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LES PROMENADES D' 1 ZÈBRE: Mélange subtil de poésies atypiques
LES PROMENADES D' 1 ZÈBRE: Mélange subtil de poésies atypiques
LES PROMENADES D' 1 ZÈBRE: Mélange subtil de poésies atypiques
Livre électronique74 pages35 minutes

LES PROMENADES D' 1 ZÈBRE: Mélange subtil de poésies atypiques

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À propos de ce livre électronique

Noël BARKLEY nous emmène dans son univers particulier de zèbre attitude.
Revisiter la poésie qui a perdu quelques plumes et lui permettre de prendre un nouvel envol par sa légèreté et sa fluidité.
C’est ainsi que dans des récits imagés, des figures de styles et de la gymnastique des mots tout en arborescence, il vous tient en haleine tout au long de ce recueil, vous y accueille avec sa magie et sa finesse.
Le simple Fer à repasser est en mission exceptionnelle, vous vous attachez à de banals Lacets. Il se promène avec aisance verbale dans toutes les aires cérébrales. Sans oublier l’humour et l’amour sous toutes ses formes.
Ce livre vaut le détour, une autre dimension de l’infini dans le cerveau mystérieux d’un surefficient.


LangueFrançais
ÉditeurPublishroom
Date de sortie29 juin 2023
ISBN9782384545261
LES PROMENADES D' 1 ZÈBRE: Mélange subtil de poésies atypiques

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    LES PROMENADES D' 1 ZÈBRE - Noël BARKLEY - BNC-

    LE FER À REPASSER

    J’avance, je recule

    Je vais, je viens, sur son torse je circule

    J’allume ma petite torche, quand c’est rouge je suis excité

    Je suis bouillant de plaisir je dégage des vapeurs enchantées

    C’est chaud, très chaud, il faut y aller.

    Je caresse les bras, je glisse sous les aisselles

    Je fouine mon nez dans les creux sans faire de zèle

    Je fais en sorte qu’elle n’ait pas des plis chez elle

    Je la tourne, j’admire l’étendue de son dos zébré de couleurs harmonieuses

    Je me balade de gauche à droite sur ses fesses vaporeuses

    C’est doux, c’est frais c’est délicieux

    Une explosion de vapeur vient envahir mes yeux

    Je remonte lentement ma large palme le long de sa colonne

    Les vertèbres sans se sourciller, se redressent monotone

    Elle a des épaules de dieux grecs

    Un cou de vieux steak

    Que je caresse plus longtemps pour tenir droit

    Elle accepte de se plier en quatre pour le bonheur d’un ayant droit.

    LE FER À REPASSER

    Elle me supplie de la tourner, je la déplie et la renverse sur le lit

    Elle est très sensible, elle marque vite

    Faut aller doucement sans créer de conflit

    Je la tiens par le poignet

    Elle se laisse aller

    Je la tire par le col

    Qui ne se dilate pas

    C’est parfait, on suit le protocole

    C’est tout raide, j’avance à petits pas

    Je transpire, elle m’inspire davantage

    Elle pointe sans ambages, c’est juste son langage

    Je me balade sur son corps légèrement trempé,

    Elle est séduite, mais elle joue et glisse parfois sur le côté

    Je la suis, je la retiens sans la froisser

    Je suis fair-play

    Et mon fer plaît

    C’est une femme soumise

    Juste une bonne chemise ...

    Elle grimpe sur le dos d’un cintre

    Elle se laisse porter par un prince !

    DANS LE CERVEAU

    DE SUREFFICIENT

    La suresthesie des surefficients sans cesse censurée par ces sens

    Insensés au coup de sang, qui incendie leur innocence,

    Sans en être sûr et certain de leur essence.

    Les Êtres surefficients essaient juste d’être sensés

    Même efficients à chaque instant ils se sont retournés

    Pour regarder, permanent le rétroviseur de leurs actions

    Sans s’épargner de vives réactions.

    Qui viendraient décomposer leur estime de soi,

    Déjà très fragile, tenant sur un fil de soie.

    Le soir venu, dans le creux du lit de la solitude ils s’autoflagellent

    À la recherche de défis nouvel

    Leur fameux Cerveau parallèle sur l’autoroute des idées foisonne de mille merveilles

    Au cœur des cellules connectées une particularité distinguée

    De nuit comme de veille le nébuleux ventile son arborescence aux branches

    Complexes dont les ramifications déclenchent une avalanche

    Le long des trottoirs sur la route aux multiples chaussées.

    Les neurones qui tapissent les réseaux de pensées.

    Censées leur offrir une vie aisée

    Les idées qui parfument l’encéphale se régalent

    Ce sont les invités du festival

    Mais le sort a voulu autrement le

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