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Un bébé, un combat pour la vie: Endométriose, opérations, rupture utérine, prééclampsie
Un bébé, un combat pour la vie: Endométriose, opérations, rupture utérine, prééclampsie
Un bébé, un combat pour la vie: Endométriose, opérations, rupture utérine, prééclampsie
Livre électronique59 pages59 minutes

Un bébé, un combat pour la vie: Endométriose, opérations, rupture utérine, prééclampsie

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À propos de ce livre électronique

Un jeune couple rêve d’avoir des enfants et de construire une famille… Entre les épreuves de tout genre et une maladie inquiétante, la vie ne sera pas simple pour nos deux tourtereaux. Toutefois, ils croient aux miracles et ce livre est pour eux l’occasion d’en témoigner. Vivez entre ces lignes les aventures de cette famille, lesquelles pourraient vous réserver bien des surprises.

À PROPOS DE L'AUTEURE

Laisser une trace écrite de sa vie, graver dans la postérité l’histoire de sa famille, passer un message à toutes les femmes atteintes de l’endométriose, telles sont les motivations de Justine Authevelle quand elle donne vie à ce livre.




LangueFrançais
Date de sortie15 oct. 2021
ISBN9791037737250
Un bébé, un combat pour la vie: Endométriose, opérations, rupture utérine, prééclampsie

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    Aperçu du livre

    Un bébé, un combat pour la vie - Justine Authevelle

    Justine Authevelle

    Un bébé

    un combat pour la vie

    Endométriose, opérations, rupture utérine, prééclampsie

    Roman

    ycRfQ7XCWLAnHKAUKxt--ZgA2Tk9nR5ITn66GuqoFd_3JKqp5G702Iw2GnZDhayPX8VaxIzTUfw7T8N2cM0E-uuVpP-H6n77mQdOvpH8GM70YSMgax3FqA4SEYHI6UDg_tU85i1ASbalg068-g

    © Lys Bleu Éditions – Justine Authevelle

    ISBN : 979-10-377-3725-0

    Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Je dédie ce livre à toutes les femmes atteintes de la maladie de l’endométriose, à toutes les jeunes mamans qui ont eu du mal à devenir mamans, et à ces femmes qui tous les jours accomplissent avec talent leur rôle de mère.

    Pour elles, Pour eux…

    Je m’appelle Justine, j’ai trente ans et un lourd passé contre l’endométriose et le fait de devenir un jour maman. Et cette histoire, je vais vous la raconter.

    Le 4 janvier 2015

    Tout commence en janvier 2015, je n’avais alors que 25 ans, beaucoup d’amis, je travaillais dans une société depuis quelques années en tant que comptable. À l’époque, j’étais en couple et tout se passait bien, mais il ne voulait pas d’enfant !

    Au début de notre relation, cela ne me dérangeait pas. Je n’avais que 22 ans et je n’étais pas prête à être maman. Cependant, au fil des années, le besoin de devenir mère chez les femmes grandit, je ne sais pas pourquoi mais nous nous assumons plus et nous devenons plus responsables, donc on pense pouvoir assumer le rôle de mère. Pour ma part, ce n’était malheureusement que de mon côté, pas du sien. Donc je savais qu’un jour notre relation allait se terminer. Un jour, comme les autres, je me réveille pour aller travailler, je prends ma voiture et passe ma journée de travail sans aucun problème jusqu’à ce que mon ventre me fasse mal. Au début, je pensais à un mal de ventre bénin sans importance, une bonne gastro. Pourtant, la douleur s’est accentuée au fil des jours. Un mardi matin, je me rends donc chez mon médecin traitant pour qu’il m’examine. Son verdict est sans appel, je dois faire une échographie car il pense à un kyste ovarien. Je n’ai jamais eu de problème de santé particulier jusque-là, mais tout ce qui se rapportait aux ovaires j’en avais peur, car ma grand-mère maternelle est décédée d’un cancer des ovaires à l’âge de 43 ans et ce problème peut être héréditaire. Je n’étais donc pas très à l’aise à l’idée d’avoir quelque chose à l’ovaire et un peu paniquée.

    Quelques jours plus tard, je me rends à l’hôpital de Chalon-sur-Saône, je vois donc ce cher médecin, un peu froid d’apparence mais quelqu’un de très sérieux qui m’explique très bien la situation dans laquelle j’étais :

    Dans ma tête, je me suis dit « ah oui quand même ! »

    Forcément, cela a débouché sur une date opératoire pour enlever ce merveilleux kyste qui me faisait tellement souffrir.

    Le 7 février 2015

    Je suis stressée et d’un autre côté, impatiente que cette douleur s’apaise enfin. Une douleur assez désagréable comme des coups de poignard dans le bas ventre.

    Il m’emmène au bloc opératoire et je m’endors. Ils ont pratiqué une célioscopie, c’est-à-dire qu’il ouvre au niveau du nombril et qu’ils font deux trous de 2 cm de chaque côté du ventre pour en introduire un appareil afin d’enlever le kyste. Comme ça, cela paraît affreux, mais en réalité le réveil s’est bien passé, pas de douleur particulière. À la suite de ces quinze jours de convalescence, le premier arrêt maladie de ma vie, un comble ! Puis la vie reprit tranquillement. Mon couple commençait à battre de l’aile, mon compagnon était de plus en plus distant et fuyant. Et un jour, d’un commun accord, nous avons décidé de nous séparer car cela n’allait plus de son côté. Je me suis donc repris un petit appartement pour moi et mon chien Izy. Et oui, j’ai un chien de 2 ans, un beagle, magnifique et adorable, jamais une bêtise, une grosse patate tranquille qui par contre adore manger !

    Commence alors une vie de célibataire. J’ai vécu une période un peu fêtarde dans mon passé, beaucoup de sortie, copains, boîte de nuit et beaucoup d’aventure sans lendemain (et oui, il

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