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Aperçu du livre
Nouvelle reine - Lauryne Famery
Nouvelle reine
Lauryne Famery
Nouvelle reine
LES ÉDITIONS DU NET
126, rue du Landy 93400 St Ouen
© Les Éditions du Net, 2024
ISBN : 978-2-312-14772-7
Commencement
Nous sommes le 28 Aout 2024. Je m’appelle Clisten Adams, je suis née le 5 Décembre 2000. Mon histoire la voici.
J’avais la conviction que, même le plus grand des génies des scientifiques, ne savait pas le quart de ce qu’il se passait réellement dans le monde. Je savais que je n’étais pas une fille comme les autres. Je le sentais.
J’habite un petit village de cinq mille habitants. Ma maison, ou plutôt devrais-je dire le château de mes grands-parents, est le château de la ville, mais aussi une très grande fabrique de jouets. Je vivais avec mes grands-parents, Molly Dan Adams et Jacob Adams, depuis l’âge de trois ans, à la suite de la mort tragique de mes parents. Je parlais très souvent du ciel. J’aimais regarder les nuages pendant la journée et les étoiles lorsqu’il faisait nuit. Ma préférence était sans aucun doute les étoiles aux nuages. Me demandait souvent ce qui pouvait bien se cacher au-delà du ciel. J’aimais être sur le toit du château, que mon grand-père avait spécialement aménagé pour moi. Deux chaises longues, la toile de la pergola me protégeait des jours de pluie. De longues guirlandes en forme d’ampoule éclairaient la terrasse.
Le major d’homme savait où me trouver quand mes grands-parents me cherchaient. C’était l’heure du repas. Il allait monter à la demande du grand-père dans exactement trois… deux… un…
– Bonsoir Mademoiselle ! dit-il d’une voix glaciale.
– Bonsoir Nyve ! Vous n’arriverez donc jamais à m’appelez Clisten ?
– Excusez-moi Mademoiselle ! Dit-il réellement navrer.
– Je ne suis pas Jacob ! Mais si vous le souhaitez je peux vous l’ordonnez, si cela peut vous facilitez la chose ?
– Se serais surement plus simple pour moi effectivement. Comment est le ciel ce soir ? Demanda-t-il bien aimable.
Nyve travaillait pour grand-père bien avant que je vienne au monde, et selon Jacob, mon grand-père, il n’avait prit aucune ride. Toujours aussi jeune à l’intérieur comme à l’extérieur. Il n’avait pas changé. Brun sans aucun cheveu blanc. Les yeux bleus ciel. Grand et musclé. Son charisme le rendait tout simplement apaisant. Toutes les femmes se tournent lors de son passage. Il était comme un père pour moi. Toujours de bon conseille. Toujours présent et réconfortant si besoin est.
– Toujours aussi magnifique je dois dire ! Mes grands-parents vous envoie pour que je descende n’est ce pas ?
Il fixait son regard sur moi. Appuyer contre la bordure du toit. Il croisait les bras, et levait la tête vers le ciel.
– Oui Clisten ! Soupira-t-il gêner de m’interrompre.
– Tapez m’en cinq ! Dis-je contente qu’il m’appel enfin par mon prénom.
Il ne savait pas comment faire. Obliger d’attraper moi-même son poignet, pour le faire taper dans ma main. Mais il se prenait au jeu content que je sois heureuse. Il veillait toujours sur moi. Et Nyve exauçait toutes mes demandent.
– Nyve ?
– Oui Clisten ? S’interrogea-t-il.
– Cela fait tellement longtemps que vous travaillez avec grand père, pourquoi vous n’avez jamais laissez tomber ? Il ne vous traite pas comme il le devrait ! Demandai-je en descendant du toit.
Il me suivait à travers ma chambre bien rangé. Nyve fermait doucement la porte vitré. Ca voix raisonnait dans la pièce.
– Quand on connait bien votre Jacob, on se rend compte que cet homme serait près à tout donner pour les gens qu’il aime. Et, en effet Mademoiselle… Clisten il m’a t’en donner. Continua-t-il nostalgique. Votre grand-père est un être exceptionnel. Affirma-t-il heureux et souriant.
– Quand vous voudrez faire votre vie Nyve, il sera trop tard ! Continuai-je sur de moi.
– Ma vie Clisten… est ici, prêt de vous et votre famille.
