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Les trois lois fondamentales: Libertés
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Les trois lois fondamentales: Libertés
Livre électronique384 pages5 heures

Les trois lois fondamentales: Libertés

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À propos de ce livre électronique

L’univers est l’ensemble des éléments essentiels qui s’étendent vers l’infini.
Ces éléments sont 3 tel la tripartite des êtres (corps, âme et esprit) : le Temps, l’Espace et le Matière. Ces éléments sont ensuite réglementé par des lois.
Des lois fondamentales qui coordonnent et régis ce système.
La première règle est celle de la liberté !
LangueFrançais
Date de sortie31 janv. 2023
ISBN9782312130255
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    Aperçu du livre

    Les trois lois fondamentales - Al Tshis Zed

    cover.jpg

    Les trois lois fondamentales

    Al Tshis Zed

    Les trois lois fondamentales

    Libertés

    LES ÉDITIONS DU NET

    126, rue du Landy 93400 St Ouen

    © Les Éditions du Net, 2022

    ISBN : 978-2-312-13025-5

    La première règle est l’exception qui confirme les 2 autres.

    À toi, Nadine TSHISELEKA IFUKA (+) ;

    À toi, Gina KUMBI-KUMBI (+)

    Ce volume en mémoire des vos oeuvres qui vous suivent.

    (Apocalypse 14 : 13)

    À vous aussi lecteurs et

    À tous libres esprits.

    Je dédie ce volume.

    自由

    ܚܐܪܘܬܐ

    Avant-propos

    Le présent projet littéraire m’avait longtemps préoccupé. Sa réalisation m’a permis de prendre conscience de mes capacités de participer activement à la construction d’une société de production du savoir et de consommation des valeurs universelles. Je me suis engagé à écrire ce livre dans un contexte de menaces par la pauvreté due à la crise multiforme que traverse la RD Congo accentuée par la pandémie Covid 19 à laquelle le monde est confronté. Une pauvreté massive aux conséquences néfastes pour notre existence et les conditions de travail. Contre vents et marées, nous voilà terminé le premier volume du livre pour lequel nous tenons à remercier nos accompagnateurs dans cette œuvre d’esprit. Je remercie d’abord mon mentor, collaborateur et Co-auteur, le Professeur Docteur Albert Tshiseleka Felha pour sa contribution très appréciable dans l’orientation, la rédaction et la correction du livre. Nos remerciements s’adressent ensuite à toute l’équipe de la Maison d’éditions pour leur collaboration dans la réalisation de cet ouvrage. Enfin, nous exprimons notre gratitude à ceux qui ont de loin ou de près participé à la réalisation du livre. Nous n’avons pas oublié nos parents ainsi que nos frères et sœurs qui nous accompagnent chaque jours.

    img1.jpg

    Introduction

    Il y a une loi vraie, droite raison, conforme à la nature, diffuse en tous, constante, éternelle, qui appelle à ce que nous devons faire en l'ordonnant, et qui détourne du mal qu'elle défend ; qui cependant, si elle n'ordonne ni défend en vain aux bons, ne change ni par ses ordres, ni par ses défenses les méchants. Il est d'institution divine qu'on ne peut pas proposer d'abroger cette loi, et il n'est pas permis d'y déroger, et elle ne peut pas être abrogée en entier ; nous ne pouvons, par acte du sénat ou du peuple, dispenser d'obéir à cette loi ; il n'est pas à chercher un Sextus Aelius comme commentateur ou interprète ; elle n'est pas autre à Rome ou à Athènes ; elle n'est pas autre aujourd'hui que demain ; mais loi une, et éternelle, et immuable, elle sera pour toutes nations et de tout temps ; elle sera comme dieu, un et universel, maître et chef de toutes choses : dieu qui est l'auteur de cette loi, qui l'a jugée, qui l'a portée ; qui ne lui obéira pas se fuira lui-même, et, n'ayant pas tenu compte de la nature de l'homme, il s'infligera par cela même les peines les plus grandes, même s'il échappe à ces autres choses que les hommes considèrent comme des châtiments. Source : Cicéron, La République, III.

