À propos de ce livre électronique
Maxime Mallo
Parallèlement à son activité de Professeur, Maxime MALLO signe là son premier ouvrage. Celui-ci se présente sous la forme de textes poétiques qui illustrent les différents moments d'une vie ainsi que les états d'âme successifs qui les accompagnent. Il pose également un regard critique et humoristique sur la société.
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Avis sur La Rose Rouge
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Aperçu du livre
La Rose Rouge - Maxime Mallo
à Mic
Sommaire
Addiction
Couleur du temps
Ma petite herbe folle
Fin des faims
Renaissance
Amour découplé
Battre en retraite
Alter égaux
Coup de foudre
Rupture
Juste une question
Mes mirages
Auteur-Compositeur
De grâce
Entre Nous
Je manque d’elle
Regain
La Quête
Impression
Quatre vérités
La Rose Rouge
Amour retrouvé
Implosion
Corps et Âmes
Abandon
Incompatibilité de labeur
Caresses
Appel au vent
Bouteille à l’amour
36ème dessous de solitude Nord
Photographie
Aveu
J’en ai pris mon parti
Manipulation
Démon de l’ennui
Dans ton élément
Sans modération
Trou noir
Faveur
L’Amour majuscule
La valse déclaration
Sur la route de la vie
Na !
Nostalgie
Osmose
Choix de vivre
Première classe
Bon pied, bon œil
De source sûre
Starlette au haras
Surprise du chef
Etat des lieux
Parfums d’enfance
Chant du cygne
Tout compte fait
Tête à cœur
Protection rapprochée
Primaire
Tango des 50ème rugissant
Menus travaux
Existe en ciel
Contact
Addiction
Ici bas, rien ne vaut
Le satin de sa peau,
L’éclat de ses yeux noirs
Ou son si doux regard.
La vie n’a pas de sel,
Chaque instant, je me traîne
Quand je suis loin de celle
Qui coule dans mes veines.
Sans elle, je suis le chêne
Qui a perdu son roseau ;
Sans elle, je suis l’hymen
Qui a perdu son anneau.
Sans elle, je ne suis rien
Et je ne vais pas bien.
Je survis à grand peine
Avec, au cœur, mes chaînes.
Le temps s’écoule, mélancolique,
Il a perdu ses couleurs,
Je ne suis plus que spectateur,
Je suis devenu apathique.
Ni l’alcool, ni la drogue
Ne soigne ma souffrance,
C’est à devenir dingue
Et je suis sans défense.
Je ne sais le sort qui m’est réservé
Ni la durée de mon supplice
Mais je suis, je le sais,
Au bord du précipice.
Ma vie n’a plus de sens,
Je suis comme en enfer,
Je subis un calvaire,
Quelle sera l’échéance ?
Couleur du temps
Le silence me crie ton nom
Et moi je lui réponds.
La nuit me parle de Toi,
Elle me parle tout bas.
Elle me raconte une histoire
Sur son grand écran noir
Et je la connais par cœur
Le noir est la couleur du bonheur.
La nuit me parle d’avant,
Elle me rappelle un soir,
Un soir d’un autre temps
Où nous étions amants.
Nous parlions d’avenir,
Ecrivions notre histoire,
J’en ai le souvenir,
Le noir est la couleur de la mémoire.
J’avais ton cœur en perfusion
J’étais dans une autre dimension.
Nous n’avions pas de chaîne
Et pas de boulet,
J’étais à Toi, tu étais mienne,
On vivait comme on le voulait
Chaque nuit était de velours.
Le noir, c’est la couleur de l’amour.
La nuit me parle d’aujourd’hui,
De cette vie qui dégénère,
Il s’agit là d’une autre affaire,
D’une comédie douce-amère ;
L’amour a fait place à l’ennui,
Au ciel gris, au cœur meurtri,
Je vous le dis et c’est notoire,
Le noir, c’est la couleur du cafard.
La nuit me parle de demain,
Elle me montre un autre chemin,
Elle me livre ses projets,
Me raconte tous ses secrets.
Oubliés tous les regrets
Et moi je veux bien y croire,
Le noir, c’est la couleur de l’espoir.
La nuit me parle de ta voix,
De tes yeux noirs, de ton parfum,
De nos caresses, de nos ébats,
De joie et de Dolce Vita,
Désormais, je vous le dis,
Le noir, c’est la couleur de la vie.
Ma petite herbe folle
Avec le vent, demain,
Viens prendre ton envol
Pour fleurir mon jardin,
Ma petite herbe folle.
Je voudrais qu’au matin
Tu traverses le sol,
Tu ouvres ta corolle,
Que tu prennes ma main.
Je savoure ton parfum
Quand tu es dans mon jardin,
A l’abri, sous mon parasol,
Ma jolie petite herbe folle.
Ma petite herbe folle,
Tu cours comme un liseron
Dans mon cœur et dans mes chansons
Où tu danses en farandole.
Sans toi, mon herbe folle
Je m’éteins, je m’étiole
Je ne sais d’où je viens
Et je perds mon latin.
Mais quand vient le printemps,
