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La 6e République « en marche »…: Chimères et états d’âme (suite)
La 6e République « en marche »…: Chimères et états d’âme (suite)
La 6e République « en marche »…: Chimères et états d’âme (suite)
Livre électronique193 pages1 heure

La 6e République « en marche »…: Chimères et états d’âme (suite)

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À propos de ce livre électronique

Le monde change rapidement. L’Occident, dirigé par les États-Unis et protégé par l’OTAN, voit sa suprématie remise en question par un nouveau bloc oriental soutenu par le pacte de Shanghai. En même temps, l’Afrique, en proie à des conflits internes, peine à répondre aux besoins de sa population croissante tandis que ses richesses continuent d’être exploitées par des acteurs économiques mondiaux. Parallèlement, en Europe, l’Union européenne est confrontée à des défis majeurs, avec une technocratie grandissante et des politiciens préoccupés par leur carrière plutôt que par l’intérêt commun. Ce déclin économique et social, couplé aux migrations massives et aux changements culturels, menace la stabilité civilisationnelle. Macron, lui, aspire à une Europe fédérale des régions, mais cela a un coût sur l’identité nationale. Face à tous ces bouleversements et incertitudes, qui sauvegardera la souveraineté de la France ?

 À PROPOS DE L'AUTEUR

Après avoir exercé plusieurs mandats électifs au niveau local, Joël Loison, ancien cadre de l’industrie, continue de nourrir son amour pour l’action publique. Il réagit de manière franche aux événements politiques en France et a déjà donné vie à ses idées à travers trois ouvrages. Son premier livre, L’ambition pour moteur, a été publié aux Éditions Maïa, suivi de Ni apologie ni repentance, une histoire singulière et plurielle ainsi que de Chimères et états d’âme, publiés chez Le Lys Bleu Éditions.


LangueFrançais
Date de sortie19 janv. 2024
ISBN9791042215583
La 6e République « en marche »…: Chimères et états d’âme (suite)

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    Aperçu du livre

    La 6e République « en marche »… - Joël Loison

    Du même auteur

    L’appel des loups, décembre 2003, Éditions Publibook ;

    L’ambition pour moteur, décembre 2021, Éditions Maïa ;

    Ni apologie, ni repentance, une histoire singulière et plurielle, mai 2022, Le Lys Bleu Éditions ;

    Chimères et états d’âme, novembre 2022, Le Lys Bleu Éditions.

    Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

    Extrait de la Déclaration du 26 août 1789 des Droits de l’homme et du Citoyen

    Avertissement

    Je suis un Français.

    Les Français existent, n’en déplaise aux mondialistes !

    Je suis un Français.

    Pas par mes origines.

    Pas par la couleur de ma peau.

    Pas par ma religion…

    Je suis un Français par mes parents qui m’ont inculqué les règles de la bienséance, de la courtoisie, du respect des autres, de la tolérance, du « vivre ensemble » comme on dit aujourd’hui.

    Je suis un Français par l’école de la République qui m’a appris la grandeur de la France et La Marseillaise, notre hymne national.

    Je suis un Français par l’école de la République qui m’a enseigné la laïcité, la liberté, l’égalité et la fraternité. Cette école de la République qui a formé mon esprit, qui m’a ouvert à l’immensité et à l’éclectisme de notre culture, qui m’a préparé à affronter le monde des adultes.

    Je suis un Français, par ma participation à l’essor du pays, ma contribution à la richesse et à la cohésion nationales. Par mon implication dans l’avenir pour les générations futures.

    Je suis un Français par le service national que j’ai eu l’honneur d’effectuer au service de la patrie, du drapeau tricolore, ma fierté.

    Je suis un Français pénétré de la diversité des paysages, de la diversité des traditions, de la diversité des mentalités, de la diversité qui fait la France.

    Je suis un Français, parce que la France est mon pays, ma patrie, celle qui a fait de moi l’homme que je suis…

    Je suis un Français parce que la France est une nation qui revendique son unité. Une nation dans laquelle je vis à ma place. Une nation qui me protège…

    Nation ?

    Un mot, un concept révélateur de la grandeur de la France.

    Un mot tabou qui offusque l’intelligentsia libertaire. Un mot rayé de son vocabulaire !

    Je suis Européen, mais je ne suis pas citoyen européen.

    Je suis citoyen français !

    N’en déplaise aux négationnistes de notre identité, l’Europe est un continent, pas une nation.

    L’Union européenne est un organisme sans programme ni orientation politique, dirigé par des technocrates. Un organisme qui érige des règles sur l’accessoire en ignorant l’essentiel. Un organisme promu par Monnet, un banquier qui avait senti avant tout le monde la nécessité d’associer les nations dans la compétition économique mondiale.

    Des idéologues ont perverti l’association, détourné le projet. Imprégnés de fantasmes égalitaires et libertaires, ils militent à l’effacement des frontières et des identités nationales.

    Ils renient l’histoire et la culture des pays.

    Ils bafouent la patrie en gommant la nation.

    Non, je ne suis pas citoyen d’une Région.

    Non, je ne suis pas citoyen d’une Europe Fédérale des Régions.

    Je suis citoyen de la France.

    Je suis un Français !

    1er novembre 2018

    Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays.

    John Kennedy, discours d’investiture, janvier 1961

    2023 ?

