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LUST Classics : Les Callypiges
LUST Classics : Les Callypiges
LUST Classics : Les Callypiges
Livre électronique203 pages3 heures

LUST Classics : Les Callypiges

Par E.D.

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À propos de ce livre électronique

« Les Callipyges » (1892) est l'histoire d'amitié de deux jeunes femmes de la bonne société londonienne, partageant des qualités tant physiques que morales : une croupe n'ayant rien à envier à la Vénus Callipyge des Grecs, comme une passion pour l'usage de la verge. Ferventes utilisatrices de cette longue baguette de bois dans leurs jeux voluptueux, elles réunissent autour d'elles d'autres adeptes, aimant fouetter et se faire fouetter, formant un comité qui saura utiliser à bon escient son personnel féminin. De cinglades en étreintes, nos callipyges nous racontent leurs émoustillants divertissements en soupirs enchantés pour des extases sans fin.LUST Classics est une collection de classiques de la littérature érotique. Les œuvres qui la composent ont été sélectionnées en raison de leur apport historique majeur au genre et ce malgré des contenus parfois susceptibles de choquer et d'être polémiques.-
LangueFrançais
ÉditeurLUST
Date de sortie8 mars 2021
ISBN9788726297843
LUST Classics : Les Callypiges

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    Aperçu du livre

    LUST Classics - E.D.

    E.D.

    LUST Classics: Les Callypiges

    Lust

    LUST Classics: Les Callypiges

    Image de couverture: Shutterstock

    Copyright © 1892, 2021 LUST

    Tous droits réservés

    ISBN: 9788726297843

    1ère edition ebook

    Format: EPUB 3.0

    Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée/archivée dans un système de récupération, ou transmise, sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, sans l'accord écrit préalable de l'éditeur, ni être autrement diffusée sous une forme de reliure ou de couverture autre que dans laquelle il est publié et sans qu'une condition similaire ne soit imposée à l'acheteur ultérieur.

    Cet ouvrage est republié en tant que document historique. Il contient une utilisation contemporaine de la langue.

    AVANT-PROPOS.

    Deux jeunes Ladies, appartenant à la meilleure société de Londres, amies ferventes de la verge, pourvues toutes deux d’une remarquable chute de reins, qui eût balancé certainement, sinon dépassé, la croupe vantée par les anciens Grecs de la Vénus Callipyge, s’étaient liées d’une tendre amitié, attachées l’une à l’autre par la similitude de leurs qualités physiques et morales. Quand elles se visitaient, c’était des extases qui n’en finissaient pas, des agenouillements pieux devant leur fière beauté, qu’elles secaressaient mutuellement de la main ou de la verge.

    Ces deux belles dames, que nous appellerons, pour ne pas les désigner trop clairement à la cupidité des curieux, lady Lovebirch et lady Fairbottom, s’adjoignirent plus tard lady Richbuttock, porteuse, elle aussi, d’une magnifique proéminence, puis une autre, lady Splendidorp, une autre encore, Lady Plentiful, et enfin une dernière, lady Finefleece, toutes du meilleur monde et très hardiment cambrées.

    Quand notre sextuor de grandes dames, réuni pour la première fois, exhiba l’ensemble de ces croupes incomparables, elles décidèrent, d’un commun accord, qu’elles ne sauraient avoir de rivales, et que le groupe prendrait un nom qui s’imposait: les Callipyges. Jamais titre, en effet, ne fut mieux justifié. Elles s’organisèrent en petit comité, choisissant pour présidente la plus âgée, lady Lovebirch, qui allait sur ses vingt-trois ans, et pour secrétaire lady Finefleece, la plus jeune, qui en avait dix-neuf depuisla veille. Inutile d’ajouter que ces fonctions étaient de véritables sinécures.

    Ces superbes encroupées composèrent naturellement leurs maisons à leur image. Le personnel féminin n’était accepté que quand les plus brillantes perspectives séduisaient l’œil des Callipyges. Encore prenaient-elles trois jours, pour l’acceptation définitive. Chaque nouvelle venue, avant d’entrer en fonctions, devant prendre un bain, qui d’ailleurs se renouvelait très souvent, la maîtresse exigeant une excessive propreté et une élégance extrême, extérieure et intérieure chez ses femmes de chambre, pour plusieurs raisons, dont l’explication naturelle se trouvera dans le cours de cet ouvrage; ce n’était qu’après ce premier bain que la jeune fille était définitivement admise ou refusée. Comme l’on ne se gêne pas entre femmes, la maîtresse éblouissait pour l’examen de leurs formes, l’heure de son bain quotidien. Les deux baignoires se faisaient face, et la dame avait ainsi tout le loisir de se rendre compte de l’état des lieux. Une figure avenante et la plusjolie possible, était de rigueur. Aussi, nos jeunes ladies étaient elles entourées d’un essaim gracieux de ravissantes beautés de tous les pays; car toutes les nations participaient au peuplement de ces palais Callipygiaques. Cependant les Françaises y étaient en majorité, sans doute à cause de leur minois agaçant, et clé leur facilité d’assimilation pour toutes choses.

