Les Sœurs Slaughter: FICTION / Science Fiction / Steampunk, #1

Par Greg Alldredge

Trois sœurs chassent des monstres en 1899 à New York

Monde étrange: les créatures sont plus civilisées que les hommes.

Située dans l'univers D'Helena Brandywine, cette histoire suit les aventures des Sœurs Slaughter. Les humains sont devenus plus monstrueux que les créatures légendaires que les femmes sont engagées à rechercher.

Comment un chasseur de monstres est-il censé survivre ?

Les Sœurs Slaughter sont des chasseurs de monstres de premier plan dans le Nord-Est, le seul problème que les créatures légendaires se fondent dans les habitants humains du monde, tandis que les charlatans humains prennent leur place. Après un coup de pinceau avec le redoutable diable du New Jersey, les sœurs doivent fuir leur maison de Yonkers, pour échapper au redoutable entremetteur local.

Craignant pour leur indépendance, ils s'enfuient à New York pour chercher n'importe quel emploi disponible.

Ils découvrent une série de disparitions autour des Cinq Points notoires. Qui se cache derrière les personnes disparues, les monstres ou les humains ?

Les Sœurs Slaughter découvriront qui est derrière tout cela !

• Langue: Français
• Éditeur: BadPress
• Date de sortie: 17 févr. 2021
• ISBN: 9781071588789

Aperçu du livre

Chapitre 1

La femme a quitté la taverne. Il était évident qu'elle avait imbibé un peu trop de joie. Le poteau qui soutenait le toit du porche à l'extérieur de la porte était un endroit idéal pour qu'elle s'arrête, se penche et reprenne ses repères. Il était tard, plus tard que toute femme respectable devrait être seule dehors, mais ses actions au cours des dernières heures ont prouvé que ce n'était pas une dame.

Il y avait plusieurs hommes endormis au bar prouvant leur incapacité à égaler l'endurance de cette dame à boire de l'applejack. Son chapeau à larges bords a été frappé lorsqu’elle s'est appuyée sur le poteau. Elle ne se souciait pas beaucoup de ce que cette petite ville du New Jersey pensait de ses actions, il n'y avait pas beaucoup de choses à faire ou de gens pour la regarder le faire.

Debout comme elle était à la croisée des chemins, une décision devait être prise. Elle pouvait tourner à droite et se promener autour de la ville verte, ou elle pouvait jeter la prudence au vent, marcher dans la rue et entrer dans cette forêt que tout le monde avait faite de son mieux pour l'avertir de s’éloigner.

« Quelle bande de péquenauds. » Elle a failli tomber quand elle a raté la première étape, mais elle a rapidement retrouvé son équilibre et a réussi les deux dernières étapes jusqu'au chemin de terre. Même si la ville était relativement proche de Philadelphie et de New York, cette ville aurait pu être coincée dans l'histoire d’avant la guerre civile de l’État. Le seul mode de transport à part le train était un cheval ou un chariot. Il n'y avait pas de taxi qui l'attendait à l'extérieur de l'établissement de boissons.

Comme elle n’avait rien pour rebondir, ce qui aurait dû être une ligne de démarcation en travers de la route avait plutôt la forme d’un serpent glissant. Ne laissant aucune indication claire de l'endroit où elle se dirigeait jusqu'à ce qu'elle atteigne finalement le panneau qui annonçait le Canton de Monroe Green, Monroe, New Jersey, l'une des rares forêts restantes du Nord-est.

Si loin dans le pays, le ciel était assez clair pour voir la lune au-dessus de nous, contrairement à la ville où l'air était épais avec la fumée des feux alimentent la puissance de vapeur dont le monde avait besoin. Même avec la pleine lune, peu de lumière a atteint le chemin que la femme a maintenant trébuché. Son logement était à un peu moins d'un kilomètre, mais n'importe quel local l'aurait avertie de rester sur la route, d'éviter les Pins cette nuit-là, surtout à la pleine lune. Le Diable de Leeds était à l'affût. Cela faisait plusieurs mois qu'il terrorisait toute femme qu’elle a trouvée après la tombée de la nuit.

Cette nuit de fin Mai était chaude, les lucioles dansaient le long du chemin. Pendant un moment, la femme les a chassées de la piste et de plus profondément dans les bois, mais elle n'était pas si téméraire de continuer à aller plus loin. Elle n'était prête à tenter le destin que jusqu'à présent.

