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Raphaël - Tome 4: Et la bague d’argent
Raphaël - Tome 4: Et la bague d’argent
Raphaël - Tome 4: Et la bague d’argent
Livre électronique106 pages57 minutesRaphael

Raphaël - Tome 4: Et la bague d’argent

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À propos de ce livre électronique

Alors que Sa Majesté exerce un contrôle total sur Palès, il lance un pari à la reine Marianne et ses compagnons : retrouver une mystérieuse bague en argent cachée dans une grotte de l’archipel de Siatnerahc. Déterminés à relever ce défi périlleux, Raphaël, Marianne et leur équipe s’engagent dans une course contre la montre. Cependant, leur mission est compliquée par l’arrivée de Gordon, le prince de Palès, envoyé par Nomrad pour récupérer la bague. Réussiront-ils à trouver le précieux artefact avant le redoutable Gordon ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

R.J.P Toreille est originaire de l’île de Ré. La mythologie, l’histoire, les auteurs et la vie quotidienne sont pour lui la source dans laquelle il puise l’essence de ses écrits.
LangueFrançais
ÉditeurLe Lys Bleu Éditions
Date de sortie6 nov. 2024
ISBN9791042234126
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    Aperçu du livre

    Raphaël - Tome 4 - Raphaël Philippe Toreille

    Chapitre 1

    Le défi

    Un an est passé depuis le retour du roi dans son royaume de Palès.

    Dans la chambre, Raphaël et le prince Olivier de Réas discutèrent ensemble de la manière dont l’avenir sera fait :

    — Je me demande comment l’avenir sera avec lui, se questionne attentivement le beau et talentueux prince Olivier de Réas.

    — Un règne de terreur, le roi est un monstre capable de tout, répondit avec douceur Raphaël.

    Le prince le regarda, très inquiet, et s’assit sur le lit.

    Inquiet, Raphaël le vit avec son air, s’approcha de lui, le prit dans ses bras et lui demanda :

    — Qu’y a-t-il, Olivier ?

    — Je ne sais pas pourquoi, mais tu es la personne la plus importante de ma vie, explique avec malaise le prince de Réas.

    Raphaël le rassura, le remercia et l’embrassa d’un long baiser d’amour.

    À ce moment où ils étaient attentifs au paysage qu’ils voyaient par la fenêtre, Alice arriva avec ses saïs et leur proposa de venir s’entraîner dans les jardins du château.

    — Tu veux venir ? Nous allons nous entraîner dans les jardins.

    — Oui, on vient, répondirent conjointement Raphaël et le prince.

    Ils se levèrent tous les deux. Raphaël s’approcha de son placard, saisit son épée en or et son bouclier bleu, et alors que le prince empoignait son arc, ils suivirent Alice vers les jardins du palais afin de rejoindre les autres pour l’entraînement préparé par la reine Marianne de Réas dans les jardins du château.

    Mais en arrivant, Bella demanda si le roi pouvait dominer le royaume de Réas.

    — Ne t’inquiète pas, avec nous dans le royaume, vous ne risquez rien, lui répondit Édouard, le serviteur de Réas.

    Et nos héros s’entraînèrent sous le regard attentif de la souveraine.

    — Céline, ne me fais pas mal avec ta corde, dit Bella qui souffrait du bras gauche.

    — Mais oui, ne t’en fais pas, ce n’est pas mon genre, répondit Céline qui s’inquiétait pour Bella.

    Charles commença très lentement à s’approcher de Rose et de Raphaël, en pensant très sérieusement.

    — Comment fais-tu pour bloquer ses attaques ? demanda-t-il, d’un air incrédule.

    — Avec intelligence, expliqua en répondant notre jeune héros âgé de vingt-trois ans.

    Quelques minutes plus tard, pendant l’entraînement, ils sont soudainement interrompus par un soldat de Réas qui s’approcha de la reine et avec un regard inquiet :

    — Majesté, le roi veut vous voir, dit-il.

    — Que veut-il ? demande la monarque, tout méfiante.

    Le soldat expliqua que c’était personnel et qu’il souhaitait la voir. La reine alors se leva de son fauteuil et alla dans la salle du trône pour entendre ce qu’il voulait.

    Les autres regardaient Marianne partir avec en elle un air paniqué.

    — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Charles.

    — Je ne sais pas, répondit Rose en gardant un œil sur Marianne.

    — Allons voir ! s’exprima Bella.

    — Oui, allons-y ! rajoutèrent Alice et Raphaël.

    Ils allèrent rejoindre la reine Marianne dans la grande salle du trône et la virent assise sur son trône sans savoir ce qu’il se passera.

    La monarque demanda à son valet de vérifier si un piège était prévu.

    — Ouvrez la barrière et voyez s’il n’y a pas de pièges, je me méfie sérieusement de lui.

    — Bien Majesté, répondit son serviteur.

    Il ouvrit la barrière qui avait été appliquée par la souveraine une année plus tôt et observa si des pièges étaient potentiellement présents.

    Ils attendirent quelques minutes quand, tout à coup, les portes s’ouvrirent et envoyèrent un courant d’air d’une force similaire à un puissant ouragan. Le tonnerre et les nuages dominèrent la salle du trône et le roi apparut seul, suivi de ses soldats, son sceptre à la main et son aigle venant se poser sur sa puissante relique.

    Il marcha lentement vers elle et dit à la reine de Réas :

    — Je n’ai jamais rien demandé à toutes ces belles personnes. Son Altesse, le serviteur et… Il y a également les monstres qui ne se tiendront jamais, mais jamais devant moi ! dit-il avec son regard barbare.

    Alice voulut se jeter sur le roi, mais Rose la tint fermement.

    — Je t’offre un marché, reine Marianne, proposa le monarque de Palès.

    — Vos marchés ne sont pas intéressants, espèce de vieux démon déglingué du cerveau de porc ! cria Alice en s’énervant.

    — Vraiment ! Ah, et vous me dites ça ? Je pensais que ça pourrait vous intéresser ou même vous faire plaisir. Mais si c’est comme ça… répondit calmement le souverain en caressant doucement son aigle noir, tout en gardant son sang-froid.

    La proposition de Nomrad inquiéta fortement la reine et elle lui demanda quand même :

    — Je vous écoute, quel est votre marché ?

    Nomrad la regarda de ses yeux rouges et dit :

    — Je vous défie, sachez que quelque part dans l’archipel de Siatnerahc se cache une bague en argent, quiconque la trouvera devra renoncer à son royaume et le céder à l’autre ! s’exclama diaboliquement le souverain.

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