L'entreprise et le bien commun
()
À propos de ce livre électronique
Comment pourrions-nous poursuivre le bien commun dans le monde du travail, alors que la plupart des entreprises demeurent rivées aux résultats économiques et à la compétitivité ? Nous considérons trop souvent le bien commun comme une jolie formule utilisée à des fins communicationnelles par quelques dirigeants des organisations contemporaines.
C'est sans doute la raison pour laquelle le bien commun dans l'entreprise est peu étudié en France, alors même que les chercheurs en sciences humaines, sociales et de gestion se confrontent désormais à la question suivante : le travailleur disposant d'une possibilité d action dans l'entreprise peut-il poursuivre le bien commun ?
Sandrine Frémeaux nous invite à l'expérience de la démarche vers le bien commun, démarche qui n'est ni réductible au souci de l'autre ni exclusivement centrée sur soi. Plus encore que l'éthique du care qui prône une responsabilité de soin à l'égard des autres, la perspective du bien commun nous aide à allier souci de l'autre et souci de soi en participant à un bien communautaire qui est tourné vers le développement humain et qui autorise le plein accomplissement du bien personnel.
Lié à L'entreprise et le bien commun
Livres électroniques liés
L'entreprise comme communauté Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationVers un leadership solidaire: La sociocratie : une nouvelle dynamique pour gérer les organisations Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationRecevoir pour donner: Relancer la dynamique du don au travail Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationBénévolat et volontariat: Mode d'emploi Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationÉthique, travail social et action communautaire Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationAction collective: Favoriser le changement, un guide pour l'action collective Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationGroupe social: Les Grands Articles d'Universalis Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationEcologisation du monde - Écologisation des âmes: Devenir sage dans un monde néolibéral Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe Developpement Conscient: Un Autre Regard Du Developpement Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa destruction créatrice: Affronter les crises au sein des mouvements et des communautés Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe Buen Vivir: Pour imaginer d’autres mondes Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationEnquête sur la culture du don en entreprise Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluation5 choix inspirants: Ouvrage pratique Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationPenser son association pour mieux communiquer: Manuel à l’usage des petites et moyennes associations Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLes intelligences citoyennes: Essai sur les Créatifs Culturels Psycho-sociologie positive des classes citoyennes Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationL'entreprise, une affaire de don: Ce que révèlent les sens de gestion Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationEcologie, bientraitance et bien commun : place et rôle des compétences émotionnelles et existentielles: Essai de psycho-sociologie positive Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationCapital social: Le capital social, forger des liens plus solides pour la réussite personnelle et sociétale Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe devoir (Fiche notion): LePetitPhilosophe.fr - Comprendre la philosophie Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Utilitarisme: Naviguer entre clarté morale et compassion, l’utilitarisme dévoilé Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationQuelle société voulons-nous? Osons l'optimisme! Évaluation : 2 sur 5 étoiles2/5Crédit Social: Libérer l’innovation économique et naviguer dans le monde du crédit social Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa VIE... QUEL MODE D'EMPLOI: L’OBJECTIVITÉ DE LA RÉALITÉ, DE LA VÉRITÉ, DU BIEN ET DU MAL Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationDécentralisation: Autonomiser l’avenir, une plongée profonde dans la décentralisation Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationUne stratégie de la cognition: Essai Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa république coopérative Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationCommunication et développement durable: Pour des pratiques plus responsables Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa gestion des entreprises sociales: Economie et objectifs sociaux dans les entreprises belges Évaluation : 1 sur 5 étoiles1/5Sens, cohérence et perspective critique en intervention collective: Dimensions fondamentales et actualisations Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationBonne coordination: Maîtriser la coordination, libérer le pouvoir de l’action collective Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluation
Corps, esprit et âme pour vous
L’initiation alchimique Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Le Satanisme et la magie Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5La Magie Sexuelle (Traduit): Un traité pratique sur la science occulte des sexes Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Savoir Lâcher Prise Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5L'art de magnétiser Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5Le Pouvoir de la Pensée Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5LE POUVOIR DU MOMENT PRESENT: Guide d'éveil spirituel Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Le Livre de la Chance (Annoté) Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5Mauvaises Pensées et autres Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLes trois piliers initiatiques d'occident Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Livre de Magie Vaudou de Louisiane : 10 Rituels Magiques des Bayous Évaluation : 3 sur 5 étoiles3/5Ce que doit savoir un Maître Maçon (Annoté): Les Rites, l'Origine des Grades, Légende d'Hiram Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5L'espace du miracle: les 7 secrets d'une vie magique Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Le livre suprême de toutes les Magies (Traduit): Des trésors cachés accessibles à tous - Magie blanche - Magie rouge - Magie verte - Magie noire Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationHackez votre Mental: Comment détourner les mécanismes cachés de votre subconscient Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Un chemin vers la Connaissance de Soi Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Les aides invisibles Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Suggestion et autosuggestion Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Histoire de la magie (Édition Intégrale : 7 livres): Avec une exposition claire et précise de ses procédés, de ses rites et de ses mystères Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLes XV Tablettes de THOTH Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5L'énergie spirituelle Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationDiscours sur la servitude volontaire Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5
Avis sur L'entreprise et le bien commun
0 notation0 avis
Aperçu du livre
L'entreprise et le bien commun - Sandrine Frémeaux
Autres ouvrages de la collection GRACE
La Blessure de la rencontre, Luigino Bruni, 2014.
