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Richie
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Livre électronique626 pages10 heures

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À propos de ce livre électronique

Qui est riche?? À quel niveau de vie est-on « riche » ? La richesse est le plus souvent une question de chance (mais ne le dites pas aux riches). La difficulté est reportée sur le niveau de vie minimum décent : est-ce le strict nécessaire ? Le seuil (et lequel) de pauvreté ? Faut-il choisir l’amour ou l’argent ? Et pourquoi ? Mon cher, pourquoi n'inviterions-nous pas Succès ? Ne serait-il pas mieux d'inviter Amour ? J'ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi ? A vous de le découvrir… « À quel niveau est-on riche » ?
LangueFrançais
ÉditeurXinXii
Date de sortie15 mai 2019
ISBN9783966336185
Richie

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    Aperçu du livre

    Richie - Sewa Situ Prince-Agbodjan

    RICHE

    By Sewa Situ PRINCE-AGBODJAN

    Copyright 2019, Sewa Situ PRINCE-AGBODJAN

    XinXii.com

    *******

    ©2019 Author: Sewa Situ PRINCE-AGBODJAN

    Contact: charlneguy@yahoo.fr /princeagbodjan.sewa@yahoo.fr

    Where applicable

    Cover, Illustrations: PRINCE-AGBODJAN, Sewa Situ

    Readership, correction: MORGANE, Stephan

    XinXii.com, License Notes

    M E N T I O N SL É G A L E S

    © 2019, Sewa Situ PRINCE-AGBODJAN

    Tous droits réservés.

    ISBN: 978-3-96633-618-5

    Verlag GD Publishing Ltd. & Co KG, Berlin

    E-Book Distribution: XinXii

    www.xinxii.com

    Ce livre numérique est autorisé pour votre plaisir personnel seulement. Il ne peut-être revendu ou donné à d’autres personnes. Si vous désirez partager ce livre avec une autre personne, veuillez achetez une copie supplémentaire pour chaque destinataire. Si vous lisiez ce livre mais ne l’avez pas acheté, veuillez visitez XinXii.com pour y acheter votre propre copie.

    Merci de respecter le travail de cet auteur.

    Double Alliance

    Synopsis :

    Stephan Morgane est un jeune pilote militaire de la Force Aérienne devenu homme d’affaire. Il a mené une vie à mille pour cent…Désir, jet privé, luxe, passion, amour, jalousie, vengeance, trahison…Mais tout ça c’était avant qu’il ne pose ses yeux sur elle…Beauté, fortune, perversion. Mr Morgane s’est servi de son physique, des femmes et de l’argent afin d’assouvir sa quête vengeance jusqu’au jour où il revoit sa demi-sœur, devenue femme… C’est là qu’il a su que tout que changer en un instant…Loyauté ou trahison ?

    Besoin de vous évader un peu dans les plaisirs charnels ? De frissonner de plaisir en lisant ? A vous de le découvrir…

    1.

    Je me nomme Stephan Morgane, j’ai des yeux bleus et des cheveux coupés. Quand j’avais atteint l’âge de dix-neuf ans, dès mon arrivé à Atlanta, j’avais besoin d’un emploi le plus rapidement possible. J’avais passé plus de trois mois à chercher un emploi afin que je puisse rejoindre les deux bouts. J’avais déposé mon CV un peu partout mais aucun de ces entreprises ne m’avaient rappelé. J’ai frappé à des portes tout en décidant de forcer à certaines. Malheureusement toutes mes initiatives n’ont pas porté leurs fruits. Désespérer, je ne savais plus à quels saints me vouer. J’étais en pleine dépression quand une entreprise, non loin de chez moi m’avait appelé pour une entrevue d’emploi. C’est la vie, voyant enfin l’espoir se miroiter devant moi, je me suis dépêché pour essayer de voir la responsable de l’entreprise. Comme j’étais venu avant l’heure de mon entrevue, je suis entré dans hall de l’entreprise tout en étant nerveux. Quand j’ai rencontré la secrétaire, elle m’a dit tout gentiment d’attendre mon tour. Une fois assis, j’avais les yeux fixés sur le sol. Mes jambes frissonnaient à cause de mon état d’anxiété. C’est quand j’entendis une voix féminine appelé mon nom que j’ai levé mon regard vers l’horizon. Je n’en reviens pas j’avais en face de moi une belle femme.

    Surpris, elle me tendit son bras:

    -Bonjour Mr, je suis Veronica Johnson ! Me chuchota-t-elle tout en ayant une voix douce et sexy.

    -Stephan Morgane, je suis vraiment enchanter de faire votre connaissance ! Lui répondis-je le plus rapidement possible, une fois sorti de ma stupeur.

    Comme elle me fit signe de la suivre, je me suis levé subitement puis nous avons marché le long du couloir principal du hall jusqu’à l’ascenseur. Quand je me suis retrouvé dans l’ascenseur avec cette belle dame, beaucoup de pensés sordides ont commencé par traverser mon esprit. Etant distrait par son charme, tout ce que je regardais c’était sa beauté. Elle avait de longs cheveux blonds. Elle avait un beau visage fin assorti avec des yeux bleus vraiment étonnants. Whaoo…Je ressens toujours cette nostalgie quand je suis entrain de vous parler d’elle. C’est une femme qui avait l’air très professionnel avec son costume bleu foncé et sa blouse en soie. Elle avait des bas de couleur sexy et une paire de pompes noires qui ont commencé par me faire bander. La façon dont mon esprit était agité par le charme de cette femme, je ne sais même pas si je pouvais me concentrer sur l’entrevue que je devais avoir avec elle. Quand nous étions sorti de l’ascenseur, elle s’est mise à me poser des questions sur comment j’avais trouvé mon trajet avant de venir chez eux. Elle me demandait où est ce que j’habitais tout en me donnant des informations clés sur leur entreprise. Comme mon esprit n’était pas du tout apaiser, j’avais eu vraiment du mal à répondre correctement à toutes ses questions. Sans vous mentir, la plupart de mes réponses s’étaient « oui » ou « non ». Je ne savais plus ce qui m’arrivait, je ne savais même pas ce qui avait provoqué ce choc en moi. Est-ce sa blouse qui miroitait parfaitement la forme de ses seins ? Ou est-ce la minijupe serrée qui dessinait la forme de son joli cul ? Une fois qu’elle a arrêté de me bombarder de questions, j’ai ralenti mes pas pour pouvoir marcher tout en restant derrière elle. C’est la première fois que je ressens ce genre de chose avant une entrevue.

    Tout en ayant toute mon attention concentrée sur son cul et comme je ne voyais pas aucune trace de slip sous sa minijupe, ma pensée s’est mise à imaginer le genre de string qu’elle avait porté. Avant d’entrer dans son bureau mes yeux ont commencé par errer vers les bas en soie qu’elle avait portée. Une fois dans son bureau, l’entrevue que je devais avoir avec elle s’est passée très rapidement. Je n’en revenais pas ! À voir la façon dont j’étais trop distrait par le charme de cette patronne. Je pouvais même parier que l’entrevue que je venais d’avoir avec elle était un échec.

