Il n’est pas tout jeune, le pruneau. Les Grecs et les Romains l’appréciaient déjà pour ses vertus santé durant l’Antiquité. Chez nous, il faut attendre le Moyen Âge pour que se développent la culture et la transformation de ce fruit un peu spécial. Car le pruneau est d’abord une prune, récoltée sur une variété particulière de pruniers : celui d’ente. Une prune tout d’abord séchée, afin de pouvoir être stockée à l’air libre sur de longues périodes, puis réhydratée et traitée thermiquement ou chimiquement, avant d’être conditionnée en poches hermétiques. Et c’est généralement sous cette forme que le pruneau se retrouve dans nos cuisines.
L’allié des transits paresseux
Garder des pruneaux dans son placard est toujours une bonne idée, notamment en cas de transit paresseux. indique Raphaël Gruman, diététicien. Inutile d’en consommer en excès pour activer son péristaltisme intestinal. conseille notre expert. Une fois les pruneaux avalés, on peut dans la foulée prendre un petit déjeuner pauvre en glucides simples : du pain complet ou de seigle tartiné de purée d’oléagineux (amande, noisette…) par exemple. Sans oublier de s’hydrater (eau de trempage des