Poèmes pour célébrer la famille

Par Michel Miaille

L'auteur évoque, au travers d'une cinquantaine de poèmes, de situations ordinaires ou cocasses, la famille dans ce qu'elle a de mieux et quelquefois de moins bien.Sans doute, les lecteurs se reconnaitront-ils dans ces tableaux de tous temps même si, bien-sûr,beaucoup de choses restent à dire. Alors bonne lecture dans une croisière où se côtoient beaucoup de gens de nos familles.

• Langue: Français
• Éditeur: Michel Miaille
• Date de sortie: 8 janv. 2024
• ISBN: 9782492764196

Michel Miaille

Né le 15 janvier 1951 à Orange (Vaucluse, France)Poète, auteur de sketches, de textes de chansons et de pièces de théatre, membre de la Sacem.A obtenu plusieurs prix dans différents concours, a participé à des anthologies de poésie, a publié des poèmes dans plusieurs revues et sur plusieurs sites internetEcrit également en langue provençale de la poésie et du théatre.Membre d'un jury de poésie dans le cadre de journées du livre.A une passion spéciale pour la poésie du Moyen Âge notamment la ballade dont il a lui-même écrit plusieurs recueils

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Poèmes pour célébrer la famille

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           À tous les papas, les mamans, les tontons, les tatas, les

            cousins, les cousines, les nièces, les neveux

           À tous nos parents proches ou éloignés,

           À ceux que nous rencontrons tous les jours,

           À ceux que nous voyons une fois par an

           Enfin à tous ceux que nous aimons bien malgré tout

           Ces quelques petits poèmes pour les remercier d’exister

           Et leur dire que nous pensons à eux,

           Eux les gens de notre famille et de toutes les familles.

Avant-propos

La famille, ça fait partie des petits soucis quotidiens mais pourtant c’est une amie qu’on aime bien chantait Sheila en son temps; elle aurait pu ajouter: Familles si vous n’existiez pas, il faudrait vous inventer.

Certains disent qu’elle est, de nos jours, recomposée, décomposée, surcomposée ou même quasiment moribonde; c’est aussi cela l’évolution du monde. Pourtant combien de fêtes, d’anniversaires, de bons, de mauvais moments pourrait-on citer en son nom., elle la famille..

Ils sont là, on les attendait et on est très contents. Ils sont là et ils nous sortent des yeux. Qui ça, eux? Eh bien, nos chers parents, des plus proches aux plus éloignés, nos pères et mères et mères naturellement mais aussi tous les autres, proches et cousins éloignés. Ah que d’anecdotes à raconter, que de bons et mauvais souvenirs dans nos mémoires.

Un jour hélas, on s’aperçoit qu’on a vieilli et que la gueuse à la faux nous attend. Alors on la regrette, la famille, et on se dit qu’elle va nous manquer dans un-delà incertain ;qui sait, peut-être que les anciens, ceux qu’on a laissés au bord du chemin, nous y attendent déjà. Alors, comme le chantait François Valéry en son temps: Aimons-nous vivants.

Tiens, on a sonné. Ah j’allais oublier: c’est un lointain cousin

que je n’avais pas vu depuis longtemps: comment vais-je le trouver…et lui… comment va-t-il me trouver? Peu importe puisqu’on est de la même famille et qu’on a plein de choses en commun. Alors bienvenue à toi, cher ami et cousin.

                                                                              Michel Miaille

Au bord de l’eau

On arrivait au bord de l’eau

Les congés commençaient tantôt

On s’est tous jetés