    Une fois chez moi, j’avais eu une nuit blanche car j’avais ruiné la seule chance que j’avais eue pour trouver un emploi à Atlanta. Etant sûr que j’avais fait une mauvaise impression devant cette patronne, je me suis endormi sans le savoir dans un état de dépression chronique. C’était un appel téléphonique qui m’avait réveillé le lendemain, au alentour de dix heures du matin. Troublé, c’est quand j’ai jeté un regard sur mon phone que je me suis rendu compte que c’est un numéro inconnu qui est entrain de m’appeler. Quand j’ai finalement décroché j’ai répondu :

    -Bonjour !

    C’était un certain John Lauren de la Direction des Ressources Humaines de l’entreprise avec laquelle j’avais eu l’entrevue hier qui m’avait appelé. Il m’avait dit qu’il avait une bonne nouvelle pour moi car d’après sa version, tout les cadres de leur entreprise ont été impression par ma personnalité, c’est pourquoi ils ont décidé de m’offrir un emploi dans leur entreprise. Juste après la fin de son appel téléphonique, mon cœur était en feu car j’étais au-delà de l’excitation. Je n’en reviens pas, j’ai finalement obtenu un emploi que j’avais désiré désespérément à Atlanta. En plus, j’avais l’opportunité de travailler avec Veronica Johnson.

    Ils ont décidé que le lendemain sera mon premier jour de travail. Une fois chez eux, ils ont décidé de m’accueillir avec un déjeuner de groupe dans la cantine de leur entreprise. Quand je suis arrivé à la cantine pour le diner, j’ai été surpris que j’aille déjeuner avec cinq femmes de l’entreprise y compris Veronica. Quand nous avons démarré le déjeuner, elles ont commencé par discuter du mariage et le fait d’avoir des enfants en couple. C’est au cours de leur discussion que je me suis rendu compte qu’une des femmes était déjà en couple et qu’une autre était enceinte de 4 mois. C’est quand elles ont commencé par conseiller Veronica de s’engager dans une vie de couple que j’ai su que la patronne de cette entreprise était célibataire car elle consacrait tout son temps à sa carrière. Comme j’étais le seul homme à table avec elles, je n’avais pas voulu intervenir dans leur discussion. Juste après la fin de notre déjeuner, suite à une petite réflexion personnel, je me suis dit qu’une vie amoureuse avec Veronica sera ma seule chance d’intégrer parfaitement Atlanta.

    Après trois semaines passés dans cette entreprise, je me suis rendu compte que l’intensité de la beauté de Veronica correspondait à l’intensité de son intelligence. Avec son quotient intellectuel très élevé, elle avait travaillé dur pour que son entreprise ait une grande renommée en Atlanta. C’est au fil du temps que mon feeling pour elle avait commencé par s’agrandir. J’ai commencé par l’apprécier à sa juste valeur mais au fond de moi, j’avais voulu lui avouer ce que je ressentais pour elle. Tout ce que je désirais à l’époque, c’était elle et tout ce que j’aimerai qu’elle m’offre, c’était juste une rencontre. Mais vous savez quoi ? Les choses étaient tellement compliqués dans cette entreprise que je ne pouvais pas demander à ma patronne de m’offrir un rendez-vous juste pour la dire ce que je ressentais pour elle. Chaque soir dans mon lit ou au clair de lune, j’imagine désespérément notre vie à deux.

    Deux jours avant la fête de noël, ma patronne avait envoyé à tous les cadres de son entreprise un cadeau. Dans la matinée de la veille de Noël, j’étais parti la remercier dans son bureau pour le cadeau de noël qu’elle m’avait envoyé. Elle, de son coté avait apprécié ma gratitude. Dans la soirée du réveillon de Noël, un diner avait été organisé dans l’enceinte de l’entreprise pour les cadres de tous les départements. L’idée, c’est que nous poussions partager quelques verres avant la fête de Noel. Au cours de la soirée, le hasard avait fait que je me suis retrouvé assis à coté de Veronica tout au long du diner. Bien qu’il y ait beaucoup de femmes matures qui dinaient à table avec nous. Toute mon attention était focalisée sur ma patronne. Bien que les discussions qui étaient au tapis fussent très intéressantes, tout ce qui m’intéressait, c’est le feeling que je ressentais pour Veronica. J’avais l’impression qu’il y avait un lien spirituel en nous. J’ignore pour l’instant si ce que je ressens pour elle est vraiment réciproque mais une question me venait constamment à l’esprit. Je me demandais à chaque fois pourquoi j’étais amoureux de ma patronne Veronica Johnson ? Es-ce un véritable amour ou juste de la convoitise ? Suis-je attiré par elle parce que j’avais juste envi de lui faire l’amour ou quoi ? C’était des questions qui inondaient mon esprit. Malheureusement, je n’avais pas pu trouver aucune réponse à ces questions. Peut-être que je l’aime entant qu’une personne et non pas à cause de sa chatte qui pouvait me procurer autant de plaisir. Sans vous mentir, même au boulot je fantasmais sur elle et le pire dans tout cela, c’était que j’allais me branler dans les toilettes tout en la déshabillant dans mon esprit. C’est vraiment horrible de ressentir ce genre de chose envers une patronne qui se sent toujours bien dans sa peau quand elle discute avec moi.

    Pour vous décrire un peu la façon dont elle s’habille, je peux vous certifier que c’est une patronne qui est vraiment très professionnel dans son habillement. Bien que ça me paraisse habituellement sexy, elle porte habituellement des minijupes avec robes jumelés qui lui conviennent parfaitement dans la période estivale. Elle porte généralement des bas en hivers et au cours des réunions très importantes, elle porte toujours des costumes de femmes d’affaire très sexy. Généralement, elle porte des hauts talons stylet. Pour être franc avec vous, elle met mon cœur en branle quand elle s’habille en ventouse américaine car j’adore vraiment les femmes qui s’habillent comme ça. Quand je me mets à fantasmer sur elle au boulot, je nous imagine tous deux partir en voyages d’affaires ou dans des hôtels luxueux. Malheureusement, je n’ai jamais eu l’occasion d’être seul ou en tête à tête avec elle.

