ris-tu de mes paroles et avertissements ?

Alors, rions ensemble !

Mais une fois ton spectacle fini, tu seras seul à verser des larmes… »

« L’âme perçoit l’expérience dans son essence pure, totalement exempte de symboles.

Les données de l’expérience sont ensuite transmises aux différentes couches de la conscience, jusqu’à atteindre la conscience d’éveil au niveau de laquelle l’ego va analyser les informations reçues. Plus l’information remonte en surface, plus la quantité de symboles sera importante et moins le symbole sera précis.

À l’inverse, au sein des couches profondes de la conscience, les symboles seront moins nombreux, mais ils seront chargés de beaucoup plus de sens.

Ainsi, selon le niveau de conscience dans lequel vous vous trouvez, les symboles sont différents et changeants tout en évoquant toujours la même réalité.

Ne disposant que d’informations symboliques imprécises, analysées d’après les critères de référence dépendant de vos expériences précédentes, de vos croyances et de vos peurs, l’ego ne saura vous fournir que des renseignements approximatifs.

Lui confier alors les rênes de votre vie et lui vouer une confiance aveugle, dénote le peu de connaissance que vous avez de votre réalité. Lorsque vous aurez remis chaque partie de vous-même à sa vraie place et attribué à chacune le rôle qui lui revient, vous vous sentirez déjà beaucoup mieux.

Percevant l’expérience dans sa totalité, l’âme sait. L’ego, n’en recevant que l’écho, ne peut savoir. Ainsi, seule l’âme sera en mesure de délivrer la réponse la plus adéquate qui soit à l’expérience vécue, l’acte juste et sacré affranchi des filtres personnels, dans une spontanéité créatrice parfaite faisant preuve d’une discipline impossible à comprendre.

L’élan spontané permettant la création d’une rose respecte sa discipline afin que la rose soit parfaite. L’élan spontané permettant la création d’un monde que vous désirez en ordre et en paix doit aussi respecter sa discipline.

« Créateurs du monde », il serait temps que vous réappreniez les lois du Ciel et que vous vous pliiez à leur discipline.

Mettez de l’ordre en vous et le monde s’ordonnera de lui-même. N’agissez pas et tout sera parfait ! … »

« Entreprendre une démarche spirituelle, c’est pousser la porte du temple de l’être qui s’ouvre sur une Terre Sainte. Une Terre que vous ne pourrez fouler que pieds nus.

Une Terre réclamant au pèlerin qui s’y aventure le dépouillement de chacune de « ses tuniques de peau » et exigeant de lui jusqu’à « son dernier sou ».

Alors, lorsque vous serez « nus », jusqu’à avoir oublié que vous l’êtes, vous commencerez à vous rendre dignes de pouvoir délier les sandales de celui qui est venu témoigner de cette Vérité que vous recherchez tant.

Vous pourrez commencer à goûter à son immense Amour, et mesurer combien vous êtes pauvres devant le Christ.

Heureux les humbles ! … »

« Ne peut être appelé Homme que celui qui, sans cesse, engendre son fils créé dans l’Amour. Ce fils de l’Homme est le résultat d’une conscience toujours plus grande.

Et l’Amour est le ciment de l’âme, la note sacrée qui permet la cohésion et la cohérence de l’ensemble de la Création.

À chaque instant, un monde est créé.

C’est pourquoi chaque goutte de l’existence requiert de votre part la plus haute conscience et la plus noble présence de l’être, toutes deux baignées d’Amour.

Chaque instant vous offre la possibilité d’un baptême et d’une résurrection.

Chaque instant doit être un Shabbat dont le fils de l’Homme est le Maître. »

« Petit homme, il n’existe qu’une seule maladie au monde. Une maladie qui ravage l’humanité depuis la nuit des temps et dont tu ne veux pas guérir.

C’est la maladie de