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Fin du monde en 2027
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Fin du monde en 2027
Livre électronique195 pages5 heures

Fin du monde en 2027

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À propos de ce livre électronique

Étude des visions prophétiques et en particulier de l'Apocalypse de Saint-Jean, en tenant compte des cycles historiques et de la chronologie biblique. Le calendrier mésoaméricain, entièrement reconstitué, en accord avec les cycles de l'histoire du monothéisme et la chronologie biblique, détermine l'année 2027 comme celle qui met fin au monde tel que nous le connaissons. Le retour de Jésus est programmé à l'avance et ouvrira, après le jugement des nations (fin de ce monde) une nouvelle ère de paix où la justice règnera.
LangueFrançais
Date de sortie17 févr. 2012
ISBN9782312006178
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    Aperçu du livre

    Fin du monde en 2027 - Patrick Dolciani

    978-2-312-00617-8

    L’erreur chronologique corrigée

    Pour connaître les véritables dates de l’Apocalypse, il faut ajouter 33 ans à celles indiquées à partir de la page 370 (sans changer les jours et les mois) de l’étude « Mystères Révélés » publiée en 1989 aux Editions La Pensée Universelle, soit l’équivalent des années de la vie du Christ.

    Il s’est en effet glissé une erreur de 40 ans dans la chronologie de l’Ancien Testament, car il y a en réalité 520 ans depuis l’Exode d’Israël sous Moïse jusqu’aux fondations du Temple de Jérusalem, la quatrième année du règne de Salomon.

    À l’origine de l’erreur il y a, au premier livre des Rois, chapitre VI, verset 1, une indication chronologique, que nous avions « textuellement » prise en compte, mentionnant : « 480 ans après la sortie des Israélites du pays d’Égypte ». Il ne s’agissait pas en réalité d’une référence à l’Exode, comme nous l’avions cru, mais du temps compté depuis la « Sortie du Sinaï », sans doute considéré comme un prolongement du territoire égyptien, c’est à dire au moment du passage du Jourdain – et non de la mer Rouge – pour entrer dans la terre promise, définitivement hors d’Égypte.

    Il apparaît que la chronologie du livre des Juges, trop souvent négligée, donne en réalité 390 ans depuis la première oppression d’Israël par Cusan-Risathaïm, roi de Mésopotamie (Juges III, 8), jusqu’à celle des Philistins (Juges XIII, 1). Nous sommes alors au début du règne de Saül, en 1100 avant notre ère. De ce fait, la chronologie des Juges nous permet de dater en 1490 avant notre ère (390 ans avant 1100) le début de la première oppression d’Israël, par le roi de Mésopotamie, juste 7 ans après « l’Entrée des Israélites en Palestine » (laquelle se fit en 1497, c’est à dire 480 ans avant la fondation du Temple de Jérusalem, qui eut lieu en 1017 avant notre ère). Par ailleurs, nous observons dans les livres de Josué (chapitre XV, v. 15-17) et des Juges (chapitre I, v. 11-13) que le premier libérateur, Othniel, était effectivement contemporain de Josué et Caleb.

    Il nous faut donc compter après l’Exode : 40 ans de marche dans le désert du Sinaï sous la conduite de Moïse, puis 397 ans pour le « Temps des Juges » (après la mort de Moïse) jusqu’au début du règne de Saül (premier roi d’Israël) et enfin 83 ans jusqu’à la quatrième année du règne de Salomon, soit 520 ans en tout (au lieu de « 480 ans »). Nous obtenons, après cette étude, bel et bien une différence de « 40 ans », origine de notre erreur.

    Le schéma corrigé des cycles de l’Histoire du Monde se trouve par conséquent modifié et il révèle, par extraordinaire, ce qui nous avait échappé jusqu’ici, à savoir : l’emplacement exact de l’Apocalypse, de 2020 à 2027 de notre ère.

    Car nous observons dès lors qu’il y a en réalité 1993 ans (au lieu de 1953 ans) depuis l’Alliance de la Circoncision faite avec Abraham (en 1967 avant notre ère, c’est à dire 430 ans avant l’Exode – voir Galates III, 17 – ou 470 ans avant l’Entrée d’Israël en Palestine) jusqu’à la Crucifixion de Jésus en 27 de notre ère (Jésus étant né en l’an 7 avant notre ère), soit 1960 ans (ou sept fois 280 ans : les sept âges de la « Postérité des fils d’Abraham ») jusqu’à la naissance de Jésus, auxquels il faut ajouter les 33 années de sa vie. De même, il y a aussi une durée équivalente depuis la Résurrection de Jésus, soit 1960 ans (ou sept fois 280 ans : les sept âges de « l’Histoire de l’Église »), auxquels il faut ajouter un temps supplémentaire de 33 ans (répétition des cycles ou « effet miroir ») jusqu’au début de l’Apocalypse, pour obtenir une même durée de 1993 ans (c’est pourquoi il nous faut maintenant ajouter 33 ans aux dates initialement prévues de l’Apocalypse dans « Mystères Révélés »).