L’Entreprise, une affaire de don. Ce que révèlent les sciences de gestion, Pierre-Yves Gomez, Anouk Grevin, Olivier Masclef (dir.), 2015.
L’Entreprise délibérée. Refonder le management par le dialogue, Mathieu Detchessahar (dir.), 2019.
Recevoir pour donner. Relancer la dynamique du don au travail, Pascal Ide, Bénédicte de Peyrelongue, Anouk Grevin, Jean-Didier Moneyron, 2021
L’entreprise comme communauté, sous la direction de Pierre-Yves Gomez, Florence Palpacuer et Laurent Taskin, 2022
Sandrine Frémeaux
L’entreprise
et le bien commun
nouvelle cité
Le GRACE (Groupe de Recherche Anthropologie Chrétienne et Entreprise) est un collectif non confessionnel de chercheurs qui désirent approfondir les connaissances sur l’entreprise à partir du point de vue anthropologique chrétien. Interdisciplinaire et interuniversitaire, il réunit des spécialistes en gestion, des économistes, des philosophes, des théologiens, des sociologues ou des anthropologues. L’entreprise (privée et publique) est l’objet d’étude qui fait converger ces différents regards pour comprendre comment l’homme travaille, échange et organise.
La collection du GRACE publie des recherches innovantes ou des essais qui participent au débat public afin de voir l’économie à hauteur d’homme. Elle est dirigée par Pierre-Yves Gomez.
Couverture : Lection Studio – Philippe Guitton
Illustration de couverture :
portrait de l’auteur – DR
© Nouvelle Cité 2022
Domaine d’Arny
91680 Bruyeres-le-Châtel
www.nouvellecite.fr
ISBN : 9782375823460
Ce document numérique a été réalisé par Nord Compo.
Table des matières
Autres ouvrages de la collection GRACE
Page de titre
Page de copyright
Préface
Introduction
De l'éthique du care à l'éthique du bien commun
Le bien commun, un nouveau récit sur le monde du travail
Les étapes de la démarche et la structuration de ce livre
Chapitre 1 : La quête du bien commun est-elle possible ?
Les artifices éthiques démasqués
Un changement de paradigme : le bien commun
Des trajectoires variées vers le bien commun
La solidarité, une qualité première des entreprises du bien commun
Conclusion du chapitre
Chapitre 2 : Pourquoi est-il difficile de poursuivre le bien commun ?
L'individu pris au piège du fantasme libertaire
La prise de conscience du phénomène totalitaire
Conclusion du chapitre
Chapitre 3 : Encourager la diversité, est-ce la solution ?
Les dangers des politiques de la diversité
Les bienfaits de la coopération
Conclusion du chapitre
Chapitre 4 : Qu'est-ce qu'une communauté coopérative ?
Le choix du bien communautaire
La poursuite du développement humain
L'attention portée à chacun des membres de la communauté
Conclusion du chapitre
Chapitre 5 : Qu'est-ce qu'une communauté délibérative ?
Une délibération à la fois individuelle et collective
Une clarification des fins et une délibération sur les moyens
Une délibération décisive
Conclusion du chapitre
Chapitre 6 : Entre délibération et régulation, comment cheminer vers le bien commun ?
