Des Histoires Érotiques Réelles Intenses Sans Frontières, Sans Censure. (2ieme Volume): ANNAIS ET SES PLAISIRS, #2

Par ANNAIS DESIREE

Il s'agit du deuxième tome de la série « ANNAIS ET SES PLAISIRS », dans laquelle l'écrivain Annais Désirée nous invite à être les protagonistes (homme ou femme) de ces VRAIES histoires, écrites sans censure, sur le sexe le plus agréable entre hommes et femmes, entre deux hommes, deux femmes, trios, orgies,...

Vous allez en profiter comme vous ne l'avez jamais fait auparavant. Votre enthousiasme augmentera à mesure que vous lirez ces pages. Vous vous défoulerez tout en vous amusant à caresser votre corps, ou celui de la personne à côté de vous.

Vous allez l'adorer.

Laissez libre cours à votre imagination et vous verrez à quel point vous avez envie de répéter ces moments de plaisir que vous allez vivre.

L'auteur attirant et séduisant Annais Désirée ne vous laissera pas tomber.

L'AUTEUR

ANNAIS DESIREE est une écrivaine italienne à succès d'histoires érotiques, qui se définit comme hétérosexuelle et lesbienne. Tous ses écrits sont basés sur des expériences personnelles d'elle ou de l'un de ses nombreux amis (hommes et femmes). Toutes ses histoires sont réelles et sont écrites exactement comme leurs protagonistes les ont racontées.

AVANT-PROPOS

Bonjour, je m'appelle Annais et je souhaite vous expliquer comment je suis. Je suis une française, avec de longs cheveux noirs. Je ne dis jamais mon âge réel, mais je veux que vous sachiez que j'ai plus de 20 ans et moins de 50 ans.

Je n'ai jamais été marié et j'ai eu pas mal de relations amoureuses, aussi bien avec des hommes qu'avec des femmes. Mon corps n'est pas mal du tout, je ne suis pas trop maigre, mais je ne suis pas grosse non plus. Je suis une femme normale, même si je reconnais que je suis très attirante pour tous les hommes et toutes les femmes. De plus, comme je suis française et que ma langue maternelle est le français, j'utilise toujours mon bel accent pour séduire les personnes qui m'intéressent.

Je suis hétérosexuelle et lesbienne. Mon goût est celui des femmes et des hommes normaux, et je n'ai pas de type défini. Je ne me suis jamais soucié de son apparence physique ni de son âge. Bien sûr, j'apprécie grandement la sincérité des gens et la propreté des corps. Mes goûts vont de 18 ans à 60 ans et il est très facile de tomber amoureux de moi.

Je vous ai déjà dit que je n'ai pas de type défini, ni la couleur de peau, ni les cheveux, ni la taille, ni l'âge, ni l'apparence physique... J'aime toutes les femmes et tous les hommes...

Et je tombe amoureux trop facilement...

• Langue: Français
• Éditeur: ANNAIS DESIREE
• Date de sortie: 17 mai 2024
• ISBN: 9798224502233

Aperçu du livre

INTRODUCTION

Il s'agit du deuxième tome de la série « ANNAIS ET SES PLAISIRS », dans laquelle l'écrivain Annais Désirée nous invite à être les protagonistes (homme ou femme) de ces VRAIES histoires, écrites sans censure, sur le sexe le plus agréable entre hommes et femmes, entre deux hommes, deux femmes, trios, orgies,...

Vous allez en profiter comme vous ne l'avez jamais fait auparavant. Votre enthousiasme augmentera à mesure que vous lirez ces pages. Vous vous défoulerez tout en vous amusant à caresser votre corps, ou celui de la personne à côté de vous.

Vous allez l'adorer.

Laissez libre cours à votre imagination et vous verrez à quel point vous avez envie de répéter ces moments de plaisir que vous allez vivre.

L'auteur attirant et séduisant Annais Désirée ne vous laissera pas tomber.

L'AUTEUR

ANNAIS DESIREE est une écrivaine italienne à succès d'histoires érotiques, qui se définit comme hétérosexuelle et lesbienne. Tous ses écrits sont basés sur des expériences personnelles d'elle ou de l'un de ses nombreux amis (hommes et femmes). Toutes ses histoires sont réelles et sont écrites exactement comme leurs protagonistes les ont racontées.

AVANT-PROPOS

Bonjour, je m'appelle Annais et je souhaite vous expliquer comment je suis. Je suis une française, avec de longs cheveux noirs. Je ne dis jamais mon âge réel, mais je veux que vous sachiez que j'ai plus de 20 ans et moins de 50 ans.

Je n'ai jamais été marié et j'ai eu pas mal de relations amoureuses, aussi bien avec des hommes qu'avec des femmes. Mon corps n’est pas mal du tout, je ne suis pas trop maigre, mais je ne suis pas grosse non plus. Je suis une femme normale, même si je reconnais que je suis très attirante pour tous les hommes et toutes les femmes. De plus, comme je suis française et que ma langue maternelle est le français, j'utilise toujours mon bel accent pour séduire les personnes qui m'intéressent.

