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Études régionales: Explorer les réalités mondiales
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Livre électronique332 pages3 heuresScience Politique [French]

Études régionales: Explorer les réalités mondiales

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À propos de ce livre électronique

Explorez les « études régionales » dans « Sciences politiques » pour comprendre la dynamique politique et les tapisseries culturelles des régions du monde. Ce livre est une ressource essentielle pour les professionnels, les étudiants et les passionnés qui cherchent à naviguer dans notre monde interconnecté.


Chapitres :


1. Études régionales - Déchiffrez les complexités mondiales à travers des lentilles interdisciplinaires.


2. Sciences sociales - Comprendre les théories et les méthodologies d'étude des sociétés et des cultures.


3. Relations internationales - Naviguez dans la diplomatie mondiale et les interactions internationales.


4. Université libre de Berlin - Découvrez ses contributions à la science politique et aux études régionales.


5. Littérature comparée - Analyser les œuvres littéraires pour révéler les normes et valeurs sociétales.


6. Études de développement - Étudier les stratégies de progrès sociétal et de croissance économique.


7. Études sur la paix et les conflits - Examinez la consolidation de la paix et la résolution des conflits.


8. École de diplomatie et de relations internationales - Obtenez un aperçu des stratégies diplomatiques.


9. Transnationalisme - Explorez l'interconnectivité mondiale et son impact sur les études régionales.


10. Études asiatiques - Focus sur les paysages politiques, économiques et culturels de l'Asie.


11. Conseil de recherches en sciences sociales – Mettre en lumière les initiatives de recherche cruciales.


12. Théorie du mouvement social - Analyser le changement social et l'activisme.


13. Revues de sciences sociales - Accédez à des ressources scientifiques clés.


14. Masters en Amérique du Nord – Explorez les opportunités de formation en sciences politiques.


15. Carlos Alberto Torres (sociologue) - Découvrez des contributions scientifiques influentes.


16. Communication globale - Examiner l'influence des médias sur les perceptions mondiales.


17. NYU Graduate School of Arts and Science - Met en avant les programmes éducatifs en sciences politiques et en études régionales.


18. Aperçu des sciences humaines – Contextualiser les études régionales dans le cadre d’enquêtes humanistes plus larges.


19. Études culturelles - Étudier le rôle de la culture dans la formation des identités politiques et des mouvements sociaux.


20. Criminologie verte - Explorez la justice environnementale et ses implications politiques.


21. Michael Hechter - Examiner les cadres théoriques qui façonnent les débats contemporains en science politique.


Répondez aux principales questions du public sur les études régionales et obtenez des informations approfondies sur les problèmes mondiaux. Ce volume complet vous apporte des connaissances et des perspectives inestimables, ce qui en fait un investissement rentable pour comprendre notre monde interconnecté.

LangueFrançais
ÉditeurUn Milliard De Personnes Informées [French]
Date de sortie6 août 2024
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    Aperçu du livre

    Études régionales - Fouad Sabry

    Chapitre 1 : Études de zone

    Les études régionales, souvent appelées études régionales, sont une discipline interdisciplinaire de recherche et d'érudition portant sur des régions géographiques, nationales/fédérales ou culturelles spécifiques.  L'expression est principalement utilisée pour décrire divers sujets de recherche variés en sciences sociales et humaines. Les relations internationales, les études stratégiques, l'histoire, les sciences politiques, l'économie politique, les études culturelles, les langues, la géographie, la littérature et d'autres matières sont courantes dans les programmes d'études régionaux. Les études régionales intègrent souvent la diaspora et l'émigration, contrairement aux études culturelles.

    Le Séminaire des langues orientales de l'Université Friedrich-Wilhelm de Berlin (aujourd'hui Université Humboldt) enseigne les études régionales depuis 1887, mais les études régionales multidisciplinaires sont devenues plus importantes dans les études américaines et occidentales après la Seconde Guerre mondiale. Avant la guerre, peu d'universités américaines enseignaient ou étudiaient les cultures non occidentales. Les études à l'étranger étaient rares. Les libéraux et les conservateurs s'inquiétaient de la capacité des États-Unis à répondre aux menaces extérieures perçues de l'Union soviétique et de la Chine dans la guerre froide croissante et aux retombées de l'indépendance de l'Afrique et de l'Asie après la guerre. Citation nécessaire

    Le prédécesseur de la CIA, l'Office of Strategic Services, a lancé des projets d'études régionales.

    Dans ce contexte, la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller et la Carnegie Corporation de New York ont tenu des réunions et ont convenu que les États-Unis devaient investir dans les études étrangères pour combler ce manque de connaissances. Les participants ont déclaré qu'un large groupe de spécialistes des sciences politiques et des économistes internationaux était une priorité nationale. Cependant, ceux qui pensaient que les chercheurs en sciences sociales devraient travailler avec les humanistes pour développer une connaissance culturellement et historiquement contextualisée de diverses parties du monde au lieu d'appliquer des modèles occidentaux et ceux qui pensaient qu'ils devraient développer des théories macrohistoriques pour établir des liens entre les modèles de changement et de développement à travers les géographies étaient en désaccord. Le premier a promu les études régionales, le second la théorie de la modernisation.