    L'univers a un commencement.   Ce commencement est aperçu étant l'ÉNERGIE GÉNÉRATRICE déclencheur du « BIG BEGINNING ».

    Telle la lumière qui émane de plusieurs particules ou rayons de photons.

    Ces particules incandescentes pré stellaires à leur tour se développeront en gagnant de la masse jusqu'à la création de la diversité de la matière.

    La matière est donc le troisième élément de l'univers ensemble à l'Espace et au Temps comblant l'existence.

    Ce Primus photon, l'être suprême que nous pourrions le représenter par le moins infini (-♾️), peut-être considérer simplement étant l'antimatière hors circuit et hors logique de l'entendement matériel. Demeurant dans le monde parfait des idées, un lieu inimaginable où Il initia librement par amour son chef-d'œuvre à partir de rien (zéro). Cela fait de l'univers entier dans toutes ses dimensions, l'œuvre de cette mystérieuse conscience suprême.

    Cependant, Il établit préalablement des règles naturelles et fondamentales pour le bon fonctionnement de cet ensemble des êtres en développement.  Cela fait de cette œuvre, un concept de promotion de la conscience réglementée par des règles. Ces règles sont des notions à savoir, car elles permettent d'illuminer les sentiers des êtres ayant pour but de refléter la cohérence de ce Créateur et donc l'inexistence du hasard.

    Ces règles sont trois.

    Trois comme le passé, le présent et le futur.

    Trois comme les couleures primaires à savoir : jaune, bleue et rouge.

    Trois comme le corps, l'âme et l'esprit.

    Trois comme le grand, le moyen et le petit.

    Trois comme le sujet, verbe et complément.

    Trois comme le passé, le présent et le futur.

    Trois comme l'introduction, le développement et la conclusion.

    Trois comme le liquide, le solide et le gaz.

    Trois comme le positif, neutre et négatif.

    Le trois comme le moins l'infinie, le zéro et le plus l'infinie.

    Les humains aussi ont repris ce caractère du trois comme pilier de la plénitude dans la famille, la base de la société. Vu qu'il y a un père, une mère et des enfants.

    Dans la société, on parle de trois pouvoirs qui la réglementent (le législatif, exécutif et judiciaire).

    Il y a d'innombrables exemples démontrant et prouvant que le 3 comme entité est le symbole de la perfection et la complétude.

    Ces lois sont en fait des principes régulateurs qui régissent l'univers entier en lui donnant un sens absolu. Ces règles d'or ou fondamentales démontrent que l'univers a un mode de fonctionnement et que le chaos n'a pas de place.

    Einstein dit à son collègue physicien Niels Bohr que : « Dieu ne joue pas aux dés ». Cela veut dire que le monde et l'univers entier ont un système algorithmique et n'obéissent point au hasard et qu'en conséquence tout est calculé.

    Ce livre est donc le premier volume d'une trilogie des règles et lois absolues, intangibles et inaliénables. Ce volume est intitulé « Libertas » , il fait allusion à la première loi fondamentale de tout l'univers. La première règle d'or est celle de la liberté. La liberté est donc l'une des 3 lois fondamentales qui réglementent la convivialité et l'interaction entre les êtres pour ce voyage infini avec l'espace-temps.

    Cette première règle est donc l'exception qui confirme les deux autres principes absolus étant donné qu'elle est le principal déclencheur de l'acte.

    Ce volume est formé de 3 parties auxquelles on explique les différentes étapes de la liberté.

    La première partie est donc celle de l'amour, car la liberté n'est que manifestation de l'amour comme le corps l'est pour l'âme.

    En effet, le premier volume aborde les états de liberté tel un des principes absolu et universel obtenu depuis la nuit de temps chez tous les êtres.

    Premièrement, la liberté est la preuve d'amour qui donne du sens à la création.

    Deuxièmement, la liberté est relative à la création, faisant des êtres un ensemble des différents éléments.