Elle avait voyagé à peu près à mi-chemin de la destination finale, et il y eut le bruit d'une branche se détachant à sa droite. L'instinct naturel a fait que sa tête s’est mise à claquer dans la direction du bruit. Son corps était tendu, mais elle n'avait pas d'armes pour se défendre, même un parasol. Ses yeux rivés sur l'endroit d'où elle pensait que le son venait, elle a fait les quelques mesures provisoires de la façon dont elle se dirigeait.

Quelque chose a marché sur une branche plus épaisse, faisant résonner le claquement à travers les bois. Instable, la femme a été fouettée par le bruit et a failli basculer sur le chemin.

« Si vous êtes là-bas, vous devriez partir maintenant avant de vous blesser. » Sa voix tremblait de peur. Quiconque aurait écouté aurait reconnu la fausse bravade de l'Applejack qui parle. Avec la seule illumination provenant du clair de lune tacheté qui filtrait à travers les sapins, elle a pris quelques pas de plus sur le chemin.

Le bruit suivant n'était pas une branche qui claquait sous les pieds, mais par-derrière le cri d'une créature qui aurait transformé les entrailles d'un homme courageux en eau.

La femme trébucha à moitié, la moitié courut sur le chemin, faisant de son mieux pour échapper ce qui la poursuivait. Le vent a attrapé son chapeau et l'a soufflé de sa tête. La terreur a pris le dessus alors qu'elle courait sur le chemin. Des ronces sortaient de la forêt, déchirant ses vêtements.

Elle a senti quelque chose qui la harcelait. Il semblait se rapprocher à chaque fois, que la forêt attrapait ses vêtements. Une branche basse a attrapé ses cheveux, lui fouettant sa tête. Heureusement pour la femme, elle portait une perruque, et celle-ci s'est détachée du bonnet avec seulement la perte de quelques épingles à cheveux. Alors que la force la faisait tourner en rond, elle aperçut la créature qui la poursuivait.

Elle n'a pas eu longtemps à inspecter, s'approchant suffisamment derrière elle pour voir que la créature était d'un blanc éclatant. La tête d'une chèvre était assise sur de larges épaules, ses cornes recroquevillées derrière la tête comme un bélier, mais ce qui a vraiment attiré son attention, ce sont les bras. Plus comme des ailes de chauve-souris qui étaient largement tenues pour l’attraper et l’attaquer au sol.

L'adrénaline a traversé son corps, son cerveau imbibé d'alcool est devenu clair et son rythme plus déterminé. Elle avait commencé sa promenade du soir à la taverne, alors que le soleil était encore assez haut pour considérer la configuration du terrain. Elle savait que dans plusieurs centaines de pieds, il y avait une petite prairie. Si elle n'atteignait seulement cette prairie et la sécurité perçue de la pleine lune, elle serait en sécurité. Ou, du moins, elle pensait qu'elle le serait.

La créature se sentait assez proche pour la toucher. Elle était sûre que d'autres ont déchiré la brosse de chaque côté du chemin juste à l'abri des regards. Devant elle, elle aperçut le clair de lune projetant sa lueur argentée à travers la petite clairière. La sécurité en vue, elle soupirait à travers sa respiration lourde.

La main griffée derrière elle est atteinte pour ses cheveux courts. Par instinct, Faith s’est esquivé, le mouvement soudain lui faisant perdre l'équilibre juste avant sa cible de la clairière. La créature prête à bondir, Faith a exécuté un rouleau sur son épaule droite. À partir du sol, elle a tiré tout droit et a effectué une roue de charrette, suivie d'un arrondi parfait, son corps volant ensuite dans un ressort arrière, continuant bout de bout en bout, ressort arrière après ressort arrière, prenant à chaque fois de l'élan. Les bras et les jambes fouettés ont créé une hésitation de la créature. Juste assez pour que Faith se dégage de l'emprise et soit libérée du filet qui s'est levé en un éclair sous les pieds du diable.

Le cri du filet est devenu plus prononcé une fois que le diable l’a déduit qu'il avait été attiré dans un piège, et les bois de chaque côté du chemin ont éclaté en cris et en hurlements.

« Faith, je t'ai dit que ça marcherait, mais tu dois être plus rapide. Cela vous a presque attrapé là-bas à la fin. » La voix a appelé des bois au Sud.

Faith a travaillé pour reprendre son souffle. Elle ne s'attendait pas à ce que la poursuite soit aussi longue. « Chastity, chère sœur, souviens-toi que je viens de finir de boire ce qui aurait pu être plusieurs gallons d'applejack. Le diable a de la chance que je n'aie pas vomi sur