Systematologie: Comment comprendre la nature écologique, les écosystèmes et le cerveau à partir du système solaire mystérieux

Par Christophe Tedje

Le livre d’or, livre des grandes valeurs humaines, la richesse immuable et absolue, la destinée de l’homme évolutif, homme de sens ou de sciences.

Autrement dit, la technologie se développe avec tous ces énormes besoins matériels, mécaniques, miraculeux et massifs ; puis la science se meurt avec tout son bien-être mystérieux. Ainsi, l’homme d’aujourd’hui dit homme moderne se déshumanise du jour au jour et devient une catastrophe humaine dans son milieu naturel aussi confronté à de nombreuses catastrophes écologiques dévastatrices. Nous allons difficilement de catastrophes humaines en catastrophes écologiques désastreuses.

La situation est chaotique, très critique et surtout alarmante avec tous les mortifiants consommés. En vue de cela, nous souhaiterions rebâtir un monde nouveau et meilleur sans victime ni victimaire. Parce que notre monde actuel, dans son ensemble touché est victime de la pauvreté mentale ; voire le cauchemar mondial, échec ou confusion totale, le chaos, la chute libre de l’intellectualisme fondamentale et de toutes les grandes valeurs humaines établies. C’est-à-dire, l’humanité entière a perdu le contrôle exact de la vie réelle, ni repère, ni bon sens, ni boussole orientale, ni horloge, ni tête cérébrale, ni cerveau, ni raison, ni réflexion, ni conscience, etc… Tout simplement à cause du ventre facile lié aux guerres intestines rivalisées férocement.

Dans ce cas, nous faisons appel à toute l’humanité (rois et reines, princes et princesses, gouvernants et gouvernantes, forces armées, organismes internationaux, ONG, hommes de média, population mondiale, habitants de la terre) de revenir aussitôt que possible à la conscience universelle ou à la réalité naturelle avant qu’il ne soit trop tard. Car, la vie nous appelle à son grand âge néolithique pacifié.




À PROPOS DE L'AUTEUR



Christophe TEDJE, humaniste et philosophe, citoyen du monde et chercheur (défenseur des devoirs humains). Porte-parole des grands savants jésuites philosophes grecs antiques immortalisés.

• Langue: Français
• Éditeur: Publishroom
• Date de sortie: 7 déc. 2023
• ISBN: 9782384547272

Aperçu du livre

PENSEE DU JOUR ECOLOGIQUE

COMMENT COMPRENDRE LA NATURE ECOLOGIQUE, LES ECOSYSTEMES ET LE CERVEAU HUMAIN A PARTIR DU SYSTEME SOLAIRE MYSTERIEUX ?

La science ou la sagesse n’est pas une révolte mais une révolution. Il faut révolutionner la terre des hommes avec la science de la vie et non la révolter avec des histoires illusoires et imaginaires catastrophiques sachant ben que toute histoire rend hommage à travers le vécu ; mais la science glorifie, contemple, vénère, célèbre, magnifie la nature ou l’univers à travers la connaissance vivante et puis fait place à la conscience, à l’esprit et à la lumière naturelle dans le temps et dans l’espace. C’est-à-dire, toute évolution mentale s’acquiert et se pratique de façon scientifique, naturelle et civilisationnelle et non de façon historique, ni sociale ni traditionnelle ni archaïque.

En vue de cela, nous devons retenir chaque jour que la nature, l’univers ou Dieu fait, que nous devons nous sentir bien, léger ou apaisé à travers l’apparition de son firmament mystérieux dans le ciel ; cela suscite une analyse profonde liée à une haute étude de connaissance ou de compréhension en rapport avec les réels sens de l’école, de l’écologie, de l’économie, de l’observation, de l’orientation, de la fondation ou de la transformation de tous les phénomènes.

Pour ce faire, nous devons tous comprendre que la seule et unique erreur de la nature, c’est créer un être noir à vide culturel. C’est la raison pour laquelle, la même nature demande aux hommes de corriger immédiatement toute erreur, avant qu’elle ne soit profonde, grave ou fatale.

Comme dit un adage : l’erreur est humaine à condition qu’elle soit corrigée dans l’immédiat car, accumuler les erreurs, c’est semer la terreur ou le trouble aussi appelées les faiblesses, l’anarchie ou la guerre chaude. Qui corrige soigne, traite, éduque, transforme, ajuste, assagit, raffine, adoucit, rafraîchit, ordonne, valorise ou positivise, etc…

Corriger : c’est combattre ou couper respectivement tout risque gênant ou erroné au nom des soins ou des traitements des maux ou des faiblesses. Corriger, c’est soigner ou traiter.

