Le Simple Miracle: une histoire sur comment être authentique dans un monde qui demande de faire semblant

Par Oleh Konko

Dans la vieille maison de la rue des Horlogers vivent deux personnes. L'une ne croit pas aux merveilles car elle en a trop cherché. L'autre y croyait, mais avait trop peur de les trouver.

Un matin, ils découvrent d'étranges signes : une note écrite de leur propre écriture, mais jamais écrite, et des formules qui forment un arbre de rêves. Ainsi commence un voyage où les lois physiques rencontrent les merveilles, où la science rime avec la magie, et où la simplicité s'avère plus profonde que toute complexité.

Sept jours avant le moment qui changera tout, ils devront rencontrer ceux qui gardent les portes entre les mondes, qui collectent les rêves perdus et collectionnent les merveilles non réalisées. Apprendre à voir des portes là où d'autres voient des murs. Comprendre que certaines formules sont mieux écrites avec de la lumière qu'avec de la craie.

Ce n'est pas une histoire de magie. C'est une histoire sur le courage d'être authentique dans un monde qui demande de faire semblant. Sur deux personnes, l'une cherchant des merveilles pour les réfuter, l'autre les cachant pour ne pas avoir peur, partant en voyage. Non pas vers des pays lointains, mais dans les profondeurs d'eux-mêmes. Non pas au-delà des sept mers, mais en sept jours. Non pas pour des trésors, mais pour une vérité simple et étonnante : les merveilles n'arrivent pas à ceux qui y croient ou n'y croient pas. Mais à ceux qui sont prêts à les remarquer.

La pluie continue de monter, transformant la ville en une aquarelle dessinée par la lumière sur le ciel sombre. Et deux personnes dans la vieille maison de la rue des Horlogers se préparent à faire un pas - chacun le sien - vers ce qu'ils ont cherché toute leur vie sans le savoir.

Car parfois il faut se perdre pour trouver le chemin du retour.
Et parfois il faut arrêter de chercher les merveilles pour qu'elles vous trouvent.

• Langue: Français
• Éditeur: Oleh Konko
• Date de sortie: 28 janv. 2025
• ISBN: 9798230522836

Oleh Konko

Oleh Konko works at the intersection of consciousness studies, technology, and human potential. Through his books, he makes transformative knowledge accessible to everyone, bridging science and wisdom to illuminate paths toward human flourishing. If you find this book valuable, consider supporting the project at website: mudria.ai

Aperçu du livre

Le Simple Miracle

LE SIMPLE MIRACLE

UNE HISTOIRE SUR COMMENT ÊTRE AUTHENTIQUE DANS UN MONDE QUI DEMANDE DE FAIRE SEMBLANT

QUANTUM MIRACLE

TOME 1

OLEH KONKO

MUDRIA

TABLE DES MATIÈRES

Sans titre

Prologue : Quand Les Cœurs Commencent À Voir

I. L'Éveil

II. L'Immersion

III. Les Épreuves

IV. La Transformation

Épilogue : La Simplicité Du Miracle

SANS TITRE

Une histoire sur comment être authentique

dans un monde qui demande de faire semblant

"Certains livres se lisent.

D'autres se vivent.

Et certains... certains deviennent une porte.

Et cette porte s'ouvre déjà."

Dédié

à tous ceux

qui cherchent le courage

d'être eux-mêmes

PROLOGUE : QUAND LES CŒURS COMMENCENT À VOIR

"L 'histoire commence là où les explications s'arrêtent"

Dans une ville où toutes les horloges indiquaient des heures différentes, mais chacune parfaitement exacte, vivaient deux hommes.

L'un ne croyait pas aux miracles parce qu'il les cherchait trop.

L'autre y croyait, mais avait trop peur de les trouver.

Le premier, le professeur Stern, démontrait chaque matin à ses étudiants que les miracles n'existaient pas. C'était son travail. Et chaque soir, il notait dans un carnet spécial tous les phénomènes inexplicables qu'il avait remarqués dans la journée. Pour les réfuter, se disait-il, s'efforçant de ne pas remarquer que les pages du carnet brillaient dans l'obscurité.

Le second, Thomas, tenait une petite librairie appelée La Dernière Page. Entre les livres ordinaires, il cachait ses propres histoires. Un jour, j'aurai le courage de les publier, murmurait-il aux livres le soir, essayant de ne pas remarquer qu'ils lui faisaient des clins d'œil avec leurs dos en réponse.

Ils vivaient dans la même maison.

Le professeur au troisième étage, parmi les livres et les formules.

Thomas au deuxième, parmi les histoires et les brouillons inachevés.