    Enfin, la liberté est évolution, en d'autres termes, cela veut dire que l'évolution est cette liberté des êtres de se mettre à jour.

    La liberté est ainsi une  sorte de frontière entre êtres, d'où l'expression : « Ma liberté se limite à ma dimension infinie ».

    Cela veut dire que la liberté est bien définie et que lorsque nous sortons de ce cadre d'équité et de positivité, elle devient  libertinage, anarchisme ou pire chaos.

    Souvent, la liberté peut apparaître imprévisible, brusque, instinctive, désordonnée ou encore désorganisée, mais cela ne doit pas être vu comme un aspect négatif de la liberté, mais encore une fois comme preuve d'amour d'un Créateur pour sa création. C'est-à-dire que cette liberté reçue par amour, nous permet de faire tout ce que nous voulons.

    Mais la liberté est un pouvoir qui rime avec responsabilité.

    Eh oui, la vie est faite des libertés de choisir, mais cela demande de la conscience.

    Conscience de soi et celle des autres.

    En quelque sorte, nous pouvons dire que la liberté est le fait d'accepter l'existence de la diversité des autres tout en restant conscient de sa propre liberté. D'où ma citation en anglais :

    « One love with different actors » (un seul amour avec plusieurs protagonistes). Cela veut dire que nous sommes unis par les mêmes principes absolus, véridiques et universels qui régissent ce rapport d'interactivité.

    La liberté est donc la première loi. L'exception qui confirme les autres lois, le moteur de toute action, mais aussi de toute intention, car nous aurons toujours le choix même celui de n'avoir pas des choix.

    Liberté veut dire que tout dépend de nous-mêmes, et surtout que le bon usage de cette loi naturelle de la liberté nous permet d'avancer vers l'infini, en restant donc connecté, tout en ayant une attitude d'observateurs actifs comme le cas des étoiles. Car ces derniers sont la preuve de l'immortalité des éléments.  Démontrant donc que  quiconque respectera  les lois naturelles évoluera jusqu'à l'infini.

    PREMIÈRE PARTIE :

    Liberté, principe universel

    L’amour n’est la prioriété de personne, l’amour c’est la liberté.

    L’amour c’est maturité.

    Mendossa precieux.

    La liberté est une des trois lois universelles régulateur des êtres et de toute chose.

    Elle détaille donc chaque élément tout en permettant le libre interaction et l’inter-échange (give and take) entre eux.

    Donc la liberté individualise les êtres pour qu’ils puissent faire face à leur respectifs apports au sein de ce grand corps qui est l’univers.

    C’est pour cela que nous pouvons donc affirmer que : La première règle d’or est que « Tout est permis », cela est constatable à travers les trajectoires imprévisibles des astéroïdes apparemment chaotique mais en compensation la nature a délibérément dotée aux planètes des mesures de protection et d’autodéfense afin que la liberté n’est puisse pas se transformer en libertinage et que ce dernier ne puisse point l’emporter sur ce principe pure et primordial de la vie.

    Nous pouvons donc ajouter que comme tout est permis, tout n’est pas forcément utile.

    C’est ça la règle !

    L’univers entier est en évolution perpétuelle ou en libre transformation depuis sa matérialisation. Des galaxies, constellations et tous les systèmes stellaires se différencient par principe entre eux par des particularités, tel un terrien qui prendra du temps à s’adapter sur mars et vice versa. Cela démontre que chaque point dans l’univers est différent de l’autre. N’est-ce pas cette diversité là qui nous unit ?

    Tel le doigt d’une main qui sont diverses mais qui se concordent parfaitement en forment une force.

    Une force plurilatérale au service de tous pour l’évolution de ce dénier donné par ce Créateur mystérieux et hors cadre.

    Cela fait donc de la vie un vélo que l’on perd le contrôle lorsqu’on arrête de pédaler ?

    En vérité, la vie est faite de choix libres mais consciencieux et responsables pour nous. À l’échelle de l’infiniment grand, nous voyons que les planètes respectent les trois mouvements (rotation, translation et inversion des pôles) afin de préserver leur l’existence. Les étoiles ne s’arrêtent jamais à alimenter les planètes qui les sillonnent jusqu’à sa transformation ultime en naine bleue.