Je suis hétérosexuelle et lesbienne. Mon goût est celui des femmes et des hommes normaux, et je n'ai pas de type défini. Je ne me suis jamais soucié de son apparence physique ni de son âge. Bien sûr, j’apprécie grandement la sincérité des gens et la propreté des corps. Mes goûts vont de 18 ans à 60 ans et il est très facile de tomber amoureux de moi.

Je vous ai déjà dit que je n'ai pas de type défini, ni la couleur de peau, ni les cheveux, ni la taille, ni l'âge, ni l'apparence physique... J'aime toutes les femmes et tous les hommes...

Et je tombe amoureux trop facilement...

UN PARI

C'était le résultat d'un pari stupide qu'une amie et moi, lors d'une soirée bien arrosée, avons fait avec nos maris respectifs.

Pendant le chemin du retour dans le van, les deux couples parlaient de tout de manière très bruyante et décomplexée, à cause de l'alcool que nous avions bu. Lorsque nous sommes passés devant un quartier où se trouvait un groupe de prostituées, nos maris se sont arrêtés, ont baissé les fenêtres et leur ont demandé combien ils facturaient et leur ont dit ce qu'ils feraient avec elles, ce qui nous a semblé de mauvais goût, surtout que nous étions aller avec eux.

Mon ami, agacé, leur a dit que c'était de très mauvais goût et que ce serait bien s'ils nous disaient la même chose dans la rue. Ils ont répondu en riant que ce n'est que si nous étions des putes que c'est seulement à ce moment-là que quelqu'un nous remarquerait. Mon ami a alors dit :

– Et si nous l’étions ?

Ils ont tellement ri que nous avons failli heurter la barre de protection routière. Ils nous ont dit en riant que nous ne pourrions même pas nous habiller comme eux, et encore moins rester dans un coin et chercher des clients, que cela exigeait du style et un bon corps. Cela nous a mis en colère et nous avons répondu que si nous le voulions, nous pouvions le faire à tout moment. Ils, sans cesser de rire, dirent :

– Par exemple, en ce moment, non ?

Je n'ai pas répondu pour le moment, car nous n'étions pas habillés convenablement. Ils ont pris cela comme une confirmation de notre attitude selon laquelle nous ne serions pas capables de le faire et, enhardis par l'alcool, nous ont lancé un défi. Ils nous ont dit que si seulement nous pouvions nous habiller comme eux et nous tenir dans un coin, ils renonceraient à regarder le football à la télévision pendant une année entière. Ils sont tous deux fans de ce sport. Je suis resté silencieux mais la réponse de mon ami m'a surpris en acceptant le défi. Elle est, ou était, plus conservatrice que moi en matière de sexe.

Après m'être remis de la réponse inattendue, je l'ai soutenue et leur ai demandé de le tester en nous ramenant à la maison pour nous habiller convenablement et en revenant pour remplir le pari.

Ils se sont encore plus enhardis et ont accepté le pari, certains que nous ne serions pas capables de faire une chose pareille et ont également ajouté que s'ils gagnaient, nous leur accorderions une nuit de congé par semaine sans eux.

Nous leur demandions ce qu'ils faisaient ou où ils allaient. Nous acceptons.

Nous rentrons à la maison. Pendant que nos maris restaient à boire dans le salon, j'ai pris une bouteille de cognac et je suis montée avec mon amie dans la chambre pour nous changer. Nous avons tous les deux pris une boisson forte en montant.

Une fois dans la pièce, mon amie m'a demandé de lui prêter quelque chose d'approprié et je lui ai demandé si nous allions vraiment le faire. Elle a hoché la tête, me disant que je ne pouvais pas reculer, sinon nos maris se moqueraient de nous. J'ai pris une robe en lycra rouge très courte et moulante que mon mari m'avait achetée pour une soirée spéciale. Mon amie est plus grande que moi et une taille plus grande, donc la robe lui va comme une seconde peau et sa culotte est visible. Lorsqu'elle s'est regardée dans le miroir, elle a décidé de les enlever, tout comme ses bas. Comme elle n'avait pas porté de soutien-gorge, il était clair qu'elle ne portait que la robe. Ses seins et ses mamelons dressés, ainsi que son entrejambe, étaient clairement visibles à travers le tissu de la robe, alors pour la couvrir un peu, je lui ai prêté un string en soie blanche et des talons aiguilles.

Pour ma part, j'ai choisi une robe en dentelle noire dont le bas en tissu pouvait être détaché. J'ai enlevé le bas pour que la robe soit complètement transparente. J'ai enfilé un string en dentelle noir, pas de soutien-gorge, et un porte-jarretelles noir avec des bas de la même couleur. Finalement, j'ai changé mes baskets pour des baskets noires à talons hauts.