    Comme elles étaient des fanatiques de la verge, ce qui s’explique facilement avec de pareils terrains de manœuvre, nos Callipyges coururent pendant longtemps les divers pensionnats de jeunes filles de la Cité, sondant toutes les directrices, et Dieu sait le nombre en est grand, pour trouver d’habiles conférencières, disposées à leur montrer la théorie et la pratique de la discipline, voulant, disaient-elles, s’instruire dans l’art de la flagellation, mais, en réalité, pour se procurer d’aimables passe-temps, qui sont bien les plus piquants du monde, elles arrêtèrent leur choix sur quatre jeunes directrices, qui joignaient à leur passion pour laverge l’amour du plaisir, ce qui promettait de jolis divertissements. L’engagement ne fut d’ailleurs signé par les deux parties contractantes, que lorsque nos jeunes Callipyges se furent assurées par elles-même, d’une façon irréfragable, de leur talent en tout genre. Elles réussirent le plus facilement du monde à les amener à leurs fins. Ces quatre directrices étaient dans l’âge des passions, de vingt-six à trente ans, voluptueuses jusqu’au bout des ongles; aussi leurs tentatrices, jeunes et fort belles, appartenant, ce qui ne gâtait rien, à l’aristocratie anglaise, n’eurent pas de peine à les séduire.

    Dès qu’on eut cause gagnée, il fut convenu qu’on se réunirait à des jours et à des heures qu’on désignerait dans l’un des pensionnats, pour écouter des conférences sur la verge, ou assister à des séances; et chez chacune des Callipyges, au thé de cinq heures (le five o’clock tea des Anglais), pour y entendre de piquantes anecdotes.

    C’est le compte rendu de ces conférences, séances et anecdotes, que je traduis dans cetouvrage, auquel je donne pour titre, le nom que portent si justement nos héroïnes:

    LES CALLIPYGES

    Et vous voulez savoir de qui je tiens le texte de ces conférences, devinez au milieu de ces dix belles encroupées, car elles le sont toutes, même les quatre conférencières, laquelle est ma maîtresse.

    __________

    CONFÉRENCE

    sur

    L’UTILITÉ ET L’AGRÉMENT

    de la verge; tenue chez Mrs SKIN-TEAR, directrice d’un pensionnat de jeunes filles de la Cité, 28 ans, 12 ans de pratique.

    Le mardi à huit heures du soir, le société convoquée était réunie au complet chez Mrs Skin-Tear. Les six Callipyges et les conférencières prennent place dans des fauteuils, lady Lovebirch dans celui de la présidente, Mrs Skin-Tear dans celui de le conférencière, en face de l’auditoire. La présidente donne la parole à la conférencière:

    Mrs Skin-Tear.

    — Puisque les préambules nous sont interdits, je franchis le déluge pour sauter à mon sujet.

    Le fouet, mesdames, fait partie intégrante de l’éducation des enfants, des jeunes filles surtout, que la nature a généralement pourvues d’un vaste champ d’opération. Il sert également, en dehors des maisons d’éducation, dans bien des circonstances de la vie, soit pour assouplir les caractères, soit pour punir des délinquantes de tout âge, et dans bien d’autres cas dont nous pourrons avoir à nous occuper. Nous parlerons ici des diverses causes qui nous amènent à l’infliger, du but poursuivi et des moyens d’atteindre ce but. Nous effleurerons les deux premiers sujets, pour nous étendre plus longuement sur les moyens qui sont la partie la plus pittoresque et la plus intéressante de cette conférence.

    Les Causes.

    Les causes qui font donner le fouet dans les pensionnats (d’autres plus autorisées parleront de la famille), sont multiples, et vont du léger au grave, de la paresse, en passent par l’insubordination, jusqu’aux fautes honteuses, qu’on doit toujours punir sévèrement. Le châtiment doit être motivé avec toute l’équité désirable. Il ne faut jamais que la coupable qu’on corrige ignore pourquoi ou la fouette. Puisqu’il y a une cause, elle doit la connaître. D’ailleurs, dans le courant de la correction, une maîtresse habile, si elle n’est pas trop vivement impressionnée, peut joindre la parole à l’action. Tel n’est pas mon cas: je suis tellement absorbée par mon rôle et par ma contemplation, que je n’ai jamais pu profiter de cette simultanéité.