Soins : soyons naturels, normaux, neutres, sains, sensés, sensibles, simples, sérieux et sincères pour le salut de toutes nos âmes générées.

Se soigner : soyons généreux, gais, gratifiés ou gestionnaires de la nature écologique et économique respectivement ou de manière réfléchie, rationnelle ou résolue.

Déductivement, la nature corrige, soigne, traite, transforme positivement et libère mais ne condamne pas ou ne pénalise pas non plus.

Alors, qui sème la générosité ou l’humilité récolte la conscience tranquille, la santé vitale ou longévité.

En revanche, qui sème le vent récolte la tempête douloureuse. C’est pourquoi, la nature a horreur du vide ou de l’avidité.

Pourquoi remplacer la nature écologique ou vitale par des choses inertes, non vivantes, chimériques ou passives qui ne respirent pas au détriment de celles qui respirent ou qui donnent vie, dites actives ou vivantes. Dans ce cas, pourrions-nous respirer dans les jours à venir sans système respiratoire, dit la climatisation universelle ou l’air frais ? Alors, comment distinguer le monde cognitif du monde incognitif ? (cognito ou incognito).

AVANT PROPOS

Le livre d’or, livre des grandes valeurs humaines

pourquoi livre d’or ?

Le livre d’or, livre des grandes valeurs humaines, la richesse immuable et absolue, la destinée de l’homme évolutif, homme de sens ou de sciences.

Autrement dit, la technologie se développe avec tous ces énormes besoins matériels, mécaniques, miraculeux et massifs ; puis la science se meurt avec tout son bien-être mystérieux. Ainsi, l’homme d’aujourd’hui dit homme moderne se déshumanise de jour en jour et devient une catastrophe humaine dans son milieu naturel aussi confronté à de nombreuses catastrophes écologiques dévastatrices. Nous allons difficilement de catastrophes humaines en catastrophes écologiques désastreuses.

La situation est chaotique, très critique et surtout alarmante avec tous les mortifiants consommés. En vue de cela, nous souhaiterions rebâtir un monde nouveau et meilleur sans victime ni victimaire parce que notre monde actuel, dans son ensemble touché est victime de la pauvreté mentale ; voire le cauchemar mondial, échec ou confusion totale, le chaos, la chute libre de l’intellectualisme fondamentale et de toutes les grandes valeurs humaines établies. C’est-à-dire, l’humanité entière a perdu le contrôle exact de la vie réelle. Elle n’a ni repère, ni bon sens, ni boussole orientale, ni horloge, ni tête cérébrale, ni cerveau, ni raison, ni réflexion, ni conscience, etc… Tout simplement à cause du ventre facile lié aux guerres intestines rivalisées férocement.

Dans ce cas, nous faisons appel à toute l’humanité (rois et reines, princes et princesses, gouvernants et gouvernantes, forces armées, organismes internationaux, ONG, hommes de média, population mondiale, habitants de la terre) de revenir aussitôt que possible à la conscience universelle ou à la réalité naturelle avant qu’il ne soit trop tard car, la vie nous appelle à son grand âge néolithique pacifié.

INTRODUCTION

LES MYSTERES DU CIEL ET DE L’ATOME

(GENESE ET COSMO-GENESE)

« LA SYSTEMATOLOGIE » : étude de l’écosystème, des systèmes phénoménaux ou phénomènes mystérieux dits faits naturels.

En effet, cette vaillante étude scientifique met en évidence l’immatériel, l’immatérialisation, l’immatérialisme incorporé.

C’est-à-dire, la systématologie étudie en grands termes les systèmes immatérialisés et incorporés de façon phénoménale. Voici en bons termes une grande et nouvelle innovation scientifique de haute qualité et de haut niveau exercé par les savants « systématologues » ou systématiciens qui doit permettre la mise en œuvre des systèmes éducatifs, économiques et sanitaires méconnus.

Entre autres, la systématologie met en évidence ou traite les sujets fondés et fondamentaux de fond intérieur, de fondement, de fondation et de fondateur par rapport à la connaissance ou à la compréhension de la nature écologique. Cela revient à dire que la nature écologique mettant en évidence les écosystèmes, précisément le système solaire, traite uniquement des sujets de fond intérieur contrairement à toute société qui traite des sujets de forme, de formation, de formateur, d’information et d’informateur à l’appui du formel et de l’informel.

C’est la raison pour laquelle, l’humanité confond encore à travers les universités académiques les mécanismes formels et informels avec les systèmes phénoménaux fondés sur le fondamentalisme. Voilà où la systématologie a vu le jour pour permettre à l’homme moderne de systématiser ou activer son cerveau dit système central au-delà de sa mémoire mécanique.

