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Penser bien & tout va bien: 30 clés pour réussir à être heureux
Penser bien & tout va bien: 30 clés pour réussir à être heureux
Penser bien & tout va bien: 30 clés pour réussir à être heureux
Livre électronique280 pages3 heures

Penser bien & tout va bien: 30 clés pour réussir à être heureux

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À propos de ce livre électronique

Et si le bonheur, l’état de plénitude au travail et la paix n’étaient rendus possibles que par un seul changement : penser bien et tout va bien ? Penser bien et tout va bien, cela signifie vivre en harmonie avec votre environnement et avec vous-même dans tous les aspects de votre vie quotidienne. L’auteure vous offre des outils pour vous débarrasser de vos angoisses en optimisant vos capacités. Ensuite, à l’aide de 30 clés et d’exemples concrets, elle vous propose des exercices simples à mettre en pratique qui peuvent contribuer à des transformations à la fois personnelles et sociales. Elle vous convie à explorer une évolution progressive, étape par étape, et à y participer activement. Tout simplement, penser bien et tout va bien pour atteindre le bonheur.




À PROPOS DE L'AUTEUR




Élisabeth For Ever, imprégnée des relations humaines depuis sa tendre jeunesse, est l’auteure du livre d’éveil de l’esprit La Parole de Fée. Ses 30 clés, résultant de révélations narratives et d’explications détaillées, ont déjà aidé de nombreuses personnes à retrouver la joie et l’équilibre dans leur vie. Avec Penser bien et tout va bien, elle offre un accompagnement approfondi pour réussir à être heureux.
LangueFrançais
Date de sortie12 janv. 2024
ISBN9791042209643
Penser bien & tout va bien: 30 clés pour réussir à être heureux

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    Aperçu du livre

    Penser bien & tout va bien - Elisabeth For Ever

    Elisabeth For Ever

    Penser bien & tout va bien

    30 clés pour réussir à être heureux

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    © Lys Bleu Éditions – Elisabeth For Ever

    ISBN : 979-10-422-0964-3

    Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Introduction

    Comment je pense bien et tout va bien

    Ma vie a changé lorsque j’ai finalement compris pourquoi je tenais à garder l’anonymat et rester dans l’ombre. Je pense rarement au passé, gardant les meilleurs souvenirs comme de précieux trésors et conservant au fond de mon cœur seuls les instants de vie et de bonheur des êtres chers disparus. Je garde quoi qu’il en soit l’empreinte de mes souvenirs les plus chers. Je choisis de persévérer pour les choses à venir. Depuis mon âge tendre, je suis entourée d’amour, d’abord au sein de ma formidable fratrie de cinq sœurs et trois frères, puis de mes amis, mes professeurs et tutti quanti. Je pense bien et tout va bien. Cette joie de vivre, ma véritable nature, inclut l’amour de moi-même et de toutes les personnes qui croisent ma route. Je n’ai reçu aucune éducation religieuse, nous célébrions via un repas élaboré les soirs de Pessah et du Grand Pardon deux fois l’an. J’ai découvert au contact de cette grande famille que l’amour se partageait avec la même intensité envers chaque être et que le nombre n’en diminuait pas sa qualité. Nous avons eu la chance de toujours vivre dans de grands espaces et les gens nous disaient souvent que nous habitions la maison du Bon Dieu, toujours ouverte pour recevoir d’autres membres de notre grande famille. Notre tante Aline, mon oncle Albert et leurs quatre enfants s’étaient réfugiés chez nous pendant un an au moment de l’indépendance d’Algérie en 1962. Notre cousin Henry de Metz et notre cousine Colette de Saïda aussi, pour poursuivre leurs études universitaires. Voilà comment je pense bien et tout va bien.