    Une après-midi, elle s’était vêtue simplement d’une jupe noire qui lui arrivait jusqu’aux genoux. Elle avait également porté des bas noirs avec un col mince roulé autour de ses jambes qui avait une couleur crème. Elle était dans une tenue très sexy avec des hauts talons qui m’avait fait bander tout au long de cette après-midi. J’étais entrain de travailler dans mon bureau au environ de seize heures quand elle m’avait appelé pour venir la voir dans son bureau afin de lui apporter un coup de main. Une fois dans son bureau, nous avons travaillé ensemble sur des projets de grandes envergures jusqu’à vingt heures et quand nous sommes sorti du hall, tous les autres collègues étaient déjà rentré chez eux. Il n’y avait que nos deux voitures sur le parking de l’entreprise. Voulant jouer à la galanterie avec elle et croyant qu’elle allait finalement me remercier en m’invitant à diner avec elle, j’ai décidé de la raccompagner jusqu’à sa voiture. Une fois là-bas, elle est montée dans sa voiture tout en me disant de passer une douce nuit. Je n’en revenais pas, elle m’a dégonflé. Je l’ai répondu de passer une douce nuit tout en étant déçu de son attitude envers moi puis je suis parti. Dans mon élan, j’ai entendu le grondement du moteur de sa voiture puis je me suis retourné. Comme j’avais constaté qu’elle avait des problèmes à démarrer sa voiture, je me suis retourné pour aller la voir. Quand je me suis rapproché de sa voiture, je voulais lui demander si tout allait bien quand je me suis rendu compte qu’elle a commencé par appeler un camion de remorquage. N’étant pas un expert en mécanique auto, je ne pouvais lui offrir aucune aide. Toute mon attention était concentrée sur son joli visage quand le service de remorquage d’Atlanta était entrain de l’informer qu’il n’y avait plus de camion de remorquage à leur disposition. Elle était plongée dans un profond désarroi quand le service de remorquage s’était mis à l’informer qu’elle devrait patienter pendant au moins deux heures de temps avant qu’il puisse venir avec un camion. Vexer, elle est sortie de sa voiture et elle a décidé de prendre un taxi afin de rentrer chez elle. Quand je lui ai proposé de lui offrir mon aide afin de l’amener chez elle avec ma voiture, elle s’est mise à me dire qu’elle n’aimerait pas me déranger. C’est quand je l’ai informé que les taxis passent rarement devant notre bâtiment à cette heure-ci, qu’elle a commencé par réfléchir en elle-même.

    Après dix minutes passées là-bas, elle s’est rendue compte qu’il n’y avait pas de taxi dans le coin et que j’avais raison. C’est là qu’elle a finalement accepté mon offre. Heureux de sa décision, je l’ai amené jusqu’à ma voiture tout en lui demandant de m’indiquer chez elle. Après m’avoir indiqué chez elle, nous sommes rentrés dans ma voiture puis je l’ai démarré. Bien que la circulation fût calme, Veronica qu’en a elle était visiblement contrarié à cause de la journée épuisante qu’elle vient de passer. Malgré que je conduisais paisiblement ma voiture, mon mental s’est mis à me jouer des scénarios érotiques avec ma patronne. Mon esprit s’est mis à s’agiter la forme de ma patronne puis j’ai commencé par réfléchir sur la façon dont je pourrais lui faire mes avances. Mon esprit s’est mis à imaginer la forme de ses cuisses et de sa chatte. Je me suis mis à fantasmer sur la façon dont je pouvais les lécher tout en le suçant. Comme ma pensée dénudait ma patronne, une énorme bosse s’est formée dans mon pantalon car ma queue s’est parfaitement mise en érection. Malgré que mes deux mains fussent sur le volant de la voiture, je faisais tout pour que ma patronne ne remarque pas la bosse qui s’est formée dans mon pantalon. Voyant qu’elle est toute épuisée, je me suis mis à prier pour qu’elle ne constate pas la bosse dans mon pantalon. Je la voyais se noyer dans ses pensés et je suis certain qu’elle est entrain penser au lutte qu’elle à dû accomplir pour que son entreprise puisse avoir une grande renommée. Une fois que ces yeux ont remarqué la bosse qui se trouvait entre mes jambes, elle a commencé par se montrer reconnaissante envers moi tout en me remerciant d’avoir travaillé tard dans la nuit avec elle. Elle m’a également remercié de l’aide que je viens de lui offrir. Elle se demandait ce qu’elle ferait, si je n’étais pas présente à ces cotés au cours de la panne de sa voiture. Après quelques minutes de silence dans la voiture, elle a bougé un peu vers mon coté. J’avais été vraiment surpris quand elle a posé sa main sur la bosse qui se trouvait entre mes jambes dans un premier temps. Ensuite elle s’est mise à masser ma queue à travers le tissu de mon pantalon tout en m’embrassant dans le cou. Je n’en revenais pas, j’avais presque perdu le contrôle de la voiture.

    Par la grâce de Dieu, je n’ai pas déraillé et comme nous sommes presque arrivé devant sa résidence. J’ai essayé de garer ma voiture dans l’espace de stationnement qui se tenait juste en face de sa résidence.