    Ces corrections faites, il faut ensuite ajouter les 7 années de l’Apocalypse elle-même, dont nous connaissons la durée exacte grâce à la prophétie des « 70 semaines d’années » du prophète Daniel (chapitre IX, v. 24-27 de son livre), pour rattraper ce qui reste des « 40 ans » qui avaient été « oubliés » à cause de notre erreur chronologique (7 ans à ajouter à 33 ans font 40 ans). Cela donne enfin 2000 ans (les 7 ans s’ajoutent à 1993 ans) depuis la Mort et la Résurrection de Jésus jusqu’à son prochain Retour, soit de l’an 27 de notre ère à 2027 (et non pas 2000 ans depuis sa Naissance jusqu’à son Retour).

    Le schéma général des cycles, définitivement achevé après correction, compte 71 siècles depuis la Création d’Adam (en 4074 avant notre ère), jusqu’à la fin du Millenium (en 3027 de notre ère) alors que d’autres croyaient qu’il ne fallait en trouver que soixante-dix (7000 ans).

    Cependant, il apparaît que l’ensemble des cycles de « l’Histoire Schématique du Monde » compte 72 siècles depuis le début de la « Création » (4174 avant notre ère), laquelle a été probablement décidée et mise en œuvre après un cataclysme d’ordre planétaire (et non cosmique), provoqué sans doute par la chute d’un ou de plusieurs astéroïdes (voir à ce sujet les explications données dans « Mystères Révélés » à partir de la page 105 et la traduction qui suit, faite par l’auteur, du premier chapitre de la Genèse, pages 114 à 116). Nous obtenons un siècle de plus car il faut compter 100 ans depuis le milieu du 1° jour (apparition de la lumière) jusqu’au milieu du 6° jour (création d’Adam), chaque « jour » de la « Création » ayant une durée « schématiquement définie » de « 20 ans ».

    Nous pouvons néanmoins obtenir aussi un ensemble de 70 siècles. Il faut pour cela compter 2000 ans depuis la Sortie d’Adam « schématiquement indiquée » du Jardin d’Eden (en 3974 avant notre ère, lorsqu’il avait 100 ans – nous savons qu’il vécut 930 ans) jusqu’au début d’un « compte à rebours » de sept années avant la « destruction », faite par les anges, de Sodome et Gomorrhe (destruction par le « feu du ciel » après sept ans d’attente par rapport à la position d’origine du nouveau cycle, ce qui peut être vu comme une « image analogique » de l’Apocalypse). Il faut ensuite ajouter les 2000 ans qui suivent dès le début de ce premier « compte à rebours » jusqu’à la Crucifixion de Jésus (soit 4000 ans accomplis). Ensuite, pour tenir compte du temps complet de l’Histoire de l’Église, il faut ajouter 2000 ans depuis la Résurrection du Christ jusqu’à son Retour attendu en 2027 (soit 6000 ans accomplis). Enfin, pour terminer, nous devons ajouter les 1000 ans qui restent du « Millenium », dont la durée est nettement indiquée dans l’Apocalypse de Saint-Jean (chapitre XX, 1-3 & 7-10), pour obtenir très exactement une durée globale de 7000 ans (ou 70 siècles) depuis « l’Entrée du Péché dans le Monde en Adam » jusqu’à la dernière libération du Diable suivie du « Jugement Dernier ».

    Il faut noter ici que les sept millénaires font ressortir de façon extraordinaire l’apparition du péché dans le monde et sa condamnation par Dieu :

    1.    il y a d’abord l’apparition du péché dans le monde (Adam et Eve sont chassés du Jardin d’Eden) ;

    2.    il y a ensuite, après 2000 ans et sept années d’attente, le jugement par le « feu du ciel » contre le péché de Sodome et Gomorrhe ;

    3.    après 4000 ans accomplis, il y a le sacrifice de substitution et d’expiation des péchés par la Crucifixion de Jésus, le Fils de Dieu ;

    4.    6000 ans après le péché originel d’Adam, survient le « Jugement apocalyptique des nations » avec la bataille d’Armageddon (Apocalypse XVI, 16), à cause du péché qui existe toujours dans le monde, au moment du Retour du Christ ;

    5.    enfin, à la fin du Millenium et après 7000 ans accomplis, vient le Jugement Dernier pour mettre un terme définitif au péché, condition à remplir pour pouvoir entrer dans la Nouvelle Jérusalem.