– Et prêt de la cuisinière ! Affirmai-je le faisant rire.
Il riait de bon cœur avec moi. Arriver dans la salle à manger je constatais que mes grands parents n’avaient pas perdu l’appétit. Ils étaient déjà entrain de Diner. J’embrassais le front de mes grands parents.
– Bonsoir ma chérie ! Tu te joins à nous ? Demanda grand-mère Molly.
– Non je vais sortir un peu se soir ! Je n’ai pas très faim.
– Où vas-tu ? Demanda grand-père inquiet.
– J’irais où le vent me guidera !
Je répondais à grand-père en rangeant ma table.
– Laisse chérie, Nyve va le faire !
– Non ! Affirmais-je les sourcils froncé.
Nyve s’avançait pour ranger les couverts qu’il avait posés sur la table pour moi. Seulement je n’étais pas d’accord.
– S’ils sont à tes ordres… c’est ton problème ! Nyve lâchez immédiatement ces couverts. Dis-je presque méchante.
Nyve était un homme généreux. Un homme bon comme il en existe peu de nos jours. Toujours habillé avec des vêtements très anciens. Ses costumes dataient, mais il les aimait tellement. Il faut bien avouer que celui-ci lui allait à ravir.
– Quand vas-tu faire attention à toi Clisten ? Ne part pas n’importe où. Rétorqua grand-mère d’un ton désagréable.
– Ne t’inquiète pas. Je sais me défendre !
– J’ai une tête à plaisanter Clisten ? Demandèrent-ils en cœur.
Je regardais par la fenêtre pour voir le temps qu’il faisait. Le soleil se couchait à peine. Grand-père ne souriait pas beaucoup. Toujours sérieux dans tous les domaines de sa vie. Et grand-mère était l’opposé. Souriante avec beaucoup d’humour.
– Ce n’est pas écrit sur ton front que tu fais de l’aïkido. Imagine qu’un jour tu tombes sur plus fort que toi ! Parla grand-mère.
– Personne n’est infaillible ! Balança Grand-père.
Je pratiquais un sport de combat juste pour m’occuper, pour détendre mon esprit. Je n’avais pas besoin d’ami. Juste de quoi m’occuper. L’aïkido était devenu une passion. J’avais besoin de ça pour penser à d’autre chose. L’aïkido nous permet d’anticiper les agressions quels quel soit.
– Et bien cela donne l’effet de surprise ! Et s’il te plait grand-père ne me fait pas suivre cette fois-ci, sinon je te réserve le même sors qu’à ton plus fort garde du corps ! Affirmai-je.
Involontairement, un jour où j’étais en colère, je suis sortit sans prévenir mes grands-parents. Grand-père comme à son habitude m’avait fait suivre par son plus fort et grand garde du corps. Ce jour là, j’avais tendu une embuscade à celui-ci. Il courrait après moi. Puis, je m’arrêtais dans une allé. Je lui tournais toujours le dos, il tentait de poser sa main sur mon épaule. Je me retournais face à lui. Un violent orage se préparait. Il attrapait mon poignet. J’entreprenais alors un kote Gaeshi, sans qu’il s’y attende. Mais l’atterrissage du garde du corps ne s’était pas passé comme je le prévoyais. Il tomba sur la nuque. Et celle-ci se brisait.
– Tu serais prête à tordre le coup à ton vieux grand-père que tu aimes plus que tout ? Demanda-t-il blaguant à froid.
– S’il le faut, je n’hésiterais pas.
J’esquissais un léger sourire. Embrassais mes grands parents et partais très vite. Ils se sentaient obligé de se montrer trop protecteur, depuis la mort de mes parents.
Ce château je l’aimais. Il n’était pas comme les autres. À l’extérieur le château était construire principalement au centre de la verdure. Les arbres qui l’entouraient mesurait environs trois a sept mètre de hauteur. Sont tailler de façon symétrique. Le château en lui-même était en forme de cercle. Les quatre tours étaient en forme de rose. Le tout posé sur de la verdure très bien entretenu. Nous n’avions pas le droit de marcher sur la pelouse. Différents chemins en pavé recyclable avait été posé sur le sol par grand-père.
Je sortais du château et songeais, n’avais pas d’amis, pas de petit ami. Partout dans ce village, on pouvait entendre ma description. J’étais plutôt de taille moyenne, un peu ronde, ni belle ni moche, musclé, mais surtout une réputation de folle.
