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La Petite Bonnilla
La Petite Bonnilla
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Livre électronique211 pages3 heures

La Petite Bonnilla

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À propos de ce livre électronique

Sicilienne abandonnée dès la naissance par sa famille de machiste, Annita devra alors faire preuve de beaucoup de courage et de patience, pour se sortir de sa famille d'escrocs notoires et pour récupérer enfin la place, qu'elle mérite vraiment dans sa jolie Sicile.
LangueFrançais
Date de sortie13 déc. 2016
ISBN9782322041633
La Petite Bonnilla
Auteur

Noël Smiht

Des événements dans ma ville, vont me pousser à écrire des livres complètement différent, comme LA PETITE BONNILLA, qui enfin de compte et un hommage cacher de ma part à des jeunes adolescents, qui ont malheureusement disparu dans un horrible accident ! Accident qui m’avait beaucoup bouleversait à cette époque. LA PETITE BONNILLA, et donc une sorte de renaissance pour moi et un hommage pour eux, mais c’est un secret que personne ne connais ! À part vous maintenant, évidemment !

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    Aperçu du livre

    La Petite Bonnilla - Noël Smiht

    Sommaire

    La Petite Bonilla

    Chapitre 1

    Chapitre 2

    Chapitre 3

    Chapitre 4

    Chapitre 5

    Chapitre 6

    Chapitre 7

    Dénoument

    Bibliographie

    Page de copyright

    La Petite Bonilla

    Chapitre 1 page 2 :      La naissance d’Annita

    Chapitre 2 page 6 :      La petite enfance d’Annita

    Chapitre 3 page 11 :      La découverte d’Annita

    Chapitre 4 page 17 :      La rencontre d’Annita

    Chapitre 5 page 25 :      La scolarité d’Annita

    Chapitre 6 page 42 :           Le père d’Annita

    Chapitre 7 page 50 :      La vie d’adulte d’Annita

    Dénouement page 54 :     Les enfants d’Annita

    Merci à ma fille Amandine

    Pour sa participation

    1

    Chapitre 1

    La Naissance 

    d’Annita

    L' histoire commence, juste le jour de la naissance d'Annita.

    Ce jour-là !

    On entendit un grand cri, dans la maternité.

    Vous me direz ! Un cri dans une maternité, le jour de la naissance d'un nouveau-né, rien de plus normal !

    Ne serait-ce que déjà, que le cri du bébé lui-même !

    Et bien non !

    Le cri que vous croyez être, n'est pas !

    Le cri que l'ont put entendre ce jour-là ; n'était pas du tout, le cri du bébé ! Mais le cri de la famille, Caponi.

    Une famille des plus, comment dire ! Typiquement sicilienne, de la Sicile.

    Une famille des plus, tradition de là-bas.

    Ou du moins ! Tradition, de cette famille-là.

    Sois disant, descendent, de la famille du célèbre, et non moins aimer, Al Capone !

    Le fameux bandit, qui répandit la terreur là-bas ! Et après, fit de même en Amérique.

    Je disais donc, que ce jour-là ! T'elle un duo ou un concerto ! C'est toute la famille Caponi, qui poussa ce cri.

    La mère, le père, ainsi que les cinq fils ! Venu assister à la naissance, du dernier-né de la famille ; le sixième, et dernier garçon.

    Comme le père, du père de Caponi ; six garçons, et puis stop !

    Le tout dernier de la famille, l'enfant roi ! Chouchouter par ses cinq frères ; qui veilleront sur lui, comme sur la prunelle de leurs yeux !

    Le sixième garçon sera l'honneur, et à l'honneur de la famille ; honoré, et adulé de tous.

    Mais manque de chance, ce jour-là ! la surprise fut de taille,

    «    UNE QUOI.......???!!! »

    S'écria toute la famille en même temps.

    L'infirmière de la maternité ; répondit un peu surprise, de l'exclamation impromptue,

    « Une très jolie petite fille....! »

    Mais la consternation, se lisait sur le visage, de la famille Caponi.

    Que dis-je !