    Après avoir bien garé ma voiture, on s’est mis à nous embrasser tout en nous caressant. Après avoir caressé ses seins pendant un temps fou, je me suis mis à caresser son ventre avec ma main droite tout en glissant ma main gauche sous sa minijupe. Tout en ressentant l’humidité de son string, elle s’est mise à dé zipper lentement mon pantalon pour essayer de libérer ma queue. Ma patronne gémissait avec passion quand je me suis mis à l’embrasser tout en la caressant. Je n’en revenais pas, je ne sais plus comment nous deux, nous avons fait pour rentrer dans sa résidence. Ni moi, ni elle, on ne serait pas vous décrire la façon dont nous sommes rentrés dans son salon. L’extase était si extrême que je ne rappel pas de la façon dont nous sommes sortis de la voiture. Je ne me rappel plus de la façon dont nous avons traversé la porte de son salon. Tout en n’oubliant que mon pantalon avait été dé zipper depuis ma voiture, une fois que nous avons passé la porte d’entrée de son salon, j’ai poussé ma patronne contre sa porte d’entrée puis je me suis mis à caresser ses seins tout en l’embrassant. Sans avoir pris la peine d’enlever ses vêtements, j’ai juste soulevé sa jupe tout en faisant glisser son string vers le bas, jusqu’au niveau de ses genoux. Voyant ma patronne gémir sous l’effet de mes caresses, je me suis mis à genoux entre ses jambes puis j’ai commencé par sucer les alentours de sa chatte. Je n’en reviens pas, étant surpris de la façon dont sa chatte était toute épilée, tout d’un coup je me suis mis à sucer son clito tout en introduisant ma langue dans sa chatte. Humm…C’était vraiment propre et le goût de son jus intime était vraiment agréable. Tout son corps frémissait sous l’effet de mes léchages. Je suis certains que ça fait un bon moment qu’elle ne s’était plus senti dans un tel état. En plus, elle n’a pas mis beaucoup de temps avant de jouir dans ma bouche. Une fois qu’elle a constaté que son corps s’est mis à trembler, elle m’a supplié de me redresser car elle avait envi de sucer ma queue. Sans hésiter, je me suis redressé puis elle s’est mise à genoux entre mes jambes. Puisque qu’elle avait déjà ouvert la fermeture de mon pantalon quand on était dans la voiture, elle a juste déboutonné mon pantalon tout en faisant ressortir ma queue parfaitement en érection de mon boxer. Après avoir introduit la pointe de ma queue dans sa bouche, elle s’est mise à la sucer tout en me regardant droit dans les yeux. Ayant pris conscience de la façon dont elle me taillait la pipe telle une pro tout en se focalisant sur mes réactions, je me suis rendu compte à qu’elle point elle aimait sucer la queue d’un homme. La sensation que je ressentais dans sa bouche était si extrême que je ne pouvais pas la laisser continuer car je ne voulais pas éjaculer au fond de sa gorge sans pouvoir la baiser. Elle était entrain de sucer mes couilles quand j’ai fait glisser ma main droite dans la poche arrière de mon pantalon afin de prendre un préservatif de mon porte-monnaie. Une fois qu’elle a remarqué la façon dont je lui avais tendu le préservatif, elle a rapidement compris que j’avais terriblement envi de ressentir ma queue dans sa belle chatte. Après m’avoir mis le préservatif, elle s’est redressée. Sans hésiter, j’ai posé mes deux bras autour de ses bassins puis je l’ai soulevé, ensuite je l’ai poussé contre sa porte d’entrée. Une fois qu’elle a enroulé ses jambes autour de mes hanches, elle a fait introduite ma queue dans sa chatte. Comme elle était dans mes bras tout en n’ayant plus ses pieds au sol, on s’est mis à nous embrasser passionnément dans un premier temps puis j’ai commencé par effectuer mes premiers va-et-vient dans sa chatte toute béante. Mes gicles étaient si torrides qu’à chaque coup de hanche, son dos et tête cochaient sa porte d’entrée à plusieurs reprises. Après avoir martelé sa chatte à une vitesse vertigineuse pendant plus d’un quart d’heure, je me suis déplacé vers le canapé le plus proche tout en maintenant ma queue au fond de sa chatte. Une fois devant le canapé, je l’ai déposé lentement sur son dos tout en maintenant ma queue au fond de ses entrailles. Volant admirer la beauté de ses seins, j’ai enlevé rapidement la tenue très sexy qu’elle avait porté puis je me suis mis à dégrafer son soutien-gorge en dentelle. Elle avait toujours ses hauts talons à ses pieds quand je me suis mis à sucer le bout de ses mamelons de façon simultanés. Etant satisfait par la fermeté de ses seins et ses rondeurs, je n’ai même pas cherché à enlever mes vêtements avant de soulever ses deux jambes pour les poser sur mes épaules. Ayant enfin sa chatte dans une bonne position de tire, j’ai commencé par marteler le fond de ses entrailles à une vitesse très vertigineuse. Comme j’avais bloqué ses pieds aux niveaux de mes épaules, elle n’arrivait plus à bouger et à gesticuler dans tous les sens par contre elle a gémit pendant plus d’une demi-heure tout en concentrant ces beaux yeux bleus sur mon regard. Je n’en pouvais plus, j’étais arrivé au sommet de mon extase. La sensation que je ressentais au fond de sa chatte était si extraordinaire que j’ai dû libérer toutes ma semence à l’intérieur de mon préservatif. Le sentiment que j’avais ressenti à ce moment là était vraiment merveilleux. Satisfait et épuisé, je me suis effondré sur son corps. Etant plongé dans son étreinte dans le canapé, nos respiration étaient devenus très lourd pendant quelques secondes puis je me suis endormi dans ses bras sans le savoir.

    Quand je me suis réveillé vers quatre heures du matin, on s’est complètement déshabillé puis nous avons rejoins sa chambre à coucher. Nous avons refait l’amour deux fois de suites dans son lit puis nous avons pris notre douche ensemble. Après nous avons pris notre petit déjeuner autour de la table à manger de sa cuisine. Ensuite, nous sommes partis ensemble au boulot à l’aide de ma voiture. Tout au long de la journée, je suis rendu à compte du souffle d’espoir qui était rentré dans ma vie grâce à ma patronne. Pendant plus d’une semaine tous nos collègues avaient constaté qu’il y a quelques choses qui avaient changé en nous. Nous étions tous deux heureux au boulot et nos journées n’étaient plus stressantes comme avant. Comme nous avons pris goût à l’érotisme qui s’était produit entre nous. Nous avons tous deux décidés de faire l’amour à plusieurs reprises, chaque soir chez elle. Je ne comprenais plus rien du tout de la façon dont tout allait trop vite, j’ai commencé par avoir peur qu’on se crache d’un moment à l’autre. C’était comme si j’avais perdu le sens de moi-même. Après une petite réflexion, je me suis rendu compte que c’était de la convoitise que je ressentais pour ma patronne et qu’elle m’avait attiré parce que j’avais juste de lui faire l’amour. J’étais immature à l’âge de dix-neuf et étant un aventurier par nature, je n’ai jamais voulu être pris en cage par une relation amoureuse avec une femme plus âgée que moi.

    Une fois qu’elle s’est rendue que j’ai commencé par prendre mes distances par rapport à elle, à un moment donné elle a accepté de me donner un congé d’hiver afin que je puisse rentrer à Dallas enfin de voir ma famille.

    Heureux, j’étais arrivé chez moi à Dallas, un jeudi soir. Mes parents ont été vraiment contents de me revoir. Après une courte discussion avec ma mère Samantha Morgane, elle n’avait pas du tout aimé la décision que j’avais pris quand j’avais laissé mes études pour aller travailler à Atlanta. Après l’avoir calmer, elle m’avait dit qu’elle aimerait que je lui rende un petit service. Voulant savoir de quoi il s’agissait, elle m’a informé que ma tante doit faire un déménagement le lendemain matin pour aller dans une nouvelle maison. Sans vouloir la désobéir, j’ai accepté d’aller apporter un coup main à ma tante au cours de la journée de demain.

    Pour vous parler un peu de ma tante, elle est une femme divorcée. Néanmoins elle a eu trois filles avec son ex. Donc, ce n’était pas une surprise pour moi quand elle est venue demander la permission chez ma mère pour que je vienne l’aider pendant le week-end à faire son déménagement. En vérité, j’ai toutes les compétences pour l’aider car j’ai dix-neuf ans et je suis robuste. Je peux l’aider à transporter les meubles lourds qu’elle dispose dans sa nouvelle maison. Si vous voulez savoir pourquoi j’ai accepté de lui apporter mon aide, c’est parce que je l’ai toujours considéré comme ma seconde mère. Bien qu’elle soit grande de taille, l’une des caractéristiques de sa beauté ce sont ces seins. J’ai eu la bonne fortune d’avoir vu ses seins sans soutien-gorge quand j’étais adolescent et j’ai beaucoup apprécié sa discrétion face à cette vision inattendue.