Comment comprendre cela ?

Comme il est écrit : Dieu, l’inconnu X à travers son équation mystérieuse créa ou fonda le ciel et la terre.

Nous définissons Dieu de façon systématique ou scientifique.

Dieu : DI du grec deux ; E espace ; U universel

Dieu signifie en bons termes scientifiques ou naturels deux espaces universels à discerner ou à distinguer en fonction des écosystèmes tels le ciel et la terre.

Voici d’où sont partis les grands fondements de l’étude de l’univers aussi appelés culture savante ou philosophie naturelle entreprise par les grands savants passés et présents.

D’où, le ciel et la terre sont des créations, fondations, créativités ou créatures phénoménales ou mystérieuses. Comment ont-ils été créés ou fondés au nom du mystère ?

Créer : concrétiser ou concevoir une réalité exceptionnelle et remarquable au nom de l’existence. C’est-à-dire, le ciel et la terre sont des phénomènes existentiels, réels, conceptuels, immatérialisés et incorporés.

Fonder : faits ondés, ondulés et réalisés de façon mystérieuse et merveilleuse. C’est-à-dire, le fondamentalisme est uniquement basé sur la réalité des ondes phénoménales appelées les faits naturels systématisés. D’où, le fond intérieur met en évidence les ondes naturelles ou universelles aussi appelées les écosystèmes.

Eco : énergie courante, contrôlée, conventionnelle, conceptuelle ou continue. C’est-à-dire, les ondes constituent naturellement toute énergie courante émise par l’atome systématisé au nom du système solaire. Cela revient à dire que le système solaire ondé ou ondulé et l’atome vont de pair dans la systématisation des faits naturels.

« La terre était informe et vide » ; voire un phénomène imparfait. « L’abîme couvrait toute la surface de la terre » au nom de la pression gazeuse ou atmosphérique autrement appelée la couche azotée, l’azote ou la pesanteur.

Azote : A, du grec absence ou privation (privation de zone tempérée dite intempérie ou la non-tempérance, magnétisme, force magnétique, géomagnétisme ou géothermie). C’est-à-dire, la pression gazeuse ou atmosphérique reste un phénomène imparfait qui détermine la source de toutes les intempéries ou catastrophes naturelles symbolisant la terre, le vide, le vent et le néant lié au géomagnétisme ou à la géothermie. En un mot ou en bons termes, la terre signifie géomagnétisme ou la géothermie liée à la pression atmosphérique ou gazeuse intempérée.

« L’Esprit planait au-dessus des eaux » ; voici un des plus grands phénomènes mystérieux que l’humanité ne comprend absolument pas. Comment planait l’Esprit sur les eaux ?

L’Esprit : phénomène parfait qui visionnait (contrôlait, supervisait, sécurisait, surveillait ou veillait) au nom de l’ange gardien. C’est-à-dire, l’Esprit n’a pas été créé mais engendré dans le but de superviser tout l’univers et empêcher la pression gazeuse, géomagnétisme ou géothermie de déborder ou de dégénérer en catastrophe naturelle dévastatrice. D’où, l’Esprit est visionnaire ou futuriste dans le but de protéger ou restaurer l’univers au nom de la rédemption ou de la gloire appelée l’ordre universel.

« Que la Lumière soit et la Lumière fut » ; désormais Dieu crée un firmament comme une ordonnance phénoménale permettant d’éclairer ou d’énergiser positivement toute la terre, toutes les créations, toutes les créativités ou créatures phénoménales en énergie courante et contrôlée aussi appelée énergie solaire ou système solaire.

« Dieu sépara la lumière des ténèbres. Il appela la lumière : « jour » ou « soleil blanc » et les ténèbres : « nuit » ou « soleil noir ». Il y eut un soir, il y eut un matin. Ce fut le premier jour » ; comment comprendre les mystères des ténèbres et de la Lumière ? Le soir précède la nuit au nom du coucher du soleil (la tombée de la nuit).

Soir : temps sombre ou le ciel assombri

Soir : signe d’obscurité (obstacle, oblitération ou obsession), signe d’invisibilité, d’inexistence, d’irréel, d’impureté ou d’insuffisance (illusion, inversion, injustice, insécurité, ivresse, insensibilité, inégalité, illégalité, indignation, irrégularité, indiscipline, ingratitude, infertilité, infériorité, ingérence, impuissance, etc…), signe du retro (rêve, remords, regrets, risques, régression, retards, rétrogradation, répression, représailles, etc…) précédant la nuit : nuisance terrifiante ou terrible ou nudité invivable, insupportable ou tensorielle.