    Je me suis donc nourrie chaque jour d’amour intérieurement et j’en redonnais à l’extérieur, telle est la loi de la vie. Ma mère répétait souvent « Merci Mon Dieu ou Grâce à Dieu ». À force d’entendre ces phrases sibyllines, néanmoins fort puissantes, j’ai fini par y ajouter foi. Tant et si bien qu’à l’âge de sept ans, je m’étais éloignée de ma famille, au cours d’une balade, le cœur débordant d’espoir, pour suivre un vieux monsieur inconnu qui me proposait d’aller voir le Bon Dieu. Mes parents m’avaient rattrapée à l’angle de la rue in extremis. Merci la vie !

    Vers l’âge de 9 ans, j’ai commencé à faire le même rêve étrange pendant plusieurs années. C’est l’hiver, vêtue de rouge, je cours de toutes mes forces, haletante, vers le sommet d’une montagne. Derrière moi, un immense troupeau de bisons me poursuit au galop. Leurs mugissements sonores se rapprochent quand soudain tombe un silence absolu et mes poursuivants semblent s’être arrêtés net. Je relève lentement la tête et aperçois un majestueux bison blanc en haut du pic. Je ne vois que l’immensité de son regard. Bon sang que je me sens bien subitement, et bon sang ne saurait mentir, mes yeux plongés dans ses yeux gigantesques, aussi étrangement protecteurs. Je suis comme aspirée par une force phénoménale et je m’émerveille devant la beauté et toute la vitalité de cette montagne immaculée de blanc. Je comprends, sans la moindre hésitation, qu’à compter de cet instant hors du temps, je bénéficierai dorénavant d’une protection inégalée et sans fin. Au réveil, le rêve demeure intact et je me sens légère, joyeuse, dynamique et autant vous l’avouer, surprotégée et puissante aussi. Je sais intuitivement à chaque nouveau réveil que quelque chose de profondément manifeste est là. Voilà comment je pense bien et tout va bien.

    J’ai toujours vécu dans une paix intérieure profonde qui ne m’a rarement quittée dès lors, avec de nombreux moments de béatitude et de grâce qu’il est peu aisé de décrire avec des mots. Mon parcours a été jonché d’expériences aussi fascinantes que troublantes. J’ai traversé les épreuves de la vie avec une facilité remarquable. Qui n’a pas traversé d’épreuves ? Mes épreuves étaient et sont toujours éphémères et avec des solutions rapides allant vers le mieux. J’ai lu une pléthore de livres d’aussi loin qu’il m’en souvienne, les jours de marché, je remplissais deux cabas de livres troqués. Passionnée de littérature, de philosophie, de psychologie, de spiritualité et aussi de toute la nature humaine et la justice, toujours avide de nouvelles connaissances pour élargir l’éventail des champs possibles. J’ai supprimé depuis fort longtemps le mot impossible de mon vocabulaire, et même de mon esprit, à l’instar de Napoléon « Impossible est un mot que l’on ne trouve que dans le dictionnaire des imbéciles ». Aider mon prochain a été et reste mon leitmotiv depuis toujours, ne me sentant jamais aussi bien que lorsque j’aide quelqu’un.

    Vers mes seize ans, particulièrement mature et déjà dotée d’un fort mental, une Directrice d’école maternelle, qui me faisait confiance, avait demandé l’autorisation à mes parents de me confier la surveillance de sa classe pendant un mois, à la fin de l’année scolaire, logeant dans l’école et devant s’occuper de son déménagement. Une maîtresse passait la tête dans la classe plusieurs fois par jour pour vérifier que tout allait bien. J’avais accompli cette mission en prenant mon rôle bénévole de maîtresse par intérim très au sérieux et les vingt-six enfants m’écoutaient de bonne grâce. C’était une expérience inattendue très positive également gravée dans ma mémoire, induisant déjà à l’époque comment je pense bien et tout va bien. Ne sous-estimez pas le pouvoir de la force mentale. Jacques H. Paget-1., à travers des exemples, explique comment se construire un mental prêt à toute épreuve. Je correspondais souvent pendant des années avec des parents proches et des étudiants en France et à l’étranger et tous mes courriers commençaient par TVTBMLM : « Tout va très bien, madame la marquise. »

    Le Pouvoir de la force mentale, Jacques H. Paget, Paris, Plon, 2013

    Un demi-siècle plus tard, cela se traduit par : Je pense bien et tout va bien.

