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L'aide Domestique: Séduction Lesbienne
L'aide Domestique: Séduction Lesbienne
L'aide Domestique: Séduction Lesbienne
Livre électronique198 pages3 heures

L'aide Domestique: Séduction Lesbienne

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À propos de ce livre électronique

"Quand résonna la sonnette, j'ouvris la porte pour trouver Katherine encore plus délectable que le week-end précédent. Ses cheveux lisses et blonds tombaient de chaque côté de ses épaules. Elle portait sous sa veste un petit haut jaune renforcé de jeans étroits écorchés juste au-dessus du genou pour montrer l'ombre d'un morceau de peau. Elle chaussait des sandales et je remarquais que ses petits ongles d'orteils pointant de sous ses jeans étaient recouverts de vernis bourgogne. Je la fis entrer en l'étreignant, m'imprégnant à nouveau du parfum Tommy Girl. Je pris sa veste pendant qu'elle rejoignait le sous-sol pour embrasser ma femme et faire la connaissance de Lisa."

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LangueFrançais
Date de sortie29 déc. 2021
ISBN9781005725778
L'aide Domestique: Séduction Lesbienne
Auteur

Rebecca Stone

I love writing and reading erotica. I enjoy publishing my content online and get people's perspective on my writings. I hope my readers enjoy the content I put through. Happy reading!

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    Aperçu du livre

    L'aide Domestique - Rebecca Stone

    Ma femme et moi nous sommes porté volontaires récemment pour garder notre nièce et notre neveu pendant que mon frère et sa femme prenaient des vacances bien méritées. Ann et moi avons réfléchi à l'idée d'avoir des enfants, aussi cette semaine nous permettrait-elle de nous faire une idée de ce qui nous attendait. Les enfants, âgés de trois et cinq ans, passaient l'essentiel de la journée à la crèche locale. Notre travail était de les garder la nuit jusqu'au retour de John et Beth dimanche.

    Ann et moi étions invités à une réception de bureau à l'occasion de l'arrivée d'un gros client dans le portefeuille de la compagnie. Compte tenu de l'état de l'économie et du fait que chacun de nous pourrait se retrouver sans emploi du jour au lendemain, nous étions tous heureux au bureau de ce supplément de travail. Ann entretient son corps à un club de gym local et avait noté un babillard à l'entrée de la salle des casiers hommes/femmes qui était recouvert d'annonces d'appartements à louer, de recherches d'emplois, et de quelques candidates au poste de baby-sitter. Comme nous avions besoin d'une gardienne pour vendredi soir, Ann fit le tri des annonces et en nota une placée là par une étudiante de 21 ans résidente de notre ville qui était prête à faire du baby-sitting pour de l'argent de poche. Ann l'appela et demanda à la rencontrer le lendemain au club afin de discuter de la garde des enfants.

    Sachant que nous n'avions pas recours au service des baby-sitters locales et que la plupart des couples de notre quartier avaient de bien plus jeunes enfants, Ann voulait se montrer prudente dans son choix de celle que nous inviterions chez nous pour garder les enfants de Beth. La candidate gardienne, Katherine, rencontra Ann après les cours et toutes deux passèrent un long moment à papoter durant leurs exercices. Après une douche rapide, Ann rentra à la maison, confiante que Katherine ferait parfaitement l'affaire.

    J'étais déjà habillé lorsque la sonnette de la porte d'entrée résonna. Je l'ouvrais pour me trouver face à face avec une blonde souriante. Katherine était adorable. Le temps était un peu froid et elle portait une veste légère, un chandail de son université et des jeans serrés sur sa silhouette élancée. Je l'invitais à entrer et humais un peu du parfum Tommy Girl que Ann portait quand elle était plus jeune. Je pris sa veste et notais à quel point elle remplissait à la perfection ses jeans qui, d'accord avec la mode du moment, étaient stratégiquement élimés de façon à offrir la vision d'une once de peau sur la cuisse et le genou.

    Ann entra dans la cuisine, superbe dans une robe bourgogne qu'elle avait acheté pour l'occasion. Elle dit à Katherine, qu'elle avait déjà commencé à appeler Kath à la demande de celle-ci, de faire comme chez elle. « Nous devrions rentrer tard. Il y a à manger dans le frigo, des sandwiches et si tu veux, tu peux te servir un verre de vin et regarder un DVD, » dit-elle en saisissant son manteau. « N'en fais pas trop, » ajouta Ann en souriant comme nous nous disions au revoir.