En me dirigeant vers le cinéma, je réalisais qu’il était fermé. Étonnant, il n’y avait aucun mot sur les portes fermées du cinéma. Ce soir là, la chance était contre moi. Je commençais a rebrousser chemin. Quand un groupe de jeune qui avait poussé un peu trop sur la bouteille, rigolait, fumait et buvait près de la superette vers laquelle je me dirigeais. J’avançais sans baisser la tête. Je m’attendais à ce que l’un d’entre eux vienne vers moi pour engager la conversation.
– Salut ma poulette, moi c’est Radcliffe ! Comment vas-tu ? Demanda-t-il complètement ivre.
Je m’arrêtais à une distance assez loin, jetais un coup d’œil à sa bande. Et constatais qu’il s’agissait des mêmes jeunes, qu’on pouvait rencontrer tous les soirs trainant dans les rues. Ils portaient presque tous un tatouage. Lançaient des blagues à mon insu comme si je n’étais pas là.
– Bah alors, on à perdu sa langue ! Insista-t-il puant.
Ces copains s’approchaient de plus en plus. Une vingtaine de jeune puant l’alcool à des kilomètres, un portait des boucles d’oreilles. Un autre portait un chignon. Je les regardais un par un, et mémorisais chaque vêtement, chaque visage, chaque petit détail. Cela me donnait la nausée.
– Essaye de ne pas trop t’approcher de moi s’il te plait ! Dis-je fronçant les sourcils.
– Sinon quoi ?
– Pour commencer je serais obligé de t’offrir un chewing-gum, et le souci c’est qu’avec une boite de cinquante chewing-gums je n’en aurais jamais assez pour toi et toute ta bande de blaireau.
Je le provoquais volontairement, le narguais intentionnellement. Il fronçait les sourcils. Ses narines se gonflaient. Les poings serrer, il soufflait d’énervement.
– Tu te permets de nous insulter ! Je croix qu’une petite correction s’impose. Dit-il en se tournant vers ses copains.
Ils riaient et l’encourageaient « ouai, aller montre lui qui est le patron » balançaient-ils hargneux.
– En soit ce n’est pas réellement une insulte !
Ils se mettaient tous à ricaner. À peu près sur qu’aucun d’entre eux ne comprenais mes sous entendu. Le niveau intellectuel de ce petit groupe n’était pas bien élever. Bien évidement il y a une personne qui dicte et les autres suivent. Radcliffe était le meneur. L’un d’entre eux prétendait alors qu’il me connaissait.
– Hey… mais je te connais, Clisten Adams. On était ensemble au collège ! Dit-il en me pointant du doigt. Tu viens nous donner des leçons Clisten… alors que dans la cour à l’école tu étais toujours celle que tout le monde venait embêter. On raconte partout que c’est toujours le cas ! Continua-t-il en me tournant autour comme un requin. Tu four ton nez partout. Déclara-t-il en faisant rire toute sa tribu.
– Mais oui je me souviens parfaitement ! Dis-je sans peur. C’était toi à qui l’on baissait le pantalon en bas des pieds ? Du coup ça fait de toi mon semblable !
La honte le saisissait. Il ne parlait plus. Ses copains se moquaient de lui. Ils possédaient tous une veste réversible. Étais-je allé trop loin ? Encore bien gentille d’avoir des remords.
Une bagarre
En réalité je n’avais aucune idée de qui il était. Mais il fallait que son humiliation soit identique à la mienne.
– Fascinant ! Ca me touche, vraiment que tu te souviennes de moi ! Ajoutais-je avec un sourire narquois.
Enfin de compte j’avais peut-être dit la vérité. Je me surprenais moi-même.
– Oh mais… cette fille t’a mise une déculotté y’a trois mois ! Affirma l’un d’eu à Radcliffe.
Ils ricanaient encore. Radcliffe était gêné. Il me regardait ne sachant plus quoi répondre.
– Laisser moi passer et tout se passera bien pour vous ! Affirmais-je énerver mais calme.
– Montre-nous tes talents brunette.
Agrainais l’un d’entre eux. Brun avec une barbe de cinq jours, il était adossé sur le mur, les mains dans les poches. Son air arrogant, me donnait envie de le frapper. Je ne m’occupais pas de lui.
– La dernière fois ne ta pas suffit Radcliffe ! Insistais-je.