    À 20 ans, j’ai gardé le lit un mois avec la coqueluche et, au vu de très fortes quintes de toux, le médecin avait été très inquiet pour mon état de santé. J’étais anémiée, en perte de poids journalière, ma mère quittait rarement mon chevet, feignant de tricoter un pull. Le médecin avait estimé au bout du compte que j’avais été une miraculée.

    Décidément ! Je vous explique : mes parents, Reine et Prosper, m’avaient conçue le même jour où mon père était tombé d’un échafaudage de six mètres de haut, après avoir subi une forte décharge électrique dans tout le corps. En sportif assidu, ses mouvements répétitifs et énergiques qu’il avait su faire, une fois atterri sur le sol, lui avaient sauvé la vie. Il est important de savoir d’où vous venez et aussi de connaître les circonstances qui entourent votre naissance, pour mieux vous définir et appréhender les expériences de la vie de la façon la mieux appropriée qu’il soit.

    Je suis arrivée quatrième dans la famille, ça m’allait plutôt bien, ayant naturellement toujours trouvé ma place au sein de cette fratrie d’amour ; c’était si jubilatoire d’avoir autant de frères et sœurs, on riait énormément, on se chamaillait parfois évidemment, surtout au moment de dresser la table ou d’essuyer la vaisselle. Quand mon tour venait, plongée en permanence dans un nouveau livre, je m’arrangeais malicieusement pour m’éclipser. Je sais bien, ce n’était pas cool, mes frères et sœurs râlaient d’abord et ça se terminait finalement en rigolades.

    Le goût à la psychologie, branche de la philosophie consacrée à l’âme, s’est avéré incontournable pour moi, au sein de mon environnement familial. Tous mes échanges avec mes frères et sœurs ont nourri mon envie de mettre du sens à tout, à chaque instant. Après le bac économique et littéraire, deux années d’études par correspondance dans le marketing et le commerce, à l’instar d’un frère aîné, j’ai travaillé au service des Ressources Humaines pendant près de 25 ans. À cette époque troublante, mon père avait été longuement hospitalisé pour la thyroïde. Toute la famille avait comme centre d’intérêt prioritaire son état de santé. Il ne s’ensuit aucunement d’ailleurs que l’issue eût été différente, dans ma responsabilité pleine et entière de ma propre évolution. J’ai pu bénéficier d’une formation sur dix ans de l’analyse pédagogique afin d’aider les personnes à puiser des ressources à partir de zones de compétences établies, en favorisant une analyse objective, rationnelle, nuancée et globale des thèmes abordés. Sur la mise en place de diverses techniques pour cultiver une meilleure confiance en soi. Dans le développement personnel via des outils de psychothérapie à travers des méthodes comme l’épanouissement individuel, la psychanalyse, l’inconscient, les rêves, le transfert ; les thérapies cognitives et comportementales (TCC), pratiques centrées sur les pensées et les croyances, la respiration consciente, le lâcher-prise… J’ai étudié en autodidacte, pour élargir des horizons professionnels, le droit privé, du travail et commercial et des entreprises. Pendant ce temps-là, « étape par étape », mon expression favorite, sachant pertinemment qu’il faut laisser le temps au temps, je suis devenue Directrice des Ressources Humaines, et j’ai à n’en point douter fait de mon mieux pour améliorer la vie des gens au travail. J’ai toujours collaboré avec des patrons qui me donnaient une entière carte blanche pour prendre des décisions de toute nature. Faire toujours de son mieux reste une attitude tournée vers les autres.