    Alors que nos compagnons se jetaient sur les boissons, les apéritifs et les distractions, Ann et moi trouvions la fête quelque peu terne. Nous échangeâmes des plaisanteries avec nos collègues de bureau et écoutèrent le président faire un discours de dix minutes pour nous expliquer à quel point ce contrat était une bonne nouvelle pour notre organisation. Mais ces derniers temps les fêtes de bureau, qui représentaient autrefois une source importante de distraction pour nous, n'arrivaient plus à nous satisfaire. Ces dernières années nous avions tous les deux commencé à explorer une part plus sombre de nos personnalités que nous avions jusque-là ignorée.

    Jusqu'à il y a deux ans nous étions assez naïfs quant au sexe, du fait que nous avions partagé la quasi-totalité de notre expérience sexuelle. Maintenant nous étions tous deux des bisexuels confirmés qui appréciions d'être dominés. J'avais été le premier à me lancer lorsqu'un autre homme m'avait séduit. Je n'avais jamais réfléchi à l'idée de faire l'amour avec un autre homme et avait souvent ri des blagues sur les gays. Maintenant je découvrais que j'appréciais de me mettre à genoux devant un mec ou de me prendre une bonne bitte dans le cul.

    A regret, j'invitais Ann dans ce style de vie et elle ne regarda plus jamais en arrière. Je craignais sa réaction, mais nous découvrîmes que nous appréciions tous deux une certaine variété de sexe dans notre vie. Initialement, Ann voulait être soumise à un noir nommé Mark dont j'avais fait la connaissance sur Internet. Mark passa une bonne partie de cette année là à nous dominer tous les deux et à nous présenter à de nombreux amis et partenaires féminines qui nous utilisèrent souvent pour satisfaire leurs désirs sexuels.

    Nous lui étions tous deux soumis et Mark nous avait frappé de sa « marque » comme étant sa propriété en perçant mes tétons et en faisant tatouer ma femme. Je fus choqué lorsqu'elle accepta d'avoir un symbole Chinois signifiant « esclave » tatoué sur son sein droit et un tatouage tribal dans le bas de son dos. Ce qui me fit vraiment tomber par terre fut les lettres capitales noires disant « Garage à bite de Mark » placé juste au-dessus de son minou rasé. Les inscriptions permanentes ne laissaient aucun doute sur le fait que nous ne reviendrions jamais en arrière vers le style B.C.B.G que nous avions mené autrefois.

    Même si nous retrouvions encore de temps en temps Mark et ses amis, nous nous sommes mis récemment à fréquenter des clubs échangistes avec d'autres couples. Ann aime particulièrement se retrouver avec d'autres femmes et a encore tendance à prendre le rôle de la soumise. Rien d'étonnant alors que nous voyions cette réunion de bureau comme l'équivalent du désert de Gobi. Nous partîmes lorsque nous fumes certains d'avoir bien porté des toasts en l'honneur de chacun puis partirent pour un dernier verre dans un club local. Nous dansâmes un peu ensemble tout en observant les autres couples dans la salle, nous demandant s'il y avait là une occasion à saisir avant la fin de la soirée. Après quelques verres sans voir quoi que ce soit d'intéressant, Ann suggéra que nous rentrions à la maison. Elle se serra contre moi, mordillant mon oreille en me disant qu'elle voulait une bonne bite bien dure dans sa chatte. Je sentis la main d'Ann glisser vers mon entrejambe, s'arrêter pour palper mes bijoux de famille sous la table. Sans plus attendre, j'appelais notre serveuse et payait rapidement notre facture.

    Comme nous nous engagions dans l'allée, Ann me rappela que nous n'avions plus de céréales pour les enfants. « Nous avons également besoin de lait et tu pourrais aussi bien prendre de la bière pour tes matchs de demain, » dit-elle en me rappelant les parties de football Américain du samedi qui retiendraient mon attention l'essentiel de la journée. « A ton retour, je serais prête pour toi. Ne sois pas trop long, » murmura-t-elle comme elle s'emparait à nouveau de mon entrejambe puis elle ouvrit la portière et se glissa au dehors en laissant ma bite enfler dans mon pantalon.

