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Le soleil brille pour tout le monde: Tome I
Le soleil brille pour tout le monde: Tome I
Le soleil brille pour tout le monde: Tome I
Livre électronique496 pages7 heures

Le soleil brille pour tout le monde: Tome I

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À propos de ce livre électronique

L’ouvrage essaye de démontrer comment l’amour, la justice, le respect de l’autre, la patience, l’honnetété, la perseverance aide positivement à s’épanouir dans la paix totale, alors que le contraire engendre la haine, la vengence, et surtout la guerre. Réléver les défis n’est jamais impossible si le courage, conduit par la Foi, et la determination y est associé. Puisque, le soleil brille pour tout le monde, tout serait possible, si on sait exploiter toutes nos potentielités.
LangueFrançais
ÉditeurLes Editions Chapitre.com
Date de sortie6 nov. 2017
ISBN9791029007743
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    Aperçu du livre

    Le soleil brille pour tout le monde - Marot Mbala

    cover.jpg

    Le soleil brille pour tout le monde

    Marot Mbala

    Le soleil brille pour tout le monde

    Tome I

    Les Éditions Chapitre.com

    123, boulevard de Grenelle 75015 Paris

    © Les Éditions Chapitre.com, 2017

    ISBN : 979-10-290-0774-3

    Préface

    L’auteur est avant tout l’heureux père d’une famille heureuse. Une Femme, cinq Enfants, une Belle Fille, et déjà quatre Petits-enfants… qu’il affectionne. Et par-dessus tout l’Amour de l’Eternel Dieu qu’il manifeste au cours de son récit à l’Africaine, avec des rebondissements inattendus ! Une longue histoire où l’Afrique défile à travers ses coutumes, son folklore, et surtout avec son Amour… Mais, tout au long de l’histoire qu’il raconte, l’auteur s’arrange toujours pour cheminer avec l’Eternel Dieu. Ce premier livre et les suivants qui prendront l’allure d’une amusante épopée, s’accrochent à la Bible… But principal de son message d’écrivain. Je lui ai dit d’être bref, il le sera. Il ne faut pas noyer l’histoire vraie dans des réflexions superflues.

    ***

    Alors ? Sketches – ou narrations – ou histoires vraies ? Notre ami nous livre les secrets d’Amour de son pays, dont le sens vantable s’appuie sur la Bible, réinventée au XXIe siècle ! Parce que le bon Dieu est l’Eternel, et qu’il a su créer l’Amour au sein de cette famille heureuse où tous participent au livre de Papa, qui devient « livre familial ».

    ***

    Les enfants dessinent l’illustration des chapitres, d’autres racontent l’histoire de l’Éternel Dieu, à leur mesure. C’est une orchestration familiale avec le sourire de chacun…

    Chers lecteurs, à vous de sourire aussi, en lisant ces lignes…

    Même si elles restent naïves et maladroites, elles sont écrites avec un cœur souriant, aimable, et heureux d’apporter du sien pour votre rencontre indirecte avec le « SEIGNEUR » qui procure le sourire éternel.

    Je vous souhaite une très bonne rencontre avec Dieu.

    B. de R-

    Introduction

    Le livre que vous avez en mains, est le début d’un long chemin à parcourir ensemble avec vôtre serviteur. Avec vous qui l’accompagnez par la voie de la lecture, il va à la conquête du sommet presque inaccessible du mont de la satisfaction. L’objectif de cette expédition est celui de permettre, aux hommes et aux femmes qui l’accompagnent de vaincre le vertige et le mal de l’ascension, incarnés ici par l’insatisfaction.

    Pour vaincre ce mal, nous allons donc chercher à nous hisser sur le sommet du mont de la satisfaction. Le succès de cette expérience serait le couronnement de vôtre serviteur, et de toute son équipe. C’est à dire, de l’auteur, présenté ici comme l’expéditionnaire, de sa Femme, de ses enfants, ses petits enfants, de tout le monde qui a apporté du sien pour la réalisation de cet œuvre, et de vous lecteurs qui forment l’équipe de cette expédition. Ainsi dans le briefing d’avant le départ de l’expédition, l’expéditionnaire dit ceci à l’égard de ceux qui, librement ont choisi de l’accompagner à travers la lecture de son ouvrage : Si nous remplissons notre tâche de satisfaire les lecteurs, qui sont notre cible principale, nous en remercions d’avance le TRÈS HAUT. Si nous ne la remplissons pas comme souhaité, tant mieux car, c’est ce que nous avons pu faire. Nous en remercierons toujours le TRÈS HAUT, pour nous avoir donné les moyens d’essayer. Dans ce cas, nôtre satisfaction à nous serait Alors celle d’avoir au moins essayé de satisfaire. Donc, d’une manière ou d’une autre, nos remerciements ne pourront avant tout aller qu’à l’ÉTERNEL BON DIEU d’abord, et à ceux qui, de près ou de loin nous ont apporté leur aide. Puisque, le temps de l’expédition approche, que chacun emporte alors avec lui sa corde de sécurité, et son sac de secours de montagne. C’est très important de ne pas oublier de prendre le temps de s’assurer si oui ou non, qu’on est bien sûre de vouloir s’y engager, tout en terminant la réflexion par demander l’assistance du BON DIEU. Bien, dans ce cas, nous nous fixons alors rendez-vous au point de notre départ, qui est en l’occurrence le pied du mont de la satisfaction, que nous allons défier colle par colle, jusqu’à son sommet. Une fois au sommet de ce mont, nous lancerons tous et toutes ensemble le cri de joie de la satisfaction, sous forme d’un message comme ; « Le soleil brille pour tout le monde ».