Nous nous sommes tous recouverts d'un imperméable noir, avons bu une gorgée de cognac et sommes descendus prêts à relever le défi. Quand nous sommes descendus, nous avons constaté que nos maris buvaient encore. Lorsqu’ils nous ont vu, ils nous ont dit qu’ils voulaient sérieusement relever le défi. Nous avons dit que s’ils se rétractaient et acceptaient qu’ils perdaient, nous ne le ferions pas. Nous voyant très couverts d'imperméables, ils nous ont dit de nous découvrir, ce que nous avons refusé de faire. Ils pensaient que nous jouions juste alors nous nous sommes dirigés vers le camion et nous sommes dirigés vers la zone rouge. En chemin, nous nous sommes maquillés le plus ostensiblement possible pour ressembler à deux prostituées.

Lorsque nous sommes arrivés sur place, une des filles s'est approchée du van pour proposer ses services mais a été surprise de nous voir. Je lui ai demandé qui s'en occupait et elle m'a montré une dame, un peu plus âgée mais très bien soignée. Mon ami et moi sommes sortis du camion et nous sommes dirigés vers l'endroit où se trouvait la dame.

Pendant que nous marchions, toutes les autres filles nous regardaient et l'un ou l'autre client nous demandait le prix de nos services. Quand nous sommes arrivés chez le directeur, il nous a regardé de haut en bas et nous a demandé ce que nous voulions.

Nous lui avons brièvement expliqué la raison de notre présence et elle nous a demandé d'ouvrir nos imperméables. Lorsqu'il nous a vu habillés en « vêtements de travail », il a dit qu'il n'y avait aucun problème à nous aider tant que nous le payions.

Nous acceptons et livrons le montant demandé. Il a pris l’argent et a appelé quelques filles pour leur dire de nous aider à « devenir des putes ».

Ils ont dit en riant qu'ils nous aideraient. Ils nous ont emmenés dans un des coins, nous ont dit de rester là et d'enlever notre imperméable.

Quand les filles ont vu nos vêtements, elles nous ont dit :

– Eh bien, vous ressemblez à des putes.

Nous nous sommes tenus là où ils nous ont dit, ajoutant qu'il ne s'agissait pas seulement de rester dans un coin, qu'il fallait le faire dans un style qui mette en valeur les jambes, les fesses et les seins et ils nous ont donné des instructions sur la façon de le faire. Nos maris avaient raison, il faut un certain style.

Bientôt, des clients ont commencé à arriver et nous ont demandé nos services, ce que nous avons refusé. Au début nous étions nerveux mais petit à petit nous avons surmonté nos inhibitions. En fin de compte, ce n’était qu’un jeu. Après avoir passé un moment ainsi, nous retournions au camion et rentrions chez nous pour célébrer notre victoire.

Après avoir joué un moment aux prostituées, une voiture de luxe est arrivée, avec un chauffeur et deux personnes à l'arrière. Il s'est arrêté avec la responsable des lieux, ils ont échangé des mots et la responsable s'est approchée de nous en disant :

– Tu voulais devenir putes, non ? Eh bien, c'est ta chance. Ces messieurs sont de braves gens qui ont besoin de vos services.

Nous ne savions pas quoi répondre. C'était une chose de jouer à la prostituée et c'en était une autre d'en être une. Le responsable a fait signe au conducteur de la voiture et s'est approché de l'endroit où nous étions. Un des messieurs a regardé par l’une des fenêtres et nous a demandé d’entrer.

Nous avons nerveusement répondu qu'ils n'avaient même pas demandé le prix. Le chevalier sourit et répondit que peu importe lequel il s'agissait puisque cela en valait la peine. Mon ami, après quelques secondes d'hésitation, m'a dit :

– Allez, monte dans la voiture.

J'ai obéi comme un automate. À l’intérieur de la voiture, outre le conducteur, se trouvaient deux hommes âgés d’environ 55 ou 60 ans. L’un d’eux était grand, séduisant et avait un corps plutôt athlétique pour son âge. Apparemment, dans sa jeunesse, il avait été un athlète accompli. L'autre était plutôt petit, avec également un corps athlétique bien qu'un peu potelé, il semblait avoir un caractère plus fort que le premier. Leurs vêtements et accessoires étaient très chers. Ils nous ont assis entre les deux messieurs et le petit a ordonné au chauffeur de partir. Alors que nous allions de la porte au siège, le grand homme nous a attrapé l'entrejambe et les fesses et instinctivement, nous avons essayé de lui retirer la main mais il a seulement dit à l'autre homme :

– Oui, ce sont des femmes.

Nous nous sommes dirigés vers l'un des motels à la périphérie de la ville et lorsque nous sommes arrivés, le chauffeur a fait signe au portier, et au lieu d'entrer par la porte principale, nous sommes entrés par une porte latérale cachée par des plantes. Le chemin menait à un manoir entouré de très hauts murs et de jardins de tous côtés. Mon ami et moi nous sommes regardés en nous demandant dans quel genre de problèmes nous nous étions mis.

Nous sommes entrés dans la maison qui avait une apparence unique. C'était juste une grande pièce avec une petite piscine au centre entourée