Les Aventures du cavalier sans tête

Par Jacques Fuentealba

Le cavalier sans tête revient – certes, pas en entier – sous la forme de micronouvelles. Dans ces textes courts empreints d’absurde, d'humour, d'horreur voire de poésie, il essaie de gérer ses handicaps pour se reconstruire une vie professionnelle, sociale et amoureuse et, bien sûr, récupérer cette fichue tête.
Un recueil écrit à quatre mains par deux microauteurs français, Jacques Fuentealba et Olivier Gechter, contributeurs majeurs du genre quand ils ont toute leur tête.

• Langue: Français
• Éditeur: Jacques Fuentealba
• Date de sortie: 12 févr. 2015
• ISBN: 9782955157305

Aperçu du livre

Les Aventures

du cavalier

sans tête

Une légende débitée en une centaine de petits morceaux

* * *

Jacques Fuentealba

&

Olivier Gechter

Micronouvelles

Table des matières

Pourquoi l’autoédition ?

Pourquoi la micronouvelle ?

Pourquoi le cavalier sans tête ?

Portrait

Handicap

Réinsertion

Vie sentimentale

L’association des Créatures fantastiques anonymes

Les deux font la paire

Présentation des auteurs

Crédit photo

Design & Conception

Pourquoi l’autoédition ?

Pour cet ouvrage, nous avons fait le choix de l’autoédition parce que la micronouvelle en France (à la différence notamment de la sphère hispanophone) est un format qui ne fait pas rêver les éditeurs. Moins prisées que la nouvelle – sans même parler de la forme reine, le roman –, les short short stories sont donc plus difficiles à placer dans une maison d’édition traditionnelle. Même les éditeurs numériques, qui font souvent des choix plus aventureux que leurs collègues attachés au papier, restent assez frileux lorsqu’on leur soumet des textes très courts.

Ne nous leurrons pas, la micronouvelle est un genre qui n’a pas encore trouvé son public en France. Espérons que cela change un jour prochain.

En attendant, l’optique des microauteurs acharnés que nous sommes diverge avec celle de ces éditeurs (et diverge, c’est énorme comme dirait notre maître à penser Desproges). La raison est toute bête, hein. Si l’on bosse sur un projet d’écriture à deux mains ou à quatre mains, c’est pour que cela sorte demain. Ou après-demain. Mais pas la semaine des quatre jeudis, en tout cas. On préférerait que cela soit publié de notre vivant ! Autant faire l’impasse sur une soumission hasardeuse, débouchant sur un refus très souvent tardif.

Profitant d’outils désormais à la portée de tout le