    Sa forme éternelle.

    Cela veut dire qu’à notre échelle, nous devons prendre cette liberté d’action comme une responsabilité afin de récolter des réactions positives.

    स्वाधीनता

    חופש

    img2.jpg

    Liberté dans l’univers

    L’astrologie, pseudo-science qui nous pousse à lever le nez sur ces dessins astrales formés des planètes, étoiles et satellites apparemment les plus grands et influents éléments de ce système universel.

    Les étoiles sont notamment les observateurs actifs de chacun de ces regroupements, ayant donc la particularité d’être les éléments primordiaux et promoteurs des règles fondamentales.

    Ces astres lumineux sont au centre du système avec un monopole assez absolu sur ses compagnons planètes qui ont besoin de ses faveurs. Dans notre cas,

    C’est le soleil.

    Dans la langue lingala,

    Langue bantoue parlée comme langue maternelle en République du Congo et République démocratique du Congo, et dans quelques pays voisins comme langue véhiculaire.

    On parle de Moyi qui en fait est la radical du mot BOmoyi que veut dire tout simplement : « vie ».

    Cela montre l’importance du soleil contribuant fortement à la conservation de la vie. Aussi de son rôle et de son influence dans ce système.

    Dans de l’histoire de l’humanité, ce regroupement avec le soleil au centre était associé au surnaturel et au divin ayant une grande importance sur la vie des ses astres qui abritent des êtres.

    Cette coopération basé sur des lois fondamentales et universelles,

    Fait d’eux un corps céleste ordonnée tournant d’une façon cohérente autour du soleil.

    Particulièrement, Nous sommes logiquement sous influence pour ne pas dire dépendance du trio Soleil, Terre, le troisième planète du système solaire et de sa satellite Lune, élément que les astrologues accordent une importance majeure vu qu’il influence la Terre dans l’écosystème, la force gravitationnelle, les cycles de la nature, les saisons, la migration de certains oiseaux à certains saisons, le rythme des océans dont les équinoxes, démontrant donc cette alliance entre ce trio envers aussi d’autres planètes.

    Cette union appelée les « B.A.-BA de l’astrologie » a une importante influence sur l’humanité.

    C’est là que l’astrologie eût vie !

    Un système de liberté des particuliers dans la généralité.

    Démontrant donc le libre arbitre de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Dès lors l’astrologie fut vue telle que nous considérons l’astronomie.

    Avec des différences spirituelles, métaphysique et mathématique pour l’astrologie peut-on dire et de l’informatique pour les calculs astronomiques.

    L’astrologie est donc la science qui a permis à l’humanité de pouvoir anticiper l’influence des grands astres sur nous !

    En se basant aussi sur le système animal afin d’avoir une vision assez ample et objectifs de la vie. Cela non seulement peut être vu comme un signe de respect de l’écosystème plutôt que l’égo système. Mais une compréhension véridique de notre position dans l’univers.

    Une position humilité avec une conscience universelle et l’acceptation de la liberté de tous dans l’infiniment grand et petit.

    « Vivez toujours avec la conscience de n’être inférieur à personne et avec humilité de n’être supérieur à personne. » Antonia Gravina.

    L’astrologie constata donc que non seulement que les animaux bénéficient du principe de liberté comme toute être et chose, mais qu’ils ont aussi un système propre à eux souvent lié aux variations de la lune avec une attention et sensibilité en relation avec le système astrale.

    Ce qui pouvait sembler chaotique auparavant paraissait alors réfléchi, compréhensif et logique à l’échelle planétaire. Démontrant donc que la conscience abrite chacun de nous. Que n’importe quel acte précède un effet approprié.

    « Nul n’est au-dessus de la loi. »

    L’univers dans son entièreté, des particules aux astres lumineux, en passant par les êtres vivant dans des corps célestes. Le principe du libre arbitre est un don de tous.