    Dès mon arrivé chez elle dans la soirée du vendredi, je me suis vite rendu compte que mes trois cousines étaient partis en retraite spirituelle juste pour le week-end. Ce qui veut dire que je dois tout faire seul. Pour être honnête, cela ne me pose pas de problème car primordiaux je ne comptais pas sur l’aide des ses filles quand je suis arrivé. Secundo ses filles ne m’intéressent même pas, en plus on ne se fréquente même pas. Grâce à mon principale activité sportive, le football, j’ai un corps athlétique. C’est pourquoi ma tante, m’avait toujours taquiné que j’étais mignon et tout. Grâce à ma corpulence, transporter des meubles tout seul est un véritable plaisir pour moi. D’après ma mère, la maison de ma tante était toujours propre et bien rangé mais quand je suis venu voir la maison pendant cette période de déménagement. C’est devenu du désordre, beaucoup de meubles de ménagers se sont entassés dans le salon. Les meubles était dispersés un peu partout, de toute façon elle n’avait pas mise au monde un garçon pour l’aider à faire ces tâches.

    Dés mon arrivé, elle m’a dit :

    -Nous allons commencer les travaux très tôt, demain matin.

    Puis, elle a renchéri tristement : « Mon chou, tu vas devoir me pardonner car il n’y a pas assez de place pour dormir ce soir, donc tu iras dormir dans ma chambre. Je n’ai que mon matelas dans ma chambre. Nous avons déjà rangé les lits dans le garage ».

    -Ça ne me pose pas de problème, je peux même dormir par terre. Lui dis-je.

    -Ne sois pas stupide mon cœur, le sol n’est pas propre du tout ! Me répondit-elle.

    J’ai accepté sa proposition car je n’ai pas voulu insister. Elle a parfaitement raison car la maison dans laquelle elle déménageait est une vielle maison et c’est une maison vraiment étroite et c’est l’une des raisons pour laquelle elle veut démanger pour aller dans une nouvelle maison, bien plus grande que l’ancienne.

    -Tu peux aller te coucher dans ma chambre, j’arrive. Je dois aller prendre une douche. Me dit-elle.

    C’est après avoir terminé cette discussion que j’ai finalement compris que je dormirai dans le même lit qu’elle. Quand je suis rentré dans sa chambre, il y a seulement une table de nuit et son matelas. La chambre était grande mais vide. J’avais pensé que je dormirai dans le canapé ou dans la chambre de mes cousines, c’est pourquoi je n’ai pas apporté des vêtements de rechange. Enlever mes vêtements dans la chambre de ma tante n’est vraiment pas une bonne idée donc j’ai choisi de dormir avec mon jean et mon t-shirt. Une fois dans le lit, je me suis glissé vers l’autre coté du lit et je me suis retourné pour faire face au mur. L’odeur et l’agréable parfum de ma tante qui se dégageait dans mon oreille, déjà ce parfum a commencé par mettre ma queue en érection. J’étais resté dans cette position, quand elle rentrée dans la chambre après avoir pris son bain. Elle m’a chuchoté :

    -Mon cœur, tu dors déjà ?

    -Non, je suis là !

    -Penses-tu que tu pourras transporter ce vieux meuble là, qui se trouve juste à coté de moi !

    Quand je me suis retourné vers le vieux meuble dont elle parlait, je me suis rendu compte qu’elle avait autour de sa taille une serviette. Elle était entrain de sécher ses cheveux, grâce à la luminosité qui se trouvait dans sa chambre, je voyais clairement ses bras et ses jambes. Puis, j’ai répondu :

    -Oui, je peux le transporter.

    -Ça m’a donné l’impression de quelques choses de lourd néanmoins si tu peux le transporter, c’est parfait. Maintenant tu peux te retourner, il faut que je mette quelque chose sur mon corps. Me dit-elle d’un ton plaisantant.

    Après quelques secondes, elle est venue s’allonger sur le lit. Puis, elle m’a demandé :

    -Pourquoi veux-tu dormir avec ton jean ?

    -Euh….Répondis-je, car sa question m’a un peu embarrassé.

    -Ce n’est pas normal ça ! Je ne suis pas capable de m’endormir avec quelqu’un qui portes un jean. Donc il faut l’enlever rapidement ! Me dit-elle d’un ton de commandement.

    J’étais bouleversé car ma queue est parfaitement en érection. Je ne pouvais pas faire autrement. Je me suis levé de son matelas, la lumière était encore allumé dans sa chambre quand j’ai commencé par me déshabiller. Puisqu’elle avait son regard braqué sur moi, j’essayais de tout faire pour qu’elle ne remarque pas ma queue qui était en parfaite érection. J’ai fait lentement pour m’allonger sur son lit, contre le mur. Bien que nous avons deux oreiller sur son matelas, elle est venue poser sa tète sur le mien. Puis, je lui ai dit :

    -N’est ce pas mon oreiller sur lequel, vous avez posé votre tête !

    -Ne t’en fait pas, on peut se le partager et n’oublie pas d’éteindre la lumière. Me dit-elle.

    Je n’avais pas le choix, je me suis rapproché d’elle. Je ressentais la fraicheur de sa peau à cause de la douche qu’elle venait de prendre. Pour ne pas la déranger, j’étais gelé dans le lit afin de ne pas bouger. Je ne voulais pas toucher à son corps, bien que ma queue fût parfaitement en érection. J’étais anxieux car elle se rapprochait de moi de plus en plus, j’ai l’impression qu’elle veut sentir ma queue toucher à son cul. J’essayais de me déplacer de plus en plus en arrière pour que cela ne se produise pas. Plus je poussais ma queue en arrière, plus elle poussait son cul en avant de ma bite. Elle a essayé de rapprocher ses seins auprès de mes mains, ayant ressentit cela, c’était doux et malléable. Elle m’a prise au piège. À un moment donné, elle avait posé ma main droite sur l’un de ses seins et je pouvais sentir la pointe de son mamelon sur ma main droite. Ensuite elle avait glissé sa main droite sans mon consentement entre mes jambes pour toucher ma queue qui était en érection. Puis, elle s’est mise à crier :

    -Oh mon Dieu, t’as une grosse bite !!!

    J’ai commencé par gesticuler, néanmoins elle avait refusé de libérer ma queue qui était parfaitement en érection. Puis elle me dit :

    -Reste tranquille et laisse-toi faire !

    Ensuite, elle a pris sa main gauche pour prendre une de mes mains afin le mettre entre ses jambes. J’ai été surpris de constater qu’elle ne portait pas de slip dans le lit. Puisqu’elle voulait introduire ma queue dans sa chatte, elle s’est retournée sur son lit afin que je puisse la mettre dans sa chatte par dernière.

    -Attends mon cœur, il faut que je me retourne, met le moi par derrière. Me dit-elle d’un ton de gentillesse !