    Bonne distraction

    Chapitre 1

    Ce chapitre lance une sorte d’invitation générale au respect et à l’acceptation mutuelle, interprétée en grande partie par les eaux. Il nous raconte comment une vie humaine se fait toujours accompagner de réussite et d’échec, de haut et de bas. Si le haut est toujours associé à la réussite, le bas est quand à lui toujours associé à l’échec. Dans les deux cas, il y a toujours une cause, sinon, une justification. Ainsi, fait-on des éloges à ce qui est à la base de la réussite, et des reproches à ce qui est à la base de l’échec. Bien souvent, l’échec est la faute de l’autre, pendant que la réussite est le fruit d’effort perso (?). Dans tous les cas, c’est un engagement tenu, ou non tenu qui est toujours à la base d’une réussite, ou d’un échec. Dans un cas ou dans un autre, l’engagement dépend de la façon dont l’homme ou la femme compte utiliser la confiance investie en lui ou en elle. Or, on sait que la confiance est gouvernée avec garantie par l’amour du prochain, l’un de deux principaux commandements du SEIGNEUR DIEU, selon le vingt et deuxième livre de Saint Mathieu, aux versets trente et six, à quarante. Cette gouvernance, est elle-même assujettie aux actions et aux objectifs des acteurs qu’on s’est choisi, pour atteindre l’objectif qui consiste à satisfaire ceux et celles qui ont investi leur confiance en l’autre. Et tout le monde le sait bien que, partout où il y a un objectif à atteindre, on se bute aussi souvent aux imprévus. Ces imprévus mènent positivement ou négativement l’être humain vers l’engagement à prendre ou à tenir. Le respect d’un engagement passe par l’amour de son prochain, alors que, le non respect de ce même engagement ne passe pas nécessairement par le manque d’amour envers son prochain, mais par le non respect des règles qui caractérisent son exécution. Une fois que les règles de cet amour du prochain sont respectées, les résultats qui en découlent sont remarquables, « aux yeux » de soi même, de son prochain, et de tout le monde. Tout en vantant ou en regrettant les résultats obtenus, on est toujours fier du travail accompli avec le respect et l’amour de son prochain. Bien sûre que, l’avis positif ou négatif des uns sur les actes des autres, n’est pas toujours unanime. Un avis positif est toujours l’objet des félicitations, alors qu’un avis négatif fait toujours objet des critiques. L’essentiel n’étant pas les bons ou les mauvais résultats obtenus, ni les félicitions ou critiques tirées mais, le fait d’avoir osé. Oui, le fait d’avoir osé faire du bien, osé satisfaire les autres, c’est cela l’essentiel dans la vie d’une personne. Ne dit on pas « Qu’un bien fait n’est jamais perdu ? » Cela étant, gens libres ou prisonniers, serviteurs ou esclaves de l’ETERNEL DIEU, croyants ou non croyants, coupables ou innocents, employeurs, employés, ouvriers, dirigeants, dirigés, Sacrificateurs/Prêtres, fidèles, civiles, militaires, Politiques, pour ne pas dire que, tout être vivant sur cette planète terre doit impérativement savoir et reconnaître que ; *Le Soleil Brille Pour Tout le Monde*.

    Oui, d’accord ou pas d’accord, le soleil brille et brillera toujours pour tout le monde, et non pour une seule poignée des gens, comme le croit honteusement une certaine minorité d’hommes et de femmes des différentes communautés dans le monde.

    L’ouvrage à votre porté, vise spécifiquement la morale humaine ternie par les intérêts égoïstes et personnels, qui font qu’un certain nombre des gens pensent que, le soleil ne brille que pour eux. Les gens qui pensent ainsi sont en majorité dépourvus du sens de remord, pour fouler aux pieds ce qui ferait aussi tant soit peu le bonheur des autres. Surtout ceux qui de près ou de loin leur ont fait confiance, en investissant leur espoir, et leur confiance en eux. D’autre part, le soleil brille pour tout le monde dénonce ce qui ronge nos valeurs. Pourtant, la diversité des traditions et des cultures nous donne une très vaste étendue de possibilité et de manœuvre d’exploitation, pour une vie meilleure. « L’amour, la fraternité, l’amitié, la camaraderie, les rencontres et la politique etc.… » devraient conduire l’homme, à mieux véhiculer le riche message du bien fondé de l’héritage sur la diversité des traditions et des cultures, mais…