    Les scientifiques John Conway et Simon Kochen ont récemment constaté et prouvé la liberté des particules et donc leur l’autonomie dans l’univers. Ils ont donc prouvé par un théorème qui signifie que si nous sommes libres, alors les particules élémentaires le sont aussi.

    Que l’autonomie est l’état principal de tous sujets donc par conséquence l’influence ou l’emprise d’un élément à un autre ne peut durer éternellement. Cela ne veut dire que le fait d’influencer ou être influencer soit un acte absurde. Mais cela peut être perçu plutôt comme un signe de collaboration et d’interaction entre un élément à un autre. Telle est la collaboration multilatérale entre la Terre, la Lune et le Soleil que pendant des milliards d’années, il y a toujours cette harmonisation entre ces corps célestes. Un système efficace qui apparaît quasiment immobile, automatique et mécanique avec des trajectoires de mouvement constantes. Car la rotation, la translation ou encore l’inversion des pôles nous ont permis d’établir une relation avec le temps. On peut dire que le système solaire pousse les êtres vivants à se conformer aux règlements intérieurs. De limiter nos libertés dans nos respectives dimensions infinies sans pour autant en abuser. Abuser veut dire être expulsé d’une manière ou d’une autre. Car nous serons servi tel que nous servons.

    Et que la causalité est un fait absolu et universel !

    L’exemple le plus plausible qui me vient en mémoire est celui de la tortue. La tortue est l’espèce qui dure le plus sur cette planète en atteignant facilement un siècle. Cette durée est proportionnelle à son régime alimentaire et de sa « placidité » au sein de la vie entre les autres espèces.

    Démontrant donc que la liberté nous donne la capacité d’accomplir n’importe quelle action. Tout en sachant que cela générera une réaction en relation avec l’acte posé. Faisant de chaque action, une conséquence cohérente d’une action précédente et ainsi de suite car nous vivons les conséquences de nos actes. Aujourd’hui est une conséquence du hier qui nous permet donc de préparer le demain.

    On pourrait donc affirmer que la conscience de chaque action est la clef pour une bonne suite des événements. Lorsque les actes nous apparaissent insignifiants sur le moment mais après des semaines, des mois ou même des années, dans un autre événement nous avons la sensation de ne plus avoir le choix. Tout en oubliant que nous avons eu le choix de poser des actes conscients. L’influence est une sorte d’inclusion du petit au grand, une descendance tel les Matriochkas, les poupées russes emboîtées les unes dans les autres, telle la liberté individuelle est inclus dans la liberté universelle. Tout être dans l’écosystème a son propre cycle fini ou infini. Cela montre que le niveau d’évolution et de prise de conscience des êtres diffère les uns des autres. Les humains sont les êtres les plus évolués de l’écosystème. Avec une dimension assez élevée du libre arbitre et donc la possibilité d’influencer la Terre. Mais il reste quand-même soumis aux lois karmiques qui le châtient en cas d’abus. Nous le constatons en cas d’épidémie telle la peste qui est dû à la non-entretien de la zone occupée. Les humains ont donc cette évolution ascendante qui leur permet d’acquérir une nouvelle dimension en se rapprochant de celle cosmique.

    Actuellement, ils occupent tout l’espace terrestre sous forme de groupes d’individus. Même au sein de l’humanité, nous avons des différences spirituelles et de dimension en relation avec la compréhension et la complicité entre l’humain et le trio Terre-Soleil-Lune. Nous voyons donc un rapport entre le cycle de l’humain, individuel et cycle objectif du trio. L’éducation joue un rôle important car elle nous permet d’avoir une conscience objective de tout ce qui nous entourent. Une éducation subjective limite les capacités d’un individu à bénéficier entièrement de sa liberté, par contre une éducation vertueuse et consciencieuse nous permet de rester éveillés même en toute circonstance. La liberté est donc un facteur primaire des êtres qui s’accroît par la connaissance de soi, de l’environnement et de la conservation des vertus comme la base de décision dans chaque énigme présentés. Les humains subiront toujours l’influence et les caprices du trio Terre-Lune-Soleil jusqu’à en privant même de la liberté à la vie par différents cataclysmes ou catastrophes que seul une conscience élevée de cette liberté nous affranchira. En faisant de l’humanité, une sorte de lumière qui ne peut s’éteindre. Un phare inépuisable illuminant son sentier à l’infini.

