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Comment réussir sa vie active ?: Avec ou sans diplômes et expériences
Comment réussir sa vie active ?: Avec ou sans diplômes et expériences
Comment réussir sa vie active ?: Avec ou sans diplômes et expériences
Livre électronique297 pages2 heures

Comment réussir sa vie active ?: Avec ou sans diplômes et expériences

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À propos de ce livre électronique

L'origine de toutes les grandes richesses personnelles puise ses racines d'une source de revenus "primaires" stable, qu'elle soit acquise par vos efforts personnels ou issus d'un héritage familial.

De nos jours, la première source de revenus la plus fiable est celle issue du salariat à travers le CDI (contrat à durée indéterminée).

Ce livre vous montrera comment plaire aux recruteurs afin d'obtenir votre CDI et débuter la construction de votre patrimoine de manière saine.

Vous apprendrez notamment à :

- Devenir un candidat charismatique qui plaîra aux recruteurs ;

- Mettre toutes les chances de votre côté pour signer votre CDI ;

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- Investir et vous forger très tôt un patrimoine conséquent ;

- Diversifier vos investissements pour toujours gagner plus (Bourse, cryptos, NFTs) ;

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Plus qu'un livre pratique, c'est un livre motivant, inspirant, et spirituellement enrichissant, qui (à coup sûr) vous permettra d'avoir l'avenir qui vous correspond, que vous débutiez avec ou sans expériences et diplômes.
LangueFrançais
Date de sortie17 nov. 2021
ISBN9782322386437
Comment réussir sa vie active ?: Avec ou sans diplômes et expériences
Auteur

Irvin J. Deffieu

Irvin J. DEFFIEU est un écrivain, intellectuel et entrepreneur français évoluant dans l'entrepreneuriat, le salariat, l'investissement, l'édition, le coaching de vie et la spiritualité. Sensible au monde extérieur et aux événements qui y sont corrélés, il use de ses réflexions personnelles pour rendre le monde meilleur au quotidien, notamment pour celles et ceux qui auraient oublié qui ils sont vraiment. La devise d'Irvin est simple : "Lorsqu'on arrive à un résultat, on optimise parce qu'on peut toujours faire mieux, et lorsqu'on arrive à un échec, on optimise parce qu'il faut faire mieux". Actuellement, Irvin vit à Lille et chaque jour, il permet aux personnes réceptives à la devise "QUI JE SUIS VRAIMENT" d'améliorer la relation et la confiance qu'elles peuvent avoir en elles, dans leur vie professionnelle, personnelle et spirituelle.

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    Aperçu du livre

    Comment réussir sa vie active ? - Irvin J. Deffieu

    CHAPITRE 1 – LES 5 PHASES DE LA VIE MODERNE

    INTRODUCTION

    La vie est un voyage dont il est nécessaire de connaître les coordonnées géographiques du présent pour mieux anticiper le futur.

    Savoir où nous sommes actuellement améliorera notre faculté à créer notre avenir, c’est indéniable.

    Les cinq phases que je vais vous présenter sont le fruit de mes observations vis-à-vis de notre société moderne, mais ne représente en aucun cas un schéma ultime de la vie dans son incroyable complexité et généralité. Car en effet, celui-ci peut varier en fonction de la richesse du pays, des idéologies ou encore de l’époque dans laquelle nous vivons.

    Voyons rapidement les différentes phases avant de rentrer dans le détail de chacune d’entre elles :

    Phase 1, incubation, croissance & apprentissage : allant de 0 à environ 22 ans ;

    Phase 2, la vie active sans enfants : allant de 23 à environ 29 ans ;

    Phase 3, la vie active avec enfants : allant de 30 à environ 61 ans ;

    Phase 4, la retraite : allant de 62 à environ 80 ans ;

    Phase 5, la dépendance : allant de 81 à environ "advienne que pourra, seule la vie en décidera".

    Vous vous demandez certainement comment j’ai trouvé les fourchettes d’âges de chacune de mes phases ? Rien de plus simple : après avoir soigneusement défini mes phases, je me suis rendu sur le site de l’Insee afin de trouver les différentes moyennes d’âge de chaque phase, pour les hommes comme pour les femmes. Ensuite, j’ai additionné les moyennes des femmes avec celles des hommes, puis j’ai divisé par 2.

    Il n’y a que pour la moyenne du 1er enfant que le calcul a été différent. En effet, je me suis basé sur la moyenne d’âge des femmes à l’accouchement entre 1994 et 2020, il m’a ensuite suffi de faire la moyenne de l’ensemble de ces années pour tomber sur le nombre de 30.

    Ne vous focalisez pas sur l’exactitude des tranches d’âges, car elles ne sont là qu’à titre indicatif. Le plus important est de comprendre comment les différentes phases s’imbriquent et s’enchaînent. Si vous avez compris cela, c’est suffisant.