    Si nous sommes fiers de nos ancêtres, c’est parce que ceux-ci, nos ancêtres donc, ont su se mettre à la hauteur de la mesure dimensionnelle de cette fierté avec laquelle nous les honorons aujourd’hui. Afin de ne pas remettre en cause la valeur de l’amour, de la bonté, de la gratitude, de la reconnaissance, et du respect mutuel, hérité de nos aïeux, nous devons à notre tour vouloir que nos futures enfants nous honorent, sans risque de polémiques contradictoires au sujet de ce que nous leur lèguerons comme héritage. C’est-à-dire, laisser à nos futurs descendants, un héritage non controversé mais, historiquement digne de la grandeur morale de l’héritage que nous avons nous mêmes reçu de nos aïeux.

    Or, nous remarquons jusqu’ici que, les plus connues des dérives humaines d’il y a plus ou moins un siècle ne donnent pas encore assez de matières à réflexion à beaucoup d’entre nous qui vivons encore sur cette planète Terre. Ceux-ci s’efforcent bien au contraire à dissimuler, ou à falsifier la réalité de l’histoire, en prônant le discours soit de la négation, soit de l’ignorance volontaire ou involontaire sur différents sujets de dérives humaines, d’il y a plus ou moins un siècle à peine. Avoir une meilleure vie sur la terre des hommes n’est pas garantie par le fait de se sentir plus fort ou plus faible, plus riche ou plus pauvre, plus intelligent ou ignorant que son prochain.

    La PAIX n’a qu’un seul prix : Le respect mutuel, guidé sans faille par l’amour du prochain.

    C’est donc cela le message principal que lance l’auteur du « Soleil Brille pour tout le Monde ». Sans vouloir donner une leçon à quiconque, nous invitons seulement le peu des gens qui entreront en contact avec notre œuvre, à reconnaître que, seul le respect mutuel dans l’amour de son prochain donne la paix. L’orgueil, la faiblesse, la puissance, le mépris, les armes, n’accordent jamais la paix mais, cultivent la haine et l’esprit de la vengeance.

    Tenez, l’Afrique où les richesses sont immenses, est devenue le berceau de tous les maux et de la misère. C’est d’ailleurs cette richesse qui va déclencher la raison d’être de tous les fléaux dont l’Afrique est, ou, a été victime, comme L’esclavage, et le colonialisme conduits par l’Occident, qui n’aime l’Afrique et l’Africain que pour les exploiter et leur ôter leur dignité humaine. Le contraire est impensable, pour l’homme blanc, qui pense qu’il est plus que l’Afrique et l’Africain, alors que c’est l’Europe qui dépend plus de la richesse de l’Afrique et de l’Africain, que le contraire. À tout ceci ajoutons-y les différents conflits dont l’Africain corrompu, est lui-même en partie responsable, contrairement à ce qu’il a toujours pensé.

    Qui s’en doute, n’a qu’à s’informer sur ce qui s’est passé, et ou, qui se passe encore chez nous en Afrique, et ailleurs dans le reste du monde. En effet, par manque de l’amour de son prochain, l’Africain commet des atrocités sur ses propres compatriotes. Ces atrocités finissent bien sûr par donner aux autres l’opportunité de se moquer de l’Afrique et de l’Africain, sous toute forme d’action entreprise, ou non entreprise. Il suffit seulement que les malfaiteurs Africains profitent sagement des actions positives ou négatives entreprises ou pas, par la communauté internationale, pour se voir être propulsés au rang de « héros », par la naïveté circonstancielle, le manque de maturité de conscience, et par la corruption de ses victimes. En exemple nous osons citer le cas de ce qui s’est passé ; sur la bande d’Aouzou, au Tchad, dans les années 80. Kadhafi annexe de force le territoire Tchadien qu’il convoite à cause de sa richesse en pétrole. Il défie à ce sujet toutes les armées Africaines de l’époque, qui par leurs dirigeants interposés, lui signifient mais en vain, que ce qu’il vient de faire n’était pas digne d’un fils d’Afrique. À cette époque, seul le maréchal Mobutu, et sa vaillante armée viendront en aide aux Tchadiens, pour récupérer leur territoire annexé de force par la Libye conduite des mains de maitre par Kadhafi. Cette victoire de Mobutu et son armée sur Kadhafi et son armée, coute la vie à des centaines voir des milliers des soldats du Zaïre/Congo, du Tchad, et de la population civile présente sur le territoire de la bande d’Aouzou, sans oublier les victimes indirectes du conflit. Plus ou moins dix ans après, celui qui a annexé la bande d’Aouzou, en y faisant crépiter les armes, la désolation, et la mort inutile, est proclamé, « Héros » du Panafricanisme. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, comme,…