    Libre arbitre, don divin et preuve d’amour

    « L’amour n’exige pas l’effort de l’autre mais lui donne plutôt la liberté d’en faire. »

    Pierre T

    uhuru

    الحريه

    ελευθερία

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    La liberté caractérise chaque élément de chaque état d’esprit, appartenant à n’importe quelle dimension ou forme dans l’univers. Même les étoiles plus grandes que notre soleil, obéissent à cette loi fondamentale. En effet la connaissance et l’application de ces 3 lois d’or qui réglementent permet d’ailleurs les astres lumineux de jouer un rôle important et vital aux variant êtres vivants abritent aux environs. Comme la photosynthèse pour les plantes, élément émetteur de l’oxygène important aussi pour l’humain. Cela prouve que non seulement la liberté est au-delà des intérêts particuliers mais que c’est une preuve d’amour d’un être suprême envers nous.

    Cela montre aussi que l’univers est un chef-d’œuvre déclenché par cette conscience absolue qui s’étant en toute liberté jusqu’à l’infini.

    Cette création en liberté d’évolution est donc réglée par des lois fondamentales qui démantèlent donc le chaos comme principe initial. Prouvant que l’univers est un corps structuré dans toutes ses dimensions fonctionnant autour des règles. Ces règles d’or établies par ce Créateur hors cadre et logique matérielle.

    Cet être suprême, ce premier photon qui par amour a démarré la vie jusqu’à nos jours, a toujours été un mystère. Par ailleurs, depuis l’apparition de l’homme, nous nous sommes toujours posé des questions à son sujet. Mais qui restèrent sans réponse valable.

    Nous avons alors attribué les mérites de la création aux astres lumineux et après à des êtres plus évolués que nous. Tel raconté dans d’innombrables récits antiques.

    On parlait alors des Annunakis, Elohims et autres. Des êtres vivants qui ont créé l’homme à leur propre image pour une redevance éternelle.

    Des êtres ayant une grande maîtrise des lois. Certaines mythologies ont intronisé des éléments tels que le Temps ou encore la nature terrestre en général. Le vide intersidéral n’a pas échappé aux superstitions de l’époque en le considérant donc étant le corps divin où tout était posé. On a pu affirmer que les hommes de l’époque avaient une conception polytheiste du divin.

    Une multitude de dieux rythmant le quotidien des ses sujets.

    Créant donc un monde où régnait l’ignorance et l’innocence. Que le savoir était un fardeau des scribes, sacerdoces et des demis-dieux.

    Ces demis dieux andromorphe et gynoïdes considérés comme des héros. Donc les premiers défenseurs de la liberté des humains.

    Cela est remarquable au sein de la mythologie égyptienne, grecque, babylonienne, sumérienne et autres.

    Néanmoins cela n’a empêché que la question existentielle sur l’origine de la vie puisse être étouffée. C’est lors de la structuration de ces pensées philosophiques pour une conception plus déiste que nous avons commencé à identifier le Créateur étant une force invisible et indivisible convertisseur de l’abstrait en concret.

    Observateur de son univers scénique sans pour autant y toucher.

    Mais sa participation se fait par ses lois. Que tout être est soumis.

    Même dans la chrétienté, qui ont une conception d’un monothéisme trinitaire sans pour autant hiérarchiser. En fait, la trinité est une sorte de panthéisme qui attribue ce Créateur d’être le tout, le rien et le moins que rien. Tél l’homme est le mélange du trio corps-âme-esprit.

    Donc pour la chrétienté, nous sommes donc des particules d’un Créateur immense ou infini.

