Gustave Caillebotte (1848-1894)
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Avis sur Gustave Caillebotte (1848-1894)
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Aperçu du livre
Gustave Caillebotte (1848-1894) - Nathalia Brodskaïa
Gustave Caillebotte et Bérengère sur la plage du Carrousel, février 1892
Photographie, 15 x 11 cm. Collection privée.
Biographie
1848 : Gustave Caillebotte, né le 19 août à Paris, est l’aîné des trois fils d’un riche marchand de textiles et de sa troisième femme Céleste Daufresne.
1857-1862 : Caillebotte suit sa scolarité au lycée public Louis-le-Grand à Vanves et poursuit ses études en entamant une licence de droit.
1869 : En avril, Caillebotte obtient le diplôme de bachelier en droit.
1870 : Caillebotte est mobilisé lors de la guerre franco-prussienne et participe à la défense de Paris dans la Garde Mobile de la Seine. Il reçoit une dispense temporaire et au mois de juillet de cette même année, il est diplômé avec succès de sa licence de droit.
1871 : Caillebotte est dispensé du service militaire. Il voyage avec ses frères Albert et René Caillebotte en Suède et en Norvège.
1872 : Il voyage en Italie avec son père. À Naples, il rend visite au peintre Giuseppe de Nittis, à la suite de cette rencontre, il peint ses premières toiles dont Une Route à Naples. La même année, il suit des cours avec le peintre français Léon Bonnat.
1873 : Après son admission à l’École des Beaux-Arts, Caillebotte s’inscrit dans de nombreux cours de peinture, mais il suivra exclusivement les leçons de dessins de la classe d’Adolphe Yvon. Parmi ses camarades de classes sont présents Edgar Degas, Claude Monet, et Pierre Auguste Renoir.
1874 : Caillebotte organise la première exposition du groupe impressionniste avec Degas, Monet et Renoir qui se déroulera cette même année à Paris. Son père décède le 25 décembre léguant à sa famille une grande somme d’argent, des concessions immobilières et des titres de rentes sur l’État. La mère de Caillebotte garde la propriété d’Yerres dans laquelle il peindra de nombreux paysages jusqu’en 1879.
1876 : Durant cette année et les années suivantes (1877, 1879, 1880 et 1892), Caillebotte finance et organise les expositions des impressionnistes. À l’automne, son jeune frère René Caillebotte meurt à l’âge de vingt-cinq ans. Après cet événement, l’artiste rédige son premier testament.
1878 : Décès de la mère de Caillebotte.
1879 : La propriété familiale d’Yerres est vendue.
1880 : Après quatre ans d’adhésion, Caillebote devient vice-président du club de voile parisien du Cercle de la Voile de Paris. Il partage sa passion pour la voile – l’un des principaux leitmotive de son travail – avec son frère cadet, Martial Caillebotte.
1881 : Caillebotte fait l’acquisition d’une maison de campagne au Petit Gennevilliers.
1882 : Caillebotte s’essaie dans la construction de bateaux.
1885 : Il fonde sa propre entreprise d’ingénierie navale sous le nom de « Chantier naval de Luce ».
1887 : Caillebotte déménage au Petit Gennevilliers, dont l’environnement inspira une grande partie de ses peintures.
1888 : Accompagné d’Armand Guillaumin, Caillebotte est invité à Bruxelles pour la cinquième cérémonie d’ouverture de l’exposition annuelle de Bruxelles des XX (Les Vingt). Parmi les nombreux artistes exposés figurent Paul Signac et Toulouse-Lautrec.
1894 : Caillebotte meurt le 21 février à l’âge de quarante-cinq ans des suites d’une congestion cérébrale alors qu’il peignait un paysage dans son jardin du Petit Gennevilliers.
Impression, soleil levant, ainsi s’intitulait un des tableaux de Claude Monet présenté, en 1874, à la première exposition de la « Société anonyme des artistes peintres, sculpteurs, graveurs, etc. ». En prévision de cet événement, Monet était allé peindre au Havre, la ville de son enfance. Il sélectionna pour l’exposition les meilleurs de ses paysages havrais. Le journaliste Edmond Renoir, frère du peintre, s’occupait de la rédaction du catalogue.
Il reprocha à Monet l’uniformité des titres de ses tableaux : le peintre n’avait rien inventé de plus intéressant que Vue du Havre. Parmi d’autres, il y avait un paysage peint le matin de bonne heure. Un brouillard bleuté y transforme en fantômes les contours des voiliers, des silhouettes noires de bateaux glissent sur l’eau et, au-dessus de l’horizon, se lève le disque orange et plat du soleil, qui trace sur la mer un premier sentier orange. Ce n’est même pas un tableau, mais plutôt, une étude rapide, une esquisse spontanée
