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Il ne faut jamais jamais jamais se fâcher
Il ne faut jamais jamais jamais se fâcher
Il ne faut jamais jamais jamais se fâcher
Livre électronique136 pages1 heure

Il ne faut jamais jamais jamais se fâcher

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À propos de ce livre électronique

C'est toujours la pensée qui donne la puissance à... Mon dernier livre, Presse le bouton !, a aidé beaucoup de gens. Cette simple phrase leur a permis de prendre conscience de la grande puissance qu'ils ont en eux et qu'ils peuvent utiliser, pour peu qu'ils en comprennent le fonctionnement. C'est l'apprentissage de toute une vie. J'ai entendu et reçu tellement de commentaires positifs sur ce livre que j'ai eu envie d'en écrire un deuxième. Celui-ci vous propose une autre phrase qui va résonner jusqu'au fond de vos entrailles. Il ne faut jamais, jamais, jamais se fâcher. Plus vous la lirez et la répéterez, plus elle s'incrustera dans votre esprit, dans vos cellules, et changera votre comportement. Vous deviendrez alors une personne aimable et aimée. Ça vaut la joie de vivre l'expérience et, en plus, c'est bon pour votre santé !
LangueFrançais
ÉditeurDe Mortagne
Date de sortie13 janv. 2016
ISBN9782896625574

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    Aperçu du livre

    Il ne faut jamais jamais jamais se fâcher - Daniel Sévigny

    corps.

    Préface

    Le bonheur, c’est avant tout être bien

    avec soi-même

    J’enseigne comment devenir et, surtout, rester heureux. C’est là le but de ma vie. Il y a beaucoup d’embûches sur le chemin du bonheur constant. Est-ce possible d’y arriver ? Oui ! Pour y parvenir, nous devons en connaître les règles, les appliquer et, plus que tout, éviter l’invisible qui perturbe l’existence par sa négativité (le Saboteur). La variété des voies à emprunter est infinie. Choisir le bon est difficile, car il faut opérer un changement radical dans sa vie et il n’est pas toujours évident de prendre une telle responsabilité. Le plus important, cependant, c’est de passer à l’action.

    Chacun a ses propres croyances et c’est bien ainsi. On ne peut pas tous avoir une seule et unique conviction, je le reconnais, mais j’avoue qu’au fond de moi et pour plusieurs raisons, je suis certain que la gestion de la pensée fait partie des quelques croyances donnant accès à une métamorphose totale, à un véritable rapprochement avec le divin en soi.

    Ce n’est pas moi qui ai créé la pensée, ce n’est pas moi qui ai inventé ses règles et ses grandes lois. Ce n’est pas moi qui suis l’instigateur de ce grand mécanisme de la conscience personnalisée. Je suis tout simplement un instrument karmique qui se réalise en toute conscience pour accomplir sa mission. Mon ultime but dans la vie est de dire à Dieu, quand j’arriverai devant lui : « Mission accomplie. » Chaque fois que j’y pense, j’éprouve une telle joie en moi, c’est incroyable. Vous imaginez ce jour, celui de cette rencontre. Ce sera le plus grand jour de toutes mes existences.

    Je suis convaincu de ma mission. Pourquoi ? En raison de toutes les expériences que j’ai vécues depuis ma tendre enfance jusqu’à aujourd’hui. Au départ, j’ai eu l’idée d’écrire un livre sur la résilience, mais j’ai pensé qu’il n’y a pas grand-chose à dire sur ce sujet – et d’ailleurs, j’en parle dans ces pages. Alors, j’ai demandé à l’Univers de me donner une réponse claire, nette et précise concernant le sujet de mon prochain livre.

    Depuis que Presse le bouton est sorti, les commentaires sont élogieux et on apprécie l’idée de la phrase qu’on entend en pressant le bouton, qui s’imprime dans la mémoire comme un rappel, nous permettant de nous conscientiser à cette réalité de la pensée. C’est innovateur dans ce domaine, ça surprend, on aime ça.

    Cependant, cette fois-ci, la formule sera différente. La phrase-clé vous sera ainsi dictée à répétition dans ce livre, afin que vous l’imprimiez dans votre mémoire cellulaire.

    L’Univers, qui est parfait, m’a aussi dicté la fameuse phrase à citer de ce livre : « Il ne faut jamais, jamais, jamais se fâcher. » C’est ce qui fait la grandeur de cet enseignement, car il ne vient pas de moi, mais de la Source dont je suis l’instrument.

    Alors que j’expliquais la loi de l’attraction, au cours d’une conférence donnée dans le grand amphithéâtre du palais des congrès de Liège, la phrase de conclusion a résonné si fort dans tout mon être que, tout à coup, ça m’a semblé évident : il fallait que j’écrive un deuxième tome de Presse le bouton pour continuer à aider autrui à évoluer.

    Une autre raison m’a motivé à écrire ce livre : au fil des années, j’ai reçu beaucoup de courriels d’hommes me disant à quel point la gestion de la pensée avait transformé leur vie. Colériques, soupes au lait, ils n’avaient, auparavant, aucune maîtrise de cette énergie négative et la faisaient subir aux autres, tout en étant conscients des répercussions néfastes que cela pouvait avoir sur leur santé.

    Cet ouvrage parle de la colère, de ses sources, du comment et du pourquoi de cette énergie si dévastatrice. Nous devons maîtriser la colère pour rester zen et vivre en paix avec nous-même.

    IL NE FAUT JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS SE FÂCHER !

    Je sais que vous avez envie de me dire que j’utilise le mot « jamais » (et même trois fois plutôt qu’une) dans cette phrase que vous lisez alors, que c’est une négation qu’on doit éviter. Vous avez raison. J’ai pourtant essayé de le remplacer ou de tourner la phrase différemment en gardant la même signification et surtout le même impact, mais que dire d’autre ?