    En finir avec l’inflation, avec les guerres, avec l’insécurité, avec l’islamisme radical, avec le chômage, avec la précarité économique, avec les virus importés, avec l’immigration incontrôlée, avec l’écologie punitive, avec la déshumanisation administrative, avec la propagande mondialiste…

    La France : « ce grand corps blessé que le monde regarde tâtonner dans l’ombre », disait André Malraux en 1958, quand les Français se divisaient sur la question algérienne…

    Qu’en est-il aujourd’hui de l’unité des Français ?

    Santé, enseignement, justice, police, armée… Qu’en est-il de nos institutions régaliennes ?

    Celles qui sont ou plutôt qui devraient être le ciment de la nation ?

    Qu’en est-il de notre industrie ?

    La souveraineté économique nationale a été sacrifiée sur l’autel du pouvoir supranational des milliardaires mondialistes qui délocalisent nos entreprises, exploitent des populations démunies, engrangent des profits personnels considérables au détriment de l’intérêt collectif…

    Souveraineté ?

    Que reste-t-il de la souveraineté de la France ?

    En finir avec l’inflation, avec les guerres ?

    « La guerre, c’est le massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas », a écrit Paul Valéry.

    À qui profitent les guerres ?

    Les sanctions contre la Russie, commanditées par les USA, dictées par l’Union européenne de madame Von der Leyen, ont révélé et accéléré la crise de l’énergie provoquée par l’écologie punitive qui anime la politique des gouvernements. Rappelons que pour soutenir l’économie allemande qui produit de l’électricité essentiellement avec du gaz et du charbon, nous avons accepté, au titre « du marché commun », d’indexer le prix de notre électricité essentiellement nucléaire sur le prix du gaz. Cette mesure multiplie le prix du KW/H par 3.

    C’était le prétexte attendu par les spéculateurs, l’aubaine des générateurs de pénuries inflationnistes dans tous les domaines (alimentaire, industriel, pharmaceutique…), mais ô combien lucratives !

    Idéologie libertaire ?

    Espace Schengen, Cour européenne des Droits de l’Homme… l’Union européenne est un espace ouvert à la libre circulation, aux frontières passoires : « les hommes sont citoyens du monde », a écrit Érasme. Un monde où il est « interdit d’interdire. »

    Immigration incontrôlée ; l’injonction de quitter le territoire (OQTF) est considérée comme une plaisanterie…

    Islamisme radical : une minorité significative et grandissante considère que les lois de la charia s’imposent aux lois de la République… Elle prospère, soutenue par une intelligentsia gauchisante qui brait à la discrimination. Elle est entretenue par des médias aux ordres qui en dénient le caractère hégémonique.

    Insécurité : un « fantasme » selon le ministre de la Justice qui dénie la croissance de la violence pourtant démontrée par les faits et constatée par la police. Il exprime plus d’empathie envers les délinquants en prison qu’envers les victimes… « je suis votre ministre… », a-t-il déclaré aux détenus en visitant une prison.

    Étant le responsable de l’application du Droit, nous aurions préféré qu’il s’identifie comme ministre d’une « Justice équitable »…

    Stratégie de la peur qui asservit, habilement dispensée par la propagande gouvernementale. Les médias aux ordres égrainent une infantilisation qui soutient les mensonges des dirigeants et de leurs valets : Inutilité des masques anticovid, puis obligation de les porter, confinement face aux virus qui pourtant, selon Macron, « n’ont pas de passeports », frontières nationales ouvertes, mais interdiction de se déplacer pour les Français, obligation d’être vaccinés pour aller au cinéma ; passeport sanitaire, « envie d’emmerder » ceux qui ne sont pas vaccinés, a dit Macron…

    Chômage : en France, 3 millions de salariés sans travail sont subventionnés, sans contrepartie. Près de 400 000 emplois sont non pourvus ! La solution proposée par les gouvernements et soutenue par les actionnaires du CAC 40 est de faire entrer des migrants sans formation. Une main-d’œuvre « bon marché » !

    Rappelons que le secteur industriel qui comptait environ 5 millions d’emplois au début de ce siècle n’en compte plus qu’environ 3 millions. La délocalisation de notre industrie a, par ailleurs, réduit notre production de richesse de 50 %. La part de l’industrie (notamment manufacturière) dans le PIB de la France est passée de 22 % à 12 %. Elle est de 20 % en Allemagne et de 18 % en Italie…

    Conséquence directe, la balance commerciale française « culmine »… un déficit de170 milliards quand à la fin du siècle dernier, elle enregistrait un excédent de 40 milliards. Pour comparaison, l’Allemagne comptabilise actuellement 180 milliards d’excédent.

    Obtenir un rendez-vous dans une administration, voire simplement un contact téléphonique, demande patience et persévérance et relève parfois du défi. Le télétravail, grand facilitateur de la vie familiale des employés, condamne les usagers à temporiser… voire à se substituer aux « spécialistes » et à faire eux-mêmes, par tâtonnements successifs, les formalités sur internet…

    Pourtant, sans doute pour réduire les statistiques du chômage, les effectifs dans les administrations françaises progressent d’année en année pour atteindre environ 6 millions d’emplois actuellement, soit plus de 1 million en 20 ans.

    Des administrations tatillonnes, installées à tous les niveaux des structures de l’État. Des administrations au mieux redondantes, qui n’ont pour seul effet que ralentir les instances décisionnaires…

    Des administrations qui pèsent, qui entravent l’efficacité. Dans le dispositif de santé notamment, 34 % des budgets sont consacrés aux non soignants, soit plus de 10 points supérieurs aux autres pays occidentaux…

    Des administrations

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