    Alors, j’ai essayé de pousser la pointe de ma queue afin d’atteindre son cul. C’était vraiment très serré, néanmoins cela ne m’étonne pas car c’est la chatte d’une dame de 40 ans. Elle s’est divorcée bien avant ma naissance et je suis certain qu’elle n’a plus fait l’amour pendant tout ce temps. C’était pourquoi sa chatte était si serré mais elle eu la chance d’avoir une sœur qui eu un fils de dix-neuf ans avec une grosse bite pouvant la donner satisfaction. D’un geste magistral, elle a glissé ma queue dans sa chatte. Je ressentais le jus de sa chatte qui coulait sur ma queue. Elle était tellement impatiente qu’elle m’a dit.

    -Vas-y fais moi l’amour !

    Puis j’ai commencé mon va-et-vient dans sa chatte humide et serrée. Pendant tout ce temps, j’utilisais ma main gauche pour caresser ses seins et quand j’ai mis ma main droite entre ses jambes afin de masturber son clito, j’ai constaté que les poils de sa chatte étaient toutes trempés. Quand j’ai commencé par accélérer mes déhanchements, elle s’est mise à gémir et à crier de plaisir.

    -Oh…Dieu, que c’est vraiment bon, Whaoo…ça fait très longtemps que je n’ai plus fait l’amour. C’était ce genre de sensation qui me manquait !

    Sa chatte serrait tellement ma queue que je ne comprenais plus rien, est-ce qu’elle le fait exprès ou c’est sa chatte qui était trop petite. Pour résoudre ce problème, j’ai utilisé deux de mes doigts pour essayer d’ouvrir un peu plus ouvertement les lèvres de sa chatte afin d’explorer son intime un peu plus en profondeur. Dans un premier temps, elle a commencé par soupirer. Puis d’un seul coup, elle s’est mise à pleurer douloureusement :

    -Ow…Ow…Ow...Ow…Puis elle a renchéri tout en riant : « Mon bébé, t’as vraiment une grosse queue. »

    Elle n’arrivait plus à supporter tout mes coups de hanches, cela me faisait réfléchir, soit c’est parce que ça fait très longtemps, elle n’a plus fait l’amour, soit parce que sa chatte était serrée ou soit la combinaison des deux éventualités.

    -Ça peut aller. Lui demandais-je.

    -Non, c’est un peu trop fort pour moi. J’ai une autre idée, attends que je me retourne. Me dit-elle.

    Je n’avais pas su voir les expressions de son visage quand elle s’est retournée à cause de l’obscurité qu’il y avait dans sa chambre. Elle s’est levée précipitamment de son matelas pour essayer d’allumer les lumières. J’étais surpris de voir les larmes dans les yeux de celle que je considère comme ma seconde mère. Je la voyais mordre sa lèvre inférieure car elle était sous le feu d’un désir.

    -J’ai toujours faim de toi. Me dit-elle ouvertement. Puis elle a ajouté :

    -Je crois avoir une autre idée, ça peut marcher. Faisons-le !

    C’est quand elle avait allumé les lumières de sa chambre que j’ai pris conscience de son cul dodu et des contours de sa chatte. Quand elle s’est rapprochée de moi, elle est venue enlever d’un geste ferme, la couverture qui couvrait ma queue qui était parfaitement en érection. J’étais tout nu devant cette tigresse, elle s’est mise à genoux sur le lit tout en regardant avidement ma queue qui palpitait. Elle a écarté mes jambes avec sa main gauche pour me chevaucher. Sa chatte a atterri sur ma jambe droite et j’ai soulevé ma seconde jambe pour pouvoir faire entrer ma queue dans chatte serrée et humide. C’est avec sourire qu’elle s’est agrippée à mon dos comme une tigresse. Elle a commencé lentement ses déhanchements sur ma queue tout en m’embrassant et ses amples seins caressaient doucement ma poitrine. Quand elle a constaté que c’est seulement une petite partie de ma queue qui a pu se nicher dans sa chatte. Elle a secoué sa tête, ensuite elle est descendue afin d’inspecter ma queue de plus prêt.

    -Ça ne m’étonne pas que ton sexe n’arrive pas à glisser facilement dans ma chatte…Regarde un peu comment s’est gros, long et épais. C’est vraiment…Hum…Me soupirât-elle.

    -Ce n’est pas de ma faute c’est !!!

    Je n’ai même pas terminé ma phrase quand elle a introduit ma queue dans sa bouche. J’ai ressenti tout d’un coup, un drôle de sensation car elle n’a pas sucé ma queue. Elle l’a aspiré pendant un bout de temps avant de commencer par le manger. Sa façon de me tailler la pipe était carrément différente car elle laissait une grande quantité de salive tout au long de ma queue. Elle l’a pompé au fond de sa gorge pendant un temps fou, puis elle l’a ressorti à nouveau de sa bouche pour l’inspecter. Elle l’a remit ensuite dans sa bouche, elle a continué à l’imbiber et à lubrifier ma queue avec sa salive jusqu’à ce que ma queue s’est complètement trempée. J’étais en plein extase tout en le regardant faire et quand elle était satisfaite de sa manœuvre, elle s’est levée pour m’enjamber à nouveau puis, elle me dit :

    -Regarde moi ça…Aide-moi à enfoncer ça dans ma chatte.

    Etonné par ses propos, j’ai tenu de façon verticale ma queue jusqu’à sa base pour qu’elle puisse bien s’installer sur elle. Elle a attrapé lentement la tête de ma queue pour essayer de l’introduire et l’enfoncer dans sa chatte. J’appuyais sur ses hanches vers le bas pour que ma queue puisse bien s’enfoncer au fond de sa chatte. Cette fois ci, ma bite s’est facilement glissée au fond d’elle. Je la regardais sourire d’une joie profonde. J’avais tout son poids sur moi, lentement la plus grande partie de ma queue a disparu en elle. Sa chatte était chaude à l’intérieur. Quand elle a commencé par faire son va-et-vient, j’ai ressenti la magnifique sensation de sa chatte glorieuse. J’admirai la façon dont ses seins se balançaient d’avant en arrière, comme ma queue était parfaitement en elle. Ma tante a accéléré ses déhanchement, on avait nos regards sur nos sexes pour admirer la façon la vision de notre copulation était magnifique à voir. Elle avait recouverte mon entrejambe de son jus intime. Elle avait toujours son regard cambré sur la partie basse de ma queue qui n’avait pas pu entrer en elle. Sous l’effet de l’orgasme qu’elle vient d’avoir, elle a balancé sa tête en arrière tout en gémissant joyeusement car ma queue parvenait à toucher le fond de son intime. Pendant tout ce temps, j’avais été patient, je l’avais laissé se déhancher sur ma queue. Voyant que son jus intime avait parfaitement lubrifié ma queue, j’ai enveloppé mon bras droit autour de son dos, j’ai poussé ma main gauche au niveau de son bassin afin de la soulever. Je l’ai soulevé d’un seul coup et j’ai commencé par gicler sa chatte d’un rythme plus accéléré. Elle a gardé ses jambes drapées autour de mes hanches et ses bras étaient drapés autour de mon cou. Grâce à cette position, j’ai enfoncé ma queue au fond de sa chatte, mon pubis touchait les lèvres de sa chatte. Elle a commencé par hurler de toutes ses forces. L’odeur de ses cheveux m’enivrait, c’était son doux parfum féminin qu’elle dégageait. J’ai maintenu cette position pendant plusieurs minutes et quand elle a encore eu son orgasme. J’ai fait doucement pour la déposer sur le matelas. Elle s’est allongée sur son dos quand elle m’a rappelé :

    -Viens à moi, mon doux bébé.

