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Liberté, Autodiscipline, Intégration: Politique et religion
Liberté, Autodiscipline, Intégration: Politique et religion
Liberté, Autodiscipline, Intégration: Politique et religion
Livre électronique62 pages45 minutes

Liberté, Autodiscipline, Intégration: Politique et religion

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À propos de ce livre électronique

Existe-t-il un moyen de rendre à l’homme un peu de sa sa véritable humanité ?

Oui, avec la prise de conscience avec fierté, d’une nouvelle capacité en de fortes valeurs individuelles et collectives, d’une force de vérité.
Sommes-nous devenus des moutons que l’on assemble trépignant en masse pour fêter des dieux qui n’en sont pas dans des discothèques et des stades, comme il en était à l’époque du panem et circences ?
Besoin d’un changement d’attitudes et de comportement peut-être à l’extinction de notre civilisation, comme il en a été d’autres.
Sommes-nous à l’aube de la fin de notre civilisation ?
Vivre plus longtemps soit... mais dans quelles conditions ?

Un essai qui revisite le pacte de notre société civile.

EXTRAIT

La France affiche une belle devise... Mais qu’en est-il des réalités.
Liberté
Certains prennent leur liberté en accaparant celle des autres, avec une passivité grandissante de « ces autres ». On laisse faire, on laisse prendre à certains des aises, des habitudes qui finissent par devenir des règles non écrites et qui tombent dans le domaine des habitudes, donc des us et coutumes.
Pourquoi n’entend on nous plus dire « Je revendique ma liberté », cette liberté dont on nous prive de plus en plus en raison de notre incapacité à réaliser et à réagir.
Il est grand temps d’y mettre fin si l’on veut vivre normalement, sainement, chacun retrouvant la liberté de ses choix, de rechercher ce qu’il aime et de bannir ce qui ne lui convient pas, d’appliquer enfin cet adage que :
« La liberté de chacun s’arrête là où commence celle des autres. »
LangueFrançais
ÉditeurPublishroom
Date de sortie25 janv. 2018
ISBN9791023607727
Liberté, Autodiscipline, Intégration: Politique et religion

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    Aperçu du livre

    Liberté, Autodiscipline, Intégration - Marc-Jean Huillet

    Liberté, Égalité, Fraternité

    La France affiche une belle devise… Mais qu’en est-il des réalités.

    Liberté

    Certains prennent leur liberté en accaparant celle des autres, avec une passivité grandissante de « ces autres ». On laisse faire, on laisse prendre à certains des aises, des habitudes qui finissent par devenir des règles non écrites et qui tombent dans le domaine des habitudes, donc des us et coutumes.

    Pourquoi n’entend on nous plus dire « Je revendique ma liberté », cette liberté dont on nous prive de plus en plus en raison de notre incapacité à réaliser et à réagir.

    Il est grand temps d’y mettre fin si l’on veut vivre normalement, sainement, chacun retrouvant la liberté de ses choix, de rechercher ce qu’il aime et de bannir ce qui ne lui convient pas, d’appliquer enfin cet adage que :

    « La liberté de chacun s’arrête là où commence celle des autres. »

    Or par laxisme et veulerie les hommes suivent de plus en plus comme des moutons des guides autoproclamés trop souvent creux comme des bidons. « Les Français sont des veaux » avait remarqué de Gaulle, mais on n’a pas voulu tenir compte de cette réflexion et depuis le phénomène s’est aggravé.

    Veulerie : caractère d’une personne qui manque d’énergie, de courage, n’aime ou n’ose pas prendre de responsabilité.

    Nous vivons une époque où l’on ne sait plus appeler chat un chat, et au nom d’un prétendu principe humanitaire nous ne sommes plus capables, ni même aptes à observer avec discernement et comprendre l’évolution des choses et des événements en les subissant passivement.

    Veulerie : caractère d’une personne qui manque d’énergie, de courage… ou, qui n’aime ou n’ose pas prendre de responsabilité.

    Nous assistons inconscients et désintéressés à une dégénérescence de la pensée due à un laxisme du comportement, autant dans la vie publique que dans l’intimité de l’esprit. En Corse on appelle cela le lascia corre, ce qui veut dire laisse courir, laisse tomber, ou encore laisse aller.

    Signe de dérèglement de l’esprit, on a peur à présent de voir les choses telles qu’elles sont. L’on veut à tout prix atténuer le sens normal des mots dans un souci de valoriser ceux qui subissent un handicap physique comme s’il s’agissait d’une tare, et comme si utiliser la dénomination du dictionnaire était un vilain mot. Ainsi un sourd est devenu malentendant et un aveugle un non voyant, ou malvoyant. Si je perdais demain la vue, je ne serai pourtant rien d’autre qu’un aveugle et j’en revendiquerai la dénomination.

    Le terme de professeur des écoles anoblit-il l’instituteur, valorise-t-il l’enseignant, surtout pour les enfants ? Questionnez-les, vous serez surpris de comprendre que non, et qu’il en perd même un certain prestige.

    Alors, à quand pour les nigauds, ou encore autres handicapés, la désignation de « mal comprenants » ?

    Brassens l’avait chanté : Quand on est c.., on est…

    De même, quand on est sourd, on est sourd… etc.

    Les politiciens craignent de s’exprimer clairement de crainte qu’un seul de leurs mots sorti de son contexte ne soit exploité pour l’attaquer. Ainsi sommes-nous parvenus à ce qu’on appelle la « langue de bois ». Drôle de progrès.

    Dans les administrations, de manière à se donner de l’importance on modifie l’ancienne désignation d’une profession ou d’une fonction. Par exemple dans les préfectures les divers services étaient répartis en cinq ou six Divisions : État civil, Administration, Police… etc. elles-mêmes scindées en trois ou quatre Bureaux. Elles étaient dirigées par des chefs de Division, et des Chefs de bureau. Tout était clair et sans équivoque aussi bien pour les fonctionnaires que pour le public. Toute personne ayant besoin d’un document ou d’un renseignement s’y retrouvait facilement. À présent ces termes ont été remplacés par des dénominations plus ou moins ronflantes tenant pour certaines jusqu’à une ou deux lignes, et dont les activités se chevauchent parfois plus ou moins, au point que le visiteur a du

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