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Humanitaire : business ou solidarité
Humanitaire : business ou solidarité
Humanitaire : business ou solidarité
Livre électronique59 pages28 minutes

Humanitaire : business ou solidarité

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À propos de ce livre électronique

La vie d'une association humanitaire tentant d'aider plus de 3000 familles.

La mort par l'intervention d'associations nationales et la politique.

L'hunanitaire est -il un business ou de la solidarité ?

Une réponse dans ce livre avec l'expérience d'une équipe dans le monde de l'aide aux plus demunis
LangueFrançais
Date de sortie11 déc. 2019
ISBN9782322244430
Humanitaire : business ou solidarité
Auteur

Didier Roquecave

Apres une carrière professionnelle dans la communication et le commerce, Didier Roquecave s'est lancé dans un challenge humanitaire.

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    Aperçu du livre

    Humanitaire - Didier Roquecave

    fin

    Chapitre 1

    Premier contact

    La retraite donne du temps libre .Pourquoi ne pas l’utiliser pour aider des personnes en difficulté.

    La première association venant en premier à l’esprit a été la Croix Rouge .De par son aura, sa célébrité et ses actions connues.

    En cherchant sur internet, je vois qu’ils ont des contacts dans beaucoup de villes de Gironde, car j’habite ce beau département du Sud Ouest .Je vis à Mérignac, ville de la banlieue de Bordeaux , connue pour être l’aéroport de la métropole. Avec ses 70 000 habitants je pensais que l’unité (car c’est ainsi que cela s’appelle) était conséquente.

    Je décide de me déplacer et d’aller sur place, à l’unité de Mérignac .Une maison bourgeoise, mais ouverte certains jours de la semaine, et bien sur ma première démarche était un jour sans. Je reviens donc un jour d’ouverture et je suis reçu, enfin je ne sais pas si on peut le dire ainsi, par une dame derrière un petit comptoir perdue parmi un fatras de vêtements. Elle m’indique qu’il n’y a personne pour me recevoir mais que je pouvais revenir tel jour à partir de 18h et que Françoise sera là. Elle m’avait donné le prénom d’une responsable, car trésorière de l’unité.

    La maison avait une grande pièce (la salle à manger) pour la vente de vêtements dans un désordre impressionnant. Une chambre faisait office de bureau, une autre de vente de bricolos divers et variés et une autre présentait des vêtements pour enfants. La cuisine servait de coin repos et repas, la salle de bain servait de petit débarras et le garage rempli de cartons, ressemblait à un foutoir et était sensé être la réserve. Le petit jardin entourant la maison était un no man’s land non entretenu.

    Le bon jour, à la bonne heure (enfin à une demi-heure prés), Françoise me recevait. Elle m’expliquait ce que faisait l’unité : vente de vêtements et le secourisme. La vente de vêtements consistait à mettre dans la pièce principale sur des portants les fringues données par des généreux donateurs et les proposer a un prix dérisoire (1 à 3€) mais les prix étaient laissés a l’appréciation des personnes présentes ce jour la, d’où une difficulté de suivi. Pour le secourisme ils étaient plusieurs à avoir la formation nécessaire et assistaient à des manifestations diverses et variées (fêtes, spectacles, foires…etc.).Ce qui l’intéressait le plus était les spectacles à la patinoire pour assister au dit spectacle gratuitement !

    Elle m’explique que l’unité était gérée par un conseil d’administration de 5 ou 6 personnes. Elle en était la trésorière et le président n’était pas toujours présent car il travaillait et surtout habitait

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