    2. Au Darfour (Soudan) ; Où on est d’office condamné à mort par le simple fait qu’on soit noir de peau, et ou de conviction Chrétienne. Les bourreaux, et les maitres de ce jeu mortel, qui ne tue que des innocents, noirs, Chrétiens, et les gens au cœur riche en amour de son prochain, ces bourreaux et ces maitres de ce jeu mortel sont connus, mais… toutes les communautés concernées ont préféré et parvenu à faire ce qui était le plus difficile à faire, et n’arrive pas à faire ce qui est facile à faire. L’arrestation ou la mise en état de ne plus nuire, de la minorité qui sème la mort dans ce coin riche en sous-sol. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, comme,…

    3. À l’est du Congo Kinshasa ; où le scandale géologique naturel génère des tensions multiformes, qui déchirent et tuent la population d’une manière abusive, que nulle part ailleurs dans le monde, toutes les communautés sont d’accord sur un seul point : comment continuer à arroser ce riche sous-sol du sang des innocent, afin que ce sol ne cesse de donner aux plus forts et aux plus rusés, le moyen de s’enrichir d’avantage ! Alors que la force d’interposition de l’ONU n’a jamais apporté de paix, là où il intervient, on mobilise par ruse, la plus importante force qui n’a jamais été mobilisée dans un quelconque conflit dans le monde. Conséquence de cette mobilisation, plus des morts, et plus des dépenses inutiles. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, comme,…

    4. au Nigeria, où après la guerre de Biafra, les innocents meurent sous les balles d’un groupe des gens, qui veulent imposer aux autres, leur manière de penser, et de faire. Sinon, si vraiment nous croyons en le Bon Dieu qui Juge et condamne, pour nous envoyer soit en enfer, soit au Paradis, alors pourquoi ne pas lui laisser son droit de nous juger, lui qui est juste, comme nous le dit le sixième livre des Juges d’ISRAËL, du verset vingt et cinq, jusqu’au verset trente et deux ? Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, comme,…

    5. En Afrique du Sud, c’est ne plus un blanc qui tue un noir, mais c’est un noir Sud-Africain qui tue un autre noir Africain, qui il faut le souligner, a combattu directement ou indirectement à sa manière contre l’homme blanc, et son apartheid, afin qu’une fois libre, l’Afrique du sud profite aussi aux noirs de tout horizon. Et si les choses ne s’arrangent pas d’ici là, le nombre des victimes innocentes tuées par les noirs Sud-Africain dépassera bientôt le nombre des victimes tuées par l’homme blanc en Afrique du Sud. Et pourtant, la réflexion à ce sujet est tout à fait simple ; « pourquoi faire à l’autre ce que je reprochais hier à l’homme blanc ». Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, comme,…