    D’autant plus que les âges peuvent varier en fonction du profil de chaque individu, il y a des personnes qui vont commencer à travailler dès 16 – 17 ans, alors que d’autres vont rentrer dans la vie active à partir de 28 ans, de même pour le 1er enfant, les retraités, et ainsi de suite ; souvenez-vous que ça reste une moyenne générale.

    Rentrons maintenant dans le détail de chaque phase.

    PHASE 1 – INCUBATION, CROISSANCE & APPRENTISSAGE

    C’est une phase de dépendance régie par deux institutions :

    L’institution scolaire ;

    L’institution familiale.

    Les deux fonctionnent de manière indépendante, mais s’influencent mutuellement.

    Il faut également noter que les domaines d’apprentissage divergent. Grâce à mes observations et à mon expérience personnelle, j’ai pu déterminer que le cadre familial sert à recentrer l’individu, en lui donnant non seulement des règles et attitudes de bonne conduite, mais aussi une sécurité affective et physique. Ces règles lui permettront de s’épanouir personnellement, ainsi que de développer un esprit critique dans le respect des idéologies de chacun, lui permettant de se préparer aux aléas de la vie. Quant à elle, l’école sert à lui fournir une base intellectuelle commune, puis spécialisée pour, d’une part rentrer dans les standards de la société et d’autre part, s’y faire une place, tant sur le plan professionnel qu’économique.

    Revenons quelques instants sur cette fameuse phase 1, qui s’étend de la naissance jusqu’à 22 ans environ.

    C’est une phase qui est à la fois importante et sensible dans notre vie.

    Importante, car elle influence et modifie notre avenir à jamais ; demandez à n’importe quel psychologue et il vous dira que le comportement d’un individu est l’expression de ses expériences passées.

    En ce sens, notre passé définit notre avenir, tout en confortant notre présent.

    Sensible, car nous ne décidons pas de ce qui s’y passe. Durant cette période, nous ne sommes pas maîtres de nos actes au quotidien, nous pouvons avoir des préférences, mais elles seront soumises à validation d’un ou plusieurs tiers.

    Exemple : au début de notre vie, nous ne décidons pas comment nous restaurer, ou nous habiller, le choix est fait par nos parents. De même pour l’école, nous ne décidons pas de ce que nous allons vraiment apprendre ; un programme scolaire de base existe et il est le même pour tout le monde ; c’est ce que l’on appelle le socle commun de connaissances, de compétences et de culture. Il en va de même lorsque l’on fait des études supérieures.

    Ce n’est que lorsque nous prenons de l’âge que nous avons la liberté de demander la permission, de choisir, puis de décider. La différence est importante, car si vous décidez, cela signifie que vous allez au bout de votre choix, alors que si vous demandez la permission, votre choix sera soumis à la décision d’une tierce personne.

    La liberté de choisir, quant à elle, se base sur ses préférences, vous pouvez choisir entre une solution A ou une solution B, mais celle-ci reste au stade de projection et nécessitera une force de décision pour finaliser l’action.

    Généralement, la liberté de décider arrive lors du passage à la vie active et de l’accession à son indépendance économique vis-à-vis de sa famille : quitter le foyer familial et ne plus dépendre économiquement de ses parents est donc fondamental.

    Plus vous avez d’argent et plus votre liberté de décision augmente. Qu’on le veuille ou non et ce n’est un secret pour personne, l’argent est au centre de notre vie et de nos libertés. Sans argent, nous ne pouvons pas vivre. L’argent n’est ni bien, ni mauvais, c’est une énergie. C’est la manière dont nous allons l’utiliser qui va définir son bien-fondé ou non.

    Durant la phase d’apprentissage, vous serez comme dans un incubateur, en perpétuelle observation. Vous ne passerez pas à l’action, car l’objectif est de vous préparer à votre future vie active. Le risque de cette incubation est l’altération de la réalité, c’est-à-dire que cette phase modifie votre perception de la vie active en la rendant plus belle qu’elle ne l’est réellement. Un exemple simple : le système scolaire, en particulier vers la 1re ou la terminale, vous fait miroiter un accès à l’emploi presque privilégié avec un salaire confortable en fonction du métier choisi.

    En pratique, il est très rare qu’un employeur vous paie le montant estimé par les livres ou sites spécialisés sur les métiers.

    Pourquoi ? Car le coût d’un salarié augmente chaque année (montant du SMIC, revalorisation des cotisations salariales et patronales, etc.), ce qui force les chefs d’entreprise à payer et recruter moins. Par contre, les estimations faites par les sites ou livres scolaires, eux, ne prennent pas en compte ce paramètre.

    Donc très souvent, les jeunes sortant de cette phase subissent un choc violent lors du passage à la vie active.

    L’école et la famille ne préparent pas un individu émotionnellement mais intellectuellement. Il n’existe aucune activité scolaire permettant de maîtriser ses émotions, d’affûter sérieusement son esprit d’équipe, de gérer une situation de crise, car il est très compliqué de théoriser ce genre d’éléments. Ajoutez à cela la peur d’effrayer le futur actif quant à la réalité de la vie active, et vous vous retrouverez avec des jeunes démunis face à leur avenir.