Radcliffe n’était pas un homme très séduisant. Il portait une casquette verte à l’envers sur la tète. Il avait un peu forcé sur la musculation. Vraiment très musclé en haut, et vraiment pas assez muscler en bas. Il se rapprochait dangereusement de moi.
– Bah alors… on est trop nombreux pour toi ! Qu’est-ce qu’il se passe… aurais-tu peur ? Demanda-t-il en caressant une mèche de mes cheveux.
Je faisais une grimace, il me dégoutait. J’attrapais sa main avec deux doigts, et la jetais dans le vide.
– Frappe le premier ! Comme ça je pourrais expliquer à la police pourquoi je vous ai laminé ! Affirmais-je en esquissant un sourire mesquin.
Soudain il serait le point très fort, et sans que je m’y attende me frappais la joue gauche. Sa frappe était tellement forte que je tombais sur le sol.
– Tu frappes comme une fille ! Continuais-je de provoquer, en me relevant.
Je collais ma main contre ma joue qui piquait. Il tentait de récidiver le coup. Seulement cette fois-ci je n’allais pas le laissé faire. Je commençais par m’échauffer, en m’amusant un peu avec lui, j’esquivais tous ces coups, il manquait de tomber plusieurs fois. Puis les choses devenaient plus sérieuses. Je le maintenais avec un Sankyo Ura, il criait de douleur, et je l’écrasais contre le sol. Il s’éraflait le nez et la joue droite. Mais ce n’était pas suffisant. Il se redressait, un peu plus en colère. Il m’attrapait avec sa main gauche, la main gauche, J’entreprenais un Ude Kimi Nage et lui déboitais le coude droit, alors que ma technique était complètement ratée.
– Oh Non, j’ai raté ma technique par ta faute ! Tu pourrais faire l’effort de m’attaquer correctement au moins ! L’aïkido c’est quelque chose de jolie. Dis-je agacé.
Il tombait sur le sol, assis il hurlait de douleur. Quand mon regard se redressait, ces copains décidaient de le défendre. Ils se jetaient à plusieurs sur moi. Pas impossible à en maitriser quelques uns. Mais ensuite l’un d’entre eu, arrivait discrètement alors que je m’occupais d’envoyer à terre son ami. Je ne l’avais pas vu venir. J’avais mal surveillé mes arrières. Il m’étranglait avec une chaine de moto. Ils étaient tous à terre sauf lui. Je voyais au loin deux hommes sortir du noir. Tandis que les hommes à terre se relevaient durement, ces deux hommes s’avançaient vers moi tranquillement.
– Hey les gars ! Dit l’un des deux pour les interpeller.
Ils arrivaient les mains dans les poches. Tranquillement, comme si rien ne pressait alors que je n’arrivais plus à respirer. Habillé sur leur 31, ils avaient de sortir de soirées.
– Ne vous occupez pas de ça, c’est un problème entre elle et nous !
– Allez quoi, lâcher la maintenant. Je pense qu’elle à comprit. Ajouta-t-il paisible.
– Non, je ne suis pas sur, qu’elle à encore recommencer ! Répondit le deuxième homme bien habillé.
– Je viens de te dire de dégager ! Affirma-t-il en lui mettant un coup de poing.
L’homme évitait le coup. Je perdais peu à peu connaissance, le regard flou. Je ne savais pas ce qu’il se passait. Mais les paroles de grand-père raisonnait dans ma tête « Imagine qu’un jour tu tombes sur plus fort que toi ». Je ne savais pas ce qu’il se passait. Je perdais connaissance.
En me réveillant, je constatais que j’étais allongé sur le toit du château. J’ouvrais doucement les yeux. Est-ce que j’avais rêvé ? Mes souvenirs étaient vagues, mais le mal de tête lui était bien présent. Une douleur constante a la gorge. Il faisait encore nuit. J’entendais deux hommes discuter autour de moi. J’étais là sans être là. Je les entendais alors que j’étais inconsciente.
– Il est temps qu’elle parte avec nous ! Affirma l’un des deux.
– Elle a vraiment une salle tête ! Dit l’autre.
– Qui êtes-vous ? Soufflais-je en difficulté.
La gorge douloureuse, les bras endoloris, les jambes fatiguées. J’avais des souffrances un peu partout sur mon corps. Comme si on m’avait frappé violement. Je ne sentais plus certaines partit de mon corps endolories.
