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Dieu est en vous: Autobiographie et « comment prendre sa vie en main »
Dieu est en vous: Autobiographie et « comment prendre sa vie en main »
Dieu est en vous: Autobiographie et « comment prendre sa vie en main »
Livre électronique83 pages1 heure

Dieu est en vous: Autobiographie et « comment prendre sa vie en main »

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À propos de ce livre électronique

Au départ, la vie n’est pas facile. Nous devons tous à un moment donné, traverser le désert.... Pour certains il faut en plus se détacher du jouc d’un gourou, de ceux qui nous manipulent ou qui interviennent sur notre vie à notre insu. Nous ne croyons pas en Dieu «pour faire comme tout le monde» ! La Force mentale se vit au quotidien, se ressent et se travaille. Si vous choisissez de ne pas utiliser la force qui est en vous, vous acceptez de perdre la moitié de vos capacités et de ne pas décider de votre vie. Et croyez moi, dans ce cas, il y aura toujours auprès de vous des gens qui voudront bien décider à votre place, parce que à votre détriment, cela servira leur cause (et leurs chances).

Je prétends ne pas avoir tout compris au début de ma vie. Et j’ai erré sans comprendre jusqu’à ce que je somme la seule entité qui pouvait me donner toutes les explications dont j’avais besoin : Dieu. Il semble très souvent absent de nos vies, mais si nous l’appelons, il lui arrive de répondre. Pour moi, cela valait la peine d’essayer... On dit souvent que Dieu a été créé pour les faibles, pour tous ceux qui ne sont pas capables de se débrouiller tous seuls. Alors tout dépendra de la définition que vous mettrez derrière ce mot. Dieu n’est pas un être humain, mais est-ce qu’il est un esprit ? Je ne le crois pas. Il est une partie de VOTRE esprit, il s’appelle la FORCE et vous pouvez le développer.

Je fais partie des faibles et n’aurais pas pû me révéler sans Dieu. Je ne prétends pas non plus être la seule à avoir compris le sens de la vie, je suis convaincue que ce «code», tout le monde en a connaissance ou presque. Quelquefois les gens parlent ouvertement et trahissent ci et là quelques consignes..... Alors c’est à la petite minorité qui comme moi ne savait pas, que s’adresse cet ouvrage.
LangueFrançais
Date de sortie12 juil. 2017
ISBN9782312052823
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    Aperçu du livre

    Dieu est en vous - Marie Germain

    978-2-312-05282-3

    Avant-propos

    Depuis longtemps, j’avais envie d’écrire quelques épisodes de ma vie, pour parler à tous ceux qui comme moi, n’ont pas compris immédiatement le sens de leur vie, et tout simplement le sens de « la » vie. Est-on pour cela moins intelligents ? Certains le croient ! Pourtant, ne pas être intelligent serait ne pas être capable de comprendre ce que tous les autres comprennent, dans les mêmes situations, avec les mêmes armes de défense, et face aux mêmes signes de la vie. Or, si nous n’avons pas compris facilement, ce n’est pas tellement par lenteur d’esprit, mais surtout parce que la vie ne nous donne aucun signe (ou si peu que nous ne savons pas les reconnaître certes), que nous ne disposons d’aucune arme, et que les situations qu’il nous est donné de vivre n’ont rien de commun avec les situations de vie du commun des mortels !

    Je suis obligée d’aller chercher dans ma mémoire les évènements dès les premières années de ma vie. La première impression qui me revient immédiatement à l’esprit est une sensation de mal-être et la haine des autres. Les gens disent souvent ne se souvenir que des bons moments et avoir oublier les mauvais. Il va me falloir chercher beaucoup et loin pour faire ressurgir les souvenirs d’amour… alors que mon esprit a gardé en mémoire tous ces regards et mots réprobateurs, ces cris et ces fessées d’un autre temps, d’un temps bien avant le mien, où il n’était pas interdit de battre les enfants, pour les « dresser », les « faire obéir » (je reprends exactement les mots que j’ai entendu).