    6. Au Sierra Leone, au Liberia, en Guinée Conakry, en Côte d’Ivoire, en Angola, au Mali, Congo Brazzaville, Centre Afrique, etc pour ne prendre que cela en exemple. Alors que nous sommes à de centaine d’années depuis l’abolition de l’esclavagisme, alors que l’homme noir cherche à se faire dédommagé pour le tort subit sur l’esclavagisme, en nos jours, c’est l’Africain qui tue, qui torture, et pour finir, qui vend un Africain. Dans tous les cas, le besoin et la raison d’exploitation de l’homme par l’homme n’ont pas encore changés, encore moins, pour l’Africain. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, comme,… C’est de un. De deux, L’Europe (la Russie y comprise) qui se vente être le berceau de l’intelligence humaine (?), devra encore attendre longtemps pour commander seule le leadership du monde. En attendant son tour lui revenir, elle doit encore se contenter du parapluie de son trop puissant cousin. L’Europe est prise au piège de son propre intelligence « fictive », qui fait d’elle le continent incapable d’assurer seule sa propre sécurité. Comment. Bein, si l’Europe ne sait pas encore assurer sa propre sécurité, comment assurerait elle la sécurité des autres dans le monde ? La preuve ? Non les preuves, car il y en a assez. À deux reprises par exemple, les Européens ont été à la base de deux guerres mondiales, qui ont décimé des nations entières, et modifié de facto les frontières de plusieurs nations. Les Européens ont aussi été à la base de la toute dernière guerre des Balkans dite « guerre de Kosovo ou de Sarajevo ». Les Européens savent bien provoquer et déclencher des conflits, dont, ils n’ont ni l’intelligence, ni les moyens de mettre une fin définitive à ces conflits, pour autant déclenchés par eux-mêmes. Pour venir à bout des guerres déclenchées, les Européens se voient toujours être obligés de recourir à l’aide de tiers, plus ou moins (?) intelligents (?), comme c’est le cas actuellement pour sécuriser le Balkan. Malgré leur incapacité totale de mettre fin au conflit qu’ils déclenchent, les européens continuent encore à alimenter plus que les autres les risques d’une troisième guerre mondiale. De trois, le proche orient se vante être le berceau de la création Divine, et de la croyance en le Bon Dieu mais, ce coin du monde a de la peine à pratiquer la tolérance et le respect mutuel, qui sont les règles élémentaires et fondamentales de la FOI. Il suffit seulement de jeter un coup d’œil sur ce qui se passe en Irak, en Égypte, au Liban, en Syrie, et au Yemen, pour se rendre compte que l’amour du prochain n’a pas sa résidence sur le sol du moyen Orient. Dans l’esprit d’une bonne partie des gens de ce riche coin du monde, la vie de la personne avec laquelle on ne partage pas la même opinion spirituelle, n’a pas droit au respect (?). De quatre, l’Asie qui compte à elle seule plus de la moitié de la population mondiale, ne pense à utiliser sa supériorité démographique que pour devenir le plus puissant continent de la terre. Tous les moyens sont bons pour y parvenir, même l’injustice sociale. Résultats ? Plus d’investissements en armements que dans les secteurs sociaux afin d’entretenir les quatre (six ?) Armes nucléaires déjà en sa possession. Résultat ? Les peuples des minorités, sont de plus en plus marginalisés, humiliés, alors que les conflits pour la suprématie dans cette région bat son plein, aux côtés des conflits internes. Inde et Pakistan, Chine et Japon, les deux Corées, etc.… De cinq. En Océanie, seul l’intérêt du nouveau venu ou de l’ancien colon Européen prime sur l’avenir (?) du continent. Le besoin de réparer le cruel sort subit par les aborigènes, et leurs coutumes n’ont point de valeur devant les intérêts de l’ancien colon devenu aujourd’hui cohabitant des lieux. Résultat ? La communication et les relations entre les deux communautés sont souvent hésitantes, et douteuses. Il suffit de jeter un coup d’œil curieux à la difficile vie menée par les aborigènes, pour se rendre compte qu’il existe encore en Océanie une politique qui prône l’injustice sociale entre les deux communautés. C’est comme si le soleil ne brillait que pour les uns, et pas pour les autres. De six, la folie des Américains de braver l’espace et le reste du monde avec leur puissance, ne leur permet pas encore de vaincre leur propre peur, et venir à bout des conséquences de leur grandeur. Ainsi on trouve à la fois un mariage du bien et du mal en les Américains. Il y a de plus en plus aux États-Unis plus des riches, et plus en plus des pauvres, sans oublier les crimes liés directement ou indirectement à leur puissance de feu… Ajouter à cela, la haine que vouent les victimes (?) de cette puissance contre les Américains. De sept. Alors que les prouesses technologiques de leur puissant voisin sont un avantage pour eux tous, les sud Américains n’ont de regard sur la puissante Amérique que sur ses points négatifs. Au lieu de copier les bons points de leur « puissant voisin », ses dirigeants traînent les pas du progrès de leurs nations dans un