    Elle m’a rappelé vers elle comme une mère demandant à son bébé de marcher vers elle quand il commence ses premiers pas. Je me suis allongé sur elle. Ma tante voulait dire quelques choses quand j’ai poignardé ma queue dans sa chatte tout en accélérant plus facilement et plus rapidement le rythme de mon va-et-vient. Dans cette position, je ne supportais plus son poids sur ma queue donc rien ne pourra m’arrêter. Chaque coups que je la donnais faisait claquer mes couilles sur sa chatte. Elle n’arrivait même plus à respirer et chaque claquement que je donnais à sa chatte retentissait dans sa pièce vide. J’ai commencé par sucer son mamelon quand elle a crié :

    -Whaoo…Oh mon Dieu…Je jouis.

    Effectivement, son jus intime s’est encore déversé sur la base de ma queue et je me suis arrêté un instant pour admirer sa bravoure. Elle se tortillait sous mon corps et je me suis encore allongé sur elle pour téter ses seins. Lentement, elle a pris sa main droite pour insérer ma queue dans sa chatte à nouveau. Tout d’un coup, j’avais eu envie qu’on me suce la bite, alors j’ai fait sortir ma queue de sa chatte pour la diriger vers sa bouche. J’ai attrapé ses cheveux avec mes deux mains avec la même détermination que j’avais sur sa chatte. J’ai commencé par défoncer sa bouche. Je n’en revenais pas. Je n’arrive pas à croire que je suis entrain de défoncer la bouche de ma tante avec ma queue. C’était cette même tante qui m’apportait des cadeaux à chaque fête de noël. C’était cette dame qui soulevait ma mère quand elle était petite et c’était également cette tante qui nous a toujours ouvert ses bras quand on avait besoin de quelques choses. Qu’est ce que je suis entrain de faire ?

    Je suis entrain d’enfoncer ma queue au fond de la gorge de cette dame qui nous avait toujours fait à manger. Devant cette prise de conscience, j’ai reculé afin d’enlever ma queue dans sa bouche. Elle a été surprise de ma réaction, puis elle me dit :

    -Qu’est ce que tu es entrain de faire mon bébé ! Laisse-moi te sucer !

    Quand j’ai jeté un regard sur son visage, elle nageait en plein délire et sa main tenait fortement ma tête contre sa chatte. J’ai l’impression qu’elle aimerait que ça dure éternellement et je suis partant pour l’accorder ce droit. J’ai trouvé que c’était une très bonne idée de la procurer tout le plaisir qu’elle mérite avec ma langue que de défoncer sa bouche avec ma queue. Ensuite, elle m’a interrompu en disant :

    -Mon bébé, j’ai déjà eu ma dose maintenant fait moi l’amour comme une chienne !

    Je me suis redressé, puis j’ai soulevé sa jambe gauche sur mon épaule avant d’introduire ma queue dans sa chatte toute trempée. Alors, j’ai commencé par percuter sa chatte avec ma queue de façon rugueux et chaque coup que je la donnais touchait ses entrailles. Elle a commencé par gesticuler dans tous les sens essayant de se retourner désespérément sur son matelas. Pour essayer de la maintenir en place, j’ai également soulevé sa jambe droite sur mon épaule droite. Ayant maintenant ses deux jambes sur mes épaules, rien ne pourra plus m’arrêter et personne ne viendra la délivrer sur les coups de bombardement de ma queue dans ses entrailles. Mon chemin est maintenant libre, j’ai commencé par la gicler de façon très violente et chacune de mes coups la faisait décaler en arrière sur le matelas. Arrivé à un moment, mes coups de hanches la fait déplacer depuis le centre du matelas, jusqu’au bord du lit et sa tête se pendait hors du matelas. Ayant maintenu mon rythme sans le faire exprès, comme le matelas est par terre, elle a glissé sur le sol, sa tête appuyée sur la tapis par terre. Je continuais toujours de marteler violemment sa chatte et j’ai toujours maintenu avec mes deux mains ses pieds sur mes épaules. J’ai maintenu cette position pendant plusieurs minutes, elle me suppliait de la relâcher. Elle me demandait pardon…j’avais fait comme si je n’écoutais pas ses plaintes au début, mais arrivé à un moment, je me suis arrêté. Quand j’ai relâché ses deux jambes, elle s’est précipitée comme une chienne, elle avait perdu son centre d’équilibre, ce qui a fait qu’elle a trainé du sol jusqu’à s’allonger grâce à son ventre sur le matelas. La voyant se retourné comme une chienne confuse sur le matelas, je me suis couché sur elle pour essayer de la bloquer et je l’ai prise d’assaut par derrière en levrette en glissant ma queue entre les fentes de son cul dodu. Je me suis couché sur elle comme un second matelas pour moi et le bout de ma queue touchait parfaitement l’intérieur de sa chatte. J’ai accéléré avec plus de vitesse qu’avant mes gicles. Son cul et tout son corps tortillant sous mon poids en réponse à la vitesse vertigineuse de mes coups de hanches. Seul un jeune taureau de mon âgé peut effectuer une telle prouesse, pour essayer de la stabilisé, j’ai essayé de bloquer ses deux jambes avec mes deux pieds. En plus sa chatte chuintait une mousse blanche crémeuse, c’est un beau mélange de son jus intime qui coulait sur ma queue. Arrivé à un moment j’ai essayé de ralentir ma vitesse car j’ai commencé par sentir l’arrivé de mon éjaculation. Ma tante ayant aussi remarqué la diminution de la vitesse de mes gicles. Elle me dit :

    -Bébé, je t’en supplie ne t’arrête pas, éjacule dans ma chatte !