    Longtemps j’ai pensé que j’étais abandonnée sur terre ! Sans ange gardien, ni sur terre, ni venant du ciel ! Pourtant, je sais aujourd’hui que Dieu était là. Peut-être avais-je même un ange gardien dont j’ai toujours ignoré le nom et auquel je ne me suis jamais adressée, faute de savoir que l’on pouvait le faire… (!) Sans Dieu ni ange(s), je n’aurai pas survécu, ou bien j’aurais cotoyé le pire, ce dont j’ai été préservée. Il y a tellement d’horreurs sur cette terre, de malheurs et de crimes impunis que sans une protection suprême évidente, j’aurai pû « mal tourner », voler, me droguer, être violée, en bref, survivre au malheur sans jamais m’en remettre, sans jamais pouvoir tourner la page pour connaître la paix. Le pire n’est-il pas de survivre à la mort de quelqu’un de très proche ? Il ne m’a pas été donné de perdre quelqu’un de mon entourage immédiat durant mon enfance : frère, sœur, père ou mère. Simplement, je ne suis pas née du bon côté de la rue et je dis souvent que j’ai « manqué de tout » ! Alors je tiens à relativiser ce manque, en me resituant à une époque où les jouets, cadeaux et jeux vidéos n’étaient pas distribués à profusion. Je compare simplement ma vie à celle des enfants de mon époque, de mon quartier, allant dans la même école que moi. Pourtant mes parents n’étaient pas « pauvres » au vrai sens du terme, et j’aurai préféré qu’ils le soient, je leur en aurais moins voulu. Seulement, pour eux comme pour chacun d’entre nous, il y a avait des priorités et le bien-être, la maison, la vie de famille ne se discutaient même pas à l’époque. Pourtant, mon père avait toujours quelques billets de banque dans la poche et n’achetait pour lui que du matériel de très bonne qualité. Mes parents misaient en priorité sur leur activité professionnelle et en dehors de cela, le travail à la maison se faisait ou ne se faisait pas, cela ne semblait pas avoir d’importance pour eux. La chose primordiale était de manger bon et beaucoup. Les moyens étaient engloutis dans une voiture de gabarit imposant, qui devait certainement établir le niveau social, plutôt que dans les travaux de la maison, beaucoup plus preneurs de temps à eux seuls. Je n’ai absolument pas l’intention de faire le procès de qui que ce soit et je respecte malgré tout les choix qui ont été faits, même si j’en ai souffert. Si aujourd’hui je ne suis ni fière, ni envieuse, ni dépensière au-delà de mes moyens, c’est parce que mes parents m’ont donné l’exemple de gens qui économisaient avant d’acheter et qui jamais, n’ont eu l’idée d’acquérir un bien qu’ils n’auraient pas pu payer. Ces valeurs là sont complètement en décalage avec la société de consommation actuelle, mais aussi avec la mentalité, même à l’époque, de gens qui ne supportent pas que le voisin puisse avoir plus de choses qu’eux et qui n’hésitent pas à acquérir les mêmes choses que lui, parce que surtout, ils ne veulent pas avoir moins !…… Mon père était menuisier et il a été artisan, spécialisé dans la pose de meubles de cuisine, une bonne partie de sa vie. Il avait à la fois une volonté et une capacité certaine à la réussite. J’étais fière de lui et sa facilité à travailler beaucoup. Ma mère était couturière et travaillait comme retoucheuse dans un magasin de confection.

    Si j’ai depuis si longtemps ce besoin de me raconter, ce n’est pas pour me plaindre, bien que je sois obligée de le faire pour en arriver à la finalité qui m’intéresse en restituant « ma » réalité, mais c’est avant tout pour donner du courage aux gens qui sont dans les difficultés. Et puis surtout, pour leur dire de se battre, de réclamer à Dieu leur dû ! Et pour cela de ne jamais baisser les bras. Si je suis aussi heureuse aujourd’hui, c’est grâce aux années de malheur et à la haine à mon égard de la part de gens que j’ai cotoyé. Grâce à la multitude de témoignages de méchanceté qui ont parsemé mon chemin, je me suis très tôt regardée en face, analysée et auto-jugée. Alors seulement, et sachant ce que je méritais vraiment, j’ai cru comprendre pourquoi les femmes de mon entourage proche ou rapproché, semblaient me détester réellement alors que je n’étais qu’une enfant. La grande question qui m’a amenée à comprendre la vérité même de la vie a été : Pourquoi peut-on haïr une enfant innocente ? J’entends par innocente, non « avertie », non « mise en garde », non « affranchie » comme cela doit être le cas par une mère ou une grand-mère bienveillante. N’est-on pas là pour aider nos enfants à faire mieux que nous si l’on est malheureux, et à trouver la paix dans tous les cas le plus sereinement possible ?

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