Les règles, une nécessité éthique
La déviance positive, un autre chemin vers le bien commun
Conclusion du chapitre
Chapitre 7 : La quête de sens, un itinéraire vers le bien commun
Le travail, une histoire de dons et d'échanges
Le travail, source d'humanisation
Le travail, source de sens
Le sens au travail, une expérience spirituelle
Sens et bien commun, une expérience temporelle
Conclusion du chapitre
Chapitre 8 : Le développement de l'autorité, une nouvelle piste vers le bien commun
Les illusions de la démocratisation
Les illusions du leadership héroïsé
L'autorité partagée soucieuse du bien commun
Conclusion du chapitre
Chapitre 9 : Les économies collaboratives, sources d'inspiration ?
Une économie de partage ambivalente
L'économie des communs comme chemin vers le bien commun
Conclusion du chapitre
Chapitre 10 : Les bienfaits du bien commun en temps de crise
La sobriété économique
La sobriété dans l'exercice des libertés
La sobriété technologique, formelle et processuelle
La sobriété dans l'expérience du bonheur
Conclusion du chapitre
Conclusion générale
Les quatre principes de sobriété
Une approche pratique et positive du bien commun
Les forces et faiblesses de la perspective du bien commun
Les facteurs politiques d'émergence des entreprises du bien commun
La perspective du bien commun comme expérience
Bibliographie
Remerciements
Préface
Dans un monde occidental gagné par l’individualisme, la recherche de ce qui fait communauté concerne la plupart des organisations. L’individualisme n’est pas une attitude morale de repli sur soi sans souci des autres. C’est, comme Tocqueville le définit, « un sentiment réfléchi et paisible qui dispose chaque citoyen à s’isoler de la masse de ses semblables et à se retirer à l’écart avec sa famille et ses amis ; de telle sorte que, après s’être ainsi créé une petite société à son usage, il abandonne volontiers la grande société à elle-même. » (De la Démocratie en Amérique, tome II, chapitre 2.) L’individualisme nous conduit à choisir celles et ceux avec lesquels nous voulons faire notre « petite société », et c’est avec eux que nous nous engageons en priorité.
Extension de l’individualisme est l’horizon politique et social d’une société libérale qui, depuis près de trois siècles, considère ainsi l’épanouissement de l’être humain selon sa capacité à se sentir autonome et à organiser sa vie à partir de soi-même. De là résulte un fractionnement social contemporain en de multiples îlots dont la cohérence d’ensemble ne serait assurée que par l’adhésion commune à la farouche défense de l’individualisme.
Dans ces conditions, l’existence de communautés stables et, en particulier, de communautés de travail devient problématique. Comment créer une adhésion suffisamment durable quand le temps et les relations de solidarité sont indispensables pour réaliser ensemble un projet collectif ? Sauf à recourir à un retour fantasmatique à des « communautés traditionnelles » auxquelles on exigerait que l’individu moderne souscrive de nouveau, c’est à partir de la réalité individualiste de nos sociétés contemporaines qu’il faut essayer de répondre à cette question.
Or un individu, même « isolé de la masse », ne trouve son bonheur que dans un rapport à ce qu’il considère comme le « bien ». Le contenu que chacun donne à ce « bien » peut effectivement différer selon ses goûts, sa culture ou ses expériences, mais tous les individus sont nécessairement caractérisés par une même référence au « bien » pour donner du sens à leurs choix, y compris quand il s’agit de définir leur confort individuel.
Davantage donc que des valeurs morales transcendantes qui leur seraient imposées de l’extérieur, c’est en partant de la nature même de l’être humain autonome mais aspirant au « bien » que l’on peut trouver une solution au risque d’effritement social qui menace nos sociétés. Dès lors qu’il entre en relation avec d’autres pour agir, rencontre constitutive de la vie sociale, l’individu est invité à reconnaître en quoi son bien personnel rejoint un bien commun au collectif auquel il adhère.
