Les systèmes conceptuels: Essai

Par Biang Parsanga

La globalisation est l'instrument par excellence du système de l'organisation politique.

Les concepts de mondialisation et nationalisme sont du point de vue analytique le centre d’intérêt à saisir par l'étude des institutions humaines à l'échelle planétaire. La réflexion au sujet de l’institutionnalisation des systèmes fonctionnels se veut donc un faisceau d'arguments et un éclairage sur le caractère des organisations qui de facettes économique, culturelle, sociale, diplomatique, administrative et technique est à l'origine politique, du moins influencée par celle-ci.
A propos, il se trouve que le Nouvel Ordre Mondial, la globalisation, est l'instrument par excellence du système de l'organisation politique. Contrairement au nationalisme, il s'avère avoir un impact sur la population mondiale. Et il est à l'ère de la démocratie un système politique qui progressivement voire d'une manière phénoménale est plus puissant que les petits États souverains accusés de violation non pas uniquement des droits de l'Homme, mais également de la démocratie. D'où la concurrence entre l’hégémonie du Nouvel Ordre Mondial est la définition du nationalisme selon sa doctrine politique.

Cet essai interroge l'institutionnalisation des systèmes fonctionnels à la lumière des concepts de mondialisation et de nationalisme.

EXTRAIT

D’une manière précise, le 3e millénaire marque ses débuts avec une forte expression caractérielle qu’est la mondialisation sous l’influence d’un dénominateur commun des États : la démocratie.Apparemment, les puissances et les pays indépendants évoluent dans un cadre institutionnel international qu’est l’organisation des nations (ONU). Celle-ci est un système qui se veut à la fois « une action culturelle, humanitaire, et technique de qualité », mais « une politique limitée ». Cependant, elle qui a pour socle la démocratie internationale, prône également le droit international.Infailliblement, toute la carte politique des États représentés, notamment ceux qui purent accéder à la souveraineté nationale et internationale, forma avec les impérialistes les Nations Unies.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Biang Parsanga est né en 1980 à Bongor au sud-ouest du Tchad.
Il a suivi des études primaires dès les années 1986 et obtint le CEPET en 1991 à N'Djamena. Puis il fit son entée en 6eme pendant l'année scolaire 1991-1992 au Collège Adventiste du 7eme jour Bergstrom à Dogba/Maroua et obtint le BEPCT en 1996 au Lycée Jacques Moudeina de Bongor. C'est donc en 1999 qu'il est reçu au Bac série A4.

• Langue: Français
• Éditeur: Le Lys Bleu Éditions
• Date de sortie: 4 mars 2019
• ISBN: 9782378778170

Aperçu du livre

Mondialisation et nationalisme

Roman

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© Lys Bleu Éditions — Biang Parsanga

ISBN : 978-2-37877-817-0

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À la population mondiale

Remerciements

L’esprit de recherches en vue de l’élaboration d’un document livresque est l’effort intellectuel qui accompagne l’auteur à pouvoir avoir accès à la bonne source d’informations, du moins celle qui est la piste devant mener vers le but. Cela n’est possible dit-on que si seulement l’intelligence humaine se soumet à l’étude des connaissances livresques mais, obéissantes à l’exégèse. Néanmoins, dans cette situation, je puis le dire que mes efforts personnels seraient insuffisants s’il venait que mon âme souffre d’un manque de soutien.

Le concours des uns et autres m’a permis la construction des idées sur la base de proposition des données que j’ai dû collecter auprès d’eux. Pour être précis, des informations de source orale ont été recueillies, des documents, des ouvrages recherchés m’ont été remis par les mains généreuses que mon être ne saurait les remercier sans cesse.

Car j’ai eu auprès d’eux ce que je recherchais comme s’ils étaient au préalable disposés et m’attendaient seulement afin que je puisse formuler mes vœux. Ils durent être pour moi la providence divine qui allait me tenir compagnie durant cette période.

Il s’agit des frères consanguins et des connaissances. Chacun d’une manière ou d’une autre participa à accoucher les idées. Autrement dit, et si même les mots me manquaient, pour dire les mots appropriés afin d’exprimer juste, tout ce qu’ils ont fait, qu’ils acceptent tout ce que je devais construire en plusieurs phrases en le résumant en un seul mot : merci. J’en suis conscient.

D’ailleurs, il m’est très difficile en ce moment de passer sous silence, de vouloir effacer de mes souvenirs des gestes, l’attitude qui nous rapproche l’un l’autre.

Néanmoins, je suis aussi convaincu d’une chose, ce qu’ils connaissent de la culture africaine la valeur de remerciement.

Étant donné qu’ils sont issus d’une tradition qui accorde de l’importance à ce mot, ils comprendront la quintessence de ma reconnaissance loin d’être un artifice séducteur, mais l’expression d’un cœur sincère qui dans ce contexte est la condition sine qua non.

L’espoir de voir grandir ce lien à la fois parental et amical est l’objet de mes vœux, mais également qu’un avenir prometteur puisse les sourire dans leur lutte Et je ne saurais oublier particulièrement la maison d’éditions le lys bleu qui fut pour moi un soutien sans faille pour la réalisation de projet, notamment en ce qui concerne l’assistance technique, matérielle et le support financier.