    Exemple : Faire de son mieux

    Fable arménienne de l’oiseau-mouche : Il y eut un jour un grand incendie et tous les oiseaux et tous les animaux s’enfuirent dans le plus grand désordre. L’oiseau-mouche partit vers la rivière et prit dans son bec une goutte d’eau. Tous les oiseaux se mirent à rire. « Que fais-tu ? » demandèrent-ils ? « Je fais ce que je peux », répondit-il.

    ***

    Quant à 21 ans, j’ai rencontré l’homme de ma vie, Jean-François, je voulais partir travailler en Angleterre, lui pas vraiment. Il était un mari respectueux, attentionné et très intelligent. Phénomène étrange, il pouvait, en famille comme en société, rester fort longtemps dans le silence, en retrait, préférant observer, contrairement à moi qui ai, depuis toute petite, eu des facilités à aller vers les autres. Malgré deux caractères très différents, nous nous entendions bien. Il partageait son temps entre son poste de Direction à la Poste de Paris 8e et sa grande passion, le rugby, dont il était Président d’un club en IDF. Nous retrouvions chaque année les joueurs de rugby du Tournoi des Cinq Nations, en Angleterre, en Écosse, au Pays de Galles et en Irlande. Je servais d’interprète à une cinquante de joueurs passionnés qui nous accompagnaient en bus.

    En 1981, notre fils Ludovic est arrivé. En ce 4 juin 2023, jour de la fête des mamans, je remercie Ludovic de m’avoir choisie comme mère. Il est une fontaine de jouvence à laquelle je m’abreuve avec délices, à chaque rencontre. Il a fait le choix, une fois tous ses diplômes en main, de développer son activité en France et à l’International, pour sa grande satisfaction. Et comme à mon sens, l’espace et le temps ayant une relativité subjective et non objective, ses absences répétées, depuis son premier séjour linguistique aux Etats-Unis, à l’âge de 16 ans, ne m’ont point affectée sur le plan émotionnel. Les enfants ne sont pas votre propriété, ils viennent au monde avec leur propre légende personnelle à suivre. Les aider à s’épanouir en leur accordant leur droit de naissance, la liberté, est le mieux que vous puissiez faire pour leur bien-être. Attention, permettez-moi une digression. C’est, comme par hasard, il n’y a pas de hasard, juste des rendez-vous, à partir de ses 16 ans que j’ai appliqué ce détachement émotionnel. Auparavant, c’était plus difficile, je le reconnais humblement, les avertissements de mon cœur de mère ne me manquaient pas, seulement je n’y prenais point garde, jusqu’en 1997. J’étais en train de jouer une partie perdante, heureusement, j’avais su redresser la barre au bon moment. Je me demandais pourquoi je ne pouvais pas revenir en arrière ? Tout simplement parce que ce n’est pas de l’ordre du possible. Maintenant que tout cela est si loin, au souvenir de la façon dont je surprotégeais mon fils, je suis tentée de rire.

    Exemple : Sourire

    Les Chinois ont coutume de dire que sourire trois fois par jour rend inutile tout médicament. Pourquoi ne pas essayer ?

    ***

    En 1990, alors que rien ne le laissait présager auprès de notre entourage et la vie n’étant pas un long fleuve tranquille, nos routes de Jean-François et moi se sont séparées, de mon fait, après quatorze années de vie maritale, j’estimais que notre philosophie de vie n’allait pas dans le même sens. Il avait pris, peu de temps après, la responsabilité de l’acheminement du courrier adressé à l’Élysée, successivement auprès des trois Présidents de la République Française, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Les deux derniers Présidents lui avaient décerné la médaille de la Légion d’honneur, compte tenu de son honorabilité et de sa longue fidélité. Je remercie Jean-François du fond du cœur du cadeau inestimable qu’il m’a fait avec la naissance de Ludovic. Quelle plus grande joie pouvait m’être réservée à moi-même ? Cette extraordinaire première expérience amoureuse reste un réel succès gravé dans ma mémoire pour l’éternité. Voilà comment je pense bien et tout va bien.