Reconnu ainsi, le bien commun est un cas particulier du « bien » que chacun recherche, comme intersection entre ces biens. La communauté qui résulte d’une mise en évidence d’un bien commun n’est plus dès lors fondée sur la contrainte ou sur l’exigence sociale (celle de devoir travailler pour vivre par exemple) ni sur un accord momentané des intérêts (comme sur une plateforme de production à laquelle on se raccorde à l’occasion), mais par le sentiment qu’a chacun de ses membres de servir son propre bien en servant le bien qui est commun. Ou, pour le dire de manière plus incarnée, chacun a le sentiment de pouvoir s’épanouir dans son identité parce que la communauté s’épanouit elle-même comme moyen de déployer ces identités. Ainsi se produit un cercle vertueux de la recherche du bien qui, loin d’opposer l’individu à la communauté, l’y intègre au nom même de son exigence subjective.
Un tel renversement de perspective sur l’être humain est considérable pour celles et ceux qui dirigent une entreprise ou managent une communauté de travail. Il ne s’agit plus de faire collaborer des individus considérés comme des atomes qui ne cherchent qu’à s’exclure du collectif dans lequel il faut les ramener sans cesse par des incitations attractives, mais comme des personnes doublement soucieuses du bien personnel et du bien commun, rassurées par l’expression claire d’une éthique du bien commun dont leur hiérarchie fait preuve.
Ce recadrage général demande évidemment à être précisé dans la pratique, et en particulier dans celle des entreprises. C’est ce à quoi nous invite Sandrine Frémeaux dans ce livre à la fois humble et audacieux. Humble parce que l’auteure ne cherche pas à reformuler une théorie générale des organisations à partir de la notion de bien commun, mais plutôt à relire des pratiques managériales pour dégager, et c’est là que réside l’audace, une éthique : au-delà des techniques, des mises en rivalité et des évaluations de performance, il existe une manière de se comporter en tant que manager dans le souci de préciser et de promouvoir le bien commun de la communauté de travail que l’on a à gérer. Revendiquer cette éthique doit faire partie de l’art de manager au temps de l’individualisme généralisé.
On ne trouvera donc pas dans ce livre un énième et tonitruant nouveau modèle de management, mais une analyse fine pour donner à comprendre combien de pratiques existantes, qu’elles touchent à la reconnaissance du travail vivant, à la nécessité de la délibération ou à l’exercice de l’autorité, servent la perspective ouverte par la prise en compte du bien commun. De nombreuses sources philosophiques et scientifiques sont convoquées pour définir une éthique managériale renouvelée et à la portée de chacun.
Ainsi faisant, Sandrine Frémeaux recompose une matière, des pratiques et des attentes dont bon nombre de lecteurs auront sans doute déjà fait l’expérience partielle dans leurs recherches académiques ou dans leurs pratiques du management, pour les ordonner, les mettre en cohérence et leur offrir un sens qui consiste à participer à la construction des entreprises du bien commun. Construction car, dit-elle, « le bien commun n’est pas qu’une théorie ou une pratique », mais « une démarche, un processus, un chemin ».
C’est la force de ce livre riche et profond que d’inviter le lecteur à entrer dans cette démarche d’un point de vue personnel, en se posant les questions nécessaires au cheminement et en faisant ainsi pleinement œuvre éthique. Il n’est pas douteux que cette invitation touchera de nombreux managers, dont on sait combien le sens de leur travail est devenu incertain dans une société individualiste, et qui trouveront ici « une orientation à la fois libre, vertueuse et joyeuse ».
Pierre-Yves GOMEZ
Professeur à l’emlyon business school
Directeur de la collection du GRACE
Introduction
Imaginons que nous intégrons une entreprise assez classique, à la fois tournée vers son propre succès et désireuse de jouer un rôle dans la société. Nous nous émerveillons devant le courage et la pugnacité de ses responsables qui font face à une compétition exacerbée et à des objectifs économiques et financiers de plus en plus difficiles à atteindre. Mais nous sommes surtout impressionnés par leur volonté d’inclure les problématiques sociales et environnementales. Un monde complexe dont nous avons souvent rêvé semble se dessiner : nous nous sentons enfin utiles en nous confrontant aux réalités économiques sans pour autant perdre de vue la dimension humaine. Les mots d’accueil nous touchent : collaboration, autonomie, conciliation, esprit d’équipe, qualité, innovation, responsabilité sociale de l’entreprise. Ces mots sont certes étranges, appartenant au monde spécifique de l’entreprise, mais ils revêtent une magnificence.
Les mois passent, et nous développons des compétences certaines. Nous disposons d’une