    Ann se glissa dans le garage en essayant de ne pas faire de bruit afin de ne pas réveiller les enfants. Elle pénétra dans la cuisine et entendit des voix venant du niveau inférieur. Lorsqu'elle entendit ma voix en arrière-plan d'autres voix elle sut que Katherine avait découvert notre réserve de films amateurs. Nous réaliserions par la suite que j'avais regardé un DVD et que je l'avais laissé dans le lecteur. Au début Ann se demanda ce que Kat devait penser de nous deux - qu'avait-elle déjà vu? Les DVDs étaient remplis de rencontres échangistes au cours desquels nous satisfaisions d'autres couples, nous soumettant à d'autres - noir, blanc, homme, femme. Ann ne pouvait imaginer ce que Kat devait penser.

    Comme elle franchissait le coin, elle détecta de doux soupirs s'élevant par-dessus le son de notre chaîne HI-FI. Les lumières étaient tamisées mais Ann vit les jeans de Kat répandus sur le sol. Contournant le canapé elle vit que les yeux de Kat étaient fermés alors qu'elle avait une main enfouie sous son string rose et que l'autre fouillait dessous son chandail. Ann savait qu'elle aurait du s'annoncer. Peut-être se retirer afin de laisser à la jeune fille une chance de se remettre. Mais avec son excitation et à la vue de cette chair délectable devant elle, elle sut qu'elle voulait la prendre. Ann ne réfléchit pas longtemps avant de murmurer, « Kat... Je vois que tu apprécie nos films. »

    Katherine sursauta et agrippa nerveusement le couvre-lit qui enveloppait le canapé. L'horreur qui se lisait sur son visage en disait long alors qu'elle recherchait frénétiquement du regard l'endroit où elle avait jeté ses jeans. « Tout va bien ma chérie. C'est à ça que les films servent... à se détendre... c'est tout naturel. Je ne voulais pas t'interrompre. »

    « Je... euh... Je suis désolée. Je n'étais pas ... Je veux dire que je ne voulais pas fouiller dans vos affaires. Ce DVD se trouvait là et j'ai du appuyer sur « play » et... »

    Ann la rassura à nouveau. « Kat, je ne suis pas en colère. De fait, je me sens plutôt excitée moi aussi. Ça ne te dérange pas si je me joins à toi? » Sans attendre sa réponse Ann se laissa tomber sur le canapé en ne laissant entre elles qu'une distance minimale. Ann retira ses chaussures et les repoussa sous elle comme elle s'installait. « C'est une fête à laquelle nous avons participé il y a environ deux semaines, » reprit Ann comme les yeux de Kat étaient à nouveau fixés sur l'écran.

    « Vous voulez dire que vous y étiez? » La surprise s'entendait dans la question.

    « Plus que ça, ma chérie, ce type qui te tourne le dos en baisant la brune est Larry, » répliqua Ann.

    Les yeux de Kat s'arrondirent alors qu'elle regardait l'écran. Alors que l'on ne pouvait voir mon visage, ma queue glissait d'avant en arrière dans la femme brune qui avait ses jambes enroulées autour de mes épaules. Pendant qu'elle répondait à mes assauts, un autre type rampa jusqu'à elle, lui pencha la tête et amena sa bouche vers sa queue turgescente.

    Kat avait lâché le couvre-lit. Même s'il recouvrait encore la plus grande partie de sa ligne élancée, une portion de sa cuisse était maintenant visible.

    Ann vit le verre de vin presque vide sur la table et se demanda si Kath en avait eu assez pour se désinhiber. « Alors, tu m'as dis que tu avais un petit ami, n'est-ce pas? » Kat hocha la tête lentement de haut en bas tout en continuant à fixer l'écran. « J'imagine que vous avez eu des rapports sexuels? » continua Ann.