marxisme fictif. L’idéologie rejetée par ceux là mêmes qui l’ont inventée, après une conclusion sans appel que, son invention fut de leur part, une faute de choix, un échec donc. Résultat ? L’Amérique du sud compte de plus en plus de miséreux, et les délinquants de toutes les tendances y trouvent refuge, jusqu’aux spéculations les plus inouïes. On prétend que le 1er responsable de la seconde guerre mondiale s’y est refugié, remarié, et y est paisiblement (?) mort. À cette allure, les Américains du Sud avec le géant Brésil en leur tête vont battre le record de tous les points négatifs des Américains. Résultat ? Les richesses de ses nations ne profitent qu’à une infime poignée des personnes. C’est-ce qui fait que, la population est soumise à elle-même, au rythme de la loi du plus fort. Malgré le succès (?) du baie des cochons, et Plus de cinquante ans de révolution, célébrée annuellement avec faste, tout cela n’a pas permis à Cuba de reprendre par la force, les terres du pays occupées (?) par le puissant voisin. Résultat ? Malgré le minutieux (?) préparatif d’engager le premier la guerre contre l’allier presqu’éternel du puissant voisin, l’Argentine n’a pas pu récupérer les îles malouines par la force engagée. Bien au contraire que cette force s’est fait humilier par son adversaire, aidé bien sûr par le puissant voisin. Comme on le voit, la force n’arrange rien, mais elle n’apporte que destructions, et ruines. Les exemples sont en grand nombre ; c’est Comme les œuvres du christ, les compter ne suffirait pas à les contenir dans le présent ouvrage. Il vaudrait donc mieux que l’amour du prochain, et le respect mutuel soit les points culminant des pensées humaines. L’Amour du prochain n’est pas une marque déposée du plus fort ou du plus faible, du riche ou du pauvre, du locataire ou du propriétaire, de l’employé ou de son employeur, de l’administré ou de l’administrateur, etc.… l’Amour du prochain est tout simplement synonyme de respect de l’autre, et de ce que l’autre est. Il est le meilleur « garant de la paix », et de la coopération. Cela étant, les règles ne prônant pas l’amour de son prochain, n’ont aucun pouvoir sur la paix. La paix tout comme le respect, ça se mérite, et ça s’offre. Cette terre mérite la paix, et les hommes et les femmes de cette terre peuvent s’offrir la paix. Ce ne sont pas les moyens qui manquent, c’est plutôt la volonté qui manque. Alors, ceux des lecteurs qui auront la curieuse occasion de lire ce livre doivent savoir que, c’est au tour de notre propre vie et de notre propre entourage que nous avons été puisés notre inspiration. Les faits que nous relatons, sont donc réels, tout comme il en sera de même pour nos futurs écrits. Seulement voila, pour stimuler l’ambiance pendant la lecture, nous avons d’avantage maquillé les différentes histoires que nous vous présentons. C’est ainsi que nous avons transformé les histoires en aventure inédite et, passionnante, afin de tenir le lecteur en haleine. De cette manière, nous pensons inciter chaque lecteur et chaque lectrice à faire la rétrospective de son propre passé, de son propre présent, et de son propre futur. Nous pensons pouvoir de la sorte aider à faire revivre la loi, la justice et le respect mutuel, par l’Amour du prochain. À ceux des lecteurs qui sont ou qui pensent être déjà fervents de la loi, de l’Amour du prochain, nous disons ceci : Si on veut vraiment contribuer à une vraie morale humaine au tour de la loi, de l’Amour du prochain, nous pensons qu’il serait mieux que personne ne se sente être au-dessus de celle-ci. Dès l’instant qu’on cherche à se placer au-dessus, on ne sert plus cette loi, mais on la viole en se servant soi-même. Bien sûre qu’on se sentirait être (?) dans la loi, alors qu’au juste on est hors la loi. Puisque on pense être plus loyaliste que les autres, les risques de ne pas remarquer les probables outrages envers la loi sont plus grands. Par contre, en se sentant concerné par la loi comme tout le monde, on s’accorde les moyens de découvrir ses outrances. Après les avoir découvert, on cherche donc à s’en repentir, et à rechercher la justice. Les fervents de la justice doivent ne pas oublier qu’« Avec la justice, la loi n’est plus nécessairement importante ». Nous disons bien : plus nécessairement importante, mais son utilité reste tout de même bénéfique, et incontournable, à l’action de la justice. En effet, la loi est comme une rivière qui prend fin dès que ses eaux se jettent dans l’affluent de la justice. Ceci veut dire qu’à partir du moment que les eaux de la rivière se jettent dans l’affluent, la rivière change d’appellation. Elle devient fleuve. À son tour, le fleuve ne parvenant plus à contenir toutes les eaux que lui apportent les rivières, le fleuve cherche à son tour le secours d’une embouchure, avant de se jeter dans l’océan. C’est ainsi qu’à partir du moment où les eaux du fleuve traversent la frontière de cette embouchure, elles changent par conséquent d’appellation. Elles quittent leur nom de fleuve pour devenir océan. Eh