La nuit, c’est tout ce qui est nu, nul, néant, ennuyant, nuancé, négatif, nuisible, vide, à rien, de rien, naïf, nocif, néfaste, dangereux, douloureux, néophyte, crétin, corrompu ou décomposé (l’accusatif, la médiocrité, le medium ou le mythe).

Retro : retour en arrière, marche arrière ou tourner en rond.

Le coucher du soleil : cliché noir ou carboné ou cliché de l’irréalisme ; couverture de la couche hostile (énergie expiratoire, échappatoire ou répressive) au nom de la fermeture d’Esprit ou l’échappatoire de la Lumière. D’où, en grands termes, les ténèbres signifient fermeture d’Esprit ou l’échappatoire de la Lumière symbolisant le mal ou la mort entraînant le retour en arrière, la marche arrière liée à toute régression ou tout retard.

Mal : manque de Lumière ni loyauté, ni longévité, ni ligne de conduite, ni liberté au nom de la désorientation obscure ou mortelle.

Mort : mal originel terrifié ou ténébreux

Ténèbres ou fond intérieur noir : temps négatifs, nuisibles, nocifs, basé sur le rétro (activité rétrospective) ;

Spectre : phénomène fantomatique et monstrueux lié au milieu des fantômes et des monstres aussi appelés couramment les revenants ou les extraterrestres à travers le mythe, la mythomanie ou la fiction.

Les ténèbres sont liées aux êtres tarés ou attardés qui n’ont pas encore vu le jour confrontés au soleil noir, au coucher du soleil ou à la fermeture d’Esprit ; temps de rétrogradation ou de régression aussi appelé le spectre, œuvre fantomatique ou monstrueuse.

Les ténèbres déterminent une activité rétrospective aussi appelée les forces magnétiques liées au géomagnétisme à la géothermie massive. C’est-à-dire, la terre subit la pression atmosphérique magnétisée.

NB : il est à noter que toutes les différentes couches atmosphériques imaginaires et imaginées de façon géographique sont émises par le soleil noir ou par le coucher du soleil aussi appelées ténèbres ou forces magnétiques, voire la source de toutes les catastrophes naturelles en cas de dégénération ou de non-contrôle de l’énergie courante.

C’est la raison pour laquelle est apparue la Lumière naturelle ou cosmique au nom du jour ou du soleil blanc. Le matin précède le jour au nom du lever du soleil.

Matin : manière d’activer la tempérance ou l’inspiration aussi appelée le temps d’interrogation ou l’interrogatoire lié au jour. C’est-à- dire, nous devons nous interroger en toute circonstance lorsqu’il fait jour. D’où venons-nous pendant la nuit ? Où allons-nous pendant le jour ? Qui nous fait dormir pendant la nuit ? qui nous réveille lorsqu’il fait jour très tôt le matin ?

Toutes ces questions nous renvoient à une école fondamentale. Et les réponses à toutes ces questions sont appelées la vie. C’est-à-dire, la vie est une réponse aussi appelée le jour ou la réalité.

Jour : jubilé ouvert à la réalité, à la révolution, à la résolution, au respect, à la réflexion, à la raison, au rayonnement ou à la remarque au nom du lever du soleil ou de l’ouverture d’Esprit. Le jour permet de voir la Lumière appelée la réalité donnée symbolisant le courant de la Lumière, la vie courante, symbole du bien, du bon ou du beau. C’est-à-dire, seul l’Esprit ou la Lumière aussi appelée le temple demeure dans notre univers bien, bon et beau en tant que la meilleure marque phénoménale qui nous renvoie au respect et à la remarque.

Qu’est-ce que le respect ou la remarque en bons termes ?

Respecter, c’est voir le jour comme réalité ou faire une bonne remarque au nom de l’interrogation, de l’observation, de l’objection, de l’obligation ou de l’obéissance. C’est-à-dire, il faut remarquer la Lumière en tant que mystère courant au nom de la vie courante pour respecter ou être en harmonie avec toute la nature écologique ou tous les écosystèmes fondés et fondamentaux.

Respect : ré – spect

Spect provient du mot spectre. Respecter, c’est remédier à toute activité rétrospective (œuvre fantomatique, monstrueuse, animosité ou le règne animal au nom du mal) ; c’est renoncer, réduire ou renier le spectre aussi appelé les états animaux, l’animosité, l’animalité, le règne animal qui dégage la chaleur animale. C’est-à-dire, le respect du jour nous permet d’humilier ou de neutraliser le spectre appelés les états animaux tels l’orgueil, la