    « Ouais, je veux dire, rien comme ça, » ajouta Kat. C'est le seul mec que j'ai jamais eue. J'ai fréquenté des garçons au lycée mais je n'ai jamais laissé personne me toucher avant Danny. »

    « Il en a de la chance, » lui assura Ann tout en s'enhardissant à tendre la main et toucher du doigt la cuisse exposée sous le couvre-lit. Les yeux de Kat furent immédiatement attirés vers cette main mais ne se détournèrent pas. Constatant que Kat n'avait pas peur d'elle, Ann poursuivit ses avances. « J'ai remarqué au club de gym à quel point ton corps est ferme, » continua-t-elle comme son doigt traçait des cercles sur la douce cuisse de Kat. « Tu es vraiment très jolie. »

    Kat sembla rougir légèrement avant que ses yeux ne lui sortent de la tête comme elle regardait fixement l'écran devant elle. Il n'y avait aucune erreur possible. Là, à l'écran, se trouvait Ann se glissant entre les jambes d'une autre femme. La femme agrippant de ses doigts les cheveux blonds d'Ann comme sa langue lui léchait la chatte. « Est-ce que ça te choque, Kat? » s'enquit doucement Ann, sentant la jeune fille se raidir sous ses doigts.

    « Je n'ai jamais vu deux femmes ensemble... et jamais je n'aurais imaginé... » ânonna Kat avant que Ann l'interrompe. « Que je puisse aimer les femmes? » répondit Ann. « J'aime les hommes et les femmes, ma chérie. Ne te méprend pas sur moi. J'aime la sensation d'une bonne queue bien dure mais parfois rien ne vaut le contact d'une autre femme. » Ann continua : « Alors, tu n'y avais jamais pensé? » Kat la regarda avant de ramener son regard sur l'écran où Ann glissait ses doigts dans le sexe humide de la femme, son visage enfoncé dans sa chatte.

    Ann décida de poursuivre son avantage, soulevant lentement le couvre-lit, exposant les jambe nues de Kat. Kat se raidit et enfonça ses doigts dans le canapé mais ne fit aucun effort pour se couvrir. Ann continua ses avances, glissant sa main légèrement par-dessus sa jambe, voletant de son genou à sa hanche. « Je peux te donner beaucoup de plaisir, ma chérie. J'aimerais te donner plus de plaisir que tu n'en as jamais ressentie auparavant, » dit Ann doucement alors que Kat fermait les yeux et se détendait à son contact. « Veux-tu que j'arrête? Je ne ferais rien que tu ne veuilles que je te fasses » dit Ann comme Kat ouvrait lentement les yeux et fixait son tendre regard.

    « Je ne sais pas. Je n'ai jamais rien fait de tel. Je ne sais pas quoi faire, » dit Katherine doucement.

    « Laisse toi aller et laisse moi faire. Je te promet que tu adoreras, » la rassura Ann. Ann se pencha et pressa doucement ses lèvres sur le cou tremblant de Kat. Ses mains continuèrent à effleurer l'intérieur de ses cuisses, en direction de la petite chatte de Kat. Elle toucha le mont de Vénus, ressentant l'humidité qui s'était déjà formé dans la fente. Ann embrassa à nouveau son cou, suçant tendrement avant de revenir le long de son visage vers ses lèvres charnues. Les lèvres de Kat tremblèrent lorsque Ann y planta un doux baiser puis un autre avant d'y aller plus fort.

    Sa langue dansa sur ses lèvres et puis doucement et ensuite plus vivement, elle pénétra dans sa bouche brûlante. Lorsque Ann sentit la langue de Kat, elle passa la sienne sur, puis sous, celle-ci tout en poussant doucement un doigt dans le minou de Kat. Elle sentit les jambes de Kat s'ouvrir pour lui accorder un plus grand accès alors qu'elle massait de son pouce la petite bande de gazon jaune juste au-dessus de son clitoris.

    Ann sut qu'elle avait gagné lorsque Katherine commença à entremêler sa langue avec la sienne et elle sentit la chatte de Kat pousser contre ses doigts en pleine exploration de celle-ci. Kat gémit et Ann massa son clitoris de son pouce, imprimant à ses doigts dans sa chatte un mouvement de va-et-vient. Ann retira ses doigts et les ramena entre leurs deux bouches. Kat entrouvrit les yeux en réalisant que les jus qu'elle goûtait avec Ann provenaient de sa propre chatte. « Bon dieu, ma chérie, » ronronna-t-elle. « Tu es trempée et tu goûte tellement bon. J'en veux aussi. Je peux te brouter, chérie? Est-ce que je peux descendre explorer ton petit minou brûlant? » Comme Kat continuait à gémir sous ses caresse, Ann n'attendit pas une réponse.

    Ann se laissa glisser par terre jusqu'à se retrouver à genoux, elle planta des baisers su les cuisses de Kat avant d'embrasser langoureusement les replis de sa chatte. Elle sentait bon et

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