    Plus tard, la Fondation Ford a dominé le programme d'études régionales aux États-Unis. La fondation a fondé le Foreign Area Fellowship Program (FAFP) en 1950, le premier concours national à grande échelle pour la formation aux études régionales aux États-Unis. De 1953 à 1966, il a accordé 270 millions de dollars à 34 établissements pour l'étude de la région et des langues. Pendant ce temps, elle a investi des millions dans des ateliers de développement sur le terrain, des conférences et des comités de publication du Conseil de recherche en sciences sociales et de l'American Council of Learned Societies. Les comités combinés SSRC-ACLS ont finalement dirigé le FAFP.

    D'autres programmes majeurs ont suivi celui de Ford. En particulier, la loi sur l'éducation de la défense nationale de 1957, rebaptisée loi sur l'enseignement supérieur en 1965, a financé 125 unités d'études régionales basées à l'université appelées programmes du Centre national de ressources, ainsi que des bourses d'études de premier cycle et des cycles supérieurs en langues étrangères et régionales.

    Entre-temps, l'URSS a mis en place des études de zone.

    Les études régionales ont été critiquées dès leur création, même par les spécialistes. Beaucoup ont dit que participer à des études régionales était comme être un agent de l'État parce qu'elles étaient liées aux programmes de la guerre froide de la CIA, du FBI et d'autres agences de renseignement et militaires. Les intérêts et les priorités de recherche des États-Unis peuvent façonner le terrain intellectuel des études régionales. D'autres ont déclaré que les études régionales sur les campus universitaires englobaient une mission intellectuelle beaucoup plus large et plus profonde que ce que les agences gouvernementales avaient envisagé, ce qui les rendait non américains.

    La théorie du choix rationnel de la politique et de l'économie a constitué un défi majeur pour l'effort d'études régionales. Le chercheur japonais Chalmers Johnson s'est moqué de l'un des détracteurs les plus virulents de la théorie du choix rationnel en demandant : Pourquoi avez-vous besoin d'étudier le japonais ou quoi que ce soit sur l'histoire et la culture du Japon si le choix rationnel expliquerait pourquoi les politiciens et les bureaucrates japonais font ce qu'ils font ?

    Après l'effondrement de l'Union soviétique, les fondations philanthropiques et les institutions scientifiques ont donné la priorité aux questions interrégionales telles que le « développement et la démocratie » plutôt qu'aux études régionales. Les chercheurs ont vu dans le Conseil de recherches en sciences sociales et le Conseil américain des sociétés savantes, qui avaient longtemps recueilli et administré des fonds pour des études régionales, fermer leurs comités régionaux lors de leur première restructuration majeure en 30 ans comme un signe majeur de l'évolution de l'environnement de la recherche.

    L'École d'études orientales et africaines et l'Université d'études étrangères de Tokyo au Japon sont des instituts d'enseignement supérieur dédiés aux études régionales.

    L'Institut allemand d'études mondiales et régionales est spécialisé dans les études régionales.

    {Fin du chapitre 1}

    Chapitre 2 : Sciences sociales

    L'étude des sociétés humaines et des interactions entre leurs membres est au cœur des sciences sociales, l'une des nombreuses disciplines scientifiques. La sociologie, première « science de la société », a été fondée au 19e siècle et était autrefois désignée par ce terme. L'anthropologie, l'archéologie, l'économie, la géographie humaine, la linguistique, les sciences de la gestion, les sciences de la communication et la politique ne sont que quelques-uns des domaines qui se sont élargis pour inclure la sociologie.

    Pour mieux comprendre la société, les chercheurs positivistes en sciences sociales emploient des techniques similaires à celles utilisées dans les sciences naturelles. Alors que les sociologues positivistes élaborent des théories empiriquement falsifiables, les interprétivistes adoptent une vision plus large de la science et peuvent employer des méthodes telles que la critique sociale ou l'interprétation symbolique. L'éclectisme et l'utilisation d'une grande variété de méthodes de recherche sont des caractéristiques de la communauté universitaire d'aujourd'hui (par exemple, en combinant à la fois la recherche quantitative et qualitative). Parce que les chercheurs de tant de domaines utilisent maintenant la même terminologie et la même approche, la « recherche sociale » est devenue une sorte de terme générique.

    Après 1650, au siècle des Lumières, les érudits ont commencé à consigner les origines des sciences sociales. La quatrième option, fondée sur l'économie, a affiné et élargi le champ d'étude. La dernière voie était le lien entre la connaissance et les valeurs sociales, qui était fortement exigé par l'antipositivisme et la sociologie verstehen de Max Weber. Il y avait une séparation entre les discussions formelles sur un sujet sous forme de théorie (description) et la prescription dans ce sens.

    Les liens conditionnés entre les domaines d'étude modernes et classiques sont implicites dans les fondements théoriques des sciences sociales occidentales. Il est difficile pour la sociologie de s'affirmer comme un champ de connaissances stratégiques distinct de la philosophie et de la théologie dans certains contextes, comme en Italie. Des domaines émergents tels que la recherche sociale en médecine, la sociobiologie, la neuropsychologie, la bioéconomie, l'histoire et la sociologie des sciences sont autant d'exemples de domaines dont les frontières s'estompent. Le comportement humain et ses répercussions sont étudiés à l'aide d'une approche hybride qui combine la recherche quantitative et les méthodes qualitatives. La statistique est apparue comme une branche à part entière des mathématiques appliquées dans la première moitié du XXe siècle. L'utilisation des statistiques n'a pas été remise en

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