    Attention à la façon dont vous pensez ! C’est toujours la pensée qui donne la puissance à…

    Vivre heureux,

    c’est avoir le parfait contrôle de ses colères.

    Mon amie

    J’ai envie de vous parler de mon amie, celle qui a eu un rôle capital dans ma transition. C’est curieux et vous allez être surpris, mais je vous parle de la pierre qui a été mon lien de ressource lorsque j’arrivais à la clairière, d’abord par le sud et ensuite par le nord. Eh oui ! La pierre avait changé de place. Illusion ou réalité ? Je vous confirme que ce n’était pas une illusion, mais je n’ai jamais compris ce qui s’était passé. Je sais depuis bien longtemps que l’Univers a ses secrets bien gardés et je respecte son fonctionnement, même si parfois j’en suis étonné.

    Dans Presse le bouton, je vous ai raconté que j’avais découvert un lieu enchanté. Avant de pénétrer dans ce boisé clairsemé où coule une magnifique rivière, j’ai vu une pierre plate qui semblait être là pour m’accueillir et m’inviter à me détendre. Je m’y suis allongé à chacune de mes visites, à l’exception de la dernière où je lui ai promis de me relaxer au retour de mon escapade. Pour finir, j’ai vu le panneau annonçant que le terrain était à vendre et je suis parti en vitesse, mais sans oublier de m’excuser auprès d’elle au passage. Je lui ai dit que je n’avais pas le temps de m’allonger compte tenu des circonstances, mais que je reviendrais bientôt.

    Dans l’excitation de cette découverte, je n’ai pas examiné le terrain. Je suis parti de toute urgence comme si cet endroit allait disparaître ou je ne sais quoi. Je me suis entretenu avec la propriétaire et, en moins de deux, je lui ai fait une offre d’achat qui a été acceptée sur-le-champ.

    Évidemment, le jour suivant, je suis retourné voir le terrain. J’ai pris le temps de saluer mon amie Pierre Plate. Je m’y suis allongé et me suis détendu un bon moment. Puis j’ai traversé la clairière pour arriver à l’endroit que j’étais sur le point d’acquérir. J’ai bien sûr marché le long de la rivière pour apprécier sa beauté et rêver de la relation future que nous aurions.

    À ma grande surprise, j’ai découvert les restes d’un bâtiment que le temps avait ravagé. Seul le mur de la façade était encore debout. Le reste s’était effondré avec le temps et les intempéries. Une ruine ! Je m’en foutais car, pour moi, c’était le lieu qui comptait.

    Lorsque je suis allé à l’hôtel de ville pour demander si je pouvais obtenir un permis de construire, le responsable de l’urbanisme m’a annoncé que j’avais un droit acquis. Par conséquent, je n’avais pas à me soucier des nouvelles lois selon lesquelles il est interdit de construire à plus de quinze mètres d’un cours d’eau ou d’un lac. Cela voulait dire que je pouvais bâtir une maison tout près de la rivière, ce qui m’enchantait. Car pour moi une seule chose comptait : entendre en tout temps sa mélodie enchanteresse.

    Une fois le terrain acheté, j’ai entrepris les travaux pour bâtir une magnifique maison en fonction de mon budget et de mes goûts, et surtout en harmonie avec le moi profond et l’environnement. Ç’a été incroyable ! Tout s’est mis en place entre les différents corps de métiers et, bien sûr, mes Guides qui ne demandaient pas mieux que de collaborer à notre réalisation.

    J’ai utilisé la façade de l’ancienne bâtisse pour respecter la loi et, sur l’avis du responsable de l’urbanisme, j’ai utilisé le maximum d’espace disponible, sur le terrain, pour construire la maison au centimètre près. Ce qui signifie que la rivière est à un mètre et demi au niveau de la salle à manger, et à trois mètres au niveau de ma chambre. Quand je dors chez moi, j’ai l’impression de dormir la tête dans l’eau. La mélodie de la rivière m’enivre et me plonge dans un état extatique.

    La construction de cette maison, que j’ai entièrement supervisée, s’est déroulée selon un plan parfait. Si je voulais vous raconter tout ce que j’ai réalisé grâce à la gestion de la pensée, et vous expliquer dans les moindres détails la collaboration entre les artisans, l’Univers et mes Guides, il faudrait que j’écrive un livre juste pour ça. C’était plus que formidable.

    La construction est terminée et tout le monde a accompli son mandat comme prévu. Le contremaître du chantier, les ouvriers et les spécialistes de chaque domaine, plombier, électricien et chauffagiste, tous ont fait un travail impeccable, respectant le plan de base et mes exigences, qui n’étaient pas compliquées mais bien précises, en fonction de mes goûts, et réussissant même à réaliser des économies substantielles par rapport au prix estimé.

    L’étape suivante, c’était l’aménagement de mon environnement, tout un programme. Depuis que j’avais acheté le terrain, je rêvais de déplacer ma copine Pierre Plate au pied de l’escalier allant de la maison à la rivière, et d’en faire un lieu de repos, de méditation. Je voulais qu’elle soit ma complice, la gardienne de mon trésor, de mon intérieur, qu’elle soit ma confidente privilégiée grandissant en ma compagnie. Il fallait la soulever et la transporter, ce qui n’était pas une tâche facile sans savoir son poids et, surtout, sa taille. En surface, elle semblait assez mince malgré son un mètre et demi de longueur. Mais quand est venu le temps de la soulever, surprise ! elle était assez imposante, un bon mètre d’épaisseur. Il ne serait donc pas facile de la

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