    Le But.

    Pour nous, et pour vous aussi, mesdames, qui m’avez fait l’honneur de me demander mon avis franc et sincère, il y a un double but, que résume admirablement ce proverbe latin: utile dulci, mêler l’utile à l’agréable. Le premier but, le plus important pour les éducatrices, devient secondaire pour les passionnées de la verge. Je ne crois pas vous calomnier, mesdames, en vous rangeant avec nous dans cette dernière catégorie; car si nous voulons que le châtiment soit utile, nous nous attachons aussi à en retirer le plus grand profit possible.

    Les moyens.

    Il est donc entendu, qu’en même temps qu’elles corrigent les méchantes filles, les verges doivent procurer de l’agrément à celles qui les donnent. Or, pour que le souvenir soit durable dans la mémoire de la fustigée, et pour que le plaisir de la fouetteuse se prolonge, il faut nécessairement que la correction soit la plus longue possible; la honte et la douleur de la patiente, adroitement entretenues, produiront sur la passive et sur l’active le double effet demandé à la verge. Celles qui l’infligent à la hâte, perdent le plus souvent le bénéfice du châtiment.

    Pour faire durer la correction, sans inconvénient pour la victime, voici le meilleur système à mon avis; appliquer au préalable une fessée à la main, légère d’abord, puis un peu plus sévère, et enfin rigoureuse. On prépare ainsi le postérieur coupable à une correction plus rude; la peau, plus souple et réchauffée, reçoit mieux les cinglantes apostrophes, qui ne meurtrissent pas la chair tout de suite, à moins d’être très-violentes, et la douleur est aussi plus intense. En commençant par l’application immédiatement sévère de la verge, excellent système quand on est pressé, mais détestable quand on a le temps, on risque de détériorer dès les premiers coups sévères le postérieur non préparé, et de terminer le châtiment, trop tôt pour qu’il remplisse son double but. La confusion et la souffrance de la coupable ayant à peine duré, votre agrément aura été médiocre. Quand il m’arrive de commencer par la verge, je fouette progressivement, jusqu’à ce que la teinte rosée de la peau et la chaleur du derrière, que je me plais à constater par l’imposition des mains, m’invitent à accentuer la rigueur.

    Puisque donc dans l’application de la verge, nous poursuivons deux résultats bien distincts, un châtiment salutaire et un plaisir délicieux, prolongeons la correction jusqu’à l’extrême limite, c’est le plus sûr moyen d’atteindre le double résultat cherché.

    Ma méthode est infaillible; sagement menée, la correction, dont le sujet vous inspire par la beauté des formes, peut durer longtemps, appliquée avec toute la sévérité que comporte la faute, détériorer l’objet de votre culte, et sans être aussi désastreuse pour la patiente qu’une correction plus courte, maladroitement violente.

    J’ai expérimenté la chose mille fois durant mes douze années de pratique, hier pour la dernière fois sur une petite morveuse de quatorze ans, qui s’avise de donner des leçons de physique expérimentale à ses petites amies. Je l’ai fouettée sur le lourd fauteuil que voilà, pendant une heure; elle a hurlé depuis la première claque jusqu’aux dernières cinglées qui firent jaillir quelques gouttes de sang. J’eus du plaisir pour ma peine, d’abord sans le secours d’aucune aide, par le seul stimulant d’un joli cul fouetté. J’avais pris la précaution de couvrir d’un épais bandeau les yeux de la délinquante, et quand j’eus terminé la fessée préalable, qui avait duré un quart d’heure, je sonnai Nana; Nana, honni soit qui mal y pense, est une jeune négrillonne, qui m’est dévouée à la mort, et qui n’a pas sa pareille pour le service intime.

    Des que Nana est à son poste sous mes jupes, je prends les verges, que j’applique d’abord avec une lenteur mesurée, accentuant progressivement la sévérité, sans interrompre la cadence, malgré les fréquentes distractions que me donne la dextérité de la langue qui me fête. La coupable, qui ne se doute de rien, continue à gémir et à se tordre sous les atteintes qui rougissent le satin sans l’entamer.

    Ce n’est qu’au bout d’une heure, qu’un peu fatiguée par mon exercice prolongé, et beaucoup, par la voluptueuse pratique de la chaude négrillonne, que je trace pour finir deux sillons sanglants sur les deux globes empourprés. Aujourd’hui, le postérieur, que j’ai visité ce matin, a repris tous ses lis, à l’exception des deux empreintes, sculptées parallèlement en rose. D’ailleurs vous allez pouvoir constater la chose de vos propres yeux, mesdames, car, voulant aussi prêcher d’exemple, je veux après la théorie vous montrer la pratique.