– Qu’est ce qu’il s’est passé ?
Je m’asseyais avec difficulté. Comment pouvait-on avoir autant de douleur.
– Tu t’es bien défendu, mais le problème c’est qu’un de leur gars ta attrapé par surprise. Dit le brun aux yeux bleus.
– C’est dommage tu les maitrisais bien. Avoua l’autre brun aux yeux vert clair. Où à tu appris à te battre comme ça ?
Ignorant la question, j’étais fatigué, je pensais qu’à une chose… dormir. Mais ces deux là n’avaient pas l’air pressé de partir.
– Tu as l’air fatigué, tu devrais aller dormir ! Continua le brun aux yeux bleus s’inquiétant pour moi.
Ils restaient assis sur le bord de la terrasse du toit du château de mes grands-parents. Je me tenais la tête.
– Comment avez-vous fait pour monter jusqu’ici sans croisés mes grands-parents ?
Je m’interrogeais. En me mettant sur mes pieds, ma tête tournait. L’homme brun et musclé me rattrapait au vol. Puis me lâchait peu à peu.
– Je vais de se pas dormir ! Affirmais-je encore sonner. Dégager d’ici avant que j’appel la police !
– Derrien ! Balança le brun aux yeux bleu.
Je partais sans me préoccuper de la façon dont ils allaient rentrer chez eux. Je me rendais directement dans ma salle de bain pour regarder mon corps endolori. Je pouvais constater la rougeur autour de mon coup. Ne me sentant pas bien, je soupirais et allais directement me mettre dans mon lit. Mes yeux se fermaient en cinq seconde.
Le lendemain matin, la tête et le corps lourd en me réveillant, j’allais avec difficulté dans ma salle de bain, toujours avec ce gros mal de tête et des douleurs un peu partout sur mon corps. Debout devant le miroir je constatais que j’étais pleine de bleu. J’avais juste la lèvre coupé. Aucun bleu sur le visage, une chance pour moi. Je posais mon index sur le bleu qui se trouvait autour de mon bras, et dessinais de petit cercle. À peine je l’effleurais, je ressentais une douleur vive et intense. Je ne pouvais pas me présenter devant mes grands parents comme ça. Je posais alors mon pouce sur ma lèvre.
– Aille ! Merde !
Je jurais sans scrupule. Mais soudainement en déplacent mon doigt, je me rendais compte que ma lèvre inferieur avait totalement guérit.
– Mais comment… comment est-ce possible ?
Voila que je me parlais a moi même. Je regardais à nouveau mon corps. Plus aucun bleu. Tout avait disparu. Comment était-ce possible ? Il fallait que je descende avant que Nyve monte dans ma chambre.
Je m’habillais très rapidement, essayant d’agir comme d’habitude. Je descendais dans la salle à manger. Grand père lisait déjà le journal. Tandis que grand-mère regardait les informations à la télévision.
– Tu as vu Clisten ? Demanda grand-père le nez dans son journal.
Oh la la, ça ne sent pas bon ! Avaient-ils déjà écrit sur l’incident d’hier soir ?
– Qui à t-il de si intéressant dans le journal pour que tu m’en parles de si bon matin ?
Le mieux était de faire l’innocente. Ne pas être au courant de ce qu’il se passe dans le monde. Je m’encourageais intérieurement à me défendre.
– Une bagarre à éclater près de la superette. Dix jeunes ont été retrouvé allonger sur le sol, huit sont gravement blesser, deux sont mort, trois se sont enfuis, et les cinq autre sont hors de danger, et se sont rendu a la police tôt ce matin. Certains on des membres cassé, d’autre défigurer par les coups donnés.
– Oh… ben dis donc !
Grand-père frappait son journal sur la table. Prenait sa tasse de café et buvait une gorgé. Après quoi il se racla la gorge. À ce moment la je comprenais qu’il allait être moins agréable.
– Ces jeunes avaient agressé Juliette Brown, et Susie Dupont quelques semaines auparavant. Dit grand-mère Molly.
– Ils le méritaient donc ! Affirmais-je plus soulager.
Ouf merci grand-mère Molly de participer à la conversation. Mais grand-père avait une très bonne intuition. Il me connaissait, et savait que je me mettais souvent dans le pétrin.