    Pour ce qui concerne l’ensemble des cycles de « 1040 ans » (périodes de quatre fois « 260 ans » ou quatre « roues de katuns » – une « roue de katuns » fait 13 fois 20 ans), ils existent toujours dans la nouvelle structure, mais ils se confondent, dans le nouveau schéma des cycles issu de la correction chronologique, avec ceux du Calendrier Méso-américain dont les dates étaient déjà indiquées dans le livre. De ce fait, le schéma général des cycles de l’Histoire du Monde s’en trouve simplifié.

    Saint-André de la Roche, le 28 janvier 2012

    Les cycles historiques dans l’histoire

    C’est le peuple Olmèque qui, dans le Golfe du Mexique vers le XIème siècle avant notre ère, développa une première civilisation qui se caractérisait par le fait d’être entièrement fondée sur le principe de la connaissance des cycles historiques. Au cours des siècles, les Olmèques transmirent leurs connaissances à d’autres peuples qui les entouraient et ces derniers formèrent plusieurs foyers de civilisation similaire dans une aire qui s’étendait du centre du Mexique jusqu’au Honduras et au El Salvador ; on a donné à ces territoires le nom de Mésoamérique.

    La civilisation mésoaméricaine produisit des pyramides, des temples, de petits palais et divers monuments formant des cités dont les restes sont devenus aujourd’hui des sites archéologiques ; toute cette architecture était en relation avec le calendrier mésoaméricain qui comprenait plusieurs cycles différents, tous en correspondance avec les révolutions synodiques des planètes telluriques, à savoir : Mars (780 jours ou 3 x 260 jours), Vénus (584 jours ou 2 x 292 jours) et Mercure (115,8763 jours, ce qui donne 63 révolutions synodiques de Mercure en 7300 jours ou 20 x 365 jours). Ces divers cycles de révolutions synodiques des planètes s’accordaient avec un nombre entier d’années solaires de 365 jours et formaient ainsi les schémas fondamentaux des cycles historiques.

    Les olmèques avaient inventé un système numérique vigésimal comprenant l’usage du zéro et avaient développé une écriture glyphique ; le mois civil comptait 20 jours dont chacun portait un nom et était représenté par un glyphe. Ce mois de 20 jours s’harmonisait avec le système numérique vigésimal, d’où l’emploi du compte chronologique « long » des Mayas. Leur écriture glyphique, transmise aux Mayas et développée par eux, leur permettait de relater les principaux événements historiques, lesquels étaient placés en relation avec les cycles schématiques de leur calendrier (cycles historiques). Toute leur civilisation se trouvait ainsi harmonisée avec les mouvements cosmiques des planètes telluriques dans le ciel.

    Ces peuples connaissaient si bien les cycles historiques que ceux-ci conditionnaient entièrement leur existence. Si bien que les cycles historiques étaient devenus pour eux un « joug » qu’ils ont bien supporté jusqu’au Xème siècle de notre ère. Mais à la fin du Xème siècle, en 987, ils célébrèrent les premiers « Feux Nouveaux » (célébrés tous les 52 ans) du » Cinquième Soleil » ou cinquième grand cycle de 1040 ans. Parce qu’ils attribuaient à ce « Cinquième Soleil » une nature profondément malfaisante, ils instituèrent la pratique des sacrifices humains pour conjurer le « mauvais sort ». C’était en effet le dernier « Soleil » ou cycle de 1040 ans dans leur système complet qui comptait 52 siècles ou cinq « Soleils » de 1040 ans chacun.

    Cette pratique de « magie noire » inaugurait le processus irréversible de l’effondrement de toute leur civilisation, car ces sacrifices humains se généralisèrent dans toute la Mésoamérique, répandirent la terreur et jetèrent un doute dans l’esprit des hommes qui abandonnèrent peu à peu leurs enseignements et rites traditionnels qui jusque-là se transmettaient sans rien omettre des acquis de génération en génération.