    L'indignation était de mise, au plus haut degré !

    Mme Caponi, n'avait pas trouvait bon ! De demander à la dernière échographie, le sexe du bébé.

    2                                                                                                                            

    Une famille Sicilienne, des vrai de vrai ; digne de ce nom, c'était forcément un garçon !

    Une famille de réputation communale, et même inter-communal ! Dans leur petit village, il en dépendait.

    Car le vent de la modernité, dans cette famille-là ! Avait oubliait de passer, et de s'arrêter sûr tout !

    Dans la famille Caponi, les vieilles idées d'autre fois ! Celle de Mussolini ! Qui prôner l'autorité patriarcale, comme la sacro-sainte, autorité familiale du père ! Tenaient bon ! 

    Le père ! Ayant presque le droit, de vie et de mort sur sa famille.

    Le fils, étant l'unique légataire, de la descendance.

    C'est idée là ! Étaient encrer à tout jamais, dans cette famille-là !

    Rein ne pouvais en modifier, la perspective ! Non, rien !

    Le fils et roi chez les Caponi, et cela ! Depuis des générations.

    Que dis-je ! Des lustres et des lustres.

    Mais les filles ! Cela n'est pas possible, dans une famille comme celle-là !

    La fille ! Ne peut-être qu'un déshonneur, dans une famille comme celle-ci ! Jurer cracher.

    Et puis ! Il y a la dot à donner, quand c'est une fille ! Surtout ! Avec le père, du nouveau né.

    L'intérêt et principale, avec ce belle animale ! Qu'est le père bedonnant, Caponi.

    Celui-là ! Devait être le dernier, parole de Caponi ! Mais évidemment ! Un garçon.

    Parole de vendeur, de machine à laver, de père en fils. 

    Machine à laver ! Dont les pièces, son parfois d'origine douteuse ! Voir même ! Très douteuse.

    D'après les gens du village ! La famille Caponi, descendent de la famille d'Al Capone. 

    Les garçons, en sont vénérés.

    Alors vous pensez bien, une fille !

    Le cri dans la maternité, en était presque funeste.

    *

    Puis…. Le père Caponi, sortit froidement, qu'elles qu'allocutions indignes, en regardant l'intrus de la famille ! Et dit,

    « Puisque que nous vendons, toutes nos machines à laver ! Et que nous en avons aucune...! Elle lavera notre linge, fera la machine à laver, et fera bien aussi, le lave-vaisselle ? C'est à la mode ! À ce qu'il paraît, au jour d'huis.....! »

    Sa femme, toujours allonger, sur le lit de l'hôpital ! Rajouta,

    « Les pizzas Napolitaines, et les lasagnes aussi....! »

    Toute la famille, acquiesça de la tête.

    Voilà ce qu'il se passa, le jour de la naissance, de la petite Annita.

    *

    L'infirmière demanda ; qu'elle joli prénom, aller t'on donner, à cette jolie petite fille.

    Mais toute la famille, refusa de donner un nom !

    Ou plutôt si !  

    3                                                                                                                       

    Le nom était prêt, depuis longtemps déjà,

    '' Don Juane D'Alcaponi ! ''

    Voilà le prénom, que la famille avait trouvait ; pour le futur garçon, qui était en fait ! Une fille !

    Prénom en hommage à leur ancêtre ‘’ Al Capone‘’ évidemment ! 

    L'infirmière leur disait bien, que cela n'était pas possible, d'appeler une petite fille comme cela !

    Mais toute la famille, lui répondit, presque en même temps,

    «   Basta....!!! Basta....!!! Débrouiller vous avec ça....! Nous…! On ne veut même pas, en entendre parler…? Vous nous la rendrez, quand elle sera sevrée......!! Arrivederci......…..! »

    Le père Caponi, prit les affaires de sa femme ; l'aidèrent à sortir de la maternité, et aussi à monter dans la voiture ; que Caponi, dit en passant ! Avait réussi à avoir gratuitement ; et disparurent, laissant leur petite fille à la maternité.

    *

    Toutes les infirmières, venaient voir la petite fille ; qui était toute seule, dans sa chambre.