    Ayant attendu cela, j’ai juste opéré quelques coups de hanches, puis j’ai foutu au fond de sa chatte ma semence chaude et laiteuse. J’ai recommencé par enfoncer ma semence au fond de sa chatte puis à un moment je me suis stabilisé. J’ai arrêté de bouger, c’était comme si j’étais paralysé. Comme je me suis allongé dans son dos, j’attendais sa respiration sous mon corps, elle avait fermé ses yeux et j’avais l’impression qu’elle était en transe. Lentement, j’ai enlevé ma queue de sa chatte et je me suis retourné tout en glissant pour me poser juste à coté d’elle. Elle était épuisée donc elle était restée allonger dans son état de transe, alors je me suis redresser. Quand j’ai écarté ses jambes pour admirer ce que j’avais effectué comme œuvre, c’était un mélange de jus qui suintait de sa chatte. D’un seul coup, j’ai senti sa main tenir ma queue et quand je me suis retourné, elle a ouvert les yeux puis elle m’a murmuré :

    -Bon et gentil garçon…Maintenant il est temps de faire dodo !

    Sans dire un mot, je me suis assoupi dans son étreinte, ma queue dans sa main.

    2.

    Je me suis réveillé le samedi matin, ma queue dans sa bouche. Je ne me suis pas complètement réveillé et quand j’ai ouvert mes yeux vers ce qui touchaient à ma queue. J’avais vu ma tante qui avait les yeux larmoyants, elle avait une grande partie de ma queue dans sa bouche. Bien que je fusse à moitié endormi, j’ai soulevé mes bras aux niveaux de ma tête pour la laisser tranquille entre mes jambes. Elle ne me croquait plus la queue mais elle l’a sucé de façon extraordinaire. Quand j’ai commencé par m’étirer.

    -Bonjour mon bébé…Tu t’es bien réveillé. Me dit-elle d’un ton brumeux.

    -Avec la façon dont tu viens de me réveiller comme un gros bébé. Je me sens merveilleusement bien. Lui dis-je.

    -J’en suis ravi. Ne penses-tu pas que nous devrions prendre un bain ensemble. Me dit-elle juste après avoir sucé la pointe de ma queue. Elle était tellement en chaleur que l’impression de ne pas reconnaitre la tante que je connaissais. Elle était dans une blouse blanche entre mes jambes, je voyais clairement ses énormes seins qui étaient pulpeuse. Les contours de sa forme nue s’affichait parfaitement dans sa blouse, je suis ravi d’avoir une tante très belle. Bien que c’étais grâce aux lumières jaunes de sa chambre qu’on avait vu nos corps nus, hier nuit. Ce matin, c’est la lumière du soleil qui éclairera notre nudité à travers les fenêtres de la maison afin de me dévoiler la splendeur de la nudité de ma tante.

    -Parfait, c’est une très bonne idée. Répondis-je tout en bégayant.

    -C’est très bien, allons-y alors. Me dit-elle gaiement.

    - Allons-nous baigner ensemble ? Demandais-je bêtement.

    -Aimerais-tu prendre ton bain seul ? Me dit-elle un peu frustré.

    -Non, ce n’est pas vraiment ce que j’aimerai dire !

    -D’accord, allons-y alors. Bébé j’ai beaucoup de choses à faire aujourd’hui.

    Elle voulait faire référence aussi à des taches de déménagement qu’on avait prévu faire aujourd’hui. Sans tarder, elle avait sauté du matelas et je pouvais voir clairement son slip de couleur blanche qu’elle portait. Pour vous parler franchement, je n’avais jamais vu de slip, aussi belle que la sienne car son slip épousait parfaitement sa forme et son beau cul dodu. Le slip semblait compatible avec son cul, car il s’est magnifiquement glissé entre son cul, lui donnant une jolie fente. Whaoo…J’apprécie vraiment ça. Quand je me suis levé le plus rapidement possible du matelas, ma bite était parfaitement en érection car elle avait trainé dans la bouche de ma tante. Aussitôt quand je suis ressortit de sa chambre, j’ai pu constater par surprise qu’elle m’attendait devant la porte de sa chambre. Quand je me suis retourné pour refermer la porte de sa chambre, elle a tendu sa main vers moi comme celle qui voulait attraper quelque chose. Je me suis demandé…Mais quoi ? Comme elle a constaté que j’étais confus devant sa main qu’elle a dirigée vers moi. D’un seul coup, elle a posé sa main sur ma queue pour l’attirer vers elle. Puis, elle me dit :

    -Allons, suis-moi gentiment !

    Avec ma queue dans sa main, on s’est dirigé vers le couloir de la salle de bain. Ça m’a paru un peu bizarre d’être conduit vers la salle de bain de cette façon mais ça m’importait peu. Une fois qu’on est rentré dans la salle de bain, elle a lâché ma bite puis elle a commencé par se déshabiller et je voyais sous la lumière du jour ses énormes seins. Quand je me suis jeté sur seins avec ma bouche, elle a commencé par me caresser mes cheveux avec ses doigts. Je suçais ses mamelons comme un enfant qui voulait avoir ses laits maternels. Quand j’ai commencé par caresser ses jambes pour parvenir à sa chatte. Quand elle m’a interrompu en disant :

    -Mon bébé, attends-moi. J’aimerai verser de l’eau sur mon corps. J’aimerai rendre mon corps humide !

    Elle s’est retournée et s’est penchée sur le robinet pour essayer de faire passer de l’eau sur tout son corps. Quand elle s’est penchée, j’avais un bel angle de vu de sa chatte et j’ai été surpris de constaté qu’à son âge, elle avait encore des jambes rondes et toujours en douceur. Quand elle se pendait sous le lavabo et quand l’eau a commencé par couvrir son corps. Ses cheveux tombaient sur ses épaules et après les quelques secondes qu’elle vient de passer sous l’eau, elle m’a dit calmement :

    -Ça peut aller, je suis maintenant prête !

    Comme elle m’avait tourné le dos, elle a lentement commencé par tirer son slip vers le bas. Je me suis pointé à quelques centimètres de son cul afin de bien admirer se spectacle qui se passait sous mes yeux. Son slip était arrivé presque au niveau de ses genoux quand je me suis rapproché d’elle pour toucher à son cul avec ma queue. Bien qu’elle savait que j’étais derrière elle, ma tante a été un peu surprise quand j’ai commencé par faire glisser ma queue entre la fente de son cul. Pour répondre à mon attente, elle a posé ses deux mains sur le rebord de la baignoire. Elle a fait joindre ses jambes afin de permettre à son slip de glisser facilement pour finalement tomber par terre. Je me suis saisi de ses hanches afin de pousser ma queue à travers ses jambes jointes et je ressentais la chaleur qu’il y avait entre ses jambes. Elle s’est lentement courbée sur la baignoire, puis elle me dit :

    -Fais-moi l’amour ici !

    Comme l’eau qui versait sur son corps, couvrait aussi une partie de ma queue, j’ai commencé d’abord par presser ses seins.

    -T’as oublié que nous sommes venu ici pour nous doucher. Lui dis-je tout en plaisantant.

    -Ah…Voici le savon, alors prenons rapidement notre bain car nous avons beaucoup de chose à faire au cours de la journée. Me dit-elle d’un ton sérieux. Puis, elle a commencé par se savonner le corps, pendant une

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