    Cette philosophie monothéiste est l’un des 3 grandes religions qui prônent donc l’existence d’un seul Dieu personnel interagissant dans la dimension humaine pour leur porter des pistes de solution. Ce Créateur est non seulement protecteur mais avant tout créateur. Le judaïsme est le premier des trois. C’est la première à instaurer notamment des règles éthiques, les fameux dix commandements résumés ensuite par le christianisme par l’amour du Créateur, de soi et du prochain. In fine, l’islam avec ses lois coraniques, la charias qui s’inspire à son tour des lois et récits précédents afin d’établir une série des lois plus rigoureuses que ses prédécesseurs.

    Ces 3 religions qui se succèdent chronologiquement dans l’histoire de l’humanité, tout en absorbant usages et coutumes des civilisations antérieures telles que babylonienne, égyptienne ou encore sumérienne.

    Peut-on dire que la religion aussi n’échappe pas au principe de l’évolution ?

    « La religion est l’opium du peuple. » disait Marx Karl. En quelques sortes cela veut dire que la population accepte une religion au détriment de l’autre faisant de la religion donc une sorte d’aliment ou drogue spirituel pour un peuple en évolution perpétuelle tel le propos de Marx Karl peut signifier. Cela pousse les dirigeants religieux à une actualisation des enseignements en conformité aux valeurs afin de répondre aux besoins actuels auxquels peuvent être confrontés la population. On peut donc dire que si la religion est l’opium du peuple, ses dirigeants sont donc obligés d’augmenter la dose pour les générations à venir. Mais ces trois religions monothéistes ont été révolutionnaires grâce à la promotion de la notion du libre arbitre comme loi fondamentale acquises par les êtres vivants spécifiquement par les hommes dès le commencement.

    Une notion : le libre arbitre

    Le Le libre arbitre est la faculté qu’a tout être vivant de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser étant une particularité dans la généralité absolue.

    Caractérisant donc toute action, pensée autant même le déterminisme et le fatalisme qui affirme plus la volonté dans chacun de ses actes par la force d’intention et d’acte tel le fait d’appuyer sur un interrupteur afin d’obtenir de la lumière. Faisant du déterminisme ou du fatalisme une sorte de façade causale de la liberté qui démontrent que la liberté serait une cause qui aboutit à fortiori d’une réaction en conformité à l’acte. Cette puissance originale de la volonté, appelé le libre arbitre, dit qu’on est capable de distinguer le vrai du faux, qu’on peut déduire que le choix du faux ne peut être une intention bien voulu par un individu et en conséquence l’acte ne peut aussi être néfaste pour toujours pour un sujet comme la lune ne peut indéfiniment éclipser la lumière du soleil. Le déterminisme est un libre effort qui demande de la conscience pour que la réaction à obtenir soit autant correcte que plausible. Le fatalisme fait allusion à déterminer le juste par rapport à son absence. On peut dire donc que : « Tout est libre » et que la vie dépend donc de choix et des capacités à distinguer les vrais du faux car ton choix fatalise la suite. Que la relation entre le libre arbitre et le déterminisme est la même qu’il y a entre la science et la religion.

    Peut-on considérer que le libre arbitre est une responsabilité attribuée par la Conscience suprême afin de comprendre le sens de la vie dans la manière la plus personnelle et la plus subjective possible ?

    « One love and different actor », cela veut simplement dire que la liberté implique le fait d’avoir une perception personnelle avec le Créateur, de n’avoir plus d’intermédiaire entre le soi et la source. Prenons l’exemple du roi hébreux David qui selon les livres des psaumes (46:7), Ce roi avait là l’idée d’un Créateur Justiciers qui lui permettait de contre-attaquer ses ennemis et ceux de son royaume. Il l’appela « Éternel des armées ». En effet, l’apport de cette conception du Créateur l’aurait généré plusieurs victoires et un successeur venant de lui. La liberté est donc un principe absolu qui s’associe à un être en proportion de sa dimension et s’adapte donc à l’état d’esprit de chacun. Vu qu’un hippopotame n’est peut pas être libre de voler ou d’un poisson rouge de marcher. Cela veut dire que la liberté est unique mais que les protagonistes y sont

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