    Notre système actuel commence de plus en plus à comprendre l’urgence du problème. C’est pour cela qu’il a mis en place des semaines d’immersion en entreprise pour mieux préparer les élèves à cette future vie. Prenez comme exemple la séquence d’observation en milieu professionnel obligatoire pour les 3e.

    Mais est-ce suffisant ? Rien n’est moins sûr.

    Par ailleurs, vous vous souvenez du trio des libertés que je viens de vous présenter ? Liberté de permission, de choix et de décision ?

    Eh bien le passage à la vie active marque un cap important vers la liberté, ou plutôt une augmentation de la liberté de décision, se traduisant par une rupture du cadre familial au profit de la création d’un cadre personnel plus important.

    Mais de nombreux jeunes tombent dans un piège sournois en lien avec ce changement, celui de la surconsommation et de la mauvaise maîtrise financière. Voyons celui-ci en détails dans la prochaine partie.

    PHASE 2 – LA VIE ACTIVE SANS ENFANTS

    Le début de cette phase est sensible, car on sort d’un cadre de dépendance familiale et scolaire sécurisant pour rentrer dans un cadre d’indépendance beaucoup plus intimiste qui, s’il est mal abordé, peut devenir instable.

    De nombreux jeunes en font la mauvaise expérience et se retrouvent à la limite du naufrage avant même d’avoir commencé.

    Et cela se traduit souvent par une détresse financière importante. En effet, lorsque nous passons d’une liberté de permission et de choix à une liberté quasi-totale de décision, notre pouvoir augmente. Car pour la 1re fois, on fait l’expérience de pouvoir acquérir ce que l’on veut de A à Z, sans passer par l’autorité d’une tierce personne.

    Mais voilà : le problème est que l’on peut très facilement déraper, car dans le système que nous connaissons tous, celui-ci est conçu pour nous pousser à la (sur)consommation.

    La seule force qui peut, dans une certaine mesure, décider à notre place, c’est la force de notre portefeuille financier. C’est-à-dire que nous devons demander à notre compte en banque si nous pouvons acheter telle ou telle chose. Et si nous n’en avons pas les moyens, nous devrons économiser pour y arriver.

    Mais en pratique, les facilités de paiement, les autorisations de découvert, les crédits consos et j’en passe, sont des armes fatales, permettant d’augmenter nos libertés de décision et donc d’achat. Résultat ? De nombreux jeunes ne se fixent pas d’objectif et consomment plus qu’ils ne le devraient. On peut donc devenir très endetté à un très jeune âge, ce qui ne présage rien de bon pour l’avenir.

    La maîtrise de votre vie passe par la santé de votre compte en banque. Le seul emprunt positif que vous devez faire est celui qui est orienté sur les investissements immobiliers ; autrement, prenez votre mal en patience et abstenez-vous de faire des achats impulsifs.

    La vie active est régie, pour la grande majorité d’entre nous, par le système capitaliste. Nous sommes sous l’autorité d’une entreprise, d’un ou de plusieurs responsables, et nous devons nous allier avec des collègues (que nous appelons collaborateurs pour faire plus chic). En plus du défi économique que je vous ai présenté précédemment, le jeune actif doit faire face à une pression sociale importante et à une remise en question de sa force de décision sur différents aspects de sa vie.

    Par exemple, un salarié a la liberté de choisir ses jours de congé, mais ce n’est que son supérieur hiérarchique qui peut décider si oui ou non, il peut les prendre.

    Sans transition, l’individu fera très tôt l’expérience de l’indépendance avec tous ses avantages et ses inconvénients.

    Hé oui ! Maintenant, il faut payer des impôts, ses propres factures, gérer ses comptes et j’en passe (je vous rassure, vous saurez comment faire en lisant ce livre).

    Ce n’est pas quelque chose que l’on apprend sur les bancs de l’école, malheureusement ! On l’apprend donc sur le tas. C’est ici qu’un encadrement externe et bienveillant peut être d’une grande aide.

    Cette phase allant de 23 à 29 ans environ reste tout de même très flexible. Car nous n’avons la responsabilité d’aucune autre personne. En d’autres termes, vous vous suffisez à vous-même et vous avez juste à gérer le bout de votre nez, rien de bien méchant. Cela vous permet de prendre beaucoup plus de risques calculés, et donc d’entreprendre avec beaucoup plus de ferveur que si vous aviez la responsabilité d’un enfant par exemple.

    Nous y reviendrons, mais c’est durant cette phase que je vous conseille de capitaliser sur vos passions pour construire un ou plusieurs business vous permettant de générer un complément de revenu plus ou moins important.

    De même, cette phase est propice aux voyages et à la découverte. Si vous la zappez, il faudra attendre la phase 4 (la retraite) pour y retourner.

    En effet, on ne voyage pas de la même

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