Une fois de plus merci.

Avant-propos

Vivant dans un système politique qui pour la plupart des contemporains gouverne le monde, il est conçu un dessein par lequel seraient soumises toutes les sociétés.

En fait, il a été pensé par les grandes nations le système de démocratie recommandable même aux plus jeunes États afin que ceux-ci soient préparés d’avance à faire leur entrée dans ce nouvel environnement.

D’une manière précise, le 3e millénaire marque ses débuts avec une forte expression caractérielle qu’est la mondialisation sous l’influence d’un dénominateur commun des États : la démocratie.

Apparemment, les puissances et les pays indépendants évoluent dans un cadre institutionnel international qu’est l’organisation des nations (ONU). Celle-ci est un système qui se veut à la fois « une action culturelle, humanitaire, et technique de qualité », mais « une politique limitée ». Cependant, elle qui a pour socle la démocratie internationale, prône également le droit international.

Infailliblement, toute la carte politique des États représentés, notamment ceux qui purent accéder à la souveraineté nationale et internationale, forma avec les impérialistes les Nations Unies.

Quand bien même que la puissance mondiale et certaines puissances coloniales relativement au domaine économique, adopteraient la politique capitaliste, celles-ci inspirent dans les nouveaux États souverains l’un des systèmes de l’économie qui puissent leur convenir. Mais les États se perdent parfois à l’idée de l’Organisation des Nations Unies.

Parviendra-t-on à concilier le système capitaliste avec l’Organisation des Nations Unies ?

À cet effet, il nous semble logique de soulever la question visant le nationalisme. Ce dernier au regard du droit international ratifié par les États membres, notamment les petites nations, les nations moins favorisées perdent, mais en partie de leur autorité au sein de la communauté internationale. D’où pour nous l’étude des concepts mondialisation et nationalisme.

Il s’agit par-là, de savoir si le nationalisme qui se résume en une phrase courte : l’amour de la patrie se développe-t-il dans le courant : la mondialisation ?

Autrement dit, le concept mondialisation n’écarte-t-il pas la thèse de l’affirmation d’un État souverain ?

Le système de l’ONU pensé à l’origine par la puissance n’écrase-t-il pas par le phénomène de la mondialisation à travers lequel la métropole agit, le pays en voie de développement ?

Nous voulons penser par l’analyse les deux concepts en terme de souveraineté vu qu’elle est déterminante pour un acquis de l’indépendance politique et de l’autonomie économique d’un État libéré.

Également de savoir s’ils sont complémentaires, du moins compatibles.

Car nous voulons avant tout, que l’Afrique l’un des continents le plus touché par la famine, les maladies, la pauvreté et les dettes dans le nouveau courant trouve une issue à ces crises manifestes.

Elle se doit de quitter le dernier rang des pays émergents afin d’atteindre le niveau des pays développés après la période de transition.

Nous voulons penser qu’il est nécessaire de faire une lecture des deux notions citées plus haut afin que nous puissions mieux les saisir, les découvrir à travers les organisations.

À cet effet, la mondialisation, un espace du système à la fois politique, culturel, technique et économique est une forme de l’État unitaire qui à notre époque est reconnu à l’échelle planétaire. Elle veut par le progrès de la science et la nouvelle technologie de pointe regrouper les différentes nations en son sein, en donnant à la carte du monde l’image d’un village planétaire.

Avouons tout de même qu’il n’est pas si facile par l’étude du système que nous puissions découvrir après cette lecture qui soit une analyse du thème, les conséquences. Celles qui mettent en relief si possibles les avantages d’une part et les insuffisances d’autre part.

Toutefois, en pensant à la question, nous estimons nécessaire que l’Afrique revoie sa position en tenant compte des réalités du système et en examinant sa situation dans cet environnement. Mais selon les desseins, à qui profite l’internalisation visant le brassage des nations tout entières de la terre ?

Et si la globalisation ayant au centre d’intérêt l’économie et la culture, ne serait-elle pas le moyen par lequel est résolu l’universalisme, entendons : « vision des problèmes politiques sous un angle universel, mondialisme » ?

Étant donné que les problèmes internationaux relativement aux problèmes nationaux sont l’objet d’une attention particulière, les mouvements d’émancipation au niveau national et par le système de la mondialisation qui participe de la transformation de la société dont l’objectif final vise le développement, est-il l’espace d’expression libre du nationalisme ?

N’est-il pas légitime que les États souverains revendiquent la question d’identité nationale fortement marquée par le bouleversement des sociétés occidentales et la société africaine due à la tendance actuelle : le modernisme ?

Introduction

Les concepts mondialisation et nationalisme étant des termes définis, sont appropriés aux types de gouvernance qui revendique chacun la notoriété inconditionnelle. La primauté qui dans un langage de la pensée universelle est par son identification reconnue sous la locution la grammaire notionnelle. Mais la notabilité de plus en plus est ressentie par le discours des hommes politiques et des dirigeants qui retentissent