    Le deuxième homme de ma vie, Jacques, une véritable force de la nature et doté d’un esprit brillant, était devenu ma « moitié » émotionnelle, nous étions d’accord sur presque tous les sujets. Lui aussi m’avait placée sur un piédestal. J’avais connu avec Jacques la félicité permanente, je l’avoue en toute simplicité. Ensemble, alliant nos connaissances expérimentales, il était Directeur Administratif et Financier Régional, et entourés de personnes hautement qualifiées dans le domaine de la Grande Distribution en France et en Pologne, nous avions travaillé à toute la mise en place intérieure du matériel de base et frigorifique et du remplissage des rayons, le bâtiment de la taille du Printemps Boulevard Haussmann à Paris existait déjà, d’un hypermarché de 7 étages basé à Varsovie. Nous avions consacré deux ans à ce titanesque projet d’installation, de recrutement de centaines de collaborateurs volontaires pour nous rejoindre à Varsovie, de la gestion et de la vente dans la Grande Distribution, nuit et jour, à sa conception, nécessitant des réunions techniques, logistiques, commerciales, administratives, financières et juridiques successives qui nous laissaient très peu de répit. Jacques faisait les déplacements en Pologne, nous œuvrions dans l’allégresse, insouciants des heures de sommeil escamotées pour la bonne cause. Même si le projet n’a pas abouti, faute de capitaux suffisants, il reste à mes yeux une vraie expérience incroyable et très enrichissante sur le plan du challenge, de la pluriactivité, des connaissances, de la pugnacité et du tumulte des émotions. Voilà encore une fois comment je pense bien et tout va bien. En 2004, quatorze ans plus tard, nos routes maritales à Jacques et moi se sont aussi séparées, de mon fait, nos points communs s’étant au fil de l’eau éloignés et notre philosophie de vie d’autant. Je remercie Jacques du fond du cœur de sa grande gentillesse et de sa générosité altruiste, indéfectibles envers, entre autres, mon fils et moi, tout au long de cette sublime aventure amoureuse qui reste, de facto, un autre succès gravé dans ma mémoire ad vitam aeternam. Ici aussi, voici comment je pense bien et tout va bien. J’avais saisi l’opportunité de ce changement de nom marital pour légaliser mon nom d’auteur devenu dès cette époque mon nom d’usage Elisabeth For Ever.

    Exemple : La gentillesse

    La gentillesse est le langage qu’un aveugle peut voir et qu’un sourd peut entendre.

    ***

    En 2001, au Salon du livre à la Porte de Versailles de Paris, animée d’une joie profonde, j’ai rencontré sur rendez-vous les Éditions Lacour, dans le but de leur apporter, en vue de sa publication, le manuscrit de mon premier roman, L’hiver tyrolien. La réponse de l’éditeur m’avait interpellée, il me demandait sans préambule de lui écrire d’abord un livre de recettes de cuisine de l’Afrique du Nord, pays de ma naissance. Ensuite, il s’engageait verbalement à publier mon premier roman. J’ai d’abord cru qu’il plaisantait. Pas le moins du monde en fait. Néanmoins, cela ne m’a pas empêchée de relever le défi. Grâce à ma merveilleuse famille vraiment douée pour la préparation de délicieux plats faits maison oranais, j’étais allée à la bonne école et je me sentais capable de réaliser ce challenge. Trois mois plus tard, mon livre de recettes oranaises trônait en librairie, mes parents en étaient assez fiers. La publication de mon premier roman d’amour avait suivi. D’autres livres se sont succédé, formant une saga de 4 romans d’amour aux 4 saisons et dans 4 pays. Les histoires véridiques, seuls les prénoms des personnages changent, y racontent subrepticement et en filigrane

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