    Ils étaient tous outrés ! De voir cette ignoble famille, abandonnée comme cela ; une aussi adorable, petite fille.

    Une des infirmières demanda,

    « Mais....!!! Comment allons nous appeler, cette petite fille...? Ils n'ont pas laissaient de souhaits, pour le prénom.....?! »

    Et l'autre infirmière répondit,

    « Non...!! Non...!! Ils ont dit simplement comme cela '' Débrouiller vous avec ça ! '' Et ils sont repartis.....! »

    Les infirmières, étaient un peu tristes ; de l'abandon, de ce joli bébé. 

    Ils réfléchissaient, à un joli nom.

    Quand soudain ! Une des infirmières, eut une idée ; et dit à ses collègues,

    « J'ai vu un film hier soir ! Avec Annie Girardot.….! Vous savez...?! La grande comédienne Française ? Qui joue merveilleusement bien d'ailleurs....! »

    Toutes les infirmières, connaissaient Annie Girardot ; de réputation internationale, et même mondial.

    L'infirmière reprit son récit,

    « Dans le film, que j'ai vu hier ! Il était question, d'un bébé abandonné ; qu'Annie Girardot, avait retrouvait...! Et à la fin du film ; ils appelèrent le bébé trouvé, Annie...! Comme l'actrice...! Qu'est-ce que vous en pensez, les filles…..?! »

    Toutes les infirmières, trouvèrent l'idée de leur collègue, très bonne ! Et dire tous en même temps,

    « D'accord...! On l'appellera, Annie....! Comme l'actrice....! »

    Mais ce jour-là ! Il y eut un imprévu, qui n'était pas du tout prévu.

    En effet !

    Ils chargèrent une des infirmières, à inscrire le prénom de la petite fille, aux inscriptions d'état-civil.

    Mais l'infirmière, était d’origine espagnole, avec un fort accent, ! Et un trou de mémoire aussi.

    Et quand elle arriva, aux inscriptions ; elle leur répondit,

    « Chi! Chi...! Che croit bien que chai cha...!! Annita...! Chi!Chi...! Ché bien cha...!! Annita...! »                                                                                                                   

    *

    Et la petite Annie, se vit enregistrer, sous le prénom d'Annita.

    Et à partir de ce jour-là ! Tout le monde l'appela,

    Annita ! 

    *

    4                                                                                                                                                                                   

    Chapitre 2

    La petite enfance 

    d’Annita

    La  petite Annita, fut placer chez une nourrice, qui prit bien soin d'elle.

    Elle était devenue, une belle, et adorable fillette, de cinq ans ; tout se passer pour le mieux.

    Quand soudain ! Un soir….

    La nourrice était avec la petite Annita, comme tous les soirs ; quand on frappa à la porte. 

    La nourrice ouvrit, et vit des gens, qu'elle que peut bizarre ; qu'elle ne connaissait pas, ni d'Adent, ni d'Ève ; qui lui disait sur un ton, plutôt sec,

    « Vous êtes bien ? La nourrice, de la petite Annita.....?! »

    Surprise et décontenancer, elle leur répondit,

    « Oui....! C'est moi…!! C'est pour quoi.....?! »

    Et l'homme, accompagné de sa femme, et de ses cinq enfants, que des garçons ! Sur un air arrogant, lui répondit,

    « On vient chercher notre fille....! On en a besoin, pour les tâches ménagères....! Nous....! Vous comprenez ? On travaille ! On ne fait pas semblent-nous....!! Vous avez cinq minutes, pour lui préparer ses affaires.....! Capito.......?! »

    La nourrice tomba des nues ! Elle était affolée ! Elle leur répondait en bégayant,

    « Mais ! Mais ! De !De ! Qu'elle droit....?!! Osez-vous.....!! »

    L'homme, sortit une feuille de sa poche ; montrent ainsi ! La paternité, de la petite Annita. 

    c'était bien le père d'Annita ! Caponi.