    Dès le début du XVIème siècle, l’arrivée des Espagnols sur le territoire mésoaméricain provoqua le renversement définitif de cette civilisation spécifique. L’opposition des Espagnols aux sacrifices humains fut regardée par de nombreux autochtones comme une libération et leur prêtèrent main forte pour détruire l’empire Aztèque. Les Espagnols détruisirent tout ce qui subsistait de cette civilisation, brûlèrent les codex et offrirent au Mexique une nouvelle civilisation, début d’une nouvelle ère qui fit disparaître l’ancienne dans les « oubliettes » de l’histoire. Finalement il ne resta de la civilisation mésoaméricaine que quelques bribes qui témoignaient de façon insuffisante de ce qui était nécessaire pour pouvoir reconstituer l’ensemble des anciennes connaissances des Olmèques, des Mayas et des Aztèques. Mais cela est de nos jours changé, grâce aux nouvelles découvertes réalisées progressivement après des années de recherches par l’auteur de cette étude (Patrick DOLCIANI).

    Ces connaissances retrouvées nous permettent aujourd’hui de vérifier tout le processus cyclique du développement de l’histoire, non seulement en Mésoamérique, mais aussi au Moyen-Orient, en Europe et dans le monde entier, en des lieux où les cycles historiques n’étaient pas connus. Car il serait erroné de croire que les cycles historiques n’aient jamais existés qu’en Mésoamérique. Leur trace a été retrouvée dans des livres bibliques et en particulier dans le livre d’Hénoch. Toute la chronologie biblique s’accorde avec la structure des cycles historiques, tant ceux du calendrier mésoaméricain que ceux de la précession des équinoxes (ères zodiacales). L’Égypte n’ignorait pas le système des cycles historiques dont certains lui étaient spécifiques, fondés sur le lever héliaque de Sirius, avec des périodes de 1460 ans (1460 x 365,25 jours = 1461 x 365 jours).

    Les Grandes Pyramides peuvent être l’objet d’une étude spécifique, car leurs dimensions s’accordent avec une coudée extérieure commune pour constituer un immense « cadran solaire », tandis que le système des chambres et des couloirs de la pyramide de Chéops s’accorde avec une autre coudée plus petite qui permet de faire correspondre les longueurs des couloirs avec le système chronologique de l’histoire du monothéisme.

    Il est possible que les Phéniciens aient été initiés à la connaissance des cycles historiques, aient traversé l’Atlantique et finalement transmis ces connaissances aux Olmèques en Mésoamérique. L’Amérique aurait été découverte 2600 ans environ avant Christophe Colomb (en 1492). Six ans après, en 1498, l’expédition de Vasco de Gama doubla le Cap de Bonne-Espérance et traversa l’Océan Indien pour rejoindre l’Inde, de telle sorte que la traversée de l’Océan Atlantique, réalisée en une seule fois, s’avéra plus facile à faire que le contournement de l’Afrique. Or il est établi que les Phéniciens réalisèrent bien avant Vasco de Gama la circumnavigation de l’Afrique. A cette même époque ils s’établirent très probablement aussi en Amérique et furent vraisemblablement les fondateurs de la civilisation Olmèque. En témoignage de cette vérité, nous retrouvons les têtes Olmèques colossales au Mexique dont certaines présentent des traits négroïdes, prouvant que les Phéniciens avaient embarqué avec eux des Noirs venus d’Afrique.

    C’est très probablement grâce à cette transmission des connaissances des cycles historiques des Phéniciens aux Olmèques que ceux-ci ne furent pas perdus à titre définitif avec la disparition progressive des enseignements initiatiques du Moyen-Orient (Égypte, Phénicie, Israël et Grèce). Au sujet des connaissances avancées des Phéniciens, elle est attestée par la complainte adressée au roi de Tyr rapportée dans le livre prophétique d’Ézéchiel, chapitre 28, versets 1 à 19.

    Paradoxalement, la civilisation mésoaméricaine fut détruite par les Espagnols venus d’Europe alors qu’elle avait été fondée à l’origine par les Phéniciens 26 siècles plus tôt (selon toute vraisemblance), venus du Moyen-Orient. Fondée par des navigateurs venus de l’Orient, elle fut plus tard détruite par d’autres navigateurs venus eux aussi d’Orient, placé au levant des Amériques. Ces navigateurs venus de l’Océan Atlantique, la première et la dernière fois, furent rapidement identifiés avec le « dieu » Quetzalcóatl, ce qui facilita la conquête espagnole des Amériques. C’est ainsi que la durée de la civilisation mésoaméricaine s’est inscrite dans un cycle de 26 siècles, du début du « Troisième soleil »

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