Chaque matin, ils se rencontraient au café Chez Marie, où l'on servait le café dans des tasses fêlées - parce que parfois il faut casser quelque chose pour voir la lumière à l'intérieur, comme disait la propriétaire.

Ils ne parlaient jamais, se contentant de se saluer d'un signe de tête.

Et de quoi parleraient un homme qui cherche des miracles pour les réfuter, et un homme qui cache des miracles parce qu'il a peur de les trouver ?

Et puis arriva ce qui change les vies.

Bien que sur le moment, cela semblait n'être qu'une étrange coïncidence.

Le professeur trouva dans son journal scientifique une formule écrite de son écriture, qu'il était certain de n'avoir jamais écrite. Une formule qui expliquait non pas les lois de la physique, mais les lois du miracle - dans le langage simple et clair des mathématiques.

Thomas découvrit dans la poche d'un vieux manteau une note écrite de sa main, bien qu'il ne se souvienne pas l'avoir écrite.

Elle ne contenait que trois mots : Il est temps de rentrer à la maison.

Ce soir-là, une pluie étrange tombait sur la ville - elle montait vers le haut, transformant les flaques en fontaines de lumière. Personne ne le remarqua, sauf deux hommes qui, pour la première fois depuis longtemps, levèrent les yeux vers le ciel.

Quelque part dans la ville, les horloges commencèrent à sonner minuit, bien qu'il ne fût que sept heures du soir.

Et au café Chez Marie, toutes les tasses fêlées se mirent soudain à tinter, comme si elles trinquaient avec des invités invisibles.

Ainsi commence cette histoire.

L'histoire de deux hommes - l'un qui cherchait des miracles pour les réfuter, et l'autre qui les cachait pour ne pas avoir peur - qui partirent en voyage.

Non pas vers des pays lointains, mais dans les profondeurs d'eux-mêmes.

Non pas au-delà des sept mers, mais pendant sept jours.

Non pas à la recherche de trésors, mais d'une vérité simple et étonnante :

Les miracles n'arrivent pas à ceux qui y croient ou n'y croient pas.

Mais à ceux qui sont prêts à les remarquer.

Et la préparation - ce n'est ni la croyance ni l'incrédulité. C'est simplement l'honnêteté. Avec le monde. Avec soi-même. Avec cette simple vérité que parfois le matin le plus ordinaire peut devenir le début du voyage le plus extraordinaire.

Il faut juste ne pas oublier d'emporter le plus important - pas une carte, pas une boussole, pas une lampe de poche.

Mais le courage d'être authentique.

La pluie continuait de monter, transformant la ville en une aquarelle peinte de lumière sur le ciel sombre. Et deux hommes dans la vieille maison de la rue des Horlogers se préparaient à faire un pas - chacun le sien - vers ce qu'ils cherchaient toute leur vie sans le savoir.

Parce que parfois il faut se perdre pour trouver le chemin de la maison.

Et parfois il faut arrêter de chercher les miracles pour qu'ils vous trouvent eux-mêmes.

PARTIE I

L'ÉVEIL

Si tu veux voir l'arc-en-ciel, il faut arrêter de prétendre qu'il ne pleut pas

- Inscription sur le mur de la librairie La Dernière Page,

apparue après une pluie particulièrement forte

qui tombait vers le haut

CHAPITRE 1 : QUAND LES QUESTIONS SE RENCONTRENT

Où deux hommes qui avaient peur d'être eux-mêmes se rencontrent au seuil d'un miracle

Dans la vieille maison de la rue des Horlogers, il existait une règle tacite - ne jamais fermer complètement les fenêtres.

Pour que les miracles puissent entrer, disait la concierge en astiquant jusqu'à ce qu'elle brille la plaque de cuivre avec le numéro de la maison.

Pour que le courant d'air aère les pensées stagnantes, grognait le vieux horloger du rez-de-chaussée, dont les horloges indiquaient toujours des heures différentes, mais d'une manière ou d'une autre toujours justes.

C'est peut-être pour cela que ce matin-là, le vent apporta avec lui des changements.

Ils vinrent doucement, comme vient l'aube - imperceptiblement, mais inexorablement.

Thomas revint du café Chez Marie dans un état étrange - comme s'il s'était réveillé et dormait encore en même temps. La note dans la poche de son manteau brûlait plus fort que le café chaud : Il est temps de rentrer à la maison. Trois mots simples, mais ils semblaient être non pas une phrase, mais la clé d'une porte qu'il n'avait jamais remarquée de toute sa vie.

Le professeur Stern montait l'escalier en sautant une marche - une habitude de ses années d'étudiant, quand il croyait qu'on pouvait courir jusqu'à la vérité. Son journal scientifique, serré contre sa