    J’ai là mes deux sujets, dont l’un attend les yeux bandés; mais comme la friponne à l’ouïe fine, je vous recommande le plus absolu silence, afin qu’elle ne se doute pas qu’elle est environnée de curieuses. Quant à Nana, elle se moque de servir de point de mire, et rien ne saurait l’empêcher de se livrer, comme s’il n’y avait pas de témoins, à son exercice favori. La victime connaît le sort qui l’attend, car je l’avais condamnée à recevoir son châtiment en double édition.

    Comme noblesse, titre oblige; le sujet que je vous offre ne déparera pas une assemblée de Callipyges, car, malgré son jeune age, Miss Clara est amplement garnie au bon endroit.

    Madame la présidente, je suis à vos ordres pour la seconde partie de ma conférence.

    Sur un signe affirmatif de lady Lovebirch, la conférencière quitta la salle, et repartit bientôt avec Miss Clara, la jeune délinquante et la négrillonne, à qui on donnerait facilement vingt ans, bien qu’elle n’en ait que quinze.

    La jeune fille, qui a les yeux bandés, se laisse conduire par la maîtresse, qui la mène jusqu’au fauteuil muni de courroies, qui servent à maintenir les victimes qu’on veut y fouetter. Nana regarde l’assemblée de ses deux grands yeux noirs, dont le blanc fait ressortir l’éclat; ses grosses lèvres retroussées, épaisses, rouges, découvrent deux rangées de perles étincelantes, qui feraient honneur au plus bel écrin de la société. Sa figure régulière, n’étaient ses grosses lèvres sensuelles et l’ébène de la peau, ne messiérait pas à une jolie blanche.

    Mrs Skin-Tear, qui a fait agenouiller Miss Clara sur le bord du fauteuil, l’attache par dessous les aisselles, relève les jupes, les épingle dans le haut; la mignonne a un fort joli pantalon collant, richement brodé, qui moule d’adorables rondeurs juvéniles; un pan de chemise, qui sort de la fente, cache les dessous. Mrs Skin-Tear déboutonne le pantalon, le fait glisser, et le rabat sur les genoux; entre le pantalon et la chemise, on découvre un coin de chair blanche et rose, pendant que la maîtresse attache les jambes écartées. Puis, relevant la chemise, qu’elle épingle aux jupons, elle découvre une ravissante mappemonde, magnifiquement développée, d’une blancheur de lis, sur laquelle se détachent deux parallèles roses, sculptées sur les deux globes, et qu’on dirait tirés au cordeau.

    Entre les cuisses écartées on voit la petite fente dénudée, fermée hermétiquement, sur laquelle la négrillonne jette un regard gourmand, plein d’une ardente convoitise; plus bas, les cuisses potelées et les jambes bien tournées, que le pantalon rabattu cache à demi, se terminent par deux petits pieds divinement chaussés.

    Mrs Skin-Tear lève la main et avant de la laisser retomber, elle annonce à Miss Clara qu’elle va recevoir le solde de son compte. Clic, clac, les claques retombent sonores sur les chairs pleines et dures, rosant la peau; l’écolière dont le gros derrière se tortille déjà, pousse des cris aigus; les gifles plus sévères retombent lentement, avec un bruit de chairs claquées. Nana regarde sa maîtresse, l’interrogeant des yeux pour savoir si son heure est venue; la maîtresse ne répond pas et continue la fessée, s’animant de plus en plus à ce jeu qui lui plaît. Enfin, à ses yeux brillants, à ses lèvres entr’ouvertes, on devine qu’elle est tendrement remuée, et qu’elle doit éprouver une douce émotion.

    Cessant de fesser, elle va prendre une longue verge souple et élastique dans le tiroir aux provisions, et la brandit, en faisant siffler l’air. Dès qu’elle est installée devant la mappemonde fumante. Nana, sans autre avis, se jette à ses genoux, se glisse dans les dessous, et disparaît sous les jupes de sa maîtresse. Celle-ci se met à appliquer la verge avec une lenteur désespérante, mesurant les coups, qui cliquettent sèchement sur les fesses rebondies, qui se tordent sous les cuisantes morsures, tandis que la patiente se lamente en demandant grâce. Mrs Skin-Tear a à peine appliqué une douzaine de cinglées, que les coups deviennent subitement plus sévères et moins cadencés; ses yeux lancent des éclairs, ses narines palpitent, ses lèvres s’entr’ouvrent, sa gorge bondit sur sa poitrine, ses hanches ondulent, ses paupières s’abaissent, et l’on devine que Nana emploie bien son temps et son talent dans les combles où elle besogne.

    Mrs Skin-Tear reprend haleine quelques secondes, et recommence à donner la verge en mesure sur le gros postérieur

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