Trio de jardins

Par Maki Starfield, Lidia Chiarelli et Huguette Bertrand

Poètes d’Occident et d’Orient à l’unisson : Trio de jardins, un trilogue poétique, est co-écrit par la poétesse italienne Lidia Chiarelli, la poétesse japonaise Maki Starfield, et la poétesse canadienne Huguette Bertrand. Elles dépeignent leurs jardins intérieurs tout en prétant l'oreille aux voix d'auteurs fameux. Cette réalisation n'est pas seulement un livre, mais le chemin qui a mené à son écriture. Les beaux échos puisés dans le coeur du trio suscitera l'attention de plus d'un lecteur sur les cinq continents.

• Langue: Français
• Éditeur: JUNPA
• Date de sortie: 10 févr. 2021
• ISBN: 9781071546956

Aperçu du livre

Poètes d’Occident et d’Orient à l’unisson : un trilogue poétique

Trio de jardins

––––––––

Lidia Chiarelli, Maki Starfield  & Huguette Bertrand

JUNPA BOOKS

Sommaire

JARDIN DE POÉSIE

Jardin d’octobre Lidia Chiarelli

L’azur d’un soir

Crépuscule (Coucher de soleil sur les collines)

Les chats le sauront

Vierge Vestale

Sœur de la pluie

Mai sur les collines

Jardin sacré

Rouge coquelicot

Poѐme pour Aeronwy Thomas

Retour à Manderley

Jardin d’octobre

Ciel de novembre

Nuit nordique

JARDIN EN DEVENIR

Roseraie Maki Starfield

La fille Ainou

Pour peindre une nuit étoilée

Poème pour le Maître Peintre, Goino

Mon maitre

Le jardin d’Eden de l’alien

Le chat calico qui jouait du piano

Roseraie

Le chat volant

Jardin de septembre

Jardin de décembre

Cliché d’espoir

Le rêve d’apprendre

Amour

Amour

Feu

Feu

Roses

JARDIN DE POÉSIE

Nouvelle aube  Huguette Bertrand

Étoiles rieuses

Étincelle

Histoire en patchwork

Nouvelle aube

Rencontre

Saisons

Abattre et imbriquer

Le Temps volant

Les saisons

Le type d’à-côté

Sur le fil

Ignorée

L’heure du thé

Pas à pas

JARDIN DE POÉSIE

Jardin d’octobre

Lidia Chiarelli

L’azur d’un soir

Une décharge de bleu ! un trait de gris !

Quelques éclaboussures écarlates,

Sur le chemin, composent

L’azur d’un soir...

Emily Dickinson

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Qu’il était doux

le parfum de ces soirées

où

nos pas inventaient de longues trajectoires

dans les jardins d’été

Où

lentement les lanternes s’allumaient

et formaient, défiant les astres et les étoiles,

des paraboles de lumière

sur les rochers opaques des allées.

La vie,

alors à peine commencée