bien, dans ce cas précis, le fleuve se présente comme l’affluent de la justice. C’est à dire, la voie qui mène à l’océan de la justice. Une fois dans l’océan de la justice, les eaux du fleuve perdent à leur tour leur saveur habituelle, pour se transformer en eaux salées. C’est donc la renaissance pour les croyants. Tel que le fleuve mène les eaux des rivières vers l’océan, par crainte d’inondation, la loi mène le sujet à se repentir en cherchant la justice pour éviter la condamnation qu’elle engendre. Elle amène celui-ci à se conscientiser avant qu’une regrettable et irrévocable sentence ne soit prononcée contre lui. Les rivières ne prennent jamais le risque de se vanter être faites pour contenir les eaux. Avec les fleuves et les océans, les rivières se plient logiquement aux règles qui régissent leur traditionnelle vie : Celle-ci est avant tout basée sur le respect mutuel, à travers le respect mutuel des frontières qui les séparent. En dépit de leur droit de déverser leurs eaux dans les fleuves et les océans, les rivières et les fleuves ne le font qu’avec tout le respect des règles du jeu. Bien que plus puissants que les fleuves et les rivières, les océans et les fleuves n’envahissent jamais les fleuves et les rivières. La cohabitation entre toutes les eaux est plus exemplaire, que ne le font les humains. Alors qu’ils sont sensés gérer toutes les autres créations Divines, les humains ne démontrent pas que le créateur avait raison de les façonner à son image. La cohabitation entre toutes les eaux du monde démontre aux humains comment se respecter mutuellement, sans perdre ses traditionnelles valeurs naturelles. Quand il arrive aux eaux de sortir ou de tenter de sortir de la logique de leur cohabitation, c’est le débordement total, et les inondations deviennent alors inévitables. Sinon, les rivières déversent leurs eaux dans les fleuves que lorsqu’elles se sentent incapables d’en supporter d’avantage. Bien négocié, le passage des eaux d’une rivière dans un fleuve se déroule d’une façon à émerveiller la nature. L’automatisme, la simplicité, la cordialité, l’accueil, et le respect entre les eaux étrangères, et les eaux autochtones, ne sont jamais dictés, mais générés naturellement par l’amour et le respect de son semblable. Les eaux des fleuves ne refusent jamais aux eaux des rivières le droit de se réfugier dans son territoire, parce que ces eaux sont blanches et claires. Il en est de même pour les eaux des fleuves qui passent dans les océans. En effet, quand les fleuves se sentent incapables de supporter d’avantage ses eaux, ils reconnaissent d’abord leur incapacité (pêché), avant de s’en repentir. Les fleuves cherchent donc (la justice) l’aide des océans, capables eux de supporter toutes les eaux. Cependant, les eaux bleues des océans ne refusent jamais d’accorder le refuge aux eaux des fleuves, parce que ces dernières sont de couleur jaunâtre. En dépit de la couleur qui les distingue d’un lit à un autre, les eaux Bleues, jaunes, ou blanches, se respectent et s’acceptent mutuellement. Qu’elles soient des rivières, des fleuves ou des océans, elles se disent qu’elles sont avant tout semblables, c’est-à-dire des eaux. Or, comme les rivières et les fleuves, l’homme a besoin d’une justice qui le conduit à sa conscientisation. Une fois cette justice obtenue, c’est le bonheur, et la joie d’une meilleure vie qui s’en suit. Le bonheur, et la joie ne peuvent être obtenus que par ou avec la loi, que complète infailliblement l’ordonnance qui nous recommande l’amour du prochain. L’expérience nous démontre comment la loi n’engendre que la peur, et le désarroi. Ce n’est pas la loi, mais c’est plutôt l’amour pour la justice qui augmente de la vivacité aux désirs humains, pour une meilleure vie autour de soi. Oui, l’amour du prochain procure une meilleure vie pour soi-même, et une garantie de paix assurée pour l’entourage. Tant que ceux qui vous entourent, et qui ont investi en vous un minimum de leur confiance n’obtiennent pas encore ce que vous désiriez vous même obtenir du juge, c’est à dire « justice », la démarche ne vaut même pas la peine. Ne dit-on pas que ; ne faites pas à l’autre ce que vous n’aimerez pas qu’on vous fasse ? Pour ceux qui ne connaissent pas cette pensée, ils n’ont qu’à réciter la prière Biblique « Nôtre Père » (Mt 6,7 à 13). Nos enfants sont souvent victimes des injustices humaines, qui sont à la base de la plupart de leurs échecs. Seuls, peu d’entre eux échappent à la règle de ces injustices. C’est le cas donc de l’héros de notre aventure. Il se nomme « Mbuta ». Lui qui est plus connu dans son entourage comme un simple martyr, que ce héros qu’il est devenu, suite à sa bonne manière de vivre avec les autres. À cause de son attachement à l’idée d’un amour sain et à la vraie justice au tour de lui, le garçon s’est fait un nom qui l’a propulsé dans la légende des grands, alors qu’il n’est qu’un tout petit enfant. Aux âmes bien nées la valeur n’attend point les nombres des années, dit-on, ou « le soleil brille pour tout le monde »