– Oui, Mais ce n’était pas une raison pour les massacrer comme ça Clisten ! Exprima grand-père avec crainte.
– Qu’est ce qui te fait dire que c’est moi ? Demandais-je surprise.
Mon cœur battait très vite. Si grand-père savait que c’était moi, alors la police aussi. J’étais mal, très mal. Quels arguments est-ce que je pouvais présenter ? À l’endroit ou avait eu lieu la bagarre, il n’y avait pas de caméra de surveillance. Radcliffe et ses hommes allait forcément me dénoncer. Devais-je dénoncer les deux hommes présent pour m’aider hier soir. Ah, j’étais dans un sacré pétrin. Grand-père frottait ses tempes. Il n’avait clairement pas envie de m’aider.
– C’est toujours les mêmes Clisten. La dernière fois tu les à ligotés et tu leur tatoué le verbe « respecter » à tous les temps sur leur torse ! Ton nom et ton prénom sont marqué en première page.
On pouvait lire sur le journal « Clisten Adams à encore frapper ! ».
– Il y avait de quoi faire, ils étaient encore une fois très nombreux ! Oh mon nom est en première page ! Dis-je surexciter en lisant l’article.
– Clisten, se n’est pas drôle enfin ! Intervient grand-mère triste et fâcher.
Je voyais grand-mère Molly les mains tremblante faire les gros yeux. Elle me suppliait du regard.
– J’aurais peut-être du leur tatoué « Ne pas Harceler » à tout les temps ! Certifiais-je de façon ironique. Ok j’avoue je les ai bien amoché, mais je n’étais pas toute seule, deux autres hommes étaient présent. D’ailleurs ils m’ont sauvé la vie ! Ajoutais-je à voix basse en pinçant mes lèvres.
Grand-père se levait de sa chaise. Poussait le rideau du salon du bout des doigts. Il lâchait un soupire gigantesque. Son regard fixé sur l’extérieur il parlait irriter.
– Et bien tu les remercieras de ma part ! La police se gare. Dit grand-père vraiment très en colère.
– Il est temps qu’elle parte ! Révéla grand-mère.
– Que je parte où ? Demandais-je avec inquiétude. Quoi non mais attend tu as appelé la police ?
– Non Clisten, mais ils vont vouloir quand même t’interroger.
– Tu ne vas pas les laisser m’emmener ? Sollicitai-je avec pitié.
– Il va falloir assumer tes actes ma grande !
L’arrestation
Grand père regardait pas la fenêtre de l’entré. Il y’avait trois voiture de police, armé jusqu’aux dents. Et décidait d’ouvrir la porte à ses gens. Tous les regards étaient tournés vers moi. J’étais vraiment très mal à l’aise. Ils avaient sorti trois voitures de polices, vingt policiers au total. Comme si j’étais plusieurs personnes.
– Salut Clisten !
– Marc ! Dis-je insolente. Qu’est ce qui vous amène par ici ? Demandai-je l’air innocent.
– On à découvert une scène de massacre. Les copains de Radcliffe on été retrouver gisant sur le sol, prêt de la superette. Radcliffe nous à dit que vous vous étiez battu ! Affirma Marc stone.
La scène d’hier soir me revenait en tête. Et la puanteur de chaque individu. Les tatouages, les dents en or, les cheveux longs, les vêtements trop grands où trouer. J’avais comme des flashs douloureux. Je fermais les yeux et répondait sèchement.
– Comment il fait pour s’en souvenir celui-là ? Il était complètement ivre. C’était une petite bagarre de rien du tout. On ne peut pas vraiment dire qu’ils se sont battus. Je les ai laminés sans trop de difficulté. Attestai-je sans scrupule. Radcliffe m’a cherché je ne lui avais rien demandé à cette ivrogne. Continuai-je sans essayer de me défendre.
– Elle est à vous. Dit grand-père en me poussant dans les bras de Marc.
Je n’en revenais pas que grand-père me fasse un coup pareil. Marc me fixait. Son regard voulait tout dire, Suis-moi sans discuter, on va t’interroger au poste de police.
– C’est bon, j’ai comprit ! Je vous suis et sans discuter !
