Lettres à un jeune artiste peintre
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Aperçu du livre
Lettres à un jeune artiste peintre - Pierre-Marie Gault de Saint-Germain
Pierre-Marie Gault de Saint-Germain, Charles-Nicolas Cochin
Lettres à un jeune artiste peintre
EAN 8596547431794
DigiCat, 2022
Contact: DigiCat@okpublishing.info
Table des matières
LETTRES A UN PENSIONNAIRE DE L’ÉCOLE DE ROME. PAR COCHIN.
NOTICE SUR COCHIN.
PREMIÈRE LETTRE.
SECONDE LETTRE.
TROISIÈME LETTRE.
PENSIONNAIRE A L’ACADÉMIE ROYALE DE FRANCE
A ROME,
PAR COCHIN.
AVEC UNE NOTICE SUR COCHIN,
PAR M. GAULT DE SAINT-GERMAIN,
ET DES NOTES
PAR M. GUYOT DE FÈRE.
PARIS.
AU BUREAU DU JOURNAL DES BEAUX-ARTS,
RUE SAINTONGE, No 10, AU MARAIS.
1836.
LETTRES A UN PENSIONNAIRE
DE L’ÉCOLE DE ROME.
PAR COCHIN.
Table des matières
Ces lettres, presqu’inédites, contiennent des préceptes très utiles, de la part d’un artiste qui, bien que né dans un siècle de mauvais goût, a, par ses dessins et ses écrits, donné de bons exemples et d’excellens préceptes. M. Gault de Saint-Germain, qui connut intimement Cochin, a bien voulu nous communiquer le manuscrit autographe des lettres que nous publions. Ces lettres ont été adressées à Pierre-Charles Jombert, qui avait remporté le prix de Rome en1772. Nous les faisons précéder d’une notice de M. Gault de Saint-Germain sur Cochin, qu’on lira avec intérêt.
NOTICE
SUR COCHIN.
Table des matières
COCHIN (Charles-Nicolas) est né à Paris en1715, et mort dans la même ville en1792. On a de son crayon spirituel un nombre considérable de portraits de personnages célèbres dans les sciences, les lettres et les arts. La collection en est précieuse pour l’histoire.
Cochin fut de l’Académie royale de peinture. Pour sa réception, il offrit un dessin au crayon rouge, représentant Lycurgue blessé dans une sédition. Ce précieux dessin le montra plus scrupuleux dans le style de l’histoire, et plus savant dans les usages, les costumes, l’expression des peuples de l’antiquité, que tous les académiciens de son temps.
Il est auteur d’un grand nombre de dessins pour vignettes et planches. Ils ont servi à une belle édition de Boileau, à l’ Abrégé chronologique de l’Histoire de France, par le président Hénault; à la Géométrie de Le Clerc; à l’Encyclopédie de Diderot; au Poème sur la peinture, par Lemierre; au poème de Roland, etc. On a de lui: 1o un Voyage d’Italie, ou Recueil de notes sur les ouvrages de peinture, de sculpture, qu’on voit dans les principales villes d’Italie, Paris, Jombert, 1758, 3vol. in-12; 2o Méthode pour apprendre le dessin, etc. Cet ouvrage est orné de100planches représentant les différentes parties du corps humain, d’après Raphaël et d’autres grands maîtres, et de plusieurs figures académiques dessinées d’après nature; 3o les Proportions et les Mesures des Antiques qui se voient en Italie, et quelques études d’animaux et de paysages, Paris, Jombert, 1755, in-fol.; 4o Costumes des principaux peuplesj à l’usage des artistes, contenant etc., ouvrage fait avec D’André Bardon, et rédigé depuis dans une nouvelle édition par Cochin, Paris, Jombert, 1784, 2vol. in-4o. Ce livre contient environ356planches.
Cochin a souvent travaillé avec Diderot, notamment dans l’Essai de ce dernier sur la peinture et ses observations sur le Salon de1765, ouvrage qui eut une grande vogue. Voici, à ce sujet, une anecdote peu connue.
L’impératrice de Russie, Catherine Alexiewna, ayant manifesté le désir d’avoir une idée des artistes français, s’adressa à Diderot, qui n’avait ni la connaissance ni le sentiment des beaux-arts. Diderot s’adressa aussitôt à Cochin, un de ses compagnons de table et de plaisirs. Le sel de la gaîté caustique du philosophe, uni à la science de l’artiste, qui haïssait passablement ses confrères académiciens, produisit cette fameuse critique du Salon de1765, production scandaleuse par les médisances et