    Chapitre 2

    Un communiqué passe à la radio local… Une société de la place offre de l’emploi. Il n’y a pas de concours d’évaluation pour obtenir un emploi mais, seules les vingt premières demandes d’emploi introduites seront automatiquement sélectionnées et déclarées gagnantes. C’est une très bonne nouvelle pour Mambi, qui est à la recherche d’un emploi, depuis un temps. La nouvelle tombe donc au bon moment pour Mambi. N’ayant plus espoir de trouver du travail, Mambi commençait déjà à céder au découragement. Il y a longtemps que Mambi avait écrit et expédié plusieurs demandes d’emploi mais, elles sont restées sans suite, comme si les destinataires lui en voulaient, sinon, pourquoi n’ont ils pas donné suite à ses demandes d’emploi ? C’est le découragement total qui s’installait peu à peu dans la morale de Mambi, qui a encore quelques lettres déjà écrites en sa possession. Elles sont toutes prêtes à être expédiées mais, l’expéditeur est au point mort, affecté par le découragement. Il n’avait qu’à mentionner les noms et adresses des destinataires sur les enveloppes, avant d’aller les poster, et que les lettres partent à leurs destinations. Le communiqué arrive donc à pic pour lui, qui aurait certainement eu de la peine à maîtriser une situation qu’il ne savait plus contrôler. Il avait même déjà cessé de se donner la peine d’attendre les maudites (?) Réponses. Alors, expédier les lettres qui sont encore avec lui à la maison ne serait pour lui que perdre encore son argent, pour une cause vouée d’avance à l’échec. C’est ainsi qu’aussitôt le communiqué entendu, Mambi se décide sans perdre une poussière de seconde à s’exécuter, selon les recommandations du communiqué, qu’il vient d’entendre à la radio locale. Il veut être le premier des dix, sur les vingt candidats à retenir d’office selon l’ordre d’arrivée de chaque demande d’emploi. Mambi est un garçon de nature très aimable, courtois, associable, et très compatissant aux douleurs de son prochain. C’est dans ce sens là que, du fond de son cœur, il se rappelle de son ami intime Mavuanza, qui est lui aussi à la recherche d’un emploi. Juste après avoir terminé la rédaction de sa propre demande d’emploi, il n’hésite pas malgré la fatigue, à rédiger une seconde demande d’emploi, pour son ami. Peut être que, l’ami en question n’a pas eu la chance d’écouter le communiqué. Quand Mambi termine la rédaction, et la correction de ces deux lettres de demande d’emploi, la nuit est déjà tombée sur la ville. Cette ville de son enfance, qui n’est plus ce qu’elle était il y a plusieurs années. En effet, pour accueillir le fameux combat entre Casuis Clay Mohamed Ali, et George Foreman en 1974, la ville défendait encore son nom de la ville lumière de toute l’Afrique au sud du Sahara. Aujourd’hui, la lumière est devenue signe de privilège pour certains quartiers, alors que le pays possède le plus grand (?) barrage hydro-électrique du monde. Ce n’est pas étonnant que cela arrive dans cette Afrique, où dans la majorité des cas, la population achète toujours très cher le produit exporté par leur propre pays. Tenez par exemple, alors que le Nigeria est le plus grand producteur africain du pétrole, mais sa population achète le pétrole plus cher que ne le fait la population des pays voisins, non producteurs de pétrole. Mambi n’a pas besoin de pétrole pour ses déplacements car, il utilise ses jambes dans la plupart de ses déplacements. Seulement voilà, pour raison de sécurité il n’ose pas braver la nuit, avec ces artères de la ville dépourvues de lumière public, alors que, le problème en soi, engendre la croissance de la criminalité sur la ville. C’est pourquoi, Mambi préfère attendre que la nuit cède la place au jour, avant d’envisager une course à pied, pour la circonstance. À le voir, on n’aura pas de difficulté à soupçonner que le garçon est marqué à la fois par le besoin de répondre le plus vite possible aux exigences de l’offre d’emploi d’une part. D’autre part, Il est immobilisé par la nuit qui l’empêche de faire ce qu’il veut en ce moment. C’est la toute première fois que Mambi trouve particulièrement la nuit trop longue. Heureusement que son esprit n’a pas rompue le contact avec les ancêtres, qui lui encourage, à travers l’adage qui dit ; « Même trop longue qu’elle soit, la nuit finit toujours par céder la place au jour ». C’est de cette manière que Mambi sursaute au premier coup de chant du coq. Le garçon n’a qu’une seule idée en tête ; faire parvenir les deux demandes d’emploi, à temps. À côté de ses bonnes intentions de faire parvenir les demandes d’emploi en question, se dessine une forme de soucie, en rapport avec le problème de transport et de communication. Cela risque de tout perturber, si Mambi n’y fait pas attention, car le transport est un véritable casse-tête. Rien n’est jamais assuré dans ce domaine, et la revalorisation de ce secteur n’est pas pour demain. Elle doit d’abord prendre forme, mais au lieu de cela le secteur se déforme de plus en plus. En attendant la revalorisation de ce secteur, le problème reste donc non résolu pour la poste du pays, ou encore le transport en commun. Retrouvant ses facultés de garçon intrépide, entreprenant et surtout objectif, Mambi prend alors une décision ! Je dois éviter la poste pour faire parvenir les demandes d’emploi à temps. Si elle m’a eu, la poste donc, la fois dernière, elle ne m’aura plus une autre fois, surtout pas cette fois ici. Il faut toujours apprendre de ses fautes, et se rappeler de ses mésaventures. C’est ce que fait Mambi, qui se rappelle les mésaventures de ses précédentes demandes d’emploi, envoyées via la poste. Il faut donc le comprendre, surtout quand on est conscient du mal qui ronge la poste du pays. Oui, à ce mal auquel il faut Ajouter le problème dimensionnel du pays. Le pays de Mambi est grand, plus grand même que tous les 25 premiers pays de l’EU réunis. C’est en quelque sorte la deuxième puissance géographique du continent Africain, juste après l’Algérie, qui a pris la 1e place du soudan éclaté en deux parties. Si On trouve au Soudan et en Algérie, de milliers de km2, soit inhabitables, soit inexploitables à cause de la densité du désert, tout le sol et sous-sol du Congo est exploitable, c’est-à-dire, fertile. Sauf que l’indépendance trop hâtivement acquise le 30 juin 1960, les faux départs sur les engagements politiques des pères de cet indépendance en général, et du 1er gouvernement et du chef de cet gouvernement, (Pdvp) jouaient déjà le mauvais rôle de stimulateur du future chaos qui va ronger le beau, le vaste et riche pays de Mambi. La naturalisation des biens des investisseurs étrangers qui interviendra plus ou moins 10 ans après, les pillages des années 90, sont le fond de l’inconscience, et de l’irresponsabilité qui caractérise la population de ce pays, qui s’est laissée piéger par son impératif besoin de survivre. Depuis près de trois décennies, on ne vit plus au pays de Mambi, mais on survit. Cette volonté de survivre de la population, l’a conduite à l’irresponsabilité et l’inconscience qui ont assené un coup dur au pays. La poste du pays n’y échappe pas, bien au contraire qu’elle est aussi comme les autres institutions

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