Je suivais Marc sans discuter. Pendant le trajet je ne voulais pas discuter. Arriver au poste de police la bande d’attarder que j’avais massacré me fixait avec crainte. Marc m’enferma dans l’une de ses pièces pour interroger les gens coupable. La pièce était assez sombre. Il avait fait exprès de me mettre ici, pour me rendre folle. Après un très long moment d’attente Marc se pointait avec un gobelet de café à la main. Il poussait mes pieds de sur la table, pour y assoir ses fesses. Pas un mot ne sortait de sa bouche. Me fixait comme si j’étais responsable de se qu’il c’était passer.
– On à combien d’années d’écart toi et moi Clisten ?
Puis, soudainement des mots sortaient de cet individu. Mais pour en venir a quel fait ? Je hochais les épaules, et me sentais obliger d’être agréable.
– Je ne sais pas une quarantaine d’années peut-être. Dis-je me moquant de lui ouvertement.
Marc n’était pas beaucoup plus vieux que moi. Il avait clairement le béguin pour moi, sans prétention aucune. Tout le monde le savait. Il se prenait de temps en temps pour un shérif. Sa moustache était tellement moche. Les cheveux dans tous les sens. La plus part du temps ses vêtements était friper. Il sentait le bois de cheminé à des kilomètres.
– Très drôle ! On à pas tout à fait trois ans d’écart.
– Où veux-tu en venir ? Enquêtai-je en me levant de la chaise.
– Ce qui veux dire que toutes les conneries que tu fais jusqu’à maintenant, j’ai aussi eu les idées de les faire !
J’appellerais ça de la légitime défense. Ils ont commencé. Devais-je leur rappeler que j’étais une femme seule devant tout un groupe d’homme. En y repensant bien, que m’aurait-il fait si c’est deux individus en costar ne c’était pas arrêter ?
– Surveille ton langage tu veux… on nous écoute ! Déclarai-je en montrant du doigt la camera. Seulement les idées quel dommage ! Tu ne sais pas ce que tu rattes ! Poursuivais-je en fixant la camera. Toi petit intello que tu étais, incapable de faire une bêtise par peur que la police te cours après ! Finissais-je en retournant m’assoir.
– Clisten !
– Oui c’est moi ! Je ne demande rien à personne, ils m’ont clairement agressé. Regarde les camera de surveillance ! Répondis-je avec un sourire diabolique.
Ah non c’est vrai à cet endroit précisément, il n’y avait pas de caméra. Il me regardait avec insistance. Je savais pertinemment que si je ne lui donnais pas se qu’il voulait, il allait continuer jusqu’à ce que je cède. Son odeur me donnait la nausée. C’est comme ça qu’il gagnait à tous les coups.
– Ca va… Sans vouloir me venter. Vous entendez très peu parlez de moi depuis quelque temps !
– Raconte moi ce qu’il s’est passé hier soir. Ordonna-t-il.
J’hésitais. Que devais-je dire ? Radcliffe ma frapper, j’ai répondu, deux hommes mon sauver de sa bande ? Je devais lui changer les idées.
– Avant ça… si tu me le permets, j’aimerais que tu me présente les deux hommes qui sont caché derrière la camera.
– Il n’y à personne derrière la caméra Clisten.
– Ce n’est pas bien de mentir ! Qui sont ces personnes ? Des nouveaux ? Dis-moi que je vais pouvoirs les martyriser autant que toi je te fais souffrir ? Lançai-je sans m’arrêter.
La porte s’ouvrait les deux hommes entrait dans la petite salle. Le brun aux yeux bleu refermait la porte derrière lui. À ma plus grande surprise, les deux hommes d’hier soir ce présentait de nouveau devant moi. Le brun aux yeux bleu tendait la main pour me dire bonjour. Je ne répondais pas à ce salut.
– Clisten je te présente Joseph Morgane Tobias, le brun aux yeux vert, et Charly Tobias, le brun aux yeux bleu. Présentait Marc.
Joseph affichait un grand sourire, me tendant la main pour que je la serre. Je répondais à sa demande avec plaisir. Il était vraiment beau. Grand et élancé. Parfaitement musclé. Sa chemise bordeaux collé a la peau, laissait apparaitre ses abdominaux. Ses yeux verts brillaient. Son visage chaleureux me donnait envie d’apprendre à le connaitre. Tandis que Charly était plutôt fermé. Beau aussi, mais fermé. Musclé, grand, bien foutu quoi, mais fermé.
– Clisten se souvient de chaque visage qu’elle croise, les vêtements que les individus portaient, jusqu’au moindre