    Il lui flanqua le papier officiel, pratiquement sous le nez, de la nourrice ! Et répondit brutalement,

    « Voilà mon droit....! Ha ! Celle là ! Je m'y attendais....!! »

    Et dit à sa femme,

    « Basta ! Basta.….!! Chéris prends la fille…?! Ne t'occupe pas, pour ses affaires...! On récupéra bien, qu'elles que guenilles à lui mettre.....! »

    Sa femme, prit Annita brusquement par la main ; qui se débattait, comme un beau diable ! Tout en criant, et en sanglotant,                                                                           

    5

    « Je ne veux pas....!! Laisser moi…! Je vous en prie....! » 

    Mais se fut en vain !

    La femme de Caponi, sortit de la maison ; tout en traînent la petite fille, jusqu'a la voiture.

    Le père Caponi, dit à la nourrice, sûr un ton moqueur,

    « Et n'essayer surtout pas ! De la revoir..…?! Vous avez fait votre travail, laisser nous faire le nôtre maintenant.....! Au plaisir de ne jamais plus vous revoir.......!! Arrivederci......!! »

    Il referma la porte de la maison, brutalement ; et ils disparurent, dans un infernal ! Bruit de voiture.

    La nourrice était affolée !

    Elle se précipita, vers la porte de la maison, crier de toutes ses forces,

    « Au voleur.....!!! Au voleur....!!! »

    Mais personne, ne répondait ! 

    Et même si, qu'elle qu'un aurait répondue ! La famille Caponi, était dans leurs bons droits.

    La nourrice comprit rapidement, qu'elle ne pouvait plus rien faire, pour sa petite Annita.

    Elle se jeta sur son canapé, en s'effondrant ; et se jeta aussi, dans les larmes du désespoir.

    *                  

    *

    Qu'elle semaine était passer….. Depuis l’horrible soir !

    La famille Caponi, expliqua à Annita ; qu'elle avait enfin retrouvait, ça vraie famille ! 

    Et qu'il lui fallait être, très gentille avec eux ! Très, très gentille.

    Tellement gentille ! Que son père, lui construisit un petit escabeau, de deux marches ; pour que la petite Annita, soit à la hauteur. 

    Hauteur ! Au sens figuré, et au sens propre d'ailleurs ! Du, évier, et du savon également ! Pour qu’Annita, frotte bien, et sans répit ; les chaussettes de ses cinq grands frères, et le bleu de travail de son père ; ainsi, que ce jour-là d'ailleurs ! Comme lui disait sa mère,

    « Annita…?! N'oublie pas de laver mon chemisier.....! J'ai fait une petite tache, à midi dessus....! Capito..…?! »

    Et Annita, toute contente, d'avoir retrouvé sa famille ! Lui  répondit,

    « Capito maman.....! Je n'oublierais pas.....! »

    Comme vous l'aurez comprit ! La petite Annita, était devenue ; comme ont dit là-bas, en Sicile ! '' La bonnilla ! '' La boniche, de toute la famille.

    Ou plutôt ! Pour être plus exacte, la savonillon ! Toujours le savon dans les mains.

    Et quand ce n'était pas le savon, s'étaient les pommes de terre, à l'épluchage.

    Car toute la famille, manger des Pizzas Napolitaine ! Mais son père, aimer bien manger des pommes de terre, à l'eau ou au four le dimanche. 

    D’ailleurs, il disait,

    « Je mange un peu....! Comme touts ces idiots de Français.....!! »

    Ce n'est pas, que le père d'Annita, n'aimer pas les Français ! Mais c'est plutôt, qu'il trouvait tout le monde idiot ! Sauf lui ! évidemment.

    Lui ! Il était un respectable commerçant.

    Enfin, pensait-il ! 

    6

    Mais en vérité ! Le père d'Annita, était l'escroc numéro un, des vendeurs de machine a laver le linge, de toute la Sicile ! Et Peut-être même ! Plus encore.

    Il avait mis au point, une formidable arnaque ! Que personne ne pouvais remarquer.

    En effet ! Juste avant de livrer, une machine neuve à un client ; il en démontait une des pièces, pour la remplacer par une vieille

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