Comédie tragico-romantico-cul cul la praline

Par Nicolas Gury

Mon adolescence se fait en dents de scie, je parviens malgré tout, une fois la scolarité achevée à m'affirmer. Mais le besoin d'aimer et d'être aimé pour un enfant souvent isolé se fait ressentir. Jeune adulte, je suis confronté à des expériences nouvelles. Ce recueil est un mélange d'empathie, de colère, de réflexions et d'admiration autour des femmes que j'ai pu rencontré. Je retranscris tel quel ce que j'ai pu écrire quelques minutes, quelques heures, après une rencontre troublante, une rupture, ou bien encore suite à un premier baiser. J'ouvre grand la porte sur mes sentiments et relations amoureuses et sur la profonde frustration quant à la tournure que chacune d'elle a pu prendre.

• Langue: Français
• Éditeur: Les Éditions du Net
• Date de sortie: 8 août 2013
• ISBN: 9782312012872

Aperçu du livre

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Comédie

tragico-romantico-cul cul la praline

Nicolas Gury

Comédie

tragico-romantico-cul cul la praline

Recueil de poèmes

LES ÉDITIONS DU NET

22, rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes

© Les Éditions du Net, 2013

ISBN : 978-2-312-01287-2

Avant-Propos

À Audrey,

À Inès,

À Louise,

À Sophie,

À Julie,

À Nina,

À toutes celles que j'ai aimé, le temps d'un baiser ou de plusieurs années,

À vous que j'ai désiré secrètement,

À mes amis de 20 ans, et surtout,

À mes vrais amis,

À Sabrina, Sophia et Charlotte pour leur soutient perpétuel,

À mes amours, ceux de toujours : ma maman et ma sœur.

LE PRINTEMPS EST LÀ

Le printemps est là,

Et pourtant je m'en fou,

Car toi tu n'es toujours pas là,

Et moi je deviens fou,

Personne n'est là pour me guider,

A chaque coin de rue, je me prend le mur,

Chacun de mes pas est un peu moins sûr,

Tu sais, moi, je commence à douter,

Les jours passent et trépassent,

Me laissant seul dans la nuit,

Contraint aux tours de passe-passe,

Dans des soirées sordides pour gosses pourries,

Et à chaque sourire je crois te voir,

Et à chaque baiser renaît l'espoir,

Aux aguets parmi ces traînées,

Je guette celle qui aura le doigt levé,

Mais je vogue d'illusions en déceptions,

D'exclamations en suspensions,

Comptant une